T(an)tation – Chapitre 18
Enfin seul… ou pas.
La porte est entrouverte, ils ont laissé la lumière allumée. Vincent est à genoux sur le lit, Annie le suce à quatre pattes, lentement, mais je ne vois sa bouche pulpeuse que par épisodes, quand elle pince les lèvres autour du gland violacé et luisant, elle tourne alors légèrement la tête, avant de gober à nouveau la longue queue tendue.
Par contre, j’ai une vue imprenable sur le cul ample et rebondi de ma tante, je distingue parfaitement sa chatte épilée, son petit trou sombre.
Mélissa ouvre la porte de sa chambre, totalement nue. Elle me rejoint, observe la scène un instant et s’agenouille.
Elle baisse mon caleçon et me suce sans attendre.
Lorsque je suis assez dur à son goût, elle se relève et me prend par la main.
– Viens, ils nous attendent.
Annie se retourne, elle sourit, impatiente. Vincent lève la tête. Son regard gourmand tombe sur les seins de sa fille.
Méli me guide sur le lit, jusqu’à ce que je sois derrière sa mère. Elle saisit ma queue et la fait tourner dans le fente trempée.
Vincent m’observe en se masturbant.
– Prends-la.
Je me réveille, le coeur battant.
Soulagé que ça n’aie été qu’un rêve.
Il n’y a personne dans la maison quand je me décide à me lever. Ma cousine est en cours, mon oncle au boulot, et ma tante est chez sa mère pour la journée, Méli a fait tout un foin en apprenant que je serai seul aujourd’hui. Je ne m’en plains pas, j’ai besoin de repos…
Il fait clair au dehors.
Un beau temps pour descendre à la rivière avec une serviette et un sandwich.
Je m’apprête à partir, les cheveux encore mouillés après un douche rapide quand on toque à la porte.
Je vais ouvrir, en espérant que ce n’est pas un voisin à qui je ne saurai répondre.
Ce n’est pas un voisin.
– Salut Arthur.
Alicia, la copine dévergondée et rouquine de Mélissa, entre en me faisant un smack sur la bouche.
Je reste sans voix. Elle sourit en refermant la porte et en poussant le verrou derrière elle.
Elle porte un T-shirt moulant sur ses seins nus dont je vois darder mamelons épais au travers, et un short court, qui dessine agréablement sa cambrure naturelle.
– Euh… salut… salut Alicia. Entre.
Je grimace intérieurement. « Entre » ??? Quel idiot. Elle est déjà entrée.
Elle sourit.
– Mélissa avait peur que tu t’ennuies, seul.
Je hausse les sourcils, incapable de réfléchir.
– Tu n’as pas les mêmes cours qu’elle ?
– Si, juste les TD de langue qui ne tombent pas au même moment. Mais je peux occuper ma langue avec toi, tu ne crois pas ?
Elle rit de sa blague et me prend dans ses bras. Ses grands yeux bruns sont pleins de malice.
– Alicia ?
Elle tend ses lèvres et m’embrasse. Sa main court sur mon bermuda, glisse dans l’élastique, et me saisit la queue.
– Mmm… tu es bien dur… je n’étais pas sûre de te plaire.
Elle me pousse contre la porte et me caresse lentement. De bas en haut. De haut en bas.
J’ai le souffle court.
– Tu… rigoles ? Tu es belle !
Elle m’embrasse brièvement en baissant mon bermuda.
– Je sais. Et je suce bien, paraît-il.
Elle s’agenouille et titille ma bite du bout du nez.
– Tu veux ?
Je souris.
Elle m’avale lentement, centimètre par centimètre, en pressant gentiment mes couilles lisses.
Elle s’affaire longuement, sans se presser, elle émet des bruits de gorge étouffés, des soupirs, elle slurpe, elle gémit…
Sa bouche est faite pour ça, ses lèvres se retroussent autour du manchon de chair turgescent, mettent en valeur son visage mutin, son petit nez, ses taches de rousseur, sa peau rosée.
Elle me lape le bout du gland et demande:
– Si on fait un peu plus qu’une sucette, tu le diras à Méli ? Parce que mon petit short est tout trempé…
– De quoi ?
Elle écarte les cuisses et me montre la tache sombre en leur creux qui s’étend sur le tissu bleu ciel.
– J’ai envie…
Elle me masturbe en souriant et me reprends dans sa bouche.
On sonne à la porte.
Mon coeur fait un tel bond dans ma poitrine que je suis presque étonné de ne pas le voir transpercer ma cage thoracique.
– Merdemerdemerdemerdemerde…!
Je remonte mon bermuda en notant à peine qu’Alicia n’a pas cessé sa caresse et qu’elle me suce toujours avec entrain quand je retire ma queue d’un coup sec.
Elle sourit en se relevant.
– Tu attendais quelqu’un ?
Je chuchote.
– Pas du tout ! Attends.
Je respire un coup et j’entrouvre la porte.
– Bonjour Arthur.
Betty, l’amie de ma tante, les cheveux blonds attachés en un chignon sévère, me fixe de ses yeux clairs en souriant.
– Euh… salut Betty.
– Annie m’a demandé de venir te… divertir… elle avait peur que tu t’ennuie, mon petit chou. Je peux entrer ?
Avant que je n’aie pu protester, elle a poussé la porte et aperçu Alicia.
– Oh.
Alicia rougit juste ce qu’il faut. Moi aussi.
Le regard bleu pâle de Betty tombe sur mon bermuda, qui ne cache rien du fait que je bande – sa tenue, une jupe moulante noire sur bas résille et talons hauts, chemisier bleu-nuit sévère, façon working-girl, ne fait rien pour arranger les choses, elle est juste trop bonne.
– Je vois que tu ne t’ennuyais pas tant que ça.
Une idée me vient.
Impossible.
Et pourtant…
Je jette un oeil à Alicia, en haussant un sourcil. Elle hoche imperceptiblement la tête. Elle a pigé.
Je referme la porte derrière la quadragénaire.
– Euh… Betty ? Qu’est-ce que tu dirais de te joindre à nous…?
Le coeur battant, je déboutonne mon bermuda et libère le dragon engoncé qui bondit et se dresse, rugissant, à l’horizontale.
Betty me dévisage, le regard insondable.
Elle sourit en coin et attrape mon sexe entre ses doigts. Elle serre son corps fin et tonique contre le mien.
– J’allais te le proposer…
Elle me prend la bouche et la fouille de sa langue fraîche. Je ne suis pas surpris de sentir ma bite happée par Alicia, qui me pousse au fond de sa gorge sans attendre, cette fois. Je souris intérieurement. Ça va être une belle matinée.
Dans la chambre.
Retirer le petit short d’Alicia.
Ecarter son string.
Planter ma langue dans la chatte épilée, jouer avec le clito boursouflé, boire la mouille abondante.
Relever son t-shirt, pincer ses seins nus.
Embrasser Betty dans le cou, remonter sa jupe stricte, arracher sa culotte, peloter ses fesses fermes, tâter ses beaux nibards à travers son chemisier déboutonné.
La mater embrasser une Alicia extatique sur les lèvres pendant qu’elles me sucent à deux.
Allongé.
Les deux filles à quatre pattes, les nichons qui pendouillent au-dessus de ma bouche.
Je les happe tour à tour en riant.
Leurs mains entrecroisées sur ma queue.
Alicia, cuisses écartées, chatte rasée trempée.
Betty, la tête enfouie dans l’oreiller, qui crie pendant que je la baise, en levrette.
La résille des bas chuinte contre mes jambes.
Mon pouce fouille Alicia, qui gémit en pressant ses jolis seins nus entre les mains.
Allongé.
Alicia qui s’empale sur moi, lentement, le visage rouge, les lèvres entrouvertes.
Betty qui m’enjambe le visage et me colle la bouche contre sa chatte blonde.
Elles me chevauchent, toutes les deux.
Je prends mon pied.
Elles aussi.
Alicia, les jambes pendantes, allongée, le cul relevé.
Elle crie.
En demande encore.
Betty la fesse méthodiquement, les cheveux en bataille, les yeux brillants tournés vers moi.
Sauvage.
Betty embrasse Alicia sur la bouche et la fixe de ses yeux clairs, un sourire doux aux lèvres.
– Allez, Lolita, laisse-toi faire. Ce sera votre première fois à tous les deux. Sinon je le fais.
– D’acc… d’accord… mais doucement, ok ?
Alicia se place à quatre pattes et se cambre.
Betty, nue, si l’on excepte les bas résille et le porte-jarretelles, écarte les lobes de ses fesses et fait couler un peu de salive sur le petit trou rosé avant d’y enfoncer un pouce, oh, si lentement.
Elle le fait tourner et tourner, étire la pastille élastique qui rosit et se lubrifie au fur et à mesure. Alicia ne respire plus, la tête enfoncée dans les draps, les cuisses tremblantes.
Je m’approche, à genoux sur le lit. Betty se penche et me prend dans sa petite bouche. Elle me gobe jusque dans sa gorge et pousse longuement avant de remonter. Elle m’enduit le gland de salive grasse et bouillonnante, le souffle court.
– La Lolita est prête.
Elle retire son pouce du petit trou rougi.
J’applique ma queue contre la rondelle plissée et douce, qui s’entrouvre sans résister.
– Mmmmpf…
Alicia gémit et se cambre. La pointe de ma bite disparaît d’un coup dans l’anus élastique qui se referme autour du pruneau gonflé avec un petit « plop » délicieux.
Je mate le petit cul écartelé, les yeux grands ouverts. Je pistonne lentement, ma queue disparaît davantage, Alicia relève la tête, pousse sur ses cuisses, pour me prendre plus loin, plus vite.
– Oh… oui… oh… ah… oui…
Ça m’excite. Elle aime ça. Je me retiens, je sens que mes couilles sont prêtes à se vider, je pense à autre chose tout en matant le tube de chair, la crasse humidité, les deux lobes constellés de taches de rousseur, les marques rouges des doigts de la fessée…
Betty grimpe sur le lit, s’allonge, écarte les cuisses et chuchote:
– Ne lui donne pas tout, j’en veux un petit coup aussi…
Elle écarte les fesses et me montre son petit trou brun, plissé, luisant de la mouille qui coule de sa chatte en filets transparents, prêt à m’accueillir.
J’explose.
Alicia serre les sphincters à mesure que je me vide en elle, dans le cul si serré, si étroit, chaque spasme est une agonie, un paradis, qu’elle accompagne de ses encouragements lubriques, la langue sur les lèvres.
– Ouiouioui… han… oui…
Je la pilonne, mes doigts enfoncés dans ses hanches, ma queue plantée jusqu’aux bourses.
Elle s’affale sur le lit, je la suis en continuant de déverser une rivière de sperme dans la faille miraculeuse.
Ma bite dégonfle déjà.
Toujours dans le cul tout juste défloré.
Par moi.
Un puceau de la veille, quasiment.
Je n’y crois qu’à moitié.
Je suis allongé sur Alicia, le nez dans ses cheveux, je lui tète le cou, l’oreille, elle respire fort, essoufflée, souriante.
Betty me caresse les couilles, les fesses, elle m’embrasse le dos, y presse ses seins nus. Elle a une voix coquine quand elle demande:
– Une petite douche à trois, ça vous dit ?
Je ris.
Alicia aussi, manifestement ravie.
Je me retire lentement sans me soucier des liquides qui souillent ma queue.
Rien qu’une bonne douche ne pourra arranger.
Et si j’en crois la lueur gourmande dans les yeux clairs de Betty, la bonne douche s’accompagnera d’une bonne bouche.
J’ai hâte.
Je suis désespérant.