Miss Camping – Chapitre 9
Jean me réveilla peu avant la séance de massage. Nous avions mangé en silence, une salade et deux sandwiches, accompagnés d’une bière fraîche, puis je m’étais allongée à l’ombre, à côté de la tente, légèrement cachée par les arbustes secs qui bordaient notre parcelle, mais suffisamment visible pour que les vacanciers qui passaient sur le chemin puissent me mater. Jean ne m’avait pas demandé de le sucer, après l’épisode de la douche, mais je ne savais pas si c’était parce qu’il ne pouvait plus bander après deux rapports sexuels dans la journée, ou parce que, techniquement, le gros José ne m’avait pas sautée. Un doigt dans le vagin, une branlette, une fellation et des bouillons de sperme rance avalés de force n’étaient pas de la baise à proprement parler. Ou peut-être était-il trop dégoûté pour vouloir que je le prenne en bouche… Il n’était pas au bout de ses peines, dans ce cas !
Je m’étais vite endormie, pendant que Jean faisait le tour du camping à la recherche d’un emplacement isolé pour notre tente – afin que je puisse y recevoir discrètement les messieurs et les demoiselles que j’inviterais à disposer de moi au calme.
Avant qu’il ne parte, il m’avait raconté que plusieurs campeurs l’avaient abordé, lui demandant pourquoi il se baladait à poil, et qu’il n’avait pas trop su répondre.
– Si on te pose la question, avais-je dit, tu répondras que tu es le mari de miss camping, et que tu partages sa nudité, parce que je ne veux pas être seule à me faire peloter par tout le monde. Tu leur diras – hommes ou femmes – qu’ils peuvent te toucher comme ils le souhaitent et que si tu n’obéis pas, ils n’ont qu’à me le dire, je ferai ma valise immédiatement. Et s’il y en a un qui t’encule dans une douche ouverte devant une dizaine de campeurs, tu auras une idée de comment je me suis sentie ce matin !
Il avait hoché la tête, docile, et était parti, cul nu, pine à l’air, dans son exploration du camping.
Je m’étirai, bien en vue, plus reposée que je ne l’aurais cru possible. Jean déplantait les sardines de la tente. Les sacs étaient déjà chargés dans le coffre de la voiture grand ouvert.
– J’ai trouvé un emplacement qui te conviendra, je pense. C’est le numéro 1. Il est en plein milieu du camping, le long du chemin qui mène à la plage, à côté de sanitaires.
Je ne comprenais pas comment la tente serait isolée dans ces conditions, mais je lui faisais confiance, il avait, lui aussi, toutes les raisons de s’abriter des regards. Je me montrai conciliante.
– Je vais au massage. Prends les sous, tu me montreras en chemin.
Nous arrivâmes vite à l’emplacement qu’il m’avait décrit. Effectivement, il était à peu près au centre du camping, tout proche du chemin de la plage et à dix mètres des douches. C’était une parcelle complètement invisible, entourée de grands thuyas, et ornée de deux oliviers énormes, qui prodiguaient une ombre bienvenue. On y entrait par une trouée dans les thuyas, mais en garant la voiture juste devant, les arbustes protègeraient totalement notre intimité.
– C’est parfait, dis-je sincèrement. Tu peux installer la tente, je te rejoins après la séance de massage – je serai peut-être accompagnée, ne sois pas étonné.
Il hocha la tête, et marcha à mes côtés, sans un mot de plus, jusqu’à la piscine.
Quelques femmes faisaient la queue, installées sur des bancs, près de deux grandes tentes blanches. Parmi elles, Laëtitia, Véronique, et, juste devant, Sarah, toujours aussi belle dans un paréo bleu nuit, qui discutait avec l’une des filles que j’avais vues aux lavabos, après que le gros porc se soit soulagé sur moi.
Sarah m’aperçut, elle sourit en scandant:
– Faites place à notre miss camping ! Viens, Coralie, à toi l’honneur du premier massage !
Je me frayai un chemin, seins hauts, démarche chaloupée, mes belles fesses – marquées des coups de cravache – attirant les regards curieux ou voyeurs des campeuses et de leur maris, mais ce fut ma minette rasée qui contribua certainement à l’effet enivrant que je provoquai sur mon passage. Quand je fus à hauteur de Laëtitia, qui me gratifia d’un « sale pute » très audible, je pus voir le regard intense de Véronique, auquel je répondis par un petit clin d’oeil mutin. Elle eut un sourire en coin, et mon ventre me chatouilla agréablement.
Sarah m’accueillit à bras ouvert, en me faisant deux bises légères.
– Ça n’a pas encore commencé, tu seras la première à te faire dorloter, je te conseille la tente de gauche, le gars qui y est entré est à croquer !
Un panneau à l’entrée indiquait que les scouts du coin massaient pour quinze euro la demi-heure, pour financer un voyage en faveur d’enfants d’une œuvre catholique. Au moins, je n’avais pas trop à m’inquiéter: un massage de scout catho, il y avait sans doute plus érotique…
Elle me fit une place à côté d’elle et me présenta à sa copine, Sylvie, enseignante, une jolie femme, la quarantaine, aux yeux très doux, sourire coquin avec la langue qui tâtait souvent ses dents, en un tic adorable. Je ne pus que remarquer ses petits seins ronds, un peu molassons, et ses fesses amples, rebondies mais pas grosses, dans un maillot de bain blanc très serré. Elle était gentille et agréable, et je passai ainsi les minutes avant 19h à discuter gaiement, oubliant ma nudité.
A l’heure dite, Sarah me fit une bise plus appuyée en me murmurant à l’oreille:
– Si tu le trouves à ton goût, goûte-le, surtout.
Elle me fit un petit clin d’oeil et me poussa à entrer dans la tente de massage.
Un jeune homme finissait de ranger ses crèmes et ses bouteilles d’huiles essentielles – cela sentait très bon déjà. Pour un scout, il était effectivement magnifique !
Il mesurait plus de 1m90, tout en longueur, une musculature très fine mais impressionnante, celle d’un nageur, ou d’un basketteur peut-être. Il portait un short rouge mi-long et un foulard de scout autour du cou.
Il s’aperçut de ma présence et sourit, intimidé par ma nudité.
– Bonjour… Euh… Vous n’êtes pas obligée de vous déshabiller totalement, vous savez…
Je lui expliquai rapidement l’histoire du concours des miss.
– Oh, je comprends.
Il ne semblait pas très à l’aise. Je m’allongeai sur la table, sur le ventre. Il vit les marques rouges sur mes fesses.
– J’ai un onguent pour ce type d’irritation. Ça chauffe un peu mais vous n’aurez plus rien au bout de quelques heures.
Je hochai la tête.
– Avec plaisir, alors. Tu m’en étaleras aussi sur les seins, j’ai quelques griffures très désagréables, et c’est une zone assez sensible chez moi… Fais-moi ce qui te paraît le mieux pour me détendre, je suis toute à toi.
Il sourit gentiment et posa ses mains sur mon dos. Et là, ce fut le choc: Ses mains étaient divines, elles m’électrisaient totalement ! Il parcourut mon dos, lentement, massant avec douceur. Mon rythme cardiaque s’accéléra, ma respiration se fit plus rapide, je me sentais mouiller comme une adolescente au printemps. J’essayai de me contrôler, j’avais eu plus de sexe dans cette seule journée qu’en un mois de temps avec Jean, question intensité, je ne pouvais tout de même pas avoir encore envie de me faire prendre ici !
Sans se rendre compte de rien, le scout masseur prit une pommade, s’en mît un peu sur les mains et l’appliqua sur mes fesses blessées. Je grimaçai. Il s’en aperçut et me dit doucement:
– La crème va vous brûler un instant, mais ça ne va pas durer.
Je fermai les yeux. Ses mains me malaxaient les fesses, et la sensation de chaleur s’estompa, pour laisser place à une fraîcheur réparatrice. Les caresses se firent plus prononcées, il s’attardait sur mon cul, ses pouces entrouvrant ma raie, ses mains continuant d’affoler mes sens. J’écartai un peu les jambes, l’incitant à laisser promener ses doigts un peu plus loin entre mes cuisses, consciente d’exposer mon petit trou à son regard.
Il me massa les jambes, les mollets, les pieds, et remonta vers mes fesses, mon dos, je m’abandonnai totalement, gémissant parfois, lorsque, passant sur mes omoplates, ses doigts effleuraient mes seins. Il passa sur le devant de la table, à hauteur de mon visage, pour me masser le cou. Je rouvris les yeux. Son sexe dépassait légèrement de son caleçon, un gland énorme, de la taille de mon poing. Mon ventre se tordit de désir en constatant la force de son érection.
– Je te plais ? demandai-je d’un ton léger. Si j’en juge par ton engin, je dirais que oui…
– Oh je suis désolé, dit-il d’un air gêné, je n’ai pas l’habitude de masser des filles nues… Et vous êtes très belle.
– Ce n’est rien. Tes mains sont merveilleuses, je me demande ce qu’elles me feraient dans des endroits plus intimes… Je peux te toucher pendant que tu me masses ?
Il déglutit. Je pris ça pour un ‘oui’. J’abaissai son caleçon, et libérai une bite énorme qui se déroula comme la trompe d’un éléphant. Je la pris à deux mains, mais sa verge était si longue qu’un bon morceau dépassait encore de celles-ci. Je le branlais lentement pendant que, penché sur moi, il me massait le bas du dos. Je l’attirai au bord de la table, et pris son gland dans ma bouche, ouvrant grand les mâchoires pour y parvenir sans qu’il sente mes dents… Ses mains malaxèrent mes fesses, j’écartai les jambes, et sentis ses doigts glisser vers ma chatte trempée, puis la pénétrer toujours avec douceur. Je soulevai les fesses pour m’empaler plus profond sur ses doigts et poussai sa longue bite au fond de ma gorge. Elle était trop grosse, mais je la dégustai réellement, au sens propre du mot, ressentant un plaisir indicible à sentir ce gros membre battre et glisser sur ma langue, taper sur ma gorge, essayant de se frayer un chemin dans ma trachée. Je libérai le sexe délicieux, crachait dessus un flot de salive et le happai à nouveau, mâchoire écartelée, langue enveloppante, toutes papilles dehors. Je ne pouvais pas en avaler plus de la moitié, mais je m’activai pour le branler en l’enfonçant le plus loin possible dans ma gorge. Ses doigts faisaient des merveilles dans ma chatte, je voulais qu’il me prenne et me mette son bâton de joie bien profondément dans mes entrailles, qu’il me lime avec ardeur, qu’il me fasse jouir comme jamais. Je crachais encore un flot de bave sur son sexe immense, et lui souris, haletante, titillant sous le méat avec le bout de ma langue.
– Je ne savais pas que les scouts avaient des bites aussi grosses ! Tu as beaucoup de copains à me présenter ?
Il m’embrassa. Puis Je le repris dans ma bouche, en un baiser passionné. Il hésita et chuchota, excité:
– On est une vingtaine dans ma patrouille…
Je ris en le libérant lentement, évacuant la salive en bavant sur son gland gonflé.
– Baise-moi, déjà, on verra plus tard pour les autres !
Je m’allongeai sur le dos, jambes écartées, chatte ouverte, offerte, abandonnée. Il se mit un peu de crème sur les doigts et malaxa mes seins griffés, qui paraissaient minuscules dans ses grandes mains, en frottant son membre sur ma fente rasée et mouillée, écartant les lèvres, s’humectant de mon jus généreux. C’était divin. Je pensai à Laëtitia et eut une idée démoniaque. Mes seins brûlèrent sous la crème, puis se rafraîchirent, me procurant une sensation très intense, qui se répercuta dans tout mon corps, mon clitoris battant au rythme de mon cœur emballé. Il me fallait ce sexe dans ma chatte, vite !
– Viens !
Je saisis son membre à deux mains et le plantait en moi, en gémissant de bonheur. Je sentis l’énorme engin pénétrer au plus profond dans la chaleur moite de ma minette, puis ressortir presque entier, avant de revenir, puissant et doux à la fois, dans une extase jouissive, je mouillai comme lors de ma première fois. Je lui attrapai les fesses et le tirai en moi, contemplant son corps musculeux, ses traits fins, je le baisais, je le sautais, je m’en servais comme d’un gode vivant, accueillant sa bite divine au fin fond de mon corps, minou déchiré mais affamé.
Je me masturbai, ma main tournoyant sur mon sexe rasé, tandis qu’il me prenait par les hanches et m’empalait, me transperçait, me libérait et m’empalait encore sur son membre énorme dans un va-et-vient bestial et joyeux.
– Viens dans ma bouche, je veux te boire tout entier.
Il sourit, accéléra la cadence dans ma chatte, sortit tout entier et, bite à la main, vint vers mon visage. J’ouvris la bouche en grand et accueillis les jets chauds et odorants sur ma langue, avalant de grosses gorgées crémeuses, gluantes, au rythme de son éjaculation bouillonnante et interminable. Pas de haut-le-coeur cette fois, je buvais son nectar comme un bon vin, me délectant de la moindre goutte, essayant d’en extraire davantage en pressant son sexe entre mes doigts et en le branlant sans répit. Je le suçai encore longtemps après le dernier jet, la dernière gorgée, satisfaite et heureuse, jambes écartées, tandis qu’il me masturbait lentement, tout à son plaisir, à son désir étanché. Je le serrai dans mes bras, pressant mes seins contre son corps musculeux.
– C’était magique.
– Pour moi aussi.
Je pensais un instant à ce que j’allais dire, comment j’allais amener mon idée, et je me lançai, en jouant encore avec son sexe incroyable.
– J’ai un marché à te proposer. Si tu me rends un petit service, tu pourras m’avoir tous les jours si tu le veux.
Il hocha la tête, impatient.
– Quel service ?
– Il y a une nana dehors, brune-rousse, la quarantaine, jolis seins, taches de rousseur.
Il entrouvrit la tente et jeta un oeil.
– Je la vois.
– Elle s’appelle Laetitia, et je voudrais que tu lui fasses dix séances de massage. Tu lui dis que je lui offre pour me faire pardonner.
Il parut étonné.
– C’est tout ?
– Non. Je voudrais que tu la séduises, avec ton beau corps et tes mains merveilleuses, et que tu lui fasses l’amour. Et que tu en aies une preuve, photo ou film. Elle a un film sur moi et m’a violentée, je veux me venger. Avoir un moyen de pression sur elle.
– Je peux faire ça. Mon téléphone permet de filmer, ça peut faciliter les choses.
Je jubilai.
– Si tu essayes, tu me montres les films chaque jour. En échange, tu peux me prendre où tu veux, quand tu veux, à toute heure du jour ou de la nuit. Je suis à l’emplacement numéro 1 pendant encore trois semaines et je serai heureuse de te retrouver !
Il semblait tout excité.
– Si tu arrives à la baiser, et à avoir le film, je t’offrirai mon petit trou. Une belle sodomie, tu pourras me mettre ta bite entière dans l’anus, et me fourrer jusqu’à ce que tu aies la trique qui fume !
Il déglutit. Aux anges. Je ne savais pas comment je pourrais me faire prendre par une aussi grosse et longue tige, mais je le ferais.
Il réfléchit un instant, et me dit:
– Je suis d’accord, mais je voudrais que tu acceptes aussi de t’occuper de mes copains de la patrouille.
Mon cœur manqua un battement. Vingt mecs ! Il eut un regard d’excuse et expliqua:
– Beaucoup sont encore puceaux, ce serait vraiment sympa…
– Je…
Vingt mecs ! Je pensai à Laetitia, à la cravache, au concours des miss, à Jean, au gros porc, à ma vengeance. Vingt mecs !
– Ils sont majeurs ?
– Si tu veux vraiment savoir, je ne le suis que depuis dix jours…..
Je tressaillais. t:
– Mais… Tu n’es pas obligée, tu sais. J’accepte le marché tel quel: toi à n’importe quel moment, où et quand je veux, et, si j’y arrive, tu m’offres ton… cul. C’est déjà génial pour moi !
Je ne répondais toujours pas. Il était à peine majeur, avec ce corps, ces muscles, cette bite formidable… Et il voulait que je me tape ses copains, vingt mecs…! Mais en même temps, il n’en faisait pas une condition, et ma minette en avait vu d’autres depuis quelques jours.
J’hésitai.
– Pour tes copains, je vais réfléchir. Si j’accepte, ce ne sera pas les vingt en même temps, en tout cas. Et aucun ne me la mettra dans le cul. Toi seulement. Ok ?
Il exultait.
– Oui, tout ce que tu veux.
– Et aucun de moins de 18 ans.
– Ok.
– C’est important. A cet âge ils sont capables de comprendre ce qu’ils vont faire… C’est à cet âge que j’ai eu mon premier rapport, et je savais très bien ce que ça impliquait…
– ok, ok, tout ce que tu voudras, vraiment.
Il m’embrassa.
– Je m’appelle Loïc, au fait. Et toi ?
On avait baisé comme des bêtes sans même connaître nos prénoms !
– Coralie. Enchantée. Je me mis à genoux, fis un dernier baiser sur son sexe et remontait son caleçon. Rappelle-toi: je veux voir les films, même s’il ne se passe rien, et que tu me racontes tout !
Il me sourit, me passa la main sur les seins, et m’attira à lui en me prenant par les fesses.
– Emplacement numéro 1 et sodomie, je n’oublierai pas.
Je sortis de la tente, un peu désorientée, une douce torpeur dans tout le corps. Sarah m’attendait.
Elle marcha à mes côtés tandis que Laëtitia entrait dans la tente de Loïc. Mon cœur battait dans mon ventre…
– Je me suis fait masser dans l’autre tente, expliqua-t-elle. Approche.
J’obéis. Elle me montra une goutte blanchâtre sur sa langue, et m’embrassa. Je lui rendis son baiser léger et goûtai le sperme qu’elle m’avait gardé sous sa langue.
Je lui souris en disant:
– J’ai été plus gourmande que toi, avec mon scout… J’ai tout avalé…!
Elle rit de bon cœur et m’accompagna un moment, en discutant gaiement, me racontant par le menu ce qu’elle avait fait avec son scout, un blond aux yeux bleus qui avait bandé hors de son caleçon dès qu’elle avait ôté son paréo, et s’était retrouvée nue devant lui. Il ne s’était pas fait prier pour que le massage devienne plus intime !
– En parlant de ça, me dit-elle, comment ça se fait que ton mari se promène le zguègue à l’air ?
J’éclatai de rire et lui expliquai.
– Il a accepté ? Il est plus ouvert qu’il n’en a l’air… Ça ne t’embête pas si je viens le titiller un peu ?
– Pas du tout ! On arrive à mon nouvel emplacement, viens avec moi !
Nous passâmes l’entrée de thuyas et constatâmes que Jean n’était pas seul à monter la tente. Un campeur le matait à poil, son sexe en érection dans sa main…