Miss Camping – Chapitre 2
Par Alexis / Repris par Florean
L’asservissement de Miss Camping, chap 2, ce chapitre est d’Alexis, et je le modifierai légèrement bientôt pour qu’il colle à ma suite sans incohérences.
Je me réveille à l’aube avec mon envie matinale habituelle d’uriner. Jean dort encore à mes côtés, sous la tente.
Délicatement, je descends la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J’en profite pour jeter un regard sur son beau corps endormi et nu (nous avons fait l’amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre).
Son petit sexe rose est recroquevillé sur ses cuisses musclées. J’en suis toute attendrie… Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente, soulagée qu’il ne se soit pas réveillé ! Aujourd’hui, je veux lui faire une surprise…
Tout d’abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seul quelques matinaux sont éveillés et s’activent en silence, soit pour préparer un petit-déjeuner, soit pour faire leurs sacs à dos, en vue de randonnées ou de promenades matinales. Sur le chemin, plusieurs hommes me sourient et la plupart m’appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très reconnaissable, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres campeurs: je suis intégralement nue, les poils du sexe coupés très courts, presque rasés, depuis que j’ai gagné le concours de » Miss Camping » quelques jours plus tôt. Bref, tout le monde connait « Coralie, Miss Camping» !
La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m’ont rendu la tâche plus facile, la nudité plus supportable. Cependant, quelques-uns et surtout quelques-unes n’avaient pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner, et me le faisaient bien savoir, régulièrement…
J’avais bien vite décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, j’étais en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pensais que ne verrai jamais plus ces gens. Bref, pour moi, c’était une parenthèse originale dans ma vie, qui devait reprendre son cours normalement après les vacances.
Je me trompais.
Arrivée aux toilettes, je tombai sur un homme que je ne connaissais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m’en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement et ses raisons. Amusé, il profite sur-le-champ de l’aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire et ma docilité, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses. Enfin, il s’empare de mes seins qu’il malaxe sans ménagement. Bien entendu, je m’offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j’ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c’est le train-train !
Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d’une trentaine d’année. Cependant, l’envie d’uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu’il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : « Allons derrière l’arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse ».
D’abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m’électrisent et je souhaite qu’elles continuent encore. J’accepte donc. Que de chemin parcouru depuis le concours de Miss Camping, ou je rougissais de honte, la peur au ventre, dès qu’un homme me touchait ! Maintenant, j’ai toujours la peur au ventre, mais je les attends presque les caresses ! Et lorsqu’elles arrivent, c’est avec plaisir que je les accueille.
Me voici donc debout, les jambes écartés et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d’uriner, toute honte bue, devant un illustre inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches… Au début, l’urine a du mal à venir : l’inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perlent tout d’abord sur mes lèvres intimes, puis soudain un jet dru arrive. L’homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette » production « . Avec ses doigts, il s’amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses. Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit » Retiens-toi maintenant ». Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : » C’est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fait le poirier « .
Sous le charme, je m’exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces !). Je m’appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrés tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l’aise, les cuisses ouverte et le sexe offert bien malgré moi. En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée : » Maintenant, continue à pisser « . Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée… mais il ne laisse pas sa prise et répète » Pisse « . Je me concentre alors pour satisfaire son désir, d’autant que j’ai aussi encore bien envie. Mais l’urine ne veut pas sortir… Il me dit » Concentre-toi, j’attendrais aussi longtemps qu’il faudra « .
Plusieurs minutes s’écoulent alors. J’en profite pour lui dire que j’ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s’écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L’urine coule d’abord sur mon sexe, puis coulant sur mon « abricot » rasé de près, elle s’écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d’autre de mon cou. Je me couvre littéralement d’urine ! Cependant, la sensation qui en découle n’était pas désagréable. Au contraire, je me sens bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau. Lorsque j’ai finit, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit : « Je crois qu’il y a des douches là derrière. Vas-y, tu l’as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout! ». Puis il s’en va, non sans avoir tapoté et caressé langoureusement une dernière fois mon fessier. Le regard qu’il lui a alors jeté me laissait clairement deviner qu’à notre prochaine rencontre, c’est à d’autres types de besoin qu’il allait me contraindre.
Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cet heure. Mais l’eau chaude n’est pas encore en marche : c’est une douche froide qui me remet de mes émotions !
Ensuite, trempée car je n’ai pas de serviette, je m’oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c’est la » surprise » que je veux faire à mon homme). C’est le gérant qui m’accueille. Dès la soirée d’élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser… Encore une fois, il profita de la situation… Me voyant mouillé, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cet heure), ce que j’accepte avec plaisir car j’ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins… Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu’il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.
Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l’arrivé d’autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu’au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide… Mes seins pendent, dur comme de l’acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j’attends avec impatience l’arrivé du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroits et passe de manière fugace entre mes jambes écartées. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir…
Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m’observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m’y maintient. Il s’écrie : » Maintenant qu’elle est bien chaude, qui veut la caresser ? « .
Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse son bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime qu’il porte à sa bouche. Honteuse, je dois endurer des remarques du type » C’est vraiment une pute, elle aime ça ! » pendant que d’autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue).
Les caresses se font de plus en plus insistantes et intimes : des doigts pénètrent ma chatte, titillent mon clitoris, puis un index s’introduit brutalement dans mon anus ! C’est la première fois qu’on me pénètre par ce côté. La douleur est forte, mais comme les caresses sur ma vulve se font de plus en plus insistantes, le plaisir arrive. Par réflexe, j’abaisse mon bassin, me cambre au maximum en écartant les cuisses, poitrine offerte. J’allaite comme une femelle en chaleur ! Alors que le doigt va et vient dans mon cul, qu’une main me tripote la moule, que deux mains me malaxent les seins, une autre main s’abat sur mes fesses avec violence.
« Jouit salope ! Jute à fonds ! » cri le nouvel intervenant. Un vertige me saisit. Je jouis sans retenue et m’affale sur la table. Je crois entendre « sacrée traînée, dans une semaine on va pouvoir en faire ce que l’on veut . . . y compris l’emmener à poil au marché ! ».
Je reprends peu à peu mes esprits. Je suis seule avec le gérant. Enfin, j’ai le droit de redescendre. Je m’empare alors des croissants que j’étais venu chercher et part sans demander mon reste…
En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort tout en me tirant sur les seins que je pousse un petit cri de douleur.
Décidément, mes électeurs n’étaient pas des gentlemen’s.