T(an)tation – Chapitre 1
Note de Florean: Il manquait à mes récits un de ces textes un peu tabou, un de ces désirs que l’on peut avoir envers un membre de sa famille, parfois, sans oser jamais l’avouer, ni l’assouvir. Je joue donc sur un terrain inconnu, en espérant satisfaire une certaine soif d’interdits, mais pas trop borderline tout-de-même…
Derrière la porte de Tante Annie.
C’est la première fois que je vois une femme nue d’aussi près. Le problème, c’est que c’est ma tante. Je ne devrais pas. Elle m’accueille ici avec mon oncle et ma cousine Mélissa, le temps des vacances de printemps… Si je me fais choper…
Elle se regarde dans le miroir de la chambre, ses yeux bleus courent sur ses seins généreux, sur les creux et les vallées de ses hanches, sur la broussaille brune de sa chatte. Elle lève les bras et s’attache les cheveux.
Cela arrondit ses seins, les rend arrogants, je suis scotché derrière la porte, à mater et mater encore.
J’ai le coeur qui flotte au bord des lèvres. Le ventre noué. La queue en feu dans mon jean.
Elle cambre le dos.
Son cul est ample, rondelet, les lobes des fesses séparés par une ligne de faille pâle et ferme, une crevasse peinte au couteau par un artiste de génie.
C’en est trop.
Je me caresse.
Les cheveux attachés en chignon, elle se maquille maintenant, elle se penche en avant, ses seins pendouillent, juste devant le miroir, les mamelons roux, les tétons dressés. Elle a froid.
Elle passe un pinceau sur ses lèvres.
Je n’ai d’yeux que pour son cul, la courbure de son dos, la croupe cambrée m’appelle. Je me penche pour mieux voir, sans oser respirer.
Elle se maquille les yeux, les joues, attentive. Je baisse ma braguette et sors ma queue. Il faut que je me branle, elle est trop bandante !
Je ferme les yeux une seconde. Le plaisir est trop puissant.
Je les rouvre.
Et croise son regard dans le miroir.
Elle écarquille les yeux et couvre ses seins de ses mains.
– Arthur !
Je recule, m’emmêle dans mon pantalon, et me casse la gueule dans le couloir, la bite à l’air. Ma tête cogne le mur. Je grimace, les yeux plein de larmes.
– Oh ! Arthur ! Est-ce que ça va ?
Ma tante est au-dessus de moi, l’air inquiet le bras fermement pressé sur ses seins pour les cacher. Elle a passé une culotte. Elle s’agenouille et me frotte la tête d’une main.
– ça va.
Je bande de plus belle.
Elle s’en aperçoit mais ne dit rien.
– Est-ce que tu me regardais ?
Je secoue la tête.
– N…non…
Elle sourit et pose sa main sur mon ventre et la descend très lentement vers ma queue à l’air.
– Je crois que si.
Elle écarte son bras et me montre ses seins – énormes vus d’aussi près !
Je me sens rougir, j’ai tellement honte !
– Je suis désolé !
Elle sourit.
– Tu deviens tout dur en me regardant. C’est plutôt flatteur. Est-ce que tu te masturbais ?
J’ai envie de m’enfoncer à trente-six pieds sous terre.
Je hoche la tête, incapable de mentir. Sa main est toute proche de ma bite toujours dressée comme un « i ».
Elle va presque jusqu’à l’effleurer mais retire ses doigts au dernier moment. Mon corps hurle.
– Viens.
Je me relève, pataud.
Elle me prend la main et me mène dans sa chambre.
– Tata Annie ?
Elle ferme la porte à clé.
Elle m’embrasse sur la joue.
– Tu es trop mignon tout excité comme ça. Tu aimes mes seins ?
Elle s’écarte d’un demi-pas et les fait rouler dans ses mains, deux gros melons mous et blancs qui ondulent paresseusement sous mon nez.
Je murmure un « oui » timide, la gorge sèche. J’ai tellement honte.
Elle sourit.
– Tu veux les toucher ?
J’écarquille les yeux en secouant la tête. Je ne peux pas faire ça !
– Ne sois pas ridicule. La porte est fermée. Personne ne le saura.
Elle s’approche un peu et me prend les mains.
– Laisse-moi faire.
Elle pose mes paumes sur ses seins.
C’est-doux-c’est-ferme-c’est-gros-c’est-lourd-c’est-bon !
J’ai la bite en feu !
Je rougis mais je ne la lâche pas, je n’enlève pas mes doigts, je presse la douce fermeté, les seins sont encore plus énormes et pesants que je ne l’aurais imaginé !
– Ça te plaît ? Tu peux appuyer plus, tu sais.
Je hoche vigoureusement la tête de peur que ma voix ne trahisse ma panique.
Elle ôte ses mains des miennes.
Je caresse les lobes ronds. Je touche des seins ! J’ai envie de les embrasser !
Les tétons durcissent sous mes paumes, je les presse avec mes pouces, les fais rouler entre index et majeur, ils dardent, grandissent. Annie soupire en souriant.
– Tu as les mains douces. Attends.
Elle me prend par les hanches et m’attire contre elle. Elle effleure mes lèvres d’un baiser léger. Ses mains descendent et se referment sur ma queue. J’en lâche presque les seins de surprise, mais elle se colle à moi plus souriante que jamais.
– Tata !
Elle me pose de nouveaux baisers sur la bouche en murmurant:
– Je ne vais pas te laisser tout dur comme ça…
J’ai le ventre qui se tord au contact frais des doigts autour de ma bite tendue. Le souffle coupé. Elle commence à me branler lentement, puis accélère le rythme. C’est divin. C’est terrifiant. Elle gonfle sa poitrine sous mes mains. Je la supplie du regard.
– Ta…ta…!
Elle sourit en coin et me masturbe plus fermement encore, un pouce sous ma queue.
– Aaah… Ta…ta !
Je lui griffe les seins.
Et j’explose dans ses mains. Elle rit.
– Oups.
Elle couvre mon gland de ses doigts et me tire sur la bite sans me quitter des yeux, elle me vide avec soin, me caresse jusqu’au dernier spasme, jusqu’au dernier jet tiède, jusqu’à la dernière goutte. C’est tellement fou… tellement bon… tellement doux !
Je titube. Je la regarde, honteux.
– Je… désolé… je… pas pu…
Elle pouffe encore.
Elle me caresse les couilles une dernière fois avant de porter ses mains à sa bouche et d’aspirer la semence qui s’y est accumulée. Je remarque le jet blanchâtre qui a commencé à couler sur son ventre. Je ne sais plus où me mettre.
– Mmmh. Tu es bon. Tu avais envie… Ça va mieux ?
J’acquiesce, le rouge aux joues.
Elle m’embrasse sur les lèvres. Sa langue essaye d’entrer dans ma bouche. Je la laisse faire. Elle sent le rouge-à-lèvres et le dentifrice à l’anis. C’est doux de l’embrasser ainsi. Mes mains glissent le long de son corps, touchent sa culotte. Je suis perdu entre enfer et paradis.
Elle me caresse le visage du bout des doigts. Elle sourit.
– Tu es un bon garçon. Allez, file. Et ferme ton pantalon avant de sortir.
Je hoche la tête.
– Euh… d’accord.
– Ça t’a plu ?
Nouveau hochement de tête vigoureux.
– Oui.
Elle ouvre la porte sans cacher ses seins nus.
– A moi aussi. Allez, sauve-toi vite.
Je range ma queue dans mon boxer et me retrouve dans le couloir.
Je cours dans ma chambre et je m’y enferme.
Je tremble de partout.
Qu’est-ce qui vient de m’arriver ???