Miss Camping – Chapitre 17
Nous nous promenions dans le camping, perdues et hésitantes comme deux adolescentes amoureuses. Main dans la main avec Véronique, je me sentais sur un petit nuage, la tête légère, prise d’une ivresse que je chérissais un peu plus à chaque fois que nos doigts entrecroisés se caressaient tendrement. Le sol brûlant sous nos pieds ne me dérangeait pas, pas plus que le vent chaud qui accentuait la morsure du soleil étouffant de chaleur. J’avais la chair de poule, mes tétons étaient dressés d’un désir frais, ce que ne manquaient pas de remarquer les hommes que nous croisions, et dont les regards affamés nous suivaient longtemps après que nous les ayons dépassés. Véronique me mordilla l’oreille en chuchotant:
– La plage risque d’être un peu chaude à cette heure-ci. Suis-moi, je sais où nous trouverons de l’ombre ici.
Elle m’emmena jusqu’à l’espace de jeux, un peu en retrait du chemin, qui s’étendait sur une cinquantaine de mètres, à l’ombre de grands arbres et de buissons odorants.
– Par ici, on ne nous dérangera pas.
Serrant ma main, elle me guida vers les tables de ping-pong, à l’abri des regards, derrière de grands lauriers roses.
– Voilà. En général, il n’y a personne ici l’après-midi.
Elle se tourna vers moi, posa ses yeux bleu-vert sur mes seins, et me prit dans ses bras. Nos lèvres se trouvèrent immédiatement, un baiser urgent, passionné, affamé. Elle mordillait mes lèvres tout en me caressant du dos jusqu’aux fesses. Je lui rendis ses caresses, me délectant du contact de ses petits seins contre les miens, de sa taille fine, de son cul ample et ferme, de la douceur des lèvres de sa chatte imberbe.
Elle me poussa vers la table de ping-pong sans relâcher son étreinte, et me fit m’asseoir dessus. J’écartais les jambes pour l’attirer à moi, elle m’embrassa le cou, les épaules, pris mes nichons entre ses mains et en mordilla les tétons, puis s’accroupit et fourra sa tête blonde entre mes cuisses.
Elle leva les yeux vers moi, sa langue écarta mes grandes lèvres et trouva mon clitoris, elle sourit.
– Laisse-toi faire, et apprends-moi où tu aimes.
Je pris sa tête entre mes mains et sentis sa langue s’enfoncer en moi. Je relevai les jambes pour ouvrir plus grand l’accès à ma grotte intime, l’incitant, par de petits coups de reins accompagnés de gémissements sincères, à me lécher plus fort, plus loin.
– mmm oui… oui…
Ses doigts entrèrent dans la danse, l’index, le majeur, l’annulaire, trois doigts dans mon vagin, puis quatre, et le pouce qui tournait sur mon clito avec sa langue endiablée, je me déhanchai pour l’accompagner, imaginant qu’un gode ou une bite viendrait me prendre pour me remplir complètement, je me retins de crier de justesse.
Je la relevais d’un coup et l’embrassai passionnément. Elle me regarda en souriant encore.
– Tu sais Coralie, je crois que je t’aime, pour de bon.
Je lui rendis son sourire.
– je t’aime aussi. Je crois.
– Avant de te rencontrer… Je ne savais pas que… que je suis une… une lesbienne.
Je changeai de place avec elle, et l’assis sur la table, me lovant entre ses cuisses écartées. Je m’accroupis entre ses jambes et la léchai lentement. Elle gémit. Je plantai ma langue entre ses lèvres humides, elle ferma les yeux et se caressa les seins en rythme pendant que je la suçai amoureusement.
Son sexe avait un léger goût salé, la douceur d’un abricot tendre et mûr, je prenais autant de plaisir à y promener ma langue que si je me léchais moi-même. Je glissai une main vers ma chatte et me masturbai délicieusement, m’abandonnant aux sensations que me procurait son vagin sur ma bouche, dans ma bouche, son clito dardant chaudement sur mon nez, son humidité féminine qui me faisait tourner la tête.
Deux mains d’hommes se posèrent sur mes épaules et descendirent sur mes seins. J’ouvris les yeux, sans cesser de sucer ma blondinette, qui se retournait pour voir qui lui avait aussi empaumé ses petits nichons.
Deux mecs plutôt mignons nous caressaient avec douceur. Véronique m’interrogea du regard, je lui fis un clin d’oeil. Elle laissa le mec derrière elle lui malaxer la poitrine, en fermant les yeux. Une bouche s’approcha de mon oreille et me susura:
– Laissez-vous faire, les filles.
Les mains du mecs m’incitèrent à me relever, ce que je fis. Il se frotta à mon cul un instant et me retourna face à lui. Je m’assis sur la table de ping-pong. Les deux garçons s’accroupirent entre nos jambes et y plongèrent leurs langues, nous suçant énergiquement en soupirant d’aise. Je tournai mon visage vers Véro, juste à côté de moi, et l’embrassai avec fougue. Elle me rendit mon baiser en enfonçant la tête de son suceur entre ses cuisses fines grandes ouvertes. Je l’imitai, forçant le jeune pervers dans ma grotte humide. Son nez écrasait mon petit bouton, tournait dessus, entrait dans ma chatte, me violait délicieusement, déclenchant de divins éclairs dans tout mon ventre.
Je chuchotai à l’oreille de Véronique:
– Merci de partager ça avec moi.
Elle m’embrassa encore.
– je t’aime, Coralie.
Je souris et lui répondis dans un souffle:
– je t’aime aussi. Viens.
Je lui pris la main et descendis de la table, relevant les deux gars et leur baissant leurs caleçons. Le mien avait une bite épaisse, très brune. Celui de Véro avait un long sexe rosâtre, au prépuce circoncis. Je saisis ce membre et le portai à la bouche de ma blondinette, qui le têta dans un sourire timide. Le mec à la pine brune la frotta contre mon nez. Je l’embouchai d’un coup, heureuse de la sentir battre contre ma langue.
– Suce, salope.
J’obéis, imaginant les bites de Loïc et de Vincent me transpercer la gorge, déverser leur crème délicieuse sur le menton. Je pressai mes lèvres contre le membre ferme, au goût de chlore, me fourrant deux doigts dans le vagin, ne boudant pas mon plaisir. Du coin de l’oeil, je vis Véronique gober le gland de son gars, qui lui tenait la tête et lui caressait les cheveux. Elle avait l’air heureuse. Je pris sa main dans la mienne, tout en léchant la bite épaisse avec gourmandise, encouragée par le mec qui prenait son pied.
– Continue comme ça avec ta langue, c’est ça, goûte-la bien… Mmm
Véronique vint m’embrasser dans le cou et me caresser les seins, je souris et lui donnai la pine sortie de ma bouche à sucer tandis que je gobai celle de son gars, l’aspirant comme un gros spaghetti. Je le pompai énergiquement, jusqu’à ce qu’il me prenne les cheveux dans ses doigts serrés et empêche ma tête de bouger. Il souffla lentement, contracta ses abdos pour se retenir d’éjaculer dans ma gorge. Sa bite battit furieusement contre ma langue immobile, je le laissai décompresser, ravie de l’avoir fait jouir si vite. Deux petites gouttes de sperme perlèrent de son méat dans ma gorge, puis il se détendit, soulagé de n’être pas venu si tôt. Il retira doucement son membre de ma bouche, j’appuyai ma langue dessus au passage, de manière à prolonger son plaisir. Je le taquinai:
– tu as aimé, mon beau ?
– ouais, tu suces comme une déesse. Assieds-toi sur la table et écarte bien les jambes.
Je m’exécutai, imitée par Véronique qui embrassait son gars à pleine bouche en me regardant d’un air coquin. La bite pénètra mon vagin par à-coups, et s’y enfonça comme dans du beurre. Mon blondinet attrapa mes seins et les serra dans ses mains douces, j’ondulai du cul pour lui faire comprendre que j’appréciai et lui dis à l’oreille:
– tu as intérêt à bien me faire jouir. Fais-moi crier…
Il m’embrassa à pleine langue en me fourrageant la chatte, je me laissai emporter par les sensations très agréables. Je m’amusais beaucoup.
– aaah oui… Aaah…
J’ouvris les yeux pour regarder Véro, penchée sur la table, le cul en arrière, qui se faisait limer en levrette. Elle souriait en me regardant, écartant ses fesses avec ses mains, exposant son petit trou aux yeux gourmands de son amant improvisé.
Il mouilla son pouce d’un grand filet de salive et humecta l’anus rose, incertain, s’attendant sans doute aux protestations de mon adorable adolescente. Mais Véronique l’encouragea, plaquant sa poitrine sur la table de ping-pong et poussant sur le doigt coquin pour qu’il la pénètre. Elle me fit un clin d’oeil, je me serrai contre le mec qui me gamahuchait pour mieux voir le spectacle qu’elle m’offrait. Il me prit dans ses bras, m’étouffant presque, et poussa son sexe gonflé le plus profond possible en ahanant comme un buffle.
L’amant de Véronique s’enhardit. Il sortit sa bite épaisse de la chatte rasée et, crachant sur le petit trou précieux, la prit à pleines mains pour forcer la pastille qui lui était offerte.
– Non, gémit-elle, elle est trop grosse, tu vas me faire mal ! Continue avec ton pouce.
– Tu m’as bien chauffé, salope, alors laisse-toi faire.
Elle hocha la tête négativement, mais se cambra, docile.
A mesure que l’engin la pénétrait, l’adolescente ferma les yeux, aidant de ses mains, écartant son cul, ondulant ses hanches.
– Aaïe…Aaa…aaa… Arrête, je ne peux pas, c’est trop gros…!
La bite s’arrêta à mi-longueur, ressortit lentement, le gars cracha un nouveau filet de salive dessus, et enfonça fermement son engin, tandis que Véro, soumise, l’accompagnait pour l’aider, la langue sur les lèvres, bouche entrouverte.
Je me dégageai de l’étreinte de mon amant de l’après-midi, me retournai et lui présentai mon cul en écartant mes fesses. Je guidai sa bite vers mon petit trou moite, tout en embrassant ma blondinette, qui se faisait baiser en haletant de plaisir juste à côté de moi, sur un côté de la table de ping-pong.
Il me pénétra en deux coups, et entama ses va-et-vient ses deux mains sur mes hanches. Je glissai une main sous la chatte de Véronique, et sentis la sienne venir me caresser. La jouissance arrivait très vite, je fermai les yeux et m’abandonnai au sexe qui me labourait la voie étroite, bien habituée maintenant à ce qu’on l’emprunte avec ardeur…
Bien vite, les garçons échangèrent leurs places. Je m’allongeai sur le dos, jambes écartées, et laissai mon mignon petit brun insérer sa grosse bite brune dans mon petit trou, par devant. Il n’avait d’yeux que pour mes seins bronzés zébrés de rouge, et se penchait de temps à autres pour les téter. J’entendais Véronique hahaner, gémir, soupirer d’aise. Je levai la tête et vit qu’elle et son blondinet étaient en position de 69.
– Oh oui, chuchotait-elle, suce-moi comme çaaaa, mmm, viens dans ma bouche…mmm
Ses lèvres se fermèrent parfaitement sur le gland fin, qui fut avalé jusqu’à la garde. Elle le pompa jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa gorge, et l’y garda un instant avant de recracher la bite, blanche de sperme.
Je me concentrai sur les sensations que je ressentais, heureuse, me laissant baiser comme une reine, sans fournir d’effort. Le gars sentit que j’étais tout à lui, il me pressa les seins et vint dans mon cul en saccades incontrôlées, je l’accompagnai dans son plaisir, et le serrai contre moi lorsqu’il s’effondra de tout son long, vidé, en m’embrassant le visage au passage. Le dos large et musclé roulait sous mes doigts. Je sentis Véronique m’embrasser le front et les lèvres, un filet de sperme sur son menton. Je lui rendis son baiser, me dégageai de l’étreinte de mon amant essoré et enlaçai ma blondinette. Lorsque nous nous relevâmes, les deux gars étaient partis… Mais il y en aurait bien d’autres ! Elle sourit.
– Alors, on y va à cette plage ?