En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 9

Quand Tata a dit qu’elle nous accompagnait, Mélissa et moi, au torrent sous la maison, je n’ai pas été particulièrement étonné.
C’est juste que je ne m’attendais pas à ce qu’elles se mettent toutes les deux seins nus – apparemment, c’est leur habitude, mais… vu les circonstances… ça me donne des idées qui ne sont pas morales du tout.
J’aurais voulu ne pas mater, mais c’était juste impossible.
La mère et la fille se baignant dans l’onde fraîche et pure du torrent gelé, la chair de poule sur des seins fermes, tétons dressés au soleil printanier… innocentes… n’ayant conscience, ni l’une ni l’autre de ce que chacune d’elles m’offre dans le secret de la maison…
…enfin « innocentes »… pas vraiment.
…Mélissa qui m’effleure des seins dans l’eau…
… Annie qui lance des coups d’oeil furtif sur mon maillot de bain serré, déformé par le début d’érection qu’elles causent toutes le deux, un sourire secret aux lèvres…
…Mélissa qui me demande de lui mettre de la crème sur le dos, et qui rentre son bas de maillot façon string, la fente bien dessinée entre ses cuisses légèrement écartées… m’incitant de manière à peine voilée à l’effleurer là aussi… gémissant de manière tout juste audible quand je m’exécute, le ventre au supplice…
… Annie, qui nous observe, appuyée sur les coudes sur un rocher plat, ses seins frais bien en vue, le cul cambré, comme prête à être prise, là, tout-de-suite…
…et me demandant de venir lui mettre de la crème après avoir fini avec Méli…
…juste un moment de divine torture quand, elle aussi, soupire de plaisir sous mes mains et les incite à passer sous son maillot quand Méli regarde ailleurs…
La matinée se passe de délice en délice, je suis au Paradis, comme depuis le début de ce drôle de séjour… je fantasme… les prendre, ici, toutes tes deux, l’une après l’autre, la tante et la cousine, les faire jouir et jouir moi-même… peut-être…
La voix d’Annie me tire de ma rêverie.
– Bon, les enfants, je vous laisse profiter, ne remontez pas trop tard pour manger. À tout de suite !
Elle se rhabille et nous fait un signe de la main avant de disparaître dans les buissons.
Mélissa me sourit, gourmande.
Elle n’attend pas cinq minutes avant d’enlever son bas de maillot et de s’allonger sur sa serviette, les cuisses écartées, la chatte blonde épilée aux plis rosés luisant au soleil.
– J’ai pensé à ce que tu m’as proposé hier soir.
Je la mate.
Waw.
Si dévergondée pour son âge…
– Ah oui ?
Elle remonte le bassin en se mordillant la lèvre timidement. Timidement !!!
– Goûte-moi maintenant.
Je souris.
Elle est tellement garce, nue, les seins pointus tendus à craquer, une main joueuse entre les jambes, cette expression d’anticipation sur le visage…
Le fait qu’elle soit ma cousine et que nous ayons grandi ensemble n’a plus aucune espèce d’importance, soudain. Les trois jours qui viennent de s’écouler ont changé les choses.
– Tu veux ?
Elle plonge un majeur hésitant dans son vagin trempé.
– Devine.
Je m’agenouille.
Et je lui montre ce que je sais faire avec ma langue.
Je passe les plus belles vacances de toute ma vie.


Elle n’en peut plus. Elle transpire sous le soleil de midi, étendue sur la serviette, les cuisses sur mes épaules, elle gémit et soupire suffisamment fort pour que je l’entende malgré le bruit du torrent proche. Sa chatte lisse dégouline de salive et de mouille mêlées. Elle m’attrape les cheveux et m’attire à elle, j’ai la queue qui dépasse de mon maillot de bain, elle m’embrasse, l’attrape à deux mains et la guide entre ses jambes, sur l’abricot humide.
Je n’ai qu’à basculer les reins pour la sauter.
– …viens… oh… viens… sois mon premier…
Je reste au bord du sexe étroit. Son premier ?
– …ta mère nous attend… on peut faire ça… tout-à-l’heure… on peut nous surprendre…
Elle geint et sa voix se fait impatiente, suppliante, même.
– …mmm !… maintenant !
Elle s’arc-boute et parvient à happer mon gland boursouflé d’envie entre ses lèvres étroites.
– …Méli… on peut nous voir…
Elle se tend encore et essaye de m’attirer dans ses plis brûlants. Ses seins pointus dardent juste sous mon visage à mesure qu’elle se cambre.
– …oui…
Je ne sais pas ce qui me prend, mais l’image de ma queue au bord d’elle m’excite trop…
…la jouissance me vrille les reins, menace de déborder… puis déborde, violemment, je sors précipitamment de l’antre bouillant et déverse mon plaisir sur son ventre, entre ses seins, le sperme épais brille au soleil sur son corps bronzé, s’accumule, dégouline, je me masturbe jusqu’au dernier spasme, la respiration haute, la sueur au front.
Je m’affale à côté d’elle, ma blonde aux cheveux courts, elle s’agenouille et me prend dans sa bouche, l’air triomphant, sans se soucier de son corps strié de ma semence collante.
Je la regarde me sucer lentement.
Elle ne semble pas déçue que je ne l’aie pas… honorée… Elle cambre le cul, joue encore avec moi, elle m’allume alors qu’elle vient juste de m’éteindre…
Je lève les yeux au ciel… ce n’est pas passé loin… si je le faisais avec Méli, ce serait vraiment mal, quand même.
Mais je ne me berce pas d’illusions. Je ne peux absolument pas lui résister.

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