Miss Camping – Chapitre 16
– Aah… mmm… oui… hmmm
J’étais seule, cul en l’air, les bras dans le dos, menottée, à moitié écrasée sur une table branlante, un gode vibrant dans ma moule, et je n’éprouvais aucune honte, ne cherchant qu’à intensifier le plaisir qui montait de mes reins, serrant et desserrant les jambes en rythme. Je parvins à glisser le doigt d’une main menottée juste sur mon petit trou souple, et l’y fis pénétrer, décuplant les sensations déjà fortes. Un filet de bave coula de mes lèvres souriantes.
– Eh, les tourtereaux, vous venez manger ?
Dehors, Vincent avait la voix amusée.
– Vous terminerez de dévorer les seins de Sarah après le repas, Jean, vous verrez qu’elle est bien plus cochonne avec un coup dans le nez !
Le plaisir montait, j’étais au seuil de la jouissance, puissante, douloureuse. Je gémis, priant pour qu’elle explose au plus vite, mais elle se dérobait. Si seulement j’avais pu me masturber, je serais venue très vite ! Je me redressai, serrant les genoux sur la table branlante, ce qui déclencha des vagues de spasmes hurleurs dans mon ventre. Mains dans le dos cherchant toujours à explorer ma raie le plus loin possible, j’écartai les jambes et m’empalai sur le godemichet enragé tâchant de guider sa course vers le paradis,
– Aah ! Aah ! Mmm ! Oui !
– Je vais chercher le pain, je reviens.
Sarah entra dans le mobil-home, nue, magnifique. Elle sourit en me voyant me tortiller sur le gode, seins étouffés sous le haut de soie et visage tourné vers le ciel.
– Vincent t’a prêté mes jouets préférés, à ce que je vois… Il est très coquin, parfois…
Je la suppliai:
– Sarah ! Aah ! Aide-moi ! Mmm ! Aah ! Aide-moi à jouir ! Branle-moi !
Elle s’approcha, caressa mes nichons dardant sous la soie et plongea la main vers ma chatte, où elle actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer deux fois plus vite. Je me noyais dans une agonie de plaisir.
– Tu verras, me chuchota Sarah, c’est meilleur quand ça vient très lentement… Baisse-toi.
Reconnaissante, j’obéis, me recouchant à moitié sur la table, croupe en l’air. Elle fouilla dans la boîte un instant et me montra un godemichet plus fin, en métal doré. Elle m’embrassa l’oreille en chuchotant:
– Tu le veux, celui-là aussi ? Tu veux jouir vraiment ?
– Aah ! Oui ! Je t’en prie !
Elle caressa mes épaules, mon dos, flatta ma croupe, je gémis plus fort encore, puis elle écarta mes fesses et planta le gode doré dans mon anus, l’y enfonçant d’un coup. J’ouvris grand les yeux en hurlant. La main apaisante de Sarah vint caresser mes seins.
– Désolée si je t’ai fait un peu mal, ça va passer – je te parle en toute connaissance de cause, ma chérie, tu verras…
Elle actionna le gode doré, qui vibra de concert avec celui planté dans mon vagin. La douleur se transforma en plaisir, qui irradia dans mes reins, je haletai en couinant d’une voix aigüe:
– Oui ! Oui ! Ouiouiouiouioui !
Sarah me donna un dernier baiser, puis sortit, le pain à la main, me laissant lutter dans la tornade de sensations violentes qui m’assaillait.
Je ne pouvais plus bouger, affalée sur la table, prisonnière des deux godes et des menottes, perdue dans un ouragan de plaisir diabolique, qui crissait sur mon système nerveux, incapable de mener la jouissance à son terme, je restais là, pleurant d’un plaisir douloureux, suppliante, implorante. Je ne sais combien de temps s’écoula avant que j’entende Vincent revenir, manifestement ravi du spectacle que je lui offrais.
– Tu es en avance sur le programme, ma belle… Viens là !
Il attrapa ma tête à deux mains et glissa sa bite dans ma bouche. Je le suçai en soufflant comme une furie, désespérée de ne pas trouver le chemin de l’orgasme qui n’en finissait pas de se refuser à moi. Je saisis le gode qui me sodomisait et essayai d’accentuer la jouissance qu’il me procurait.
Vincent se retira de mon étreinte buccale, vint se placer derrière moi et arrêta la vibration des deux godes. Je gémis:
– Nooon, s’il-vous-plaît, laissez-moi jouir !
– On y vient, on y vient…
Il sortit les deux objets de mes orifices, je frissonnai d’aise quand il plaça le plus gros des deux, le gode bite-de-Loïc, à l’entrée de ma rondelle, tout en la mouillant avec le jus de ma chatte. Je ne pouvais imaginer comment il comptait faire entrer un si gros objet par mon petit trou, mais, lorsqu’il se mit à me masturber, trois de ses doigts se démenant comme des diables sur mon clitoris, je me penchai davantage en couinant comme un hamster, priant silencieusement pour qu’il me le mette bien profond.
Il poussa sur le gode lentement. Mon anus embrassa le bâton de caoutchouc et lui céda le passage sans protester, je ne ressentis aucune douleur, juste un plaisir démultiplié, chaque centimètre parcouru m’électrisant les reins. Ses doigts tournaient toujours sur mon clitoris, et je sentis enfin que la délivrance arrivait, une vague lointaine qui viendrait déferler de la pointe de mes pieds jusqu’à la racine de mes cheveux.
– Ah ! Oui ! Plus loin !
Je poussai sur mon cul, et sentis bientôt les couilles du gode XL buter contre mon vagin. Vincent actionna le bouton magique et l’engin vibra dans mes boyaux, déclenchant un tremblement de nerfs dans tout mon être.
– Suce !
Je n’avais pas réalisé qu’il était passé à côté de moi. Je tournai la tête en pleurant de joie et, tandis qu’il me masturbait toujours et me pressait les seins avec force à travers le haut de soie blanche, je l’engloutis tout entier en soufflant par le nez. Il enfonça ses doigts dans mon vagin, accentuant la déferlante. Je jouis en hurlant contre la bite bloquée au fond de ma gorge, remuant le cul et la chatte pour guider les sensations qui s’entrechoquaient entre mon ventre et mes reins, et ne fus pas surprise lorsqu’il attrapa ma tête à deux mains et éjacula dans ma trachée, étouffant mes hurlements de bonheur.
Il sortit lentement sa pine de ma bouche, je laissai ma langue sortie en gémissant, accueillant les jets de sperme chaud avec une joie salace. Il se branla avec douceur, guidant la crème juteuse sur mes lèvres et mon nez, amenant sa queue jusque sur mon palais pour que je le pompe encore et encore.
– Relève-toi, vite.
Il m’aida à me mettre à genoux, je dus écarter les jambes pour que le gode ne me déchire pas le derrière, j’oscillais toujours entre plaisir et douleur. Il se souleva sur la pointe des pieds et frotta sa bite dans ma fente rasée, tout en fourrant son visage dans mes seins, qu’il renifla à travers le haut de soie blanche.
– Vincent est là ? demanda une voix d’homme au-dehors.
– Dans le mobil-home, oui, répondit Sarah, un sourire dans la voix.
L’homme entra, et s’immobilisa sur le seuil.
S’il était étonné, il ne le montrait pas. Vincent me mordilla les deux seins, avant de me laisser, et de venir lui serrer la main.
– Elle est à toi.
Je protestai.
– Quoi ? Non !
L’homme, plutôt bedonnant, me sourit, me retourna sur la table, me fit descendre, dos à lui, enleva le gode de mon cul, sans ménagement et y fourra sa pine déjà dure sans prononcer un mot. Il m’attira à lui par les menottes, et me malaxa les seins à travers la soie tout en me limant férocement, sous le regard appréciateur de Vincent.
– Arrêtez ! Aah !
Après le contact âpre et caoutchouteux du gode, la texture soyeuse du sexe qui allait et venait dans ma voie étroite avait quelque chose d’infiniment agréable, couplé aux caresses appuyées sur mes nichons. Je rejetai la tête en arrière en haletant, écartant le cul pour mieux ressentir le chibre qui l’explorait.
– Aah, oui…
Il lâcha mes seins et s’activa sur mon clitoris lové au creux de mes lèvres rasées. La sensation était orgasmique, je me mordis les lèvres en couinant de plaisir. J’essayai de tourner la tête pour embrasser l’inconnu, et vis qu’il regardait son sexe entrer et sortir de mon cul d’un air ravi. Il m’attrapa la tête à deux mains et fourra sa langue dans ma bouche en jouissant bruyamment. Je sentis son sperme chaud inonder mes intestins et serrai les fesses pour lui donner un maximum de plaisir tout en continuant à l’embrasser goulûment.
Il retira sa bite mollissante de mon cul et la glissa dans ma chatte, ses doigts chatouillant toujours mon petit bouton rose. Je sentis Vincent s’approcher de moi. Il m’ôta les menottes – mes bras et mes épaules me faisaient mal – et passa la main sous la soie pour caresser encore mes seins. Je remuai le cul en rythme, j’espérai pouvoir déclencher un nouvel orgasme – l’idée de ces deux hommes qui s’occupaient de moi et y prenaient un plaisir certain me faisait partir à nouveau, je me concentrai sur le sexe qui se réveillait dans le mien, sur les deux doigts qui faisaient rouler délicieusement mon clito, et sur la main qui pinçait mes tétons sous la douce soie du haut trop étroit.
– ouiouiouiouioui !
Les mains sur mes seins se firent plus pressantes.
– Elle aime ça la cochonne…!
Je m’empalai sur la bite en souriant, au bord de la jouissance. Sylvie entra dans le mobil-home.
– Tu as fait connaissance avec mon mari, à ce que je vois…
J’écoutais à peine, donnant des coups de reins de plus en plus marqués, m’abandonnant à la levrette et aux mains sur mon corps.
Sylvie vint me caresser le visage et les cheveux, je mordillai ses doigts en gémissant, accélérant encore mes ondulations. Sa bouche rencontra la mienne, une onde de jouissance me traversa le corps de la croupe aux lèvres, je criai de plaisir dans le baiser saphique de la jolie brune.
Son mari ne mit pas longtemps à venir, il éjecta son sexe de mon vagin sensible et Sylvie branla sa semence sur ma croupe rebondie – j’accompagnai l’éjaculation avec douceur, me frottant à la bite écarlate, qui déversait des larmes de sperme blanchâtre et épais sur le haut de mon cul.
Sylvie me serra dans ses bras, je l’embrassai encore, avant de prendre Vincent par la main et d’échanger un nouveau baiser avec lui.
– Merci, dis-je sincèrement. C’était une expérience… intéressante…
Il me bécota dans le cou et exposa mes seins en tirant le haut de soie. Il les téta un moment avant de dire:
– Deux beaux gros seins, un cul à faire se venir dessus un moine tibétain, une chatte toujours bien mouillée prête à engloutir une bonne pine, une vraie petite bouche de pute, tu me fais penser à Sarah il y a 30 ans… Si tu veux passer tes vacances dans notre mobil-home, tu es la bienvenue.
Je lui caressai la joue en souriant.
– Nous verrons…
Je ramassai les deux godes et les menottes, puis enlevai le haut de soie à regrets. Je les lui tendis.
– Garde-les précieusement, j’aurai peut-être encore des occasions de les utiliser…
Il me fit un clin d’œil. Je pris Sylvie par la main et sortis du mobil-home, sans faire attention au sperme qui coulait de mon cul. J’étais la gentille pupute du camping, comme disait mon mari, tout le monde le savait, un peu de sperme en plus ou en moins sur mon corps nu ne ferait pas une grande différence.
Je remarquai à peine Jean qui se faisait sucer intégralement par Sarah pendant qu’un autre type – le voisin ?- la baisait par derrière. Je croisai les doigts dans ceux de Sylvie et dit:
– je meurs de faim !
Je me servis un morceau de viande grillée et le dégustai en regardant mon amie se faire baiser. Même prise par deux hommes, et avec une pine dans la bouche, elle gardait sa grâce naturelle, une princesse aux courbes parfaites accordant ses faveurs à deux serviteurs indignes de ses charmes si sensuels. Les deux garçons le sentaient, manifestement, et essayaient donc de se surpasser, tant en douceur qu’en qualité, pénétrant ses orifices avec attention, caressant son dos, ses seins ou sa croupe, tâchant de donner plus de plaisir qu’ils n’en ressentaient eux-mêmes. Je me promis de travailler cette attitude lors de mes prochains ébats, presque surprise de les attendre avec impatience…
Il était presque 14h30 et Véronique ne se montrait toujours pas. J’avais déjeuné rapidement, la compagnie de Vincent, de Sylvie et Rémi, son mari, et de Sarah s’était avérée très sympathique. Nous avions parlé des pratiques sexuelles préférées des deux filles, et, en dehors du fait que je n’avais jamais expérimenté la moitié d’entre elles (comme de se mettre nue à la vitre d’une voiture et de laisser les hommes qui le voulaient se masturber et étaler leur semence sur les carreaux, et parfois ouvrir la vitre et sucer tous ceux qui se présentent…!), j’avais promis de m’initier avec elles et de partager leurs pratiques favorites. Jean n’avait pas protesté, il avait passé le gros du repas à malaxer la poitrine opulente et parfaite de Sarah, et semblait maintenant impatient de me voir retourner chez elle. Il était d’ailleurs resté ‘pour la sieste’ ce qui m’arrangeait bien pour la suite de mon après-midi.
J’étais revenue à la tente, espérant déjà y trouver Véronique, ma blondinette. Mon cœur se mit à battre plus fort. Et si Laëtitia n’allait pas en courses ? Je respirai plus difficilement. Et si Véronique avait réfléchi et réalisé que son petit ami avait mieux à lui proposer que moi ? Je voulais explorer le sentiment que j’avais ressenti en l’embrassant, en plongeant ma langue entre ses lèvres au goût de pêche, en écrasant son clitoris sur mes papilles émoustillées… Je déglutis, ravie et effrayée par l’excitation qui me fit tourner la tête à ces pensées coupables.
– Coralie.
Le chuchotement venait des thuyas. La voix de Véronique.
– Viens, je suis seule !
Elle apparut. Elle était vraiment magnifique, dans son petit bikini vert amande, ses deux seins pointant à travers l’étoffe, ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, sa bouche rose tendre, sa taille mannequin… des papillons se mirent à voler dans mon ventre, mon cœur battit la chamade… je marchai vers elle comme sur un nuage. Nos nez frottèrent l’un contre l’autre. Je me noyai dans ses yeux bleus. Elle m’embrassa, troublée. Pris un de mes nichons dans sa main aux doigts fins. Le baiser se prolongea, infini, je fermai les yeux et me laissai porter par les sensations très exotiques que je ressentais.
Je la respirai dans le cou, elle eut un petit rire coquin en mordillant une de mes oreilles.
– On va à la plage ? demandai-je.
– Je te suis, juste une seconde.
Elle s’écarta, et ôta son haut de maillot, puis tira sur la cordelette de son string, qui tomba à ses pieds. Sa nudité angélique m’émoustilla. Je la regardai sans comprendre.
– Et voilà, dit-elle. Je suis aussi une miss camping maintenant… tu viens ?
Nous sortîmes de mon emplacement et prîmes le chemin de la plage, nues sous le soleil.