Miss Camping – Chapitre 6
(suite de miss camping – Véronique a surpris Coralie qui dépucelait son frère Axel et son petit ami Michael. Elle a fermé la porte du mobil-home après avoir envoyé Axel tout raconter à sa mère .)
Elle fixa Michael d’un œil mauvais.
– Toi, mon salaud, tu t’assieds sur ce tabouret et tu ne bouges pas !
– Mais Véro, laisse-moi au moins…
– Tais-toi ! (elle se tourne vers moi en pointant Jean du doigt) C’est votre mari ?
Je hochai la tête, l’air innocent, en portant mes doigts plein de sperme à la bouche, puis en les léchant un à un. J’essayais d’en faire sortir un maximum de mon anus dégoulinant et trouvais amusant de jouer le jeu de la salope ingénue, contente de boire du sperme d’où qu’il sorte – bien que le goût un peu fort de la semence qui me venait aux narines n’avait rien d’agréable.
Elle plissa les yeux et poussa Jean sur l’autre tabouret.
– Très bien ! dit-elle. Vous avez baisé mon mec devant le vôtre, je vais baiser le vôtre devant le mien !
Michael, la queue encore pendante, gémit de désespoir et je la regardai en introduisant mon majeur au bord de mon petit trou, raclant la moiteur du sperme de son mec en affectant un détachement étudié. Jean n’était plus rien pour moi – du moins essayais-je de m’en convaincre – et si Laëtitia arrivait et trouvait sa fille qui baisait en public, devant celle qu’elle venait d’humilier, qui plus est, tout serait encore plus délicieux !
Véronique ondula lascivement des hanches, la main dans sa culotte, devant les yeux horrifiés de Michael, qui avait sans doute espéré qu’elle perdrait sa virginité avec lui…
Elle avait un corps taille mannequin, petite blondinette aux hanches fines qui s’ouvraient sur un superbe cul, ferme et ample dans son maillot de bain échancré. Elle ôta son bikini, révélant deux beaux seins bronzés aux mamelons minuscules, frottant son cul sur le caleçon de Jean, qui n’osait pas me regarder.
La blondinette tira les ficelles de son bas de maillot et l’enleva, écartant les jambes, un air de défi dans les yeux.
Son sexe était totalement et parfaitement rasé, ses lèvres délicates, un peu molles, son clitoris bien visible, érigé bien au dessus de son vagin humide. Elle était très appétissante, et je me surpris à mouiller en la regardant se dandiner de droite à gauche, s’arc-boutant sur le chibre de mon mari. Je ne sais pas ce qui me prit, mais j’avançai la main et caressai l’abricot délicat. Elle eut un mouvement de recul et je pus voir la bite de Jean, sous elle, qui dépassait de son caleçon et frottait les superbes fesses de l’adolescente.
– Ne me touche pas, salope !
Je retirai ma main et me dirigeai vers Michael à quatre pattes, fesses en l’air, nichons pendouillant, frottant l’un contre l’autre à chaque pas.
– Très bien, dis-je, mais si tu veux faire tout ce que j’ai fait à ton copain, il va falloir t’accrocher… J’ai d’abord pris son beau sexe fin dans ma bouche. Sa pine est plus grosse que celle de ton frère, et bien plus nerveuse…
Je me plaçai derrière Michael, à genoux, mes seins contre son dos, et lui caressai les épaules, le torse et le bas-ventre, j’embrassai son dos et y frottai mon visage, mes seins, mon ventre. Sa main descendit discrètement vers ma chatte. Je me laissai faire.
La petite se retourna, s’agenouilla et attrapa la bite de Jean avec ses lèvres roses, enfonça le membre dans sa bouche et commença un mouvement de va-et-vient en poussant des petits gémissements de dégout. Ses lèvres s’écartaient en rythme, la langue apparaissant parfois, faisant le tour du gland gonflé. Les dents de perles de la gamine mordillaient de temps-à-autre la pine, Jean fermait les yeux, grimaçant quand elle le mordait de manière trop appuyée. Il attrapa la tête de Véronique entre ses mains et appuya sur sa nuque, forçant la jeune blonde à l’avaler tout entier. La petite lutta un moment, puis ouvrit sa gorge, happant la verge jusqu’à la garde, avant de la libérer, langue dehors, et de s’attarder sur le gland gonflé de plaisir. Jean ne la laissa pas respirer. Il lui baisa la gorge à plusieurs reprises, ne tenant pas compte des petits cris de panique de l’adolescente qui protestait en bavant sur la pine des flots de salive à chaque fois qu’il la libérait, avant de lui pénétrer la bouche, de la lui baiser en soufflant comme un bœuf. La petite se masturbait, pétrissant ses lèvres délicates, enfonçant ses doigts dans son jus intime, gémissant parfois de désespoir, parfois de plaisir.
Je pris le sexe de Michael entre mes doigts, quand elle se retourna pour me regarder, l’air vengeur, branlant la queue inondée de salive blanchâtre de Jean à pleines mains.
– Tu vois, me dit-elle d’un air moqueur, comme ton mec aime que je le suce, espèce de poufiasse !
– Oui, je dois dire que tu l’as sucé bien mieux que je n’ai sucé ton copain… Mais pour me rattraper, je lui ai demandé de me mettre sa petite queue dure bien au fond du vagin, mais avec douceur… je ne voulais pas qu’il éjacule en moi avant que je n’aie pris largement mon quota de coups de pine…
Jean, Véronique et Michael gémirent tous les trois, mais pas pour les mêmes raisons. Jean, parce que je me montrais parfaitement capable d’être la pute qu’il voulait que je devienne, mais pas avec lui. Véronique, parce qu’elle allait devoir offrir sa virginité à un homme qu’elle ne connaissait pas et n’aimait pas. Et Michael parce qu’il allait voir sa nana se faire déflorer par un inconnu sans pouvoir rien y faire.
L’adolescente se releva, se tourna vers moi, ses seins ronds pointant vers le ciel, comme deux seins de nonne.
– Si tu as bien baisé mon mec, ce n’est rien à côté de ce que va vivre le tien avec moi, sale pute. Regarde mon corps de déesse. Tous les hommes rêvent de me mettre dans leur lit depuis que mes seins ont poussé – et ton mari sera le premier à me baiser !
Elle enfourcha Jean et glissa la grosse bite dans sa fente bien humide. Je m’approchai à nouveau, tout près d’elle et dut admettre qu’elle ne se vantait pas : elle était vraiment taillée comme une déesse. Elle ferma les yeux, et guida la verge enduite de salive dans son abricot rasé.. J’en profitai pour ouvrir le verrou du mobil-home discrètement et la regarder perdre sa virginité. Un filet de sang abondant goutta sur le lino de Laetitia. Je souris intérieurement en imaginant Laëtitia en string rouge et seins nus frottant le sol souillé en pestant contre miss camping… Je lui avais pris l’innocence de son fils et de sa fille, ce qui valait toutes les vengeances du monde !
J’empaumai tendrement un des seins de la blondinette dans ma main, tâtant sa douce texture, sa fermeté et, sentant une chaleur curieuse dans mon bas-ventre, j’approchai mes lèvres des siennes. Elle accepta mon baiser en couinant. Jean la fourrageait avec douceur, ses mains la caressant partout, avec une préférence pour ses hanches fines et son cul magnifique. Il la soulevait, écartant la chatte rasée avec ses doigts, et s’enfonçait en elle, en un râle satisfait. Il la reluquait, les yeux sur son cul doré, sur son ventre plat, son sexe nu, ses épaules parfaites. Il l’embrassait dans le cou, et la respirait tout entière. Sa bite avait la taille et la force des bons jours, et la pénétrait avec ardeur.
Elle finit par repousser mon baiser, à regret.
– Ne me touche pas ! répéta-t-elle d’un ton incertain. tu es une pute et je vais faire hurler ton mari de plaisir !
Elle joignit le geste à la parole, sautant littéralement sur le membre excité, le montant comme un cheval au galop, en gémissant un peu plus fort chaque fois que Jean l’accompagnait de ses coups de reins de plus en plus fermes, de ses coups de bite de plus en plus violents, pénétrant la minette inexpérimentée le plus loin possible.
Michael se masturbait en nous regardant, l’air à la fois désolé et excité. Je revins vers lui, et guidai sa main libre vers mes seins généreux. J’attendis que l’adolescente me défie à nouveau du regard, empalée sur mon mari, sexe écartelé bien visible pour son petit copain, qui me touchait à nouveau le minou par derrière, discrètement, un doigt plongé dans mon vagin crémeux.
Elle cria :
– Le spectacle te plaît, espèce de trainée ?
– Plus que tu ne le crois, belle blondinette… mais pourras-tu aller jusqu’au bout ? Parce que j’ai aussi demandé a Michael de me sodomiser… J’ai eu trois ou quatre beaux mecs qui m’ont prise par derrière depuis que je suis miss camping, tu sais, on y trouve du plaisir quand la pine est bien dure. Il n’a pas résisté à ma demande, je dois dire, il m’a enfoncé sa trique dans le cul en pleurant de joie, le petit. Encore une virginité à perdre pour toi aujourd’hui…
L’adolescente pâlit. Jean aussi. Je l’avais rarement vu aussi choqué.
Véronique regarda Michael d’un air incrédule.
– Tu as fait ÇA !!!?
Le pauvre déglutit en hochant piteusement la tête. Je m’assis sur lui, plaçant son sexe sous moi, le frottant tendrement contre ma chatte toujours collante et humide. Il s’accrocha a mes seins généreux, tout honteux.
Véronique se souleva pour dégager la verge de Jean de son abricot rasé et la plaça à l’entrée de son beau cul bronzé.
– Eh bien s’il faut qu’il m’encule, il m’enculera !
Elle força l’anus à s’ouvrir, s’y reprenant à plusieurs fois, en haletant et couinant de douleur. Jean lui écartait les fesses pour l’aider, osant à peine respirer. Je lâchai la bite de Michael et me relevai lentement. Je m’approchai de la belle, et vins enduire de salive le petit trou étroit et la pine au garde-à-vous, en crachant sur le petit cul rond. La pastille céda d’un coup, la blondinette s’empala en hurlant, visage et tétons pointant vers le ciel, implorants.
Elle entama son va-et-vient douloureux, bras à mi-chemin entre le ciel et la terre, yeux fermés. Je l’embrassai langoureusement, elle me rendit mon baiser sauvagement.
– C’est ça, embrasse-moi, petite fille, mange ma langue et mes lèvres pendant que tu te fais prendre, ça va t’aider…
Je caressai sa chatte toute ouverte, m’attardant sur son clitoris dressé tout en l’embrassant goulûment. Cette petite blondinette allumait un feu en moi qui n’avait plus rien à voir avec ma vengeance sur Laetitia. Jean se cambra, pour l’enculer plus profond, tandis qu’elle hésitait entre la fuite et le besoin de sentir la trique se frayer un chemin dans ses boyaux vierges.
– Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te goûter, moi aussi…
Je m’agenouillai et commençai à la lécher, profitant de chaque coup de langue pour admirer ses lèvres écartées au goût de pêche et observer la bite qui l’empalait, sans concession, dans des mouvements de plus en plus durs, au fur et à mesure que l’excitation de Jean montait. Je sentis Michael venir derrière moi et glisser sa verge molle dans mon fruit intime. Je l’aidai, avec douceur, et fermai les yeux, savourant le bonheur de l’instant. Je n’avais jamais sucé de femme de ma vie, ni ressenti une telle attirance. Chacun de mes coups de langue sur le clitoris délicat, sur les petites lèvres trempées, sur le périnée déchiré par le chibre avide qui pénétrait les entrailles de l’adolescente, des éclairs et des vagues de cyprine me chatouillaient la chatte, dans laquelle Michael s’affairait, accélérant le rythme en matant sa petite copine se faire sodomiser. Véronique se tenait les seins, me caressait les cheveux en alternant les « oui, oui » et les « non, non », elle secouait la tête, gémissait, me prenait dans ses bras, m’embrassait le cou, les lèvres, la langue. Je mis mes doigts dans son bel abricot ouvert et la suçai encore et encore, la sentant s’abandonner enfin.
Tout arriva très vite.
La porte s’ouvrir d’un coup, Laetitia entra en hurlant.
– Que faites-vous ICI !?
Véronique dégagea la bite de Jean de son cul, Jean commença a éjaculer, je l’attrapai entre mes dents et lui mordit très fort le bout de son gland tandis qu’il venait dans ma bouche en criant de douleur .
– Maman ?
Véronique, chatte écartée, cul dégoulinant de sperme, avait un regard horrifié.
Michael enfonça sa pine en moi, grappillant sa dernière chance de venir avant la tempête, et jouit en saccades brûlantes…