La Plume de Florean,  Miss Camping

Miss Camping – Chapitre 19

Je me réveillai en sursaut. J’étais seule dans la tente, Jean, Loïc et l’adolescente étaient partis, et, à en juger par la luminosité, la nuit tombait.  Je compris en tendant l’oreille que c’étaient les bruits de pas et les chuchotements à l’extérieur qui m’avaient réveillée.
– C’est ici, je vous dis, c’est ce qu’a dit la brune. Je me la serais bien tapée, la pute, aussi Z’avez vu ses petits nibards ?
– T’as raison, chuis sûr que c’est une perverse ! Mais y paraît que celle-là, c’est de la bombe, tout le camping lui est passé dessus.
– Et si elle est pas seule ?
– Ho, tu vas pas faire ta fiote. S’il y a un mec avec elle, on le tiendra à l’écart pendant qu’on la baise, et s’il fait le mariole, on lui fait sa fête. Et si c’est une nana… elle y passera aussi !
– Ranatreuf’, t’façon, on n’est pas du camping, y nous retrouveront pas.
Encore du sexe en perspective. Je m’étirai, dans l’expectative, espérant que les gars de dehors seraient mignon et doux.
– Allez, on y va.
La fermeture éclair de la tente s’ouvrit d’un coup et des mains m’attrapèrent par les jambes et me tirèrent au dehors.
– Ouh… doucement, les garçons, il y en aura pour tout le monde
Un gars se colla à mon oreille en pressant mes seins.
– Je l’avais bien dit que t’étais une salope…
Ils étaient 4 ou 5, ils m’entouraient de tous les côtés, je les distinguais à peine dans l’obscurité, mais ils avaient l’air jeune et bien foutus.
– Je commence par qui ?
Un des gars s’allongea sur moi et me planta sa bite dans la chatte encore pleine du sperme de Loïc.
– Elle est toute mouillée, la salope ! 
Je sentis les bites des deux types à ma droite et à ma gauche se caler dans mes mains, je les branlai sans attendre Deux autres sexes se frottèrent sur mon visage et sur ma bouche. 
– Mmmmh…
Je sortis ma langue et léchai les membres tendus.
Le premier gars me baisait avec une énergie féroce, sa bouche sur mes seins gonflés, il écrasait mon cul contre le sol et guidait sa pine d’une main dans mes chairs. J’aurais pu apprécier la brutalité et la tiédeur de son engin en moi s’il n’y avait pas tant que cailloux et d’épines sur le sol contre mes fesses.
Les mecs que je suçai s’enhardirent, la bite d’un des deux se fraya un chemin sur mon palais et ma langue, jusque dans ma gorge.
– Mmmmmh mmmmh mmmmh….
– Tu aimes sucer, hein, salope !
– Retournez-la !
Le gars qui était en train de me baiser me fit rouler dans la terre, je me retrouvai au-dessus de lui, haletante, crachant des flots de bave.
– Encore une autre queue ! Mmmh ! Mmmh !!!
Une bite se glissa immédiatement dans ma bouche, je la suçai machinalement, pour  reprendre ma respiration.
– Abdel, prends-la dans le cul, la brune a dit qu’elle aimait se faire enculer.
Je me tendis vers l’arrière, et présentai mon cul sans protester. Qui que soit cette brune, elle avait raison.
Un type attrapa mes cheveux, bascula ma tête en arrière et fourra sa queue dure comme du bois dans ma bouche, me l’enfonçant jusque dans la gorge. Le gars qui me baisait me serra la taille et cessa de bouger dans ma chatte. Un troisième type écarta les lobes de mes fesses égratignées et plaça son gland sur mon anus, trempé de sperme, de sueur et de cyprine. Il me pénétra facilement, glissant la bite dans mes boyaux sans rencontrer de résistance.
– mmmmmmh…
Les deux types se déhanchaient en moi, me baisant tour à tour, une fois le cul, une fois la chatte, je sentais leurs sexes s’entrechoquer en moi, c’était moins désagréable que la première fois, peut-être parce que Loïc m’avait pratiquée peu avant avec sa pine XXL. Une seconde bite se fourra dans ma bouche, je suçai les deux en même temps, espérant que leur jouissance serait aussi douce que le plaisir qu’ils me procuraient. Je léchai les deux glands tour à tour avec ma langue, essayant de leur dispenser un plaisir efficace – une fois que ces deux-là auraient joui, je finirais les autres. Je donnai des coups de hanches et de cul pour exciter mes deux baiseurs nocturnes de dessous et de derrière, et les faire jouir comme jamais.
– Hé, elle y prend goût, la miss, la brune avait raison, c’est une vraie nympho !
Et là, avec les quatre pines qui me baisaient, j’eus un éclair de lucidité: la brune dont ils parlaient devait être…
– Aah ouiii… Aaaaaah la saloooope ouiii !
Le gars vint dans mon cul, déchargeant un sperme acide qui me brûla les intestins, il colla ses abdos à mes fesses et se délivra en grands jets lents. Il me mordit le dos et s’extirpa d’un coup, en écartant mon cul avec ses mains. J’imaginai le trou béant de mon anus emplit de sperme, l’image m’excita, j’en voulais davantage.
– Samy, elle est prête pour toi. Prends la d’un coup, elle a l’air d’être gourmande, ce soir…!
Le Samy en question ne se le fit pas dire deux fois. Sa grande queue pénétra mon cul inondé du sperme de son pote comme une motte de beurre, je le sentis à peine passer. La valse des queues reprit, le type du dessous m’embrassait les seins en accélérant le rythme.
– Tu vas jouir, ma belle, tu vas voir !
Je crachai les deux sexes de ma bouche et montrai que  je prenais mon pied, pour les encourager.
– Ah, oui, encule-moi plus profond, aaah, encore, c’est trop bon.
Je dus bien m’avouer que je commençais à ressentir du plaisir. Je m’accrochai à cette vague sensation, un bien être vide qui se faisait dans mon ventre et autour de mon anus, et je donnai encore de grands coups de cul pour inciter Samy à me prendre plus fort – et à venir plus vite.
Je me mis à sucer les deux queues devant moi avec plus d’ardeur, les avalant  tour à tour, et branlant celle qui n’était pas dans ma bouche avec énergie lorsque je m’occupais de l’autre. Les mains qui me tenaient la tête se firent caressantes, pressantes, je pompai plus voluptueusement, comptant les secondes jusqu’à la délivrance, j’appliquai bien ma langue sous les glands qui enflaient sur ma langue, qui battaient sur mon palais.
Le type de droite commença a gémir furieusement, je m’activai sur sa queue, le branlant en le titillant avec la pointe de ma langue. Le premier jet de sperme m’aspergea le fond de la gorge, et je mordillai son gland avec douceur pendant qu’il éjaculait entre mes dents.
– AAH ! LA PUTE ! AH ! C’EST BON !
Je continuai à le branler entre mes incisives serrées, récoltant les flots de crème baveuse sous ma langue et sur mes dents, je remuai le cul, insensible, toute au plaisir qui montait dans mon bas-ventre. Enfin, je le laissai sortir de ma bouche et chopai l’autre queue que je me remis à sucer comme une vraie professionnelle.
– Trooop bon !
Le gars que je suçais m’attrapa la tête à deux mains et me baisa la bouche comme s’il s’agissait de ma chatte. Je l’accompagnai en donnant des coups de menton appuyés, le forçant plus loin dans ma gorge, lui faisant bien ressentir les caresses de ma langue experte.
Le gars sous moi se tendit et déversa sa semence dans ma chatte irritée, me serrant plus fort contre lui.
– Aaah, oui… aaaah, ça c’est bon… ah… la puuuutaiiiiin, lààààà…. ouiiii.
Le sperme qui jaillit dans ma bouche me surpris, je relevai la tête et mordillai le gland, goûtant la chair dure avec délectation.
– Ouoh oussssshhhh…. yeeees….
J’avalai la jute légère et ne relâchai pas mon emprise, branlant la queue efficacement, distribuant plaisir et caresses à l’unisson. Le gars parvint à s’arracher à mes dents et finit de jouir sur mon visage en tenant sa queue comme un oiseau blessé. Son odeur m’excita incroyablement, je jouis merveilleusement en remuant le cul contre le pubis du Samy qui me sodomisait. 
– Oh, ouiouiouioui….!
Je sentis son corps se tendre sous mes coups de boutoir, et sa semence m’inonder, me remplir, pendant qu’il gémissait de manière incohérente.
Et soudain la voix de mon Jean, furieux, résonna dans la nuit.
– MAIS QU’EST-CE QUI SE PASSE ICI ?
– Ouh, Jean, viens me baiser aussi, ils ne sont que cinq, j’ai encore faim…
Des bruits de pas précipités.
– TIRONS -NOUS !
Les types se mirent à courir dans tous les sens, me laissant, pantelante, sur le sol,  le corps et la bouche dégoulinant de sperme. Jean et Vincent disparurent dans la nuit à leur poursuite. 
Je me rendis compte de la présence de Sarah à mes côtés. Elle me prit dans ses bras et me nettoya amoureusement. Je pris conscience de l’odeur de pizza qui montait dans l’air. Je la laissai m’embrasser et me lécher, incapable de me contrôler.
-On était partis chercher de quoi manger, tu dormais, Jean n’a pas voulu te réveiller. Tu n’as pas faim ?
– Si, j’ai un peu faim. Mais pas comme ça, je suis dans un état… faut que je me douche.
Elle me lécha le visage, goûtant le sperme, aspirant mes lèvres en souriant.
–  Une petite douche et tu viens manger avec nous, OK ?
J’attrapai une serviette éponge sur le fil à linge, je pris ma trousse de toilette et me dirigeai vers les douches en titubant. Mes jambes et mon cul me brûlaient.
– Tu veux que je t’accompagne ?
J’eus un petit rire. 
– Non, assez de sexe pour ce soir, je pense.
J’arrivai aux sanitaires sans encombres. Je m’engouffrai dans une cabine de douche, accrochai ma serviette et commençai à faire couler l’eau sur mon visage quand quelqu’un frappa doucement à la porte.
– Coralie… chuchota une voix. Coralie, c’est moi, Axel.
Le fils de Laetitia.
– Axel, pas maintenant.
– Ouvre-moi, quoi, je ne pense plus qu’à toi depuis qu’on a… que je t’ai… euh… je… je veux juste te regarder… pas… euh… juste un câlin, quoi. 
Je pris conscience que j’avais justement grandement besoin de tendresse en ce moment précis. Un câlin, des bras doux qui m’enserrent, des paroles réconfortantes.
– Juste un câlin ?
– Promis… je ne te touche même pas, juste te regarder. Tu… tu es tellement belle.
Je levai lentement le loquet et entrouvris la porte. Le jeune ado était là, les yeux suppliants. Je lui attrapai la main et l’attirai à moi
– Viens, prends-moi juste dans tes bras. 
Il me serrait délicatement sur sa poitrine quand j’entendis la voix de Véronique.
– Je peux venir aussi ?
La blondinette était à la porte que nous n’avions pas refermée. Elle souriait, l’air mutin. Son frère sursauta en entendant sa voix et me repoussa gentiment, l’air coupable.
– Vé… Véro… euh…
L’adolescente entra et ferma le loquet.
– Maman te cherche, dit-elle. Et je t’ai entendu: tu veux regarder Coralie nue sous la douche…. pendant que tu te masturbes, c’est ça ? Je peux tout raconter à maman… elle sera furieuse…
Je m’approchai d’Axel et lui caressai la joue.
– Ne t’inquiète pas, Véronique, il voulait juste un petit câlin – et c’est justement ce dont j’ai besoin tout de suite.
Véronique vint me prendre dans ses bras et m’embrassa sur le visage et les lèvres. Sa bouche était fraîche, ses mains douces sur mon corps . Je respirai ses cheveux avec reconnaissance.
– Je vais te câliner, Coralie, et mon coquin de petit frère va l’avoir, sa branlette.
Elle enleva son T-Shirt blanc et son short en jean, puis dégrafa son petit soutien-gorge, dénudant ses seins parfaits aux aréoles roses. Enfin, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes révélant son petit minou rasé et son cul rond.
Axel paraissait aussi étonné que moi de la voir se déshabiller ainsi. Quand elle s’agenouilla devant lui et commença à lui retirer slip et caleçon en même temps, je ne pus me retenir:
– Euh… Véronique… C’est ton frère, tu n’es pas sensée avoir ce genre de relations avec lui…
Elle sourit lorsque la bite déjà dure jaillit du caleçon.
– Oh, ne t’inquiète pas, je ne vais pas le toucher…juste le faire mourir de désir…
Elle ôta complètement le caleçon et le slip du pauvre Axel, les yeux fixés sur le sexe fin en érection, puis se releva en longeant le corps de l’ado. Elle l’attrapa par le col et lui déboutonna sa chemisette, lentement, bouton par bouton.
– Laisse-toi faire… voilà… c’est mieux, tout nu, hein…?
Elle fit mine de passer la main sur la queue dressée, sans jamais l’effleurer. Elle se pencha à l’oreille de son frangin et chuchota:
– Depuis le temps que tu ‘astiques le poireau en cachette en me matant, je pense que tu seras heureux de le faire devant moi pendant que je t’allume… hein, petit frère ?
Axel déglutit. Véronique lui prit une main et la porta juste devant ses seins. Elle s’approcha très lentement, et effleura la paume avec ses tétons, tour à tour.
– Tu sens comme ils sont dressés…? Et si tu savais comme je suis excitée en voyant ta bite pointée vers moi… Prends-la dans ta main… tu sais comment t’y prendre, cochon… hein ? … Voilàààà, c’est bien, astique-toi bien… 
Elle recula de quelques pas et se plaqua au carrelage mural, cambrée en avant. Elle écarta les jambes et révéla son sexe rose au bourgeon gonflé, y plantant deux doigts fins qu’elle ressortit, humides de cyprine.
– Regarde comme je mouille…
Je l’observais, hypnotisée. Son manège était très efficace, je sentis ma tête tourner rien qu’à la voir jouer à l’incestueuse. 
– Oh… dit-elle, comme surprise, il y a des poils qui repoussent sur mon petit minou… c’est si doux et tendre quand c’est rasé de frais…. Coralie, tu veux bien me raser devant Axel ?
Entrant dans son jeu, j’attrapai un rasoir dans la trousse de toilette, et pris un savon.
– Non, pas de savon… tu humidifieras avec ta langue, comme cet après-midi…
Elle me fit un clin d’oeil. Je souris. Axel avait commencé à se masturber sans s’en rendre compte. Je pris le sexe de l’adolescent entre mes doigts et le secouai gentiment. Ses mains me touchèrent les seins, tâtant leur texture ferme. Je lui déposai un baiser sur la joue et lui dis:
– Fais durer ton plaisir. Merci pour le câlin.
Je m’agenouillai en cambrant le cul en arrière et entrepris d’humidifier les lèvres aux petits poils naissants à peine visibles. Je passai ma langue le long de sa vulve, en remontant vers sur le clitoris, allant chercher un maximum de liquide intime pour humecter les zones à raser. Véronique fixait son frère du regard en se mordant la lèvre inférieure de plaisir. Elle fit rouler ses petits tétons roses entre ses doigts en ondulant lentement sa chatte sur ma bouche. 
– Ouh, Axel, si tu savais comme elle suce bien… Mmmh… c’est bon…
J’enfonçai ma langue entre ses petites lèvres, entrant profondément dans la grotte intime.
– Ouuuh, mmmh, avec la langue, comme ça… ohhh.
Je sentis Axel s’approcher de moi, il pointa sa pine dressée juste à côté de mon visage et de la cuisse de sa soeur.
– Non non non, petit frère… mmmh… tu regardes seulement…. ils te plaisent  mes petits seins pointus ? Allez, recule… Coralie va me raser…
Je donnai dernier coup de langue à Véronique et, toujours à genoux devant elle, je commençai à passer le rasoir sur ses lèvres délicates. Axel se masturbait lentement, espérant peut-être une fellation de ma part ou de celle de sa soeur, bien que je ne pensais pas qu’elle irait jusque -là, sa main parcourait sa queue de son bas-ventre à son gland en un grand mouvement régulier. Il n’avait d’yeux que pour mes doigts sur le sexe de l’adolescente, et pour la lame qui crissait délicatement du pubis au périnée. Pour éviter de blesser la petite chatte fragile, je mis mes doigts sur le clito rose et sur la fente bien dessinée, ce qui provoqua des petits spasmes de plaisir chez ma jeune amante. Je rasai méticuleusement chaque petit poil blond naissant, en humectant régulièrement avec ma langue chargée de salive. Quelques minutes d’extase passèrent, Axel se branlait silencieusement, Véronique se pressait les nichons comme pour en faire sortir du lait, ne quittant pas son frère du regard et je m’appliquais à épiler la petite chatte au plus près. 
Quand j’eus fini, je caressai entièrement l’abricot tendre pour vérifier qu’aucun poil ne m’avait échappé, et, contente de moi, je plongeai mes doigts dans la fente trempée.
– J’ai terminé, dis-je presque à regrets.
Véronique se pencha sur moi et m’embrassa, tandis que je me relevais maladroitement, les jambes ankylosées.
– Merci Coralie, dit-elle en empaumant mes seins. Axel, ça t’a plu ?
L’ado, sexe fin et gonflé entre ses doigts, rougit légèrement en hochant la tête. Elle glissa ses doigts sur sa chatte et en tâta la douceur, enfonçant ses doigts un à un entre ses lèvres humides.
– Oh. Et ça te plairait de voir ta grande soeur sucer la belle Coralie ? Mmmh, ça me plairait à moi… mmh… de sentir son minou sur ma bouche…
Nouveau hochement de tête timide.
– Ne tire pas trop sur ta queue, tu jouiras quand je l’aurai décidé… Regarde comme je me régale de la chatte de notre Miss Camping.
Elle prit le rasoir de mes mains, et s’agenouilla devant moi, me poussant légèrement contre le mur et m’incitant à écarter les cuisses. Elle plongea sa bouche dans mon intimité, trouvant le chemin de ma vulve avec une expertise que je ne lui connaissais pas. Elle se cambra au maximum, faisant ressortir sa croupe arrondie, ses deux jambes repliées sous elle, comme en prière. L’effet fut immédiat, Axel, qui ne la quittait pas des yeux, parcourut le jeune corps du regard en se masturbant de plus belle. Le baiser pénétrant dont elle me gratifiait se prolongea, déclenchant des sensations agréables dans mon bas-ventre. Je me tendis légèrement, et appuyai mon sexe contre la bouche gourmande, tout en faisant signe à Axel de s’approcher. Je me saisis de sa bite et commençai à le branler avec douceur, observant, avec un amusement mêlé de plaisir, qu’il tenait parole: il avait mis les mains dans son dos, comme un écolier bien rangé, et se laissait masturber en nous matant, sans essayer de nous toucher.
– Ouh, tu triches, petit frère, reste bien sage, surtout, tu remercieras Coralie d’être si gentille avec toi… et n’approche pas tant de ma bouche, je ne sais pas si je pourrai résister… Maman ne serait pas très contente que tu essayes de te faire sucer par ta grande soeur…Déjà que tu me prends en photo en cachette quand je suis toute nue…
Axel se mit à gémir de plaisir, je ralentis le rythme sur sa queue, je ne voulais pas qu’il vienne trop tôt, et j’étais bien, là, à me faire câliner gentiment.
Véronique colla à nouveau sa bouche contre ma chatte, insistant sur mon clitoris, accentuant mon plaisir. Elle me rasa avec précision, ce qui m’étonna un peu – à son âge, je n’avais certainement jamais épilé ma chatte et aurait été bien incapable de le faire à une autre fille. A vrai dire, l’idée même m’aurait choquée. Mais la blondinette humecta mes grandes lèvres (en insistant chaque fois plus sur mon petit bouton qui  dardait  sur sa langue chaude) et me rasa en un tour de main. Elle se releva, posa le rasoir, et se serra contre moi.
– Viens, que je te câline.
Nous nous embrassâmes tendrement, mes seins pressés contre les siens, dont je percevais les tétons dressés qui dardaient délicieusement contre ma peau. Je sentis sa main glisser le long du bras avec lequel je masturbai son frère, ses doigts entourèrent les miens et nous le branlâmes ensemble, sans qu’elle ne touche véritablement la bite turgescente. Axel s’approcha et nous entoura de ses bras, j’embrassai successivement la soeur et le frère, qui avait nonchalamment posé sa main droite sur le haut des fesses de la petite, sans qu’elle ne le repousse. Elle s’écarta soudain de moi, lâcha ma main qui continuait à le masturber, et enlaça son frère qu’elle embrassa sur la joue. J’observai cette marque de tendresse sans lui lâcher la queue, qui battait contre ma main. Enfin, Véronique brisa l’étreinte en souriant.
– Ouh… il fait chaud tout-à-coup…
Elle s’agenouilla devant lui et exposa ses petits nichons, les pointant vers son frère.
– Viens… viens sur mes seins. Je veux que tu me montres comme je t’excite.
Je me plaçai derrière Axel, le serrai contre moi, lui embrassai le cou et le masturbai énergiquement, à quelques centimètres de la tête de sa soeur. Sa respiration s’accéléra, il se mit à gémir en chuchotant, bras en arrière, mains agrippant mes fesses. Véronique ouvrit grand la bouche, tirant la langue vers la pine excitée, pointant ses seins vers le ciel, prête à recevoir la semence.
Axel jouit dans un râle, en saccades, aspergeant de plusieurs jets de sperme la langue de sa soeur, toute proche de son sexe, puis son menton, ses petits seins roses Je le masturbai longuement, pressant la queue pour en faire sortir tout le jus précieux. Véronique approcha sa bouche ouverte pour en recueillir un maximum, sans doute étonnée elle-même de ce désir impérieux. Elle avait fourré ses doigts dans sa chatte et se branlait activement.  Je récoltai les dernières gouttes sur mes doigts et les portai à la bouche de l’adolescente mutine, qui les recueillit  en souriant, joua un instant avec le sperme sur sa langue, et l’avala ostensiblement. Elle était superbe, couverte du jute crémeuse, agenouillée devant nous, une vraie petite bombe sexuelle sans retenue. Je lui caressai le visage.
– Tu vois, petit frère, ce n’est pas bien compliqué de me faire plaisir… Mmmh, c’était bon.
Elle se releva et nous prit dans ses bras.
– La prochaine fois que l’on se fait câlin, je te laisserai me prendre en photo, pour que tu te branles en fantasmant sur moi, si tu veux. Maintenant, dehors, j’ai besoin de me doucher.
Axel se rhabilla rapidement, encore sous le choc, et nous laissa seules. Véronique appuya sur le bouton de la douche, et nous nous lavâmes longuement sous l’eau chaude, en continuant de se câliner sans hâte, puis, rassérénée, je rentrai à la tente, affamée et épuisée…

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