Miss Camping – Chapitre 21
Je sortis de la cabine en titubant, chaussures aux pieds, nuisette transparente tachée de sperme, soutif en dentelle et string bien visibles dessous.
Je traversai les rayons, regardant droit devant moi, honteuse. Les gens s’arrêtaient sur mon passage, choqués. Je sentais leurs regards horrifiés, indignés. Je marchai vers les caisses, sans dévier mon regard, en essayant de ne pas penser à mes tétons qui dépassaient du soutien-gorge, à mon cul magnifié par l’échancrure du string, et à la nuisette gorgée de jute qui indiquait aux clients du magasin qu’ils avaient bien affaire à une trainée. Le billet dans ma main n’arrangeait rien, de ce point de vue.
A la caisse, les gens s’écartèrent, et me laissèrent passer. Mes lèvres tremblaient. J’ôtai la nuisette, le soutif et la culotte, et nue devant tous, je les tendis à la jeune caissière qui me dévisageait, éberluée. Des chuchotements se firent entendre autour de moi.
– Regarde, elle est à poil !
– C’est une pute, tu crois ?
– Putain, les seins qu’elle a !
– Tu crois que c’est la nouvelle tenue des caissières ?
Quelques rires éclatèrent. Je me mordis la lèvre, au supplice.
– Héé, je la reconnais, c’est une des miss camping !
– Elle se fait sauter ici aussi ?
Je fermai les yeux un instant, la tête me tournait.
– Dépêchez-vous, je vous en prie !, dis-je à la caissière.
Elle sursauta, sortant de sa transe, et prit la nuisette par un des côtés souillés. Elle fit une grimace en touchant le sperme froid qui colla à ses doigts, et s’essuya la main sur un chiffon. Elle me jeta un regard dégoûté. Elle scanna les articles un à un et ôta les antivols.
– 47 euros, s’il-vous-plaît.
Je tendis le billet, sans un mot, trop consciente de la façon dont le geste avait mis mes seins en valeur, et je me rhabillai dans la petite tenue, qui bien que avilissante, était préférable à la nudité complète dans un lieu public. Elle encaissa, et me rendit la monnaie. Je me remis à marcher, regardant droit devant moi, essayant de lutter contre les larmes de honte qui me montaient aux yeux. Les gens se retournaient sur mon passage, silencieux. Certains hommes avaient les yeux rieurs, je me demandai s’ils avaient profité de mes charmes dans la cabine d’essayage. La honte me submergeait.
Avant de sortir du supermarché, quelqu’un me passa le bras autour des épaules, je sursautai. Ce n’était que Vincent, tout sourire.
– Allez, Coralie, viens dans la voiture, on y attendra Sarah et Jean.
Je hochai la tête sans répondre et le suivis.
– Il n’a pas été très gentil avec toi… c’était drôle de voir la tête des clients quand tu t’es mise à poil devant la caissière, oh, et la tronche qu’elle a tirée !
Il rit et m’ouvrit la portière. Je m’engouffrai dans le véhicule, soulagée, honteuse et furieuse.
– Allez, quoi, c’est de ma faute, Coralie, ne fais pas cette tête. C’est pas comme si tu ne faisais pas ça tous les jours en ce moment… Tu as une vie passionnante, non ?
Je serrai les poings et luttai encore contre les larmes, toujours silencieuse.
Il se pencha vers moi et m’embrassa sur les lèvres, tendrement. Ses mains vinrent me caresser les seins sous la nuisette, et sa bouche s’égara sur le lobe de mes oreilles, sur mon menton, dans mon cou. Ses lèvres chaudes et empressées me firent du bien, ses doigts, qui me titillaient les mamelons et les tétons, savaient comment faire plaisir, je me laissai faire en fermant les yeux. Je répondis à son baiser et écartai légèrement les cuisses quand sa main approcha de mon bas-ventre.
C’est ainsi que nous trouvèrent Jean et Sarah quand ils revinrent à la voiture, échangeant un baiser interminable, ma main sur sa bite, la sienne me doigtant activement sous le string. Ils montèrent sans nous déranger, Jean pestant dans sa barbe, et, le temps d’arriver au camping, j’étais à nouveau nue en train de sucer la queue de Vincent qui jouit dans ma bouche avant même que la voiture ne soit garée.
J’avalai le sperme, embrassai mon amant avec tristesse, mais sincérité, et sortis du véhicule, nue sous le soleil, bien déterminée à faire la gueule à Jean très longtemps.***Je parcourus le camping, sans but, sans répondre aux sollicitations des campeurs qui me saluaient ou m’interpelaient.
– Bonjour, Coralie ! Tu me suces à quelle heure, aujourd’hui ?
– Tu viens à la soirée mousse ce soir? Je te ferai mousser !
Un soirée mousse ? Je hochai la tête. J’avais toujours adoré ça… ça pouvait être amusant. J’irai. Je demanderai à Sylvie et Sarah de m’accompagner, et peut-être à Véronique…
– Hé Coralie !
Je me retournai en reconnaissant la voix de Loïc. Il me posa un baiser discret sur les lèvres.
– Je te cherche depuis une heure ! ça y est !
Je fronçai les sourcils.
– ça y est quoi ?
– Laëtitia ! Elle m’a chopé dans les douches, et m’a sauté dessus !
Mon coeur bondit dans ma poitrine. Il brandissait son téléphone portable comme un trophée.
– Dans la douche ? Mais… tu as pu filmer ? Comment ?
– Le plus simplement du monde: j’ai demandé ! Viens !
Il me prit par la main, et me mena dans un coin du camping que je ne connaissais pas, bordé de plusieurs tentes marabout, des espèces d’immenses auvents pouvant héberger une dizaine de lits. Elles formaient un cercle grossier, au milieu duquel se trouvaient des tables en bois et des chaises, où nous nous assîmes. Il n’y avait personne d’autre que nous.
Il sortit son téléphone, plaça la vidéo et me dit:
– J’allais entrer dans la douche et avant que je ne ferme la porte, Laëtitia est entrée. Elle m’a embrassé en me disant « C’est maintenant que tu me baises, beau brun. » Elle avait l’air d’une chatte sauvage ! Elle a mis mes mains sur ses seins et a chopé mon sexe. Là, je prends mon téléphone, je lui dis « Je peux filmer ? », elle me répond « Tu te branleras en regardant, hein, coquin, vas-y, mais tu ne filmes pas mon visage. » « Okay », je dis et…
J’appuyai sur « play ».
Laëtitia, en gros plan, souriait, plein visage, puis zoom sur ses seins et sur ses mains qui branlaient Loïc.
– Viens, petit scout, baise-moi.
– Vous… vous me sucez un peu ?
– Pas question, beau scout, la dernière fois tu es venu dans ma bouche, là, je veux que tu me prennes, je rêve de ta queue jour et nuit depuis que tu m’as massé la première fois, viens-là !
Elle se plaqua contre le carrelage de la douche et attira Loïc en le tirant par la bite et en écartant les cuisses.
– Ouh, elle est énorme… viens…
Elle la fourra entre les lèvres de sa chatte et poussa sur la queue, forçant l’énorme engin à la pénétrer durement. La scène se fit confuse, je devinai que Loïc avait dû la soulever et la baisait contre le mur.
– Ouh, je la sens, je la sens, c’est gros, c’est bon, ça… mmmh… ouiiii….
Il arriva à filmer le baiser échangé, les longs cheveux de la belle brune tombant en cascade sur ses épaules, les seins, pas très gros et dressés, le cul écrasé contre le carrelage, les gémissements étouffés.
– Derrière, derrière, prends-moi !
La scène changea, mieux cadrée, Laëtitia présentait son cul à Loïc, comme une chienne attendant son mâle, à genoux sur le bac receveur de la douche, la tête tordue contre le mur. Loïc frottait sa bite entre les lobes, poussait sur l’anus, mais Laëtitia se tendit.
– Pas là, beau brun, plus bas. Les doigts, si tu veux, mais pas plus.
Il appuya son gland sur la pastille, qui s’ouvrait lentement sous la pression. Que son sexe était beau, ainsi magnifié…
– La prochaine fois ?
– Ouh… je ne sais pas, on verra, viens en bas, vite !
Loïc obéit, trempant son engin dans le minou trempé, Laëtitia se mit à gémir en chuchotant, extatique, tandis que le scout lui enfonçait l’index et le majeur dans son petit trou, doucement, d’abord, puis profondément.
– Oh, mmmh, oh, mmmh, vas-y, vas-y, oui, mmmh, oh !
Loïc filmait la femme qui me terrifiait tant, ma supérieure, ma chef, en train de se faire niquer dans les douches, tête écrasée contre le mur, corps tordu, et je ris en sentant les baisers du scout sur mes épaules pendant que je visionnais ce film qui serait l’arme de ma vengeance ! Il mit ma main sur son sexe en érection, sous la table. Je savais que j’allais y passer, que la sodomie XXl était pour maintenant, mais cette perspective m’émoustillait plus qu’elle ne me faisait peur ! Je le branlai doucement, heureuse. Laëtitia arrivait à la jouissance suprême.
– Ah ! C’est ça ! Je… aaaaaaaah…. ouiiiiiiii.
Loïc ralentit son rythme, sortit sa bite de la chatte, et l’approcha de la bouche de Laëtitia, qui avait oublié le portable qui la filmait. Elle le suça avec ardeur, toujours plaquée au mur, les doigts du scouts fourrageant toujours son anus tendre. Loïc jouit dans la bouche parfaite, qu’on devinait se remplir de crème onctueuse et abondante. Laëtitia avala la pine jusqu’au fond de sa gorge – mais elle n’allait pas aussi loin que moi -et but le jus précieux à la source, une lueur presque folle dans les yeux. Le sexe de Loïc sortit longuement de la gueule de la chatte en chaleur, il filmait maintenant les seins gonflés et la chatte éclatée, puis le film cessa.
Je me tournai vers Loïc et l’embrassai à pleine bouche.
– Merci ! Tu viens me mettre ça sur mon ordinateur tout de suite !
Il me sourit.
– D’abord ma récompense… non ?
Je l’embrassai à nouveau. Il me caressait les seins. Ses mains avaient cet effet divin sur moi, je me sentis fondre.
– Ici ? Tout de suite ? Tu ne préfères pas qu’on aille dans un endroit tranquille, plutôt ?
– Ici, tout de suite. Monte sur la table, si tu veux bien.
Je haussai les sourcils.
– Sur la table ? Au milieu des tentes ? Mais… si tes amis arrivent ?
– Monte.
Quelque chose pétillait dans son regard, un plaisir supplémentaire. Il espérait que ses potes le verraient ainsi ? L’idée ne me dérangeait pas, finalement. Je grimpai sur la table, et m’installai à quatre pattes, le cul en l’air, bien en vue devant le scout, qui dit tout haut:
– Vous pouvez venir, maintenant.
Une vingtaine de garçons sortirent des tentes, timidement, les yeux rivés sur mes formes généreuses.
– Loïc ? Qu’est-ce que…
– Ne t’inquiète pas, ils ne veulent que regarder – je le leur ai promis. Je leur parle de nos séances de baise depuis le début, tu es leur héroïne, leur déesse ! Il peuvent regarder ?
Je haussai les épaules, mais mon bas-ventre se tendit de plaisir par anticipation. Oui, ça m’excitait !
Il se mit derrière-moi et humecta son sexe sur ma vulve, en me caressant les fesses de ses grandes mains.
– Mais si tu veux profiter de certains pendant que tu me donnes ma récompense, fais-leur signe, ils sont tous fous de toi…
Il introduisit sa bite dans ma chatte. Je gémis de plaisir. Tous ces jeunes hommes qui me regardaient décuplaient mes sensations. Loïc entama un lent va-et-vient dans mon ventre, appliquant toujours ses grandes mains sur mon cul et sur mon dos, se penchant parfois pour aller jusqu’à mes seins, me prenant toujours plus lentement, toujours plus profondément, je me cabrai et me cambrai pour l’accompagner dans son plaisir. Les garçons gardaient leurs distance, bites à l’air, tendues, se masturbant en me matant, les yeux sur mes nichons, ma croupe, sur la pine de Loïc qui entrait et sortait de ma petite chatte fragile.
– Allez, me chuchota Loïc en me massant les seins à pleines mains, vas-y, tu peux sucer celui que tu veux, fais-moi plaisir…
Je commençai à regarder les jeunes de plus près, et en trouvai quelques-uns à mon goût… je hochai la tête, langue sortie, et fis signe à un blondinet bien fait, au sexe long et rose, d’approcher.
– Viens…
Il acquiesça et me rejoignit, présentant sa pine toute gonflée juste devant ma bouche. Je lui léchai le gland, sans le prendre en bouche, multipliant les petits coups de langue coquin. Son sexe était salé et réactif, je me régalai. Loïc grogna et accéléra le rythme dans ma minette, je glissai une main sous moi et calai mes doigts sur mon petit bouton, que je titillai avec force. Des éclairs me parcoururent le corps. C’était le moment pour la sodomie, je le sentais clairement.
– Maintenant, Loïc ! Prends ta récompense !
Ses mains me massèrent des épaules jusqu’aux fesses, qu’il écarta délicatement, et je sentis ses pouces se glisser sur ma rondelle tendre. Je fis signe à un autre des mateurs d’approcher, un scout trapu, brun et poilu, qui me fixait avec une intensité incroyable. Je branlai le blond d’un côté, et gobai le sexe épais du brun, qui geignit de soulagement. Les doigts de Loïc explorèrent mon anus, le modelèrent, l’écartèrent, l’étirèrent, m’inondant d’un torrent de sensation se mêlant à son sexe dans ma chatte, et aux caresses insistantes des deux scouts que je suçais, qui tâtaient mes nichons, fourrageaient dans mes cheveux, frôlaient mon visage, mon cou, mes épaules. Une explosion de plaisir résonnait en moi, une ode au plaisir, je me nourrissais de tous ces jeunes gens, de leurs bites, de leurs odeurs, de leur transpiration,.Loïc sortit son long sexe de ma minette, et la pressa doucement sur ma pastille, qu’il agrandit par de lents mouvements circulaires, et qui céda soudain, engloutissant le gland dans un bruit de succion étonnant. Je gémis de douleur et de plaisir, et poussai sur mon cul pour l’aider à me pénétrer plus avant. Je redoublai d’attentions pour le petit brun dans ma bouche, et n’oubliai pas le blondinet, que je branlai et suçai avec ardeur quand je le gobai à son tour.
Loïc commença à aller et venir dans mes boyaux, je m’aplatis sur la table, cul en l’air, et continuai de sucer tour à tour les deux jeunes glands qui se présentaient à tour de rôle devant mon nez, en me frottant le petit bourgeon sous moi, étonnée de l’intensité du plaisir qui ne décroissait pas dans tout mon corps. Le blondinet éjacula sur mon nez, je l’accompagnai de coups de langues experts, et aspirai sa jute claire. Il s’écarta, et avant de reprendre le trapu en bouche, je dis à Loïc:
– Aaaah… oh…Choisis-en… mmmh….un autre pour mmmmoi !…
Mon scout ne ralentit pas, en criant:
– Thomas !
Le Thomas en question était un beau garçon aux yeux très bleu, et semblait tout timide en me donnant sa bite à sucer. Je le happai sans me poser de question, et sentis à peine sa semence quand il jouit une minute plus tard, réagissant trop sensiblement à l’aspiration prolongée dont je le faisais bénéficier. Loïc n’attendit pas pour appeler un de ses amis à venir me remplir la bouche. Il continuait à me gamahucher délicieusement pendant que je m’arrachais le bourgeon, goûtant chaque onde de plaisir avec un bonheur féroce. Son énorme engin glissait tout seul dans ma voie étroite, je sentais que les lobes de mes fesses ne pourraient s’écarter beaucoup plus et que si sa queue avait été un poil plus large, la douleur aurait pris le pas sur le plaisir. Il allait et venait sans hâte maintenant, observant ses copains se faire sucer tour à tour, et je réalisai soudain qu’il allait faire durer la séance, le plaisir, jusqu’à ce que tous les scouts soient passés dans ma bouche, jusqu’à ce que je les ai tous sucés jusqu’au dernier.
L’idée était excitante, je haletai plus fort et l’accompagnai, donnant des petits coups de cul, ondulant les hanches, lui massant la bite avec mon anus éclaté, ouvert comme une fleur printanière. Un nouveau scout éjacula sur mon visage, en se masturbant rapidement, frottant sa pine sur ma langue tendue. Le sperme m’aspergea les yeux, des gouttes entrèrent dans mon nez. Je ne voyais plus rien, et ne sus pas à quoi ressemblait le jeune « Hervé » à qui j’administrai une fellation royale, acceptant sa queue jusque dans ma gorge tandis qu’il me pressai le galbe de mon sein qui dépassait légèrement, écrasé contre la table de bois. Il choisit de jouir sur mes yeux aussi, et le peu de lumière qui filtrait à travers mes cils entrouverts disparut sous la gelée transparente, qu’il essuya ensuite avec sa bite généreuse.
Loïc était toujours accroché à mes hanches et appelait déjà un nouveau sexe à venir me remplir. Celui-ci avait une forte odeur, il était sans doute mal lavé, ce qui ne fit que m’exciter davantage. Je le gobai avec gourmandise et le forçai à rester dans ma bouche lorsqu’il se libéra en gouttes grasses quelques minutes plus tard. J’introduisis mes doigts dans ma chatte, et me masturbait plus activement maintenant, accompagnant mon plaisir de gémissements clairs, de petits cris, consciente de la queue énorme qui se frayait un passage de plus en plus lustré, humide, et large dans mes intestins.
Les queues se succédaient rapidement, les scouts m’encourageaient, des mains me caressaient le corps, la juste coulait sur mon visage, je la sentais sur mon front, sur mes yeux, mon menton, dans mon nez, j’en buvais par gorgées entières, un sperme salé, un autre amer, un autre presque sucré, des lampées grasses, d’autres liquides, d’autres congelées à peine sorties du méat des jeunes mâles qui me gratifiaient de leurs sexes et de leurs caresses répétées.
Je ne savais pas combien de garçons j’avais essorés quand Loïc me retourna sur la table, écarta mes jambes et me prit le cul par devant, une sensation nouvelle et très agréable, tandis qu’un garçon me suçait la moule et que, tête rejetée en arrière, je suçais encore et encore, pine sur pine, une grosse et molle, une petite et fine, une dure et réactive, qui toutes finissaient par me baptiser, en jets ou en saccades, accompagnés de gémissements sourds et de cris de joie – ponctués des mots doux et imagés, « bois ça, salope, avale ma bite, petite pute, c’est la première fois qu’on me suce, fais-moi jouir, pétasse ». Loïc me baisait alors plus fort, je jouissais intensément, et taillais pipe sur pipe, appréciant plus particulièrement les sexes à l’odeur marquée, ceux qui sentaient l’homme, ceux qui me laissaient un goût prononcé dans la bouche, ceux dont le sperme avaient en général la saveur la plus marquée. Ceux qui m’excitaient, me faisaient me sentir femme.
Enfin Loïc se cambra, et resta immobile, me pressurant les seins comme pour en faire sortir du lait, il se maintint au fond de mon cul, tandis que sa queue XXL déchargeait au fond de moi en saccades délicieuses. Ses gémissements de plaisir m’émurent, j’essayai d’ouvrir les yeux sous le sperme qui les recouvrait et je l’entrevis, cabré comme un cheval sauvage sur sa jument. Je lui caressai le torse, fière de lui avoir offert une récompense digne du service qu’il m’avait rendu, et je savais que je reviendrai rendre visite à son camp de scouts plusieurs fois encore durant ce séjour…
Loïc s’effondra sur mon corps luisant de transpiration et de semence, gardant son sexe au fond de mes boyaux. Je le serrai dans mes bras, et lui chuchotai:
– Ce soir, il y a une soirée mousse, amène tes copains, j’aurai une petite surprise pour eux. Mais tu dois d’abord mettre la vidéo sur mon portable.
Il sourit et m’embrassa sur la bouche, sans se soucier du sperme qui coulait de mon visage et de mes lèvres. Il resta en moi jusqu’à ce que son sexe dégonfle complètement, ce qui prit un certain temps, pour mon plus grand bonheur…