Désobeissante,  La Plume de Florean

Désobéissante 2 – Chapitre 03

Tu me dis stop ?

– Tu veux un peu de café ?
– Mmmm.
– Du lait ?
– Mmmm.
– Regarde un peu ton bol !
– Mm.
– Attention, c’est très chaud… Tu me dis stop ?

– Si je vais trop loin, tu me dis stop, ok ?
Je ferme les yeux.
– Mmmm mmmm.
C’est la première fois…
J’ai préféré qu’il essaye par devant. J’aime le regarder quand il me fait l’amour.
Alors… naturellement… pour ce… câlin…spécial…
Mais je garde les yeux fermés. Pour l’instant.
Pour mieux ressentir.
Sentir.
Il pousse sur son bassin, la queue au bord de ma fleur secrète… Il l’a enduite d’huile de massage, ça glisse un peu… je respire, curieuse… excitée… amoureuse.
L’oeillet fragile s’ouvre.
Je me mords la lèvre.
Le chapeau du gland est si doux que je le sens à peine écarter les chairs vierges…
…s’engouffrer lentement…
…complètement…
…jusqu’à ce que je l’engloutisse.
Je serre un peu les fesses.
Il s’arrête.
– Tu me dis stop, hein ?
Je pouffe.
– Encore un peu…
Il ondule le bassin, vers l’arrière, vers l’avant…
…je le sens tellement mieux ainsi !
Je souffle en gémissant discrètement…
… Il s’enfonce encore, sa queue est longue, solide, puissante, elle s’insinue entre mes fesses blanches, appelle mon plaisir…
…si différent de lorsqu’il me prend devant !
– Oh !
J’ai crié involontairement, le corps parcouru par une onde de plaisir soudaine.
– Tu me dis..
– Encore !
Je pousse sur sa queue en ouvrant les yeux sans le voir vraiment, je suis dans la découverte de ces sensations inattendues, je pensais que ça lui ferait seulement plaisir à lui, non que ça m’électriserait moi !
– Caresse-toi si ça te fait mal.
Mal ?
Je vis mille jouissances !
Dois-je lui avouer ? Lui montrer ? Que va-t-il penser de moi ?
Je me touche délicatement en le regardant, amoureuse, coquine.
Oui, bien sûr qu’il faut le lui montrer.
Qu’il le sache.
– J’aime… oh… j’aime… viens…
Il sourit et s’enfonce avec douceur jusqu’à la garde.
Il contemple…
…mes doigts sur mon bouton rose…
…sa queue qui entre et sort de ma fleur plus tellement vierge qui se contracte à son passage…
…mes seins ronds qui pointent de désirs assouvis…
…mes cuisses ouvertes…
…sa queue, encore, qui va et vient, tantôt sortie jusqu’au bout du gland, tantôt enfoncée si profondément que les poils de son pubis me chatouillent les fesses…
…ma chatte nue, deux doigts en dedans…
…mes tétons noirs qui dardent, il y met sa bouche…
…sa queue toujours qui glisse délicieusement le long de mes parois étroites…
– Oh…oh…
Il n’y tient plus, il accélère – oh que j’aime le SENTIR ainsi, je suis PLEINE, entière, il me comble, au sens propre et au sens figuré ! – se tend à l’extrême et…
…se déverse…
…en longs spasmes liquides…
…des éclairs me vrillent les reins…
…l’oeillet…
…une douce chaleur m’envahit, cotonneuse…
…je le laisse au fond de moi…
…lui demande de venir, encore et encore…
…la dernière contraction…
…les dernières gouttes…
…ça coule, c’est chaud, c’est froid, c’est bon…
…je suis vide d’énergie, lui aussi, il reste en moi, s’allonge sur moi, je l’embrasse, des fourmis dans tout le corps…
…et je chuchote…
– Jamais je ne te dirai stop… prends-moi comme ça quand tu veux…
Il sourit contre ma bouche. Son sexe est toujours dru…
– …encore…

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