La Plume de Florean,  Miss Camping

Miss Camping – Chapitre 20

– Allez, habille-toi, si on part trop tard on va se prendre la tête.
C’était drôle: mon coeur battait la chamade à l’idée de porter cette petite culotte échancrée. Assise sur le duvet,  je la passai à travers mes pieds, puis la remontai doucement le long de mes jambes, avant de la caler sur mes fesses encore sensibles des diverses fessées et des gravillons de la veille. La douceur du tissu contre mon sexe fraîchement rasé me fit sourire. J’attrapai un débardeur vert-pomme serré et le mis, sans soutien-gorge. Le coton tendu sur ma poitrine me parut extraordinairement érotique. Je me trouvais bien plus sexy habillée ainsi que nue.
Jean avait mis un short long et un T-shirt rouge, il m’attendait près de la voiture, avec Vincent et Sarah, impatient. Il est vrai que faire un plein de courses à l’hypermarché du coin, c’était embouteillages assurés et queue interminable à la caisse après 11h du matin. Je mis des sandales à talons, et sortis de la tente. J’avais l’impression d’être toute nue, justement, habillée ainsi. Que le fait d’être habillée devant tout le monde était anormal, presque interdit, pour moi. 
– Tu es très belle, me lança Sarah. Il faudra que je t’enlève tous ces vêtements moi-même, tout-à-l’heure.
Je montai dans la voiture en rougissant.
– Merci.
Jean jeta un regard inquiet aux alentours pour vérifier que personne ne m’avait aperçue.
– Baisse-toi, il ne faut pas qu’on te remarque toute habillée, me dit Jean. Ce serait un coup à perdre notre prix.
Je hochai la tête en me ratatinant dans mon siège. Je n’avais pas le droit de m’habiller pendant le séjour – sous peine de devoir payer notre hébergement pour le mois de juillet. Résultat stupide de ce concours tout aussi stupide des Miss Camping. Qui m’avait valu de découvrir que j’étais faite pour une sexualité débridée, libre, libertine. Avec hommes et femmes. Sapho incarnée. Je sentis mon bas-ventre réagir, je mouillais à ces pensées. Je souris.
Vincent et Sarah prirent place à l’arrière, et Jean prit le chemin de la sortie du camping, que nous atteignîmes sans que personne ne fasse attention à moi. Quinze minutes plus tard, j’entrai dans le supermarché, derrière Jean qui poussait son caddie, comme une citoyenne normale dans un monde normal. Des larmes me montèrent aux yeux – j’étais émue de renouer avec une vie presque oubliée. Je ne vis pas Sarah et Jean disparaître dans les rayons, et me retrouvai seule avec Vincent, qui me regardait en souriant de manière ironique.
– Allez, ma belle, viens avec moi, on va s’amuser pendant que ton mari fait un peu les courses.
Il me prit par la taille, me fit une bise sur la joue, et m’emmena dans les rayons.
Je le suivis, mi-curieuse mi-inquiète. Si Vincent m’avait procuré du plaisir dernièrement, je savais qu’il ne visait que ses propres buts à lui, et qu’ils pouvaient différer des miens. De plus, j’étais hors du camping, cette fois, et je pouvais donc me comporter normalement, sans avoir à obéir à tout-un-chacun. Il me serra un peu plus la taille en tournant dans le rayon des soutiens-gorge et des culottes.
– Voilà, dit-il. Choisis.
– Euh… Je choisis quoi ?
Il avait les yeux pétillants de malice.
– Ce que tu veux. Prends un soutif et une culotte sexy. Je te les paye.
Je haussai les épaules et commençai à farfouiller dans le rayon. Je pris un bel ensemble de dentelle blanche, soutif et string, très joli.
–  Celui-là me plaît beaucoup, dis-je. 
– Parfait. Tiens, je t’ai pris ça, aussi.
Il me montra une nuisette en soie totalement transparente, et deux foulards de soie rose pâle.
– Je… eh bien…Merci.
Il m’embrassa sur les lèvres, et m’attrapa par la taille.
– Viens, tu vas essayer tout ça !
Il se dirigea à grands pas vers les cabines d’essayage, situées entre les rayons vêtements femmes et vêtements hommes, et y entra avec moi. Il tira le rideau et se tourna vers moi en déboutonnant son pantalon.
– Mais… Vincent, qu’est-ce que tu fais ?, dis-je en chuchotant, un peu inquiète qu’il veuille me prendre ici, derrière un rideau aussi fin. Si on nous voyait, j’en mourrais de honte !
– Rien. Tu essayes tes trucs, et je me branle, point.
Je hochai  la tête, incertaine. Il tenait déjà son beau sexe entre ses doigts et se caressait, un sourire aux lèvres. J’ôtai le débardeur, la jupe et la petite culotte. Vincent se masturbait lentement, sans me toucher. Je passai l’ensemble en dentelle blanche. Le soutif me comprimait les seins, les rendant plus gros encore. Mes tétons, dressés malgré moi, dépassaient par les trous de la dentelle, et mon mateur ne s’y trompait pas, il les fixait avec insistance en tirant sur sa queue tendue. Le string épousait parfaitement mes courbes, il ne godait pas, et renforçait le galbe rondelet de mes fesses.
– Je te plais ?
Vincent accéléra le rythme de sa masturbation. Je commençais à être excitée, surtout qu’il ne semblait pas vouloir me toucher, ce qui me rendait d’autant plus désireuse de faire le premier pas.
– Beaucoup. Mmmh, c’est bon. Passe la nuisette.
J’obéis. La soie était douce sur ma peau et chatouillait agréablement mes deux petits tétons, comme un voile presque invisible. La nuisette était lâche, transparente, et s’arrêtait au ras de mes fesses. Elle ne cachait rien de mes sous-vêtements, et me rendait désirable. Je me regardai dans le miroir et me trouvai très belle. Je ressemblais à un ange nimbé de blanc, prêt pour une nuit de volupté.
– C’est très beau, merci, Vincent.
Il s’approcha de moi. Je ressentis des picotements dans mon bas-ventre. Nous échangeâmes un baiser. Je glissai ma main vers son sexe, mais il la retira.
– Tourne-toi et ferme les yeux.
Le coeur battant, je me laissai faire, prête à ma faire prendre dans cette cabine étroite, protégée des regards par un simple petit rideau fin. Il ne me toucha pas, cependant.
– Ne bouge pas.
Je sentis qu’il me bandait les yeux avec le foulard rose. Je souris intérieurement. Le vieux fantasme des hommes, sauter une fille aux yeux bandés. Il m’attacha ensuite les mains dans le dos, avec le second foulard. C’était serré, mais pas désagréable.
– A genoux. Ouvre la bouche.
J’obéis. Son sexe trouva ma langue, et je le léchai avidement. Je fus surprise quand il écarta sa queue, au bout de quelques minutes.
– Ne bouge pas je reviens.
Le rideau s’ouvrit et se referma. Je restai seule, dans la cabine, à genoux, en nuisette et soutien-gorge très érotique, yeux bandés, mains attachées dans le dos. Mon coeur recommença à battre la chamade. Si un client entrait, qu’allait-il penser !!! Je chuchotai:
– Vincent…? Vincent …?
Je comptai les secondes. Une minute. Deux minutes. Je tirai sur mes liens, pour voir si je pouvais m’en libérer, au cas où ce soit une mauvaise blague de cet amant à l’humour particulier. Trop serré, j’étais coincée. Je respirai plus difficilement, commençant à paniquer un peu. Trois minutes. Le rideau s’ouvrit et se referma.
– Vincent !
– Je suis là, excuse-moi de t’avoir fait patienter. Pas un bruit, surtout !
Je ne compris pas pourquoi il me demandait de ne pas faire de bruit, mais je ne dis rien. Je le sentis s’approcher, son sexe effleura ma bouche. J’ouvris grand les mâchoires, soulagée, et le suçai avec plaisir. Les mains attachées dans le dos m’empêchaient de me caresser, je serrai les jambes pour compresser un peu mon petit bourgeon. Quelque chose frôla ma joue. Je tournai la tête par réflexe et sentis une seconde bite se frotter contre mon nez. Je relâchai la pine que j’avais dans la bouche et sursautai:
– Hé ? C’est qui ? C’est Jean ?
La voix de Vincent vint de derrière moi. Ce fut un choc: ce n’était donc pas lui que j’avais pris en bouche !
– Suce-les, ne pose pas de questions. Je me branle en te regardant, tu ressembles à un ange tombé du ciel.
– Mais…
Un troisième sexe me toucha le nez, à gauche. Je reculai légèrement. Trois inconnus ! Il avait amené trois inconnus dans la petite cabine d’essayage ! Je comprenais maintenant que ce n’était pas à moi qu’il s’était adressé quand il avait dit de ne pas faire de bruit, mais à ces hommes ! Les mains de Vincent me caressèrent le visage.
– Coralie, fais plaisir à mes amis.
Ses mains descendirent le long de mon dos, je le sentis se pencher sur moi, son souffle près de mes oreilles, et ses doigts se frayèrent un chemin sur mes fesses, plongeant dans ma chatte trempée, m’inondant d’un plaisir soudain.
– Allez, belle Coralie, ça m’excite de te voir les sucer…
J’hésitai. Que devaient penser ces hommes, de me voir en nuisette transparente, avec mes tétons qui dépassaient de mon soutif trop serré, les yeux bandés, prêt à tailler des pipes à n’importe qui, sans même voir les mecs que je pompais ?
– Je…
Les mains d’un des inconnus me prirent doucement la tête et l’amenèrent vers la bite du milieu. Je secouai la tête imperceptiblement, puis ouvris la bouche. La pine y pénétra avec délicatesse, gonflée entre mes lèvres. Je l’enveloppai de ma langue, et donnai un coup de menton, avalant le bâton de chair tendu à craquer jusque dans ma gorge.
– C’est bien, Coralie, je te regarde et je me branle, continue.
Je soupirai en hochant la tête. Je léchai le gros gland du milieu, avant de passer à celui de droite, un sexe long et fin au goût salé, que j’engloutis jusqu’à sentir le pubis très poilu de l’inconnu. Je tirai la langue et léchai les couilles moites, la trique dans la gorge, à peine gênante, puis je le relâchai pour m’occuper du troisième homme, qui avait un membre normal, plutôt court. Je le suçai longuement, il avait une odeur épicée très agréable. La respiration de l’homme devint profonde, sa pine réagissait à mes coups de langue, elle battait au rythme de mes coups de menton. Je changeai de bite, happant celle du milieu, tandis que le gars que je venais de relâcher se masturbait bruyamment près de ma joue, puis je gobai  le sexe fin de l’homme de droite, que je pompai avec application. Vincent s’agenouilla derrière moi, je cambrai le cul pour qu’il me prenne, mais il posa juste son sexe entre mes mains attachées et je le branlai gentiment, en le frottant contre mon dos et en ouvrant le cul. Je commençai à gémir discrètement, j’étais excitée comme une chienne en chaleur. Quand les mains de Vincent entourèrent mes hanches et vinrent se poser sur ma chatte mouillée, j’écartai les jambes pour qu’il y entre les doigts, ce qu’il ne tarda pas à faire, m’emplissant de sensations particulièrement puissantes.
– Ahhh… ouiiii.
– Branlez-vous sur son visage, dit Vincent aux autres hommes. Coralie, donne-leur ta langue, ma belle. 
J’ouvris grand la bouche, levant le visage jusqu’à toucher les trois bites que les types secouaient en rythme, léchant le dessous des glands gonflés tour à tour. Je les encourageai en chuchotant.
– Allez, couvrez-moi de jute, je veux la boire, la goûter… oui… allez, regardez comme je suis belle, venez sur ma grosse langue bien humide… mmmh, Vincent, enfonce tes doigts plus loiiin… mmmh… je veux vos queues, venez-là que je vous suce tous les trois ensemble…
Les trois sexes se rencontrèrent sur ma langue, je souris en soufflant par le nez. Je m’amusais comme une folle, même si je ne pouvais voir les amants que Vincent m’avait trouvé. Les mains s’activaient sur les bâtons tendus, les glands me caressaient la bouche, y entraient parfois, je masturbais fermement Vincent derrière-moi, je me plantais sur ses doigts qui entraient et sortaient délicieusement de ma petite chatte rasée, ou qui en titillaient le bourgeon avec habileté.
Le gars de gauche éjacula sur ma langue, puis pointa son sexe sous mon menton, inondant mon cou et ma nuisette de jute, juste sur mes seins. Je me redressai en me cambrant, pointant mes tétons trempés de sperme vers lui, tandis que je léchai les deux sexes qui restaient, appliquant soigneusement sur les gros glands la jute que j’avais récoltée sur ma langue. Vincent s’écarta de moi, le second type, celui du milieu, éjacula à son tour, m’aspergeant le nez, puis, visant, lui aussi, ma nuisette. Ses jets de sperme strièrent mes nichons, pénétrant la soie fine, et humectant ma peau. Vincent revint, il m’attrapa le cul et y frotta son sexe, avant d’écarter la ficelle du string et de s’humecter le gland entre mes lèvres trempées, déclenchant des spasmes agréables dans mon bas-ventre. Je sentis sa trique se frayer un chemin dans ma chatte, plus grosse que ce dont je me souvenais. Je gémis un peu plus fort, en réaction au plaisir intense qui montait de mon ventre, quand la troisième bite entra dans ma bouche, bloquant tout son qui aurait pu en sortir.
– Sois discrète Coralie, après ce sera mon tour.
C’était la voix de Vincent, devant moi ! C’est lui que je suçais ! Qui était en train de me sauter, alors ?
Très vite, ça ne m’intéressa plus, je voulais juste jouir, me faire plaisir  ! Le type de derrière accéléra les coups de queue, et je l’accompagnai, pressante, je sentis une jouissance diffuse m’agripper, je n’étais plus dans une cabine d’essayage les yeux bandés, j’étais une déesse jouisseuse, une droguée de sexe, une nymphomane consentante. Je pompai la bite de Vincent avec bonheur et me plantai sur la grosse pine qui me fourrageait les entrailles, qui me déchirait la fente, qui me défonçait de manière si divine. Je mordis légèrement la queue dans ma bouche lorsque je jouis, sauvagement, serrant les jambes pour mieux ressentir l’énorme bite autour de ma fente. Le type semblait apprécier, je lui massai la queue avec mes grandes lèvres nues, et le sentis venir en moi, une décharge puissante qui gonfla son sexe, accroché à ma grotte intime. Il retira sa queue de ma chatte et éjacula sur ma nuisette, arrosant mon dos de grands jets tièdes et gluants, je frottai mes fesses sur sa queue d’inconnu pour l’exciter et prolonger son plaisir, tout en continuant à happer Vincent au fond de ma gorge.  
– A mon tour, maintenant.
Vincent quitta mes lèvres, non sans appuyer son sexe sur ma langue en le sortant de ma bouche. Il m’embrassa longuement. J’entendis le dernier type tirer le rideau pour sortir et le refermer.
– Ah ! Vous êtes là ! Que… Coralie ?  Qu’est-ce que c’est que cette histoire ! Tu dégoulines de sperme ! Tu ne peux pas t’empêcher de baiser partout, maintenant ? Quelle SALOPE ! Je te DETESTE !
Je sursautai. C’était Jean, qui avait l’air furieux  ! Vincent avait un sourire dans la voix en répondant:
– Allons, Jean, elle avait envie de s’amuser un peu… Viens, Coralie.
Il me releva, écarta ma culotte en dentelle avec deux doigts et me planta sa bite dans la chatte, par devant, sans prévenir. Elle glissa toute seule dans le mélange de jus intime et de sperme. J’imaginai ce que devait penser Jean, me voyant ainsi, en nuisette, habillée comme une actrice porno, les seins et le dos couverts de jute, les mains liées, les yeux bandés. Et Vincent, debout, en moi, qui me sautait en haletant.
– Allez, continua-t-il, viens, prends lui le cul, elle est bien chaude.
Je fermai les yeux. Je ne pouvais pas refuser la double-pénétration, j’avais trop honte.
– Oui, Jean, viens, pardonne-moi… prends-moi…
– Tu es une salope.
– Oui, je suis désolée, prends-moi par derrière, si ça peut te faire me pardonner ?
Jean se colla à mon cul, releva mes mains sur mon dos, écarta les lobes de mes fesses rebondies, et appuya son sexe modeste sur ma pastille souple. Vincent cessa de me gamahucher, la bite de Jean tourna un instant sur l’anus moite de sueur, de sperme et de cyprine, et me pénétra sans souci. Je gémis de plaisir et m’enfonçai sur les deux queues, qui se mirent à me marteler la chatte et le cul à l’unisson.
Je me laissai aller, toute au plaisir indicible, je sentis soudain les mains de Sarah me pétrir les seins, j’aurais dû me douter qu’elle était là aussi. Elle me délia le bandeau, et je m’aperçus que deux autres hommes nous regardaient en se branlant silencieusement, regardant alternativement Sarah, qui avait ôté ses vêtements et se masturbait d’une main, et moi, qui me faisait prendre par tous les trous.Je fermai les yeux et m’abandonnai au plaisir.
Jean vint en premier dans mon cul, il éjacula lentement dans mes intestins, pressant ses abdos contre mes fesses, contrôlant sa jouissance, essayant de faire durer l’ensemencement le plus longtemps possible. Vincent accéléra la cadence, des éclairs me parcouraient le corps, et il jouit, retirant sa queue d’un seul coup, inondant ma chatte, mon string et le bas de ma nuisette de son sperme épais et abondant. Les deux types s’approchèrent de moi et jouirent sur mes hanches, un de chaque côté, frottant leurs sexes tendus qui projetaient des flots de jute sur le haut de mes cuisses, sur mes fesses, sur mon ventre. Je dégoulinais littéralement de sperme.
Jean sortit de mon cul, sa bite ayant à peine dégonflé. Des gouttes grasses se mirent à couler le long de mes cuisses. Il prit ma jupe, ma culotte et mon haut vert pomme et sortit de la cabine.
– Puisque tu sembles aimer cette tenue, tu vas rentrer comme ça. Tiens, je te file 50 euros pour payer tes… vêtements. Sarah, Vincent, on va à la caisse.
Je le regardai, horrifiée, me tendre le billet.
– Jean… je ne peux pas…
– Tais-toi, salope. Si tu n’es pas à la voiture quand nous aurons fini, tu rentres par tes propres moyens. Tu rencontreras sans doute un routier sympa que tu pourras baiser en chemin.
Vincent mit la main sur l’épaule de Jean.
– Allons, mon ami, ne sois pas trop sévère avec elle, tout est de ma faute.
Sarah hocha la tête d’un air réprobateur, tandis qu’elle se rhabillait sommairement. Mais Jean semblait vraiment furieux.
– Ne vous mêlez pas de ça. C’est entre ma femme et moi. Venez.
Ils sortirent tous, Vincent et Sarah avec un air d’excuse, me laissant seule dans la cabine, en petite tenue, couverte de jute, et honteuse.
– Jean ! Jean !
Il ne se retourna pas. Je tirai le rideau pour me cacher et sentis les larmes me monter aux yeux. Qu’allais-je pouvoir faire !?

(Au prochain chapitre, visite du camp de scouts !)

wink

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