En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 22

Au revoir, Arthur

– Hey.
– Mmmh ?
J’ouvre un oeil.
5h30 au réveil.
Méli presse son petit corps fin contre le mien. Elle est nue. C’est doux.
– Je voulais juste te dire au revoir correctement.
– Mmmmf ?
Sa main passe sous mon caleçon et enserre mon érection matinale.
– Laisse-toi faire.
Je ferme les yeux alors que sa tête disparaît sous la couette.
Je me laisse faire.


Elle a ouvert les rideaux. J’écarte la couette pour voir la fellation passionnée dans les premières lueurs de l’aube.
Méli fait courir sa langue des couilles au gland, sur lequel elle s’attarde. Elle y applique son nez, ses lèvres, ses joues, elle le love entre ses doigts, lui témoigne son affection.
Elle me voit la regarder.
Son nez mutin.
Ses cheveux blond-roux très courts.
Ses yeux rieurs.
Elle se soulève, à quatre pattes. Je vois ses petits seins pointus. Je les caresse.
– Va au bout. Je veux te boire une dernière fois.
Waw.
Je me détends.
Elle me suce et m’aspire, essaye de m’avaler entier… elle se cambre, écarte les cuisses, me révèle la naissance de sa chatte lisse, je me plie pour voir son cul fendu et doré… elle me branle rapidement, profondément, sa bouche et sa langue suivent le mouvement, s’activent sur le gland turgescent, si sensible. La salive coule de ses lèvres sur ses mains, elle m’enfonce dans sa gorge et me suce jusqu’au méat, m’avale, me masturbe, je ne sais plus où je suis tellement les sensations sont riches, intenses, variées..,
Je sens ça vient, là, juste quand elle passe sa langue sur…
– Qu’est-ce que vous faites, tous les deux ?
Mélissa fait un bond en arrière. Mon coeur menace de transpercer ma poitrine.
– M’man…? C’est pas ce que…
Tata se tient sur le seuil. On ne l’a pas entendue ouvrir la porte.
– Mélissa ! C’est ton COUSIN ! Et toi, Arthur ? Qu’est-ce qui se passe dans ta tête ! Elle est trop jeune pour…
La rage l’étouffe.
Elle pose les yeux sur ma queue, droite, frémissante, toujours tendue au bord de la jouissance entre les doigts de Méli. Manquerai plus que je l’asperge de sperme devant Annie… Je me crispe. L’idée manque de me faire exploser.
– Dans ta chambre, Mélissa. On parlera de ça plus tard. File !
Méli disparaît en trottinant, cachant son sexe sous ses doigts.
Annie ferme la porte. Je déglutis piteusement.
– Tata… je suis désolé…
Elle fait glisser sa tunique de soie de ses épaules.
– À nous deux, jeune homme.
Elle soulève sa nuisette. Sa culotte tombe à ses pieds.
– Puisque Mélissa t’a préparée pour moi…
Elle m’enfourche et s’enfonce sur ma bite.
-…mmm… je ne vais pas me priver…
Elle croise les bras et ôte la nuisette transparente d’un geste gracieux. Elle se penche sur moi en ondulant le bassin pour mieux me sentir la labourer de fond en comble et elle m’embrasse en gémissant discrètement.
– Oh… Arthur… Tu es bon…
Je la dévisage sans y croire en remontant malgré moi mes mains sur ses gros seins nus écrasés sur mon torse.
– Tu n’es pas fâchée ?
Elle se mord la lèvre et accélère la cadence.
– Tu crois… vraiment… que je ne savais pas, pour vous deux…? Mmm… je suis… une mère, Arthur… mmm… je connais… ma fille… je ne pouvais pas te donner moins qu’elle… oh… viens encore…
Je me tais et la laisse me sauter à sa guise. La petite chambre est emplie dune musique amoureuse, nos gémissements, les grincements du lit, les bruits de succion de sa chatte sur ma queue, de sa langue dans ma bouche, de mes lèvres sur ses seins…
Elle se soulève, le front en sueur, une expression d’extase sur le visage, elle me regarde intensément, en accentuant à l’extrême les va-et-vient de son bassin planté sur ma bite.
– Remplis-moi, mon chéri, comme cette nuit.
J’ai du mal à tenir.
– Sûre ? Je croyais qu’il ne fallait pas…
Elle sourit, mutine.
– …montre à ta tante combien tu l’aimes…
Je donne trois coups de reins profonds.
– Tata… je t’aime.
Et, juste comme ça, je la pénètre jusqu’à la garde et j’explose en elle.
Elle s’affale sur moi et me laisse me vider, spasme après spasme, en m’embrassant, sauvage.
Le dernier frisson.
Les derniers jets.
Elle serre les cuisses, comme pour aspirer tout le sperme, le recueillir, le conserver.
Elle rompt le baiser, se soulève et m’observe, les yeux doux et brillants, émus.
– Merci, mon petit chéri.
Je la serre contre moi.
– Merci à toi, Tata.
On se regarde un long moment. Elle me caresse le visage, on se respire, on s’embrasse.
– Tata…?
Elle sourit.
– Oui ?
Je formule une question qui ne m’avait pas effleuré l’esprit avant aujourd’hui, à la veille de partir…
– Est-ce que… est-ce qu’on recommencera ? Après ? Plus tard ?
Elle serre sa chatte sur ma queue molle et poisseuse en se mordant les lèvres.
– Tu voudrais ?
Je hoche la tête.
– Toujours.
Elle rit silencieusement.
– Alors… quand je rendrai visite à ton père… je peux imaginer passer par ta chambre et me mettre à l’aise…
Mon coeur fait des bonds dans ma poitrine.
– J’ai hâte.
Elle sourit en coin.
– …après tout, je t’avais promis que si je craquais, je serais une femme sans tabou… il me reste une petite chose étroite à t’offrir, la prochaine fois…
J’écarquille les yeux.
Elle pose ses lèvres sur les miennes et descends lentement sous la couette.
– …allons nettoyer tout ça…
Je la laisse me sucer, apaisé.
Sans tabou.
Les images qui me viennent ne sont pas très sages.


Ma valise est dans la voiture.
Vincent me serre la main et me fait la bise, c’est Tata qui m’emmène à la gare, elle m’attend.
– Salut, Arthur, bon voyage, tu reviens quand tu veux.
Je souris, un peu gêné.
– Merci.
– Tu fais du bien à ta tante, vraiment. Tu dois cacher une vraie baguette magique !
Je tique intérieurement. Est-ce une allusion orientée ou une remarque innocente ? J’élude.
– Tu feras une bise à Méli de ma part ?
– Dix, si tu veux. Allez, file !
– Au revoir, Vincent. Merci pour la semaine.
Je passe la porte, soulagé.
– Merci à toi, Arthur. C’était sympa, notamment hier soir… Reviens-nous vite.
Mon coeur bondit dans ma poitrine. Hier soir ??? Que veut-il dire ??? Encore une fois, je fais semblant de ne pas entendre de double-sens.
– Dès que possible.
Je lui fais un dernier signe de la main et j’entre dans la voiture.
A-t-il vraiment dit ce que j’ai cru comprendre ?
Tata se passe du rouge à lèvre en se regardant dans le miroir de courtoisie.
Elle est magnifique.
– Euh… Tata…?
– Oui ?
Je ne sais pas comment demander.
Alors je ne demande pas.
– Rien. Juste que je te trouve belle.
Elle sourit et rajuste sa ceinture entre ses seins ronds.
– Charmeur.
Elle démarre.
– Si on est pas trop en retard, j’aurai peut-être le temps de te faire une douceur en chemin.
Je regarde la maison s’éloigner.
– J’adorerais.
Elle sourit et pose la main sur ma cuisse.
La voiture s’engage dans la montagne.
J’ai hâte de revenir.
Cet été.


Epilogue.

6 semaines plus tard.


Cher Arthur,

Maman n’était pas trop furieuse de nous avoir surpris, elle a dit que nous étions jeunes et que c’était de notre âge. Je lui ai promis de ne pas recommencer – j’ai menti.
Elle et ton père se sont arrangés, je viendrai pour une semaine chez toi après les résultats d’exams, le 6 juillet.
Papa insiste pour que tu reviennes cet été, c’est amusant, j’ai l’impression qu’il trouve que Maman est plus cool quand tu es là !
Plus que trois petites semaines et je serai dans tes bras…
Devine pourquoi j’ai hâte !
À toi entière, devant, derrière.
Méli.

PS: Maman est enceinte. Je vais être grande soeur !

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