La colocataire – Chapitre 01
Elle ne me voit pas. Je regarde par le trou de la serrure. Elle se déshabille. Ses seins sont petits, ils ont la forme de demi-citrons bien pleins, tâches de rousseur, aréoles claires et tétons ronds rose très pâle- un peu épais, là encore comme le cul d’un agrume juste coupé. Elle a la peau si blanche !
Sa culotte tombe à ses pieds. Une touffe rousse. Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées. Le bas de sa chatte est presque naturellement glabre. Ses seins ne s’étalent pas, ils restent drus, fermes, ils trônent, comme deux petits citrons pâles sur son buste menu.
Elle remonte le drap sur elle, comme à chaque fois. Je vois sa main s’agiter, sa poitrine se soulever, elle se masturbe lentement, des gémissements étouffés me parviennent à travers la porte. Je bande comme un fou. J’essaye de redresser mon slip d’une main en restant collé au trou de serrure mais mon coude cogne contre la porte, le bruit est clair, limpide, il annonce: « quelqu’un cogne à la porte ! ».
– Oui ?
C’est elle ! Je me redresse doucement et prie pour qu’elle ne vienne pas ouvrir. Tout est calme. Pas un bruit. Sauf les battements de mon coeur. Je compte jusqu’à 10. Lentement. Rien.
Je me penche, et me replace devant la serrure. C’est tout noir, je ne vois…
La porte s’ouvre à la volée ! Je me redresse d’un coup, l’air coupable.
Rebecca, ma coloc, est furax. Elle est enveloppée du drap, je sais qu’elle est nue dessous.
– Sean ! Qu’est-ce-que tu fais là ! Tu m’espionnes ?
Si seulement je pouvais arrêter de bander !
J’ai le cerveau déconnecté. Je ne peux pas trouver de mensonge. Et comme un con, je dis la vérité.
– Non, Becky, je… je… je regardais juste euh… j’aime bien quand tu…
– QUOI !? Tu veux dire que tu m’as déjà vue en train de… Tu es un gros dégoûtant ! Que je ne te vois plus jamais – ja-mais – devant ma porte comme ça !
Elle recule, le visage blanc de rage, la porte claque, faisant vibrer les murs.
Je reviens à ma chambre en traversant la salle commune.
Ma bite me fait mal, j’ai le ventre douloureux, comme si l’on m’avait donné un coup de genou dans les roubignolles.
Je fais glisser la fermeture éclair de mon pantalon, et sors mon sexe affamé, que je caresse amoureusement. Je ferme les yeux, et me branle debout, au milieu de ma chambre en repensant aux petits nichons dressés de Becky.
Ma porte s’ouvre en grand. Rebecca est là, enveloppée dans une serviette rose, qu’elle tient d’une main, juste entre ses seins. Elle pose les yeux sur ma bite, que je remets hâtivement dans mon slip.
– Becky ? Qu’est-ce tu…
Elle garde les yeux rivés sur mon entrejambe. Elle semble satisfaite, et sérieuse. Mais elle ne sourit pas.
– C’est d’accord. Tu peux me regarder. Tu viens ?
J’ouvre des grands yeux étonnés et la suis machinalement.
– Par le trou de la serrure ?
Elle ouvre sa porte et me fais signe d’entrer.
– Ne sois pas ridicule. Tiens, prends la chaise et mets-toi là.
Je hoche la tête, coeur battant. Je m’installe à côté du lit une place.
Elle se place juste devant moi, la serviette tombe, ses seins mandarines sont pleins de tâches de rousseur, sa chatte est rouquine, courte et drue, je devine le clito, lové dans le creux sombre. Elle se tourne, sa taille est menue, son cul n’a pas un gramme de gras, il est ferme et pâle, constellé lui aussi de tâches rousses. Elle monte sur le lit, se cache sous le drap. Je devine que ses jambes s’écartent, et je suis le chemin de sa main qui s’y glisse, et qui tourne, en une ronde incessante, sur le sexe vierge.
Elle me fixe des yeux, qui deviennent vides par moment, lorsque le plaisir est plus fort. Je bande comme jamais, je mate, et mate encore. Ses épaules se dénudent peu-à-peu, je vois le haut de ses seins, mais pas les mamelons.
Elle chuchote d’une voix plaintive:
– Montre-le moi.
Elle tend sa main gauche vers mon pantalon. J’ai la tête qui tourne tellement je bande. Je réponds:
– Si tu me montres tes seins.
Elle gémit plaintivement et tire le drap jusqu’à son nombril, offrant son buste délicat à mon regard voyeur. Elle se masturbe plus vite. Ses seins roux se soulèvent et s’écartent au rythme de ses profondes inspirations, ses tétons ronds sont drus, tendus, gonflés de plaisir, j’ai envie de les toucher. Je me mets debout, au-dessus d’elle, et je sors mon sexe pâle, que je tiens dans ma main.
Elle le regarde en ondulant le bassin, ses deux mains sont en action, explorent sa chatte, j’ai envie d’en voir plus, le drap glisse encore, je peux voir ses poignets qui vont et viennent. J’ai honte, la bite à l’air, mais je la mate toujours.
Je ramasse sa culotte, parterre, et la porte à mon nez. L’odeur salée est forte, la culotte est sale, souillée, je sens mon gland gonfler sous le coup de l’excitation, Rebecca halète comme un petit chien, elle s’arrête, dos cambré, et gémit longuement, dans un chuchotement délicieux, tendue comme un arc.
– Ah ouiiiii aaah ouiiiii aaaaaah….. mmmm…. aaaaah……
Je me retiens d’éjaculer sur elle, je lâche ma queue – rougie par la pression de mes doigts – et la laisse battre dans le vide, au-dessus de Becky, magnifique dans son extase.
Elle se relâche, remonte le drap sur elle, tourne son visage souriant vers moi et murmure:
– Merci. C’était… nouveau.
Ses yeux descendent vers mon sexe nu, toujours tendu à l’horizontale. Elle tend sa main et le prend avec le bout de ses doigts.
– C’est dur comme du bois. Il dégonfle quand ?
Je suis étonné. Je pensais qu’elle savait ce genre de truc, quand même.
– Quand… Quand… Comme toi, quoi, quand j’aurai eu mon plaisir, ou quand je penserai à autre chose que toi toute nue.
– Oh.
Elle a l’air curieuse.
– Vas-y, fais-le. Devant moi.
Je suis sur le cul.
– Ça… Ça va pas ou quoi !?
Elle hausse les épaules.
– Je l’ai fait devant toi, moi.
Je rougis.
– Oui, mais tu t’es cachée, c’est pas pareil.
Elle ne se démonte pas.
– Bon, si tu le fais, le prochain coup je me cache pas, d’accord ?
Le prochain coup ? Elle veut recommencer ? Mes couilles protestent, j’ai trop mal, il faut que je me soulage.
– Ok. Tu enlèves le drap ?
Elle sourit. J’ai toujours sa culotte à la main, je me caresse la bite avec, juste sous mon gland. Elle baisse le drap jusqu’au haut de sa chatte, dont je peux voir quelques poils roux. Son corps luit de transpiration, ses petits seins sont rougis par le frottement de ses bras lors de la masturbation, elle s’est griffé le nombril, je m’astique sur la culotte sale en la contemplant, en imaginant sa bouche rose se fermer sur ma pine, sa langue me sucer longuement, ses jambes fines s’écarter pour laisser le passage à ma bite en feu… Elle me regarde avec curiosité, une de ses mains passe sous le drap, qui descend encore un peu, elle serre les jambes sur l’hymen délicat que je vois presque entier….
-Aaaaaah la vaaaaaaache….
Je viens en saccades puissantes sur la petite culotte, le sperme s’y accumule en gros bouillons gras, Becky se soulève pour mieux voir le liquide jaillir, je lui présente ma bite comme un spectacle, je viens et viens encore à une vingtaine de centimètre de son visage, de sa petite bouche en coeur et de ses nichons blancs tachetés de roux.
Les dernières gouttes coulent sur mes doigts, je me détends et sourit, béat.
Rebecca fait une grimace.
– C’est dégueu. Ça te fait du bien ?
Je hoche la tête.
– Merci.
Elle cache son corps fin sous le drap.
– De rien. Tu peux garder ma culotte.
Je comprends que le moment est passé, et que je dois la laisser. Je me rhabille, un peu honteux.
– Tu me diras quand… Tu sais, la prochaine fois…?
Elle acquiesce.
Je sors, mais elle me rappelle.
– Sean ? Finalement, laisse-moi la culotte.
Je la lui rapporte. Elle la prend, et la glisse sous le drap.
Elle me regarde intensément et me tend ses lèvres. Je me baisse et l’embrasse légèrement, gêné. Elle sent le muguet. Elle ne met pas la langue.
– Merci.
Je me redresse, lui caresse le visage et recule vers la porte. Je sors, referme derrière moi. Et regarde par le trou de la serrure. Elle regarde dans le vide, genoux remontés sous le menton. Elle frissonne. Et s’allonge, la culotte près de son nez, froissée dans sa main.
Je regagne ma chambre, pensif.
Y aura-t-il seulement une prochaine fois ?