Miss Camping – Chapitre 14
(Coralie la miss camping se rend compte qu’elle devient un objet sexuel pour les campeurs, qu’elle n’a plus de volonté et qu’elle sombre dans une frénésie sexuelle qui lui est étrangère, proche de la folie. Son mari, qui est le responsable de cette situation, n’est pas épargné par les campeuses en manque…)
J’étais assise sur les toilettes.
La tête dans les mains.
Je m’étais réfugiée là après m’être nettoyée, porte fermée, respirant à peine, espérant échapper pour un temps aux mains et aux sexes qui se faufilaient en moi dès que je montrais un téton ou la rondeur de ma croupe. Sarah et Sylvie attendaient dehors, que je me remette. Nous avions expérimenté des baisers et des doigtés intéressants pendant la douche, j’avais appris qu’une langue de femme pouvait procurer autant de plaisir que celle d’un homme… et que deux langues… mmm…
Mais là, j’avais besoin d’être seule.
Il fallait que je me ressaisisse. Que je sorte de cette situation.
J’étais tellement sûre, la veille, que je pourrais tout maîtriser, prendre du plaisir dans ce qui n’était qu’une parenthèse dans ma vie. Mais j’avais toujours le problème de Laëtitia, qui ne manquait pas de m’humilier chaque fois que l’occasion se présentait. De ce point de vue-là, le séjour me paraîtrait certainement très long. Du moins tant que je n’aurai pas le film de Loïc.
J’avais aussi le problème des adolescents en pleine puberté pour qui j’étais une aubaine, un terroir de découverte sexuelle, ouverte à toutes les bites, baisable par tous les orifices, toujours mouillée, toujours disponible, toujours consentante. Et souvent excitée, je devais bien l’admettre. Je ne voyais pas comment les éviter, sinon en m’enfuyant définitivement du camping, à poil s’il le fallait, pour…
Pourquoi ? Pour quel avenir ? Ma chef avait un film sur moi, qu’elle montrerait à mon patron si je ne la satisfaisais pas. Tant que je n’avais pas ce film, j’étais coincée ici.
Et j’avais aussi le problème de mon violeur, celui qui aimait la pisse et la merde, et qui m’avait sodomisée si brutalement. Lui non plus ne me lâcherait pas. Je ne pouvais pas commander les moments où j’avais envie d’aller au petit coin…
Je pouvais porter plainte, évidemment.
J’enfouis ma tête entre mes mains. Impossible. Quel juge me donnerait raison, je me baladais à poil dans le camping, je me rasais la minette, je me laissais tripoter et baiser par tout le monde, même par des femmes, même en public… Le juge me ferait venir à la barre et me condamnerait à rester Miss Camping à perpétuité… s’il ne décidait pas de me condamner à me taper toute la cour pour diffamation, et à me faire emprisonner dans une prison d’hommes en laissant ma cellule ouverte pour qu’on puisse me baiser à toute heure…
Non, surtout pas de plainte.
Plus que trois petites semaines, et le calvaire serait terminé.
En attendant, je trouverais bien du réconfort quelque part… En m’abandonnant aux désirs de Loïc. En me laissant aller avec Sarah et Sylvie. En explorant plus avant les sentiments que je commençais à éprouver pour la petite Véronique, la fille de Laëtitia, ma petite vengeance, ma belle blondinette… Et qui sait, peut-être que me taper les vingt petits copains de Loïc me serait agréable… Les jets de sperme n’étaient pas si mauvais que ça, et déclenchaient au moins des vagues de plaisir en moi…
Et Jean, dans tout ça ?
Nous nous étions mariés trop vite, je m’en rendais compte maintenant. Une prise de conscience cruelle. Question baise, il n’arrivait pas à la cheville du fils de Laëtitia, Axel, avec sa bite pourtant fine, et encore moins à celle de Loïc, et sa queue de trente-cinq centimètres… Je me demandais ce qui allait advenir de notre couple après ce séjour. J’imaginais bien Laëtitia m’obliger à faire le trottoir pour elle… Est-ce que Jean me protégerait ?
Je fermai les yeux et essayai de me raisonner. Non, trois semaines s’écouleraient, je changerais de boulot, on déménagerait, et basta, on n’en parlerait plus. Je respirai un grand coup. Je ne pouvais pas rester planquée dans les toilettes indéfiniment. De toute façon, le risque que je croise un mâle en manque était moindre, avec le nombre de types que j’avais essorés un peu plus tôt. Je poussai le loquet des cabinets le plus silencieusement possible et entrouvris la porte, jetant un œil prudent à l’extérieur.
Personne en vue.
Je quittai les sanitaires sur la pointe des pieds, consciente de ma nudité, et fus à moitié surprise et soulagée de voir que Sylvie et Sarah m’attendaient encore. Sarah m’attrapa par le coude et Sylvie me prit une main, croisant ses doigts dans les miens. Les tétons bruns de ses seins étaient visibles par transparence à travers son bikini blanc. Nous marchâmes ainsi vers mon emplacement de camping.
– On se demandait ce que tu faisais là-dedans, si tu n’étais pas encore en train de te taper un mec sans qu’on le sache !
Je secouai la tête, éblouie par le soleil. Avant que je puisse répondre, Sarah enchaîna d’une voix coquine:
– Mon mari adore que je le suce quand je suis sur les toilettes, si possible quand j’ai quelque chose de pressant à y faire…Si tu as envie d’expérimenter ça, il en sera ravi.
Je pensai au type qui m’avait sodomisée après m’avoir obligée à chier devant lui sous les lauriers et frissonnai de dégoût. Sarah interpréta mal ma répulsion.
– Oh, ne t’inquiète pas ma belle, je ne serai pas jalouse, nous sommes un couple très libre, je baise aussi d’autres hommes, parfois devant lui, parfois non. La plupart du temps je lui raconte mes petites aventures, et je sais qu’il te trouve à son goût… Je voudrais bien t’offrir à lui.
M’ « offrir » à son mari ? Je n’étais pas un sex-toy qu’on emballe pour « offir », bon sang ! J’allais répondre vertement, mais nous arrivions à destination, et les couinements d’une femme qui faisait l’amour nous parvinrent à travers les thuyas qui entouraient ma tente. Nous approchâmes en silence, et découvrîmes la raison de ces gémissements.
– Oh oui, baise bien Nadine, grosse queue, baise-moi bien profond !
Jean était allongé sur le matelas gonflable, devant la tente. La marchande de poisson le chevauchait, son vagin, qui ressemblait à deux escalopes à la crème collées sous un oursin grisâtre, englobant entièrement le sexe dressé de mon mari. Elle appuyait ses mains boudinées sur son torse, s’en servant d’appui pour remonter son cul graisseux et s’empaler à nouveau sur la pine.
– Plus fort, prends-moi les nichons, ta femme n’a pas des loches comme les miennes, régale-toi !
Jean, pâle comme la mort, obéit. Il se saisit des seins tombant en gouttes grasses sur les bourrelets d’un ventre énorme, et les malaxa avec dégoût.
Je sentis Sylvie se serrer derrière moi, ses petits seins nus contre mon dos. Elle m’embrassa dans le cou et sur les épaules, tandis que Sarah me tenait la main tendrement. Nous étions hors de vue de quiconque, j’étais au moins sûre que, cette fois, aucun ado ne glisserait sa bite en moi sans que je ne l’y invite. La marchande de poisson semblait en avoir particulièrement après Jean, je ne comprenais pas pourquoi. Elle dégagea le chibre de son vagin-escalope et ordonna:
– Reste allongé ! Tu vas sucer Nadine !
Elle se retourna, et vint coller sa chatte sur la bouche de mon mari. Elle s’allongea lourdement sur lui, et prit la pine gonflée dans sa bouche, incapable d’en avaler ne serait-ce que le gland.
La tête de Jean disparut entre les grosses cuisses qui l’entouraient, et, prenant des respirations de plus en plus difficiles, il fouilla les escalopes crémeuses avec sa langue. Nadine gémit, mordant le sexe qu’elle tenait entre ses gros doigts, ondulant lourdement sa croupe flasque pour engloutir le visage entier de sa proie dans son vagin, menaçant de le noyer dans la cyprine rance.
Je baissai les yeux, surprise de sentir une langue entre mes cuisses. Sarah était à genoux et me suçait en me couvant de ses yeux verts magnifiques. Je lui rendis son sourire et écartai un peu les jambes, pour lui faciliter l’accès à mon intimité. Elle approcha sa main de ma chatte, et y introduisit un objet. Elle me pistonna quelques instants avant que je ne réussisse à voir qu’elle me pénétrait avec un tube de crème solaire au bout arrondi. Il glissait tout seul entre mes lèvres, me pénétrant agréablement. C’était la première fois que je me faisais goder, et, comme toujours avec Sarah, je ne protestai pas, attentive aux baisers de Sylvie et aux caresses crapuleuses de la belle princesse.
– Viens dans la bouche de Nadine, grosse-queue, tu sens comme j’aime te lécher la bite !
La marchande de poisson transpirait dans la chaleur, les poils sous ses bras ruisselaient, je ne sais pas comment mon pauvre mari pouvait survivre dans la moiteur de la chatte qui l’étouffait, comment il pouvait encore bander sous cette montagne de chair qui le clouait sur place.
Des jets blanchâtres aspergèrent le menton de Nadine, qui entrouvrit la bouche et recueillit la crème gluante sur sa langue, laissant parfois échapper quelques gouttes de ses lèvres ouvertes. Elle roula sur le côté et vint embrasser Jean sur la bouche, partageant le sperme avec lui dans un baiser fougueux.
Sarah accéléra le rythme du tube dans ma moule ouverte, je haletai en silence, me balançant pour qu’elle me pénètre plus avant, en ne perdant pas une miette du baiser prolongé que Nadine imposait de force à mon mari. Sylvie me prit une main et la mena vers son bas de maillot, l’écartant légèrement pour que j’y fourre les doigts. Je découvris une grotte humide, qui engloutit mes doigts en quelques ondulations de hanches bien mesurées. J’approchai ma bouche de la sienne, et nous échangeâmes un baiser sucré, tendre, qui eut pour effet de me faire mouiller davantage. Je sentis les doigts de Sarah au bout du tube qu’elle enfilait en totalité dans mon vagin détendu, je gémis discrètement en me régalant de la langue de Sylvie. J’essayai de la masturber aussi expertement que possible – et je ne devais pas être loin d’y parvenir si j’en croyais ses propres couinements.
Je l’embrassai encore un instant, avant de chuchoter :
– Tu aimes ?
Elle cligna des yeux en souriant.
– Oui…
La voix de Nadine me fit froid dans le dos.
– Oh mais regardez qui voilà ! Miss Salope en personne ! Et en belle compagnie !
Sarah ôta lentement le tube de ma chatte, et je sortis mes doigts de la culotte de Sylvie en rougissant légèrement – je m’étonnai de rougir encore après tout ce que j’avais traversé ces derniers jours. Nous approchâmes de la tente. Jean paraissait mortifié, nu, couvert de sueur et de jus féminin, de salive, de sperme, piteusement allongé sur le matelas gonflable. Il s’assit et se prit la tête dans les mains, l’air désespéré.
Je souris en regardant la marchande de poisson.
– Bonjour. Il a été sage avec vous ?
Nadine plissa les yeux, exprimant une haine terrible que je ne comprenais pas.
– Ne t’adresse pas à moi, Miss Salope ! Je viens de me taper ton mari, et de l’humilier en public. Je l’ai forcé à baiser des vieilles mémés devant tous les campeurs, et ensuite je l’ai amené ici pour me le faire, il vient juste de finir de boire son propre sperme dégueu de con de mari de grosse pute bimbo. Je suis vengée !
J’étais trop fatiguée pour m’étonner véritablement d’une telle hostilité.
– Vengée de quoi ?
Elle hurlait maintenant.
– Comme si tu ne le savais pas, espèce de trainée ! Tu t’es tapée mon mari, je me suis tapée le tien !
Je secouai la tête.
– Je ne sais pas qui est votre mari, et, honnêtement, s’il m’a sautée c’est plutôt lui qui était demandeur… Depuis mon arrivée j’ai plutôt subi que provoqué la…
– TU L’AS CHOISI ! Il était à la piscine, et ton mari est venu le chercher pour qu’il te baise dans la douche ! Je le sais, il me l’a avoué, le cochon !
Et là, je tiltai. C’était la femme du gros José !
Elle avait raison… Je faillis éclater de rire. J’avais dû supporter les assauts du gros José pour me venger de Jean, et j’avais effectivement provoqué la scène sous la douche, qui avait abouti à me voir lécher son sperme sur le carrelage – son sperme, et celui d’un inconnu qui s’était soulagé dans la douche plus tôt dans la journée… Jean n’avait pas connu un sort meilleur que le mien avec la grosse Nadine !
– Oh… je suppose qu’on est quitte, maintenant…
– Ne crois pas ça, sale pute, je vais encore m’occuper de ton mari dès que je pourrai me le choper seule dans un coin. Tu n’as pas fini de souffrir, Miss Salope !
Elle ramassa son maillot de bain par terre et s’en fut d’un air furieux. Je ris ouvertement, vite imitée par Sarah et Sylvie. Si la grosse Nadine avait su comme elle me rendrait service en traumatisant Jean, elle aurait été très déçue ! Le pauvre avait toujours la tête entre les mains, et était secoué de spasmes nauséeux de temps à autres.
– Coralie ?
Je me retournai. Loïc était là, son sexe formidable formant une bosse dans son caleçon.
– Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.
Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassai sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans son maillot de bain et me saisissant de son engin délicieux.
– Tu as encore envie de moi ?
Je pressai sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.
– Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.
Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de son caleçon.
– Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?
Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».
– Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout-à-l’heure…
Je m’agenouillai devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter.
La belle princesse me sourit en disant :
– Une queue comme ça, ça se partage…
Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.
Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie , qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à son tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour son plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse. Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua son bikini et son string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il. Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.
Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant son gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.
Je suçai le bel ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher son pubis de mes lèvres avec son énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérais la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.
– Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.
Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant son beau derrière rondelet, une main sur sa minette.
L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça son gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre son dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.
Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unisson avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoison.
Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.
Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout, qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié le monde alentour, je craignais que ses gémissements très sonores n’attirent les curieux.
Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de son pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus son sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant son orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.
Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.
– Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.
Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchai de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…