En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 15

Crème solaire

La crème solaire glisse sur le corps si féminin d’Annie. Je m’attarde sur les épaules, les reins, les fesses amples aux courbes généreuses. Elle a les bras relevés, les mains sous le menton, les yeux fermés. Je mate ses seins énormes écrasés sous elle, y passe parfois les doigts, l’air de ne pas y toucher. Elle sourit et chuchote:
– Coquin. Attends.
Elle se retourne. Nue, sous mon sexe tendu à craquer.
– Etale m’en bien partout.
Je jette un oeil à Betty. Elle interprète mal mon regard.
– Attends, je vais le faire. Ce doit être gênant pour toi de voir ta tante ainsi.
Elle se soulève sur les coudes pour prendre ma place. Je parle précipitamment.
– Non non, ça va.
Annie pose une main sur son bras pour la retenir.
– Laisse-le faire, il aime ça.
Elle lève un sourcil. Elle est presque à quatre pattes sur sa serviette. Son cul étroit est à se damner.
– Oh… je vois…
Je me sens rougir. Ma bite a un soubresaut d’excitation.
Elle se rallonge, mais elle reste sur les coudes, croupe cambrée. Je me vois la sauter grave.
– Je vois, je vois… et Vincent le sait ?
Ma tante sourit simplement.
– Mmm mmm.
Elle pose sa main sous ma queue et la caresse de la paume.
Je suis paralysé. Comment peut-elle révéler un truc pareil !!! Et m’astiquer devant son amie !?
– Tata !
Elle entoure ma bite dressée de ses doigts et la serre délicieusement.
– Betty aime aussi les hommes bien faits. Tu me crèmes ?
Elle me branle lentement en tâtant mes couilles douces à chaque mouvement. J’oublie la copine.
Je verse de la crème solaire sur les seins massifs avant de l’étaler lentement, à deux mains, des côtes jusqu’aux mamelons qui durcissent sous les caresses. Ils sont mous et chauds, ils glissent sous mes doigts, je les presse et les malaxe, ils se gonflent de plaisir et d’envie.
Tata me masturbe sans hâte, je me déplace légèrement vers sa tête, dans l’espoir fou qu’elle me prenne dans sa bouche.
– Mes seins sont protégés, Arthur. Plus bas, maintenant…
Elle plie les jambes et les écarte légèrement. Mon sexe bondit dans sa main. Je glisse les doigts sur son ventre, sans remettre de crème solaire, puis les fais courir sur la chatte lisse, dont le sillon rosé est luisant de mouille et de sueur.
Mon majeur entre comme dans du beurre.
Elle se cambre et gémit. Je m’enfonce, la queue raidie entre ses doigts, imaginant que je la saute, là, devant sa copine. Je jette un oeil à Betty, qui nous observe en souriant, une main nonchalante entre les cuisses. Je me demande si elle se touche ou si c’est un hasard ?
J’accélère le rythme du va-et-vient de mon poing dans la chatte béante, Annie se tend en geignant et serre soudain les jambes, le corps agité de soubresauts divins.
Elle se laisse aller sur le sable, lâche ma queue et lève la tête pour que je l’embrasse. Je me penche, nos lèvres se mêlent, nos langues, la plage n’existe plus, ni la copine, juste ce baiser, juste Annie.
Une main fraîche se referme autour de ma queue dressée.
– Je te l’emprunte, Annie, j’ai besoin de crème solaire aussi.
Il y a quelques jours, j’aurais été paralysé d’effroi, je me serais rengorgé, horrifié. Mais après les expériences de ces derniers jours avec toutes les femmes que je rencontre, je n’ai même pas l’idée de protester. Je me laisse guider vers la serviette de Betty, qui me tire par la bite.
– Soyez sages…
Annie n’a même pas ouvert les yeux.
La blonde s’allonge sur le ventre, les cuisses serrées, le dos cambré, le cul légèrement remonté, comme pour une saillie. Elle tourne ses yeux délavés vers moi et me fait le sourire-moue qui me fait craquer.
– Ne sois pas timide. Je ne vais pas te mordre.
Elle pose les yeux sur mon érection violacée. Nouveau sourire terriblement équivoque.
– …ou peut-être que si… hihi.
Elle pose la tête sous ses bras repliés. Je lui mets de la crème sur les épaules. Elle gémit.
– Mmm… tu as les mains douces…
Sa peau a la texture de celle d’une pêche, soyeuse, ferme. Je la caresse plus que je ne la masse, elle roucoule quand je lui étale la crème sur les bras, dans le cou. Je descends lentement vers les côtes, puis vers le bas du dos… Elle est musclée, tonique, je sens les dorsaux se tendre au passage de mes doigts, je saisis ses hanches étroites et en dessine les courbes féminines en imaginant que je la baise, que je l’encule, que je…
– Vas-y…
Je sursaute.
J’ai dû gémir mon envie. Je rougis. « Vas-y »??? Je ne peux pas avoir compris ce que j’ai compris !
– De quoi ?
Elle me regarde en coin. J’ai conscience de ma queue qui vibre d’anticipation, dressée à quelques centimètres de son corps nu.
– Mets-en sur mes fesses, si tu en as tant envie.
Oh.
– Hein ? Oh. Oui. Bien sûr.
Qu’allais-je imaginer ?
Le cul est ferme, rebondi, étroit, elle ondule le bassin à mesure que j’étale la crème au parfum de soleil, je ne boude pas mon plaisir en matant l’ovale de la chatte blonde qui paraît parfois au creux des cuisses lorsqu’elle se cambre.
Oui, je me la sauterais bien.
Mon bas-ventre tire, ça devient douloureux, j’ai l’impression qu’on presse mes couilles lisses dans un étau. Faudra que je me finisse tout seul, je ne peux pas rester dans cet état tout l’après-midi.
– Plus bas.
Oups. J’ai passé un long moment sur le cul, elle s’en est aperçu…
– Oh. Ok.
J’applique un peu de crème sur les cuisses, jusqu’aux genoux, mais elle secoue la tête en souriant.
– Ne fais pas l’idiot…
Elle écarte les cuisses et s’arc-boute légèrement. Le coquillage doré est fendu de mouille huileuse. Les poils blonds sont trempés. Je jurerais pouvoir sentir les doux parfums qui émanent du trésor enfoui dans ses plis rosés.
Je hausse un sourcil.
Elle fait sa petite moue coquine à souhait.
Mes doigts plongent dans le duvet fourni.
Elle se tend.
Je bande.
Sa main m’attrape les couilles et les caresse.
Je ferme les yeux.

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