Miss Camping – Chapitre 18
Cela faisait des heures que nous étions à la plage, Véronique et moi. J’avais insisté pour qu’elle mette son bikini, finalement, je pensais qu’ainsi elle ne serait pas sollicitée outre mesure, et, d’une certaine manière, que je serais moi aussi protégée des velléités sexuelles des messieurs du camping. Le maillot de bain noir qu’elle portait sur sa peau rose dorée la rendait plus désirable à mes yeux, ses petits seins ronds bien pleins lovés dans le tissu moulant m’attiraient, mais je me réfrénai avec plus ou moins de succès – durant l’après-midi, nous avions encore échangés quelques baisers et exploré quelque zones intimes à l’abri des regards, perdues dans les dunes.
– Je dois rentrer, dis-je, Loïc ne devrait pas tarder à venir me voir, je veux être là. Tu devrais peut-être rentrer à l’improviste dans ton mobil-home, tu me raconteras…
Elle me regarda d’un air interrogateur, j’embrassai ses petites lèvres roses et ramassai ma serviette. Elle hésita puis déclara:
– Je reste encore un peu, j’ai chaud, je vais me baigner. Je viens te voir dès que je peux échapper à mes parents.
– Ok, amuse-toi bien.
Je la regardai s’éloigner, ses courbes parfaites et sa taille fine s’ouvrant sur ses fesses fermes et rondes, bien dessinées sous le maillot noir, je la trouvai magnifique.
Je me dépêchai de rentrer à la tente, sans répondre aux appels des quelques hommes qui sifflaient sur mon passage. Il n’était pas tout-à-fait désagréable de susciter de l’intérêt chez tous ces garçons, même si le nu intégral, s’il aidait à capter leur attention, n’en était pas moins un souci pour les repousser lorsque l’envie d’introduire leur petite saucisse entre deux tranches d’abricot bien humide les prenait.
Il était presque 18h, Loïc viendrait-il immédiatement après le massage crapuleux – du moins espérai-je qu’il l’ait été – ou me faudrait-il attendre ?
– Oh, ouiii, Jean, Jean, baise-moi plus fort, han, c’est bon !
Je ressentis un pointe de jalousie en m’approchant de la tente. Apparemment, la libido de mon mari se portait bien.
Il n’avait pas fermé la tente, aussi jetai-je un oeil pour voir qui avait choisi de me le voler, cette fois.
Une toute jeune fille au corps fin et délicat , yeux fermés, se faisait prendre en levrette par un Jean extatique, qui souriait comme un gosse. Il tenait le cul étroit à pleines mains et donnait des grands coups de reins, pénétrant sauvagement la petite chatte. L’adolescente, brune, cheveux longs, seins minuscules, totalement nue, couinait comme un cochon d’Inde en respirant difficilement. Jean me vit et ne ralentit pas la cadence, gamahuchant toujours le sexe de sa jeune naïade.
– Oh, aah, Coralie, hiin, tu es là ? Ah, je te… aah… présente… aaah oui… Annabelle… aah…
L’ado ouvrit les yeux, me sourit, et gémit.
– Aaah aaah bonjour aah mmmh aaah !
Elle souriait, ingénue, toute à son plaisir, ne se rendant pas compte que j’aurais dû la fumer sur place pour la punir de baiser mon mari dans mon dos. Il lui caressa le cul et remonta sur ses seins – elle était grande, la salope -continuant à la pistonner comme si je n’étais pas là.
– Elle… aah… m’a demandé… hiiin… de la dépuceler pour… aah… fêter ses 18 ans… ! Aaah, j’ai..obéi… oh que c’est bon ! Oh la cochonne !
– Aah Jean, encore ! Encore ! Je vais souffler ta bougie, aaah, tu vas voir ! Viens dans ma bouche !
Il sortit de sa chatte, sa bite était striée de sang. Elle chercha à prendre la bite entre ses lèvres lorsqu’il la retourna, mais il se dégagea, l’allongeant devant lui, écarta les longues jambes et la pénétra sans ménagements. Il s’allongea sur elle et entama une danse rapide, transperçant la petite de ses coups de bite ravageurs. Il avait plus de résistance maintenant, lui qui avait toujours été plutôt rapide à jouir… Je me penchai en avant, déposai un baiser sur les lèvres de la pucelle, puis embrassai Jean qui s’en aperçut à peine, et les laissai à leurs jeux amoureux. La vengeance viendrait plus tard. Je pris le porte-monnaie et décidai d’aller boire un soda au bar de la piscine en attendant Loïc.
Je n’eus pas à attendre longtemps. J’étais à peine assise sur le siège plastique du bar – les yeux du jeune serveur me laissaient à penser que le pourboire serait à payer en nature – que je le vis, immense, musculeux, short noir, foulard de scout autour du cou, qui se dirigeait vers mon emplacement. Renonçant à ma boisson – au grand regret du serveur – je le suivis discrètement -je ne voulais pas prendre le risque que Laetitia nous voit ensemble – et le rattrapai lorsqu’il tourna dans les thuyas qui cachaient ma tente.
– Hello, beau brun !
– Coralie… enfin !
Je me mis sur la pointe des pieds et l’embrassai sur la bouche. Il sentait l’huile de massage. Il me prit dans ses bras et me serra contre lui, ses mains sur mes fesses qui commençaient à bronzer. Je mordillai ses lèvres, sentant à nouveau mon ventre hurler de désir pour lui, une sensation qui me fit tourner la tête – et mouiller ma petite chatte glabre. Je montrai la tente, d’où s’échappaient toujours des gémissements, des « Oh, Jean ! » et des « Remue le cul, petite salope ! » qui me firent grincer des dents. Je m’en voulais de ressentir encore cette jalousie après tout ce par quoi j’étais passée..
– C’est occupé, on les rejoindra après su tu veux. Tu as des choses pour moi ?
– Oui, ça avance plutôt bien… Regarde !
Il sortit son téléphone portable d’une poche, choisit la vidéo et j’appuyais sur la touche « play ».
– J’ai déclenché le portable avant d’entrer, j’ai bien fait, tu vas voir.
Sur la vidéo, on voyait Loïc frapper à la porte.
« Entrez… »
Laetitia était debout, totalement nue, son corps bronzé exhalant l’arrogance des top-models, ses beaux seins bruns appelant la caresse, sa chatte brune coupée court ne cachant rien de ses lèvres bien dessinées. Je pris conscience que Véronique lui ressemblait beaucoup, mais en blonde à la peau pâle.
« Oh, dit Loïc, il ne fallait pas vous déshabiller, ce n’est pas… »
« Ça te gêne ? Je peux mettre un string, si tu le souhaites. Tu me l’enlèveras si nécessaire… «
« Je.. euh…Non, allongez-vous, c’est bien comme ça. »
« C’est ce que je pensais – les jeunes hommes préfèrent les femmes nues. »
Laetitia s’allongea sur le dos, jambes légèrement écartées, suffisamment pour que Loïc ait une vue imprenable sur la chatte entrouverte.
« Masse-moi les épaules et… les seins. »
Loïc posa le portable sur une étagère et prit ses onguents dans sa mallette.
– Là, je bandais déjà, me chuchota-t-il à l’oreille en m’embrassant les épaules. Regarde comme elle mate mon caleçon.
Effectivement, Laetitia suivait des yeux l’entrejambe de son masseur privé, et je devinai que, comme lorsqu’il m’avait massé, sa bite devait dépasser légèrement de son caleçon, un gland gros comme mon poing, appétissant à souhait.
Laetitia parlait d’une voix suave.
« Tu masses divinement bien, tu sais… Descends vers mon ventre, jusqu’à…là… »
Elle écarta les jambes. Loïc, à hauteur de la tête, se pencha au-dessus d’elle, caressant ses seins, ses hanches, ses cuisses, le regard rivé sur le sexe scintillant d’humidité.
« Tu peux toucher, tu sais… »
Laetitia entrouvrit la bouche et se cambra, et, attrapant les mains de Loïc, les guida vers sa chatte. Loïc passa gentiment ses doigts sur le clitoris offert, et remonta ses mains lascivement sur le ventre et les seins. Laetitia haletait de désir.
« Je te plais, je le sais, » dit-elle dans un râle, « tu bandes, tu as envie de me baiser, petit cochon… » elle souriait.
Loïc feignit d’être gêné.
« Je…c’est que… vous êtes très belle… «
« Et je suis aussi très bonne… viens-là ».
Laetitia se retourna sur le ventre, toujours allongée et fit lentement descendre le short court de Loïc, révélant le sexe immense dans toute sa splendeur.
« C’est ça, viens, petit scout, laisse faire Tata Laetitia…. »
Elle happa la bite avec sa bouche et entreprit une fellation hâtive, mue par un désir incontrôlable. Loïc prit la tête de Laetitia entre ses mains et la guida sur sa pine, afin qu’elle avale le plus possible de l’énorme morceau. Laetitia, une main sous elle fourrageant sa chatte, geignait comme si elle n’avait pas eu de sexe sur sa langue depuis des années, elle donnait de grands coups de menton et enfonçait la bite dans sa gorge à s’en étouffer. Loïc relâcha son étreinte mais elle lui attrapa le membre à deux mains et le masturba frénétiquement en lui léchant goulûment le gland, tandis que le jeune scout lui caressait le dos et les fesses.
« Raah, viens, mets tes doigts dans ma chatte, et donne-moi ta queue ! »
Continuant à le masturber, elle engloutit le gros gland et le poussa dans sa trachée, tandis que Loïc enfonçait ses doigts dans l’antre humide.
– Là, chuchota-t-il dans mon oreille, on ne voit pas sur la vidéo, mais j’ai un doigt sur son anus aussi…
Il me caressait les seins de manière insistante.
« Raah, oui, comme ça, c’est bon… »
Laetitia, le cul cambré, branlait toujours activement Loïc, qui, n’y tenant plus, éjacula sur sa langue et son menton en jets puissants. Laetitia cracha le liquide poisseux sur le sexe encore turgescent, déçue.
« Je… suis désolé… » dit-il, « je ne pouvais plus tenir. »
Laetitia se releva et vint frotter sa chatte ouverte contre la pine dégoulinante de sperme. Elle était clairement frustrée.
« Demain soir, même heure, ici, je te sauterai et après m’avoir baisée toutes les autres femmes te paraîtront insipides. »
– Voilà, il n’y a rien d’intéressant après, si ce n’est qu’une fois que je me suis rhabillé, elle m’a roulé une pelle d’enfer.
Je posai un baiser sur ses lèvres tandis que ses mains descendaient délicieusement sur mon ventre.
– Pourquoi tu ne l’as pas sautée ? Tu n’as pas pu te retenir ?
Il me fit un clin d’oeil malin.
– Je voulais la frustrer. Déjà, c’est ton ennemie, je ne vais pas lui faire du bien comme ça, elle peut attendre un peu – mais c’est une vorace, ta copine ! Deuxième raison, je veux qu’elle soit complètement folle quand je lui cèderai, et que ça se voit sur la vidéo. Enfin… la récompense que tu m’as promise vaut bien quelques efforts de ma part pour te contenter…
Je l’embrassai à nouveau. Jelui avais promis une sodomie lorsqu’il me donnerait un film au moins aussi compromettant pour Laetitia que celui qu’elle avait du concours des Miss l’était pour moi. Chantage pour chantage. L’heure de la vengeance froide approchait. J’allais me la payer cette poufiasse.
– Tu es mignon. Viens.
Je le guidai vers la tente, juste à l’entrée, attrapai une serviette, et lui enlevai son short.
– Tu sais, je viens juste de… Je veux dire… Ça va être un peu mou.
– Oh, petit poussin… Je vais te le faire grandir, ton bâton de joie…
Je le fis s’agenouiller sur la serviette, de manière à ce qu’il me tourne le dos et que son sexe pendouille dans la tente où s’ébattaient toujours mon mari et sa vierge déflorée.
J’entrouvris le battant en tissu, et saisis le grand braquemard de Loïc.
– Jean, retourne la petite, j’ai une sucette pour elle…
Jean comprit mon idée et allongea Annabelle, complètement surexcitée, sur le dos et la pénétra à nouveau aussitôt, il semblait la trouver vraiment à son goût, la petite pute. La bouche de l’adolescente se trouvait ainsi juste sous le sexe grandiose, elle rit en haletant toujours.
– Ouh, la grosse bougie, mmmh.
Elle ouvrit grand les mâchoires et entreprit de sucer Loïc tandis que, juste derrière lui, je dirigeai la queue à deux mains en le masturbant.
Je lui mordillai les épaules et le creux du dos.
– Laisse-toi faire, petit amour, on va te régaler.
Le membre fatigué se réveilla bien vite, je le poussai dans la gorge vierge, en le branlant sur toute sa longueur. Je plaquai mes seins sur le dos musclé, jambes écartées par dessus ses mollets, essayant difficilement d’y frotter ma chatte trempée.
Je dus bien avouer que la petite en avait sous le capot. Elle avala facilement les trois-quarts du sexe terrible de Loïc, la tête renversée en arrière, et appréciait manifestement de lécher ses couilles poilues – qui pendaient juste au-dessus de son nez – en le branlant habilement – il y avait la place pour nos quatre main sur la pine enchanteresse.
Jean, de son côté, n’avait aucun problème à la satisfaire, il en redemandant, plongeant dans la jeune chatte comme dans du beurre. Il s’allongeait parfois totalement sur elle, la plombant de coups de bite ravageurs, ses yeux ne quittaient pas la fellation majestueuse que sa conquête offrait à mon scout. Il lui mordit la joue d’un air salace.
– Tu… aah… ne veux pas…aaah… sucer la mienne aussi ?
– Aah…mmmh…ouiiii…
Jean extirpa son engin de l’antre chaud et le présenta à la belle, qui le happa, en rythme, alternant l’une et l’autre des bites avec un entrain frais.
Loïc se pencha en arrière et me dit à l’oreille:
– Va la sucer, je veux te mater.
– ça t’exciterait ?
– Oui.
Je me glissai dans la tente et, le cul bien en vue de Loïc et de Jean, j’entrepris de lécher l’intimité de la donzelle. Je posai ma langue sur son clitoris et enfonçai mon nez entre ses grandes lèvres. Le parfum fort de son excitation me satura vite les narines, je suçai fébrilement l’antre doux, à grands coups de langue et la pénétrant avec mon nez menu. L’adolescente frissonnait, gémissait, défaillait de plaisir, et, lorsqu’elle passait d’une bite à l’autre, elle couinait:
– Oh oui oui oui, plus vite, plus vite, mmmmh.
Elle engloutissait alors une pine, et me tenait la tête à une main pour que je descende plus bas, que ma langue se trouve à hauteur de sa vulve, et s’y enfonce profondément. Je léchai son périnée et son petit trou, et fus satisfaite de l’entendre s’écrier:
– AH, oui, là, comme ça !
La pression de sa main sur mes cheveux s’accentua, elle se tendit comme un arc et me guida sur son anus, que je dégustai avec un plaisir, remarquant à peine les doigts de l’un des deux garçons qui jouaient dans mon vagin. Je m’activai plus précisément entre le bas de sa fente, son périnée et son petit trou, langue en pointe, et y promenai un doigt pour accentuer le torrent de sensations.
– Aooh, oui, comme ça, comme ça…!
J’avais le nez trempé de jus, je salivai abondamment, et embrassai la zone intime comme j’aurais embrassé la bouche d’un amant que je n’aurais pas vu depuis une éternité. Je souris de sentir le sexe de Loïc se frayer un chemin en moi. Je remontai sur le ventre de la petite, mes doigts virevoltant habilement dans la touffe pubère, et jetai un oeil en arrière. Jean se masturbait dans la bouche grande ouverte, les yeux rivés sur la cambrure de mon cul et sur Loïc qui me pistonnait de plus en plus rapidement, les mains sur mes seins.
La petite m’appuya à nouveau sur la tête, écarta les jambes et me plaqua la bouche sur sa chatte, imprimant un mouvement pour que je suce anus et périnée au passage.
Loïc se crispa en moi, je devinais qu’il éjaculait le reste de sperme non récolté par Laetitia, puis sortit de mon sexe humide et s’affala dans la tente.
L’adolescente se tendit soudain, en exprimant des râles étouffés. Je ne ralentis pas ma caresse buccale, espérant prolonger sa jouissance, certainement la première du genre – je la comprenais, n’ayant ressenti moi-même ces sensations pour la première fois que quelques jours auparavant.
Lorsqu’elle se détendit, je donnai encore deux-trois coups de langue pour faire bonne mesure, puis quittai l’antre chaud. Je remontai le long du long corps sylphide, et comme Jean se masturbait toujours au-dessus de son visage, je vins m’allonger à côté d’elle, l’embrassai sur la bouche, et me serrai contre elle, les yeux sur la queue qui s’agitait au-dessus de nous. C’en fut trop pour mon mari, qui jouit enfin, le sperme tomba en gouttes épaisses sur nos visages, et la petite se mit à rire en chantonnant la mélodie « Joyeux anniversaire ».
Jean approcha son sexe souillé des lèvres fines de l’adolescente, la bouche s’entrouvrit, elle attrapa le sperme congelé avec sa petite langue et s’en régala, grimaçant à peine.
– Ma première bougie, dit-elle en riant.
Il vint se coucher à ses côtés, se serrant contre elle.
– Joyeux Anniversaire, Annabelle, dit-il en chuchotant.
– Merci pour le cadeau, je reviendrai souvent , répondit-elle sur le même ton.
Je sentis Loïc se lover contre mon dos et m’embrasser les épaules. Je fermai les yeux et m’endormis sans m’en rendre compte.