Miss Camping – Chapitre 13
(Résumé: Un campeur a forcé Coralie à déféquer devant lui, avant de la sodomiser violemment contre son gré. Les cris de Coralie ont attiré Laëtitia, sa Némésis, qui a forcé Coralie à se soumettre au viol, et l’a corrigée sévèrement.)
Je ne sais pas combien de temps je pleurai ainsi, recroquevillée sur le sol jonché de feuillages, sous les buissons de laurier, mais je finis par me calmer. Je respirai un grand coup, ramassai le rouleau de papier-toilette et essuyai le sperme mêlé d’excréments qui dégoulinait de mon cul le long de mes cuisses, luttant contre la nausée qui menaçait de me submerger.
Mon cul me brûlait là où Laëtitia m’avait battue, et où mon violeur m’avait fessée.
La salope.
La conne de pute de salope !
J’enrageais de me retrouver à sa merci, un joujou en sa possession, une fifille sans volonté, sans courage.
Je serrai les dents en quittant l’abri relatif des lauriers. Je me dirigeai vers la tente.
Cette poufiasse.
Vivement que Loïc la baise et me donne le film, même si cela signifierait que je doive supporter une nouvelle sodomie, plus un gang-bang avec ses copains scouts. Ma vengeance serait terrible, cul vendu au plus offrant ou non. Je commençai à entrevoir la punition que je lui infligerai, et souris sombrement.
Personne n’osa me toucher pendant mon trajet. La colère devait se voir sur mon visage. J’étais tellement furax que si un homme me touchait maintenant, je me sentais capable de lui exploser les couilles.
Jean n’était toujours pas à la tente. Laëtitia s’était marrée en me disant qu’il était occupé aux chiottes. Je pris ma trousse de toilette, ma serviette et allai voir ce qu’elle avait voulu dire.
– Te voilà, Coralie !
La belle Sarah et sa copine Sylvie, aux petits seins et à la bouche adorable, m’accueillirent à l’entrée des douches.
Sarah eut l’air inquiet en me regardant de plus près.
– Tu as une mine épouvantable ! Que s’est-il passé ? Tu es couverte de terre !
Je secouai la tête en prenant conscience du fait que mes seins, mes genoux et mes bras étaient striés de traces noires.
– Rien d’important. Je… Je suis tombée.
– Oh. Je vois. Apparemment ta chute t’a vrillé la poitrine et le popotin… Il faudra que tu me racontes en détail ce que tu as enduré durant cette culbute… Viens avec moi, il y a un spectacle à ne pas manquer aux lavabos du fond ! J’espère que tu ne seras pas trop fâchée.
Je la suivis autour du bâtiment, me demandant vaguement ce qui pourrait me fâcher plus que ce que je venais de subir. J’entendis des rires et des éclats de voix venant des sanitaires. Une femme scandait quelque chose, comme sur un marché. Je saisis les mots peu à peu, à mesure que j’approchais.
– Qui veut toucher, qui veut, elle est belle, elle est grosse, profitez mesdames ! Vos maris sont gras et mous ? Vous n’avez pas eu une bonne trique entre les doigts depuis 30 ans ? Venez venez, elle est belle elle est grosse, venez la laver au savon et la tâter, la goûter et la mordre, en boire le jus crémeux, dégustation gratuite !
Je jetai un œil à travers la petite fenêtre. Un attroupement d’une quinzaine de femmes et de quelques hommes s’était formé autour d’un lavabo. OU plus précisément, autour de Jean, adossé au mur, la bite en érection blanche de savon, un air de bête traquée sur le visage. Il se laissait masturber par l’oratrice qui ressemblait à une marchande de poisson, de gros seins nus tombant sur un ventre aux plis de chair nombreux, le teint rougeaud, gras, les cheveux filasse, gris serpillère. Sa main boudinée pressait le sexe de Jean, qui émettait des gémissements de peur étranglés. La belle Sarah gloussa derrière moi et se serra contre mon dos, ses mains se promenant sur mon ventre et mes cuisses, remontant le long de ma chatte. Le contact était tendre, je la laissai faire sans protester.
– Alors, pas trop fâchée ?
La voix était coquine. Je ne répondis rien, absorbée par la scène qui se déroulait de l’autre côté de la fenêtre. Les doigts de Sarah se firent plus précis. Je dus m’avouer que les caresses étaient très plaisantes…
La marchande de poisson continuait de dégoiser:
– Allons, mesdames, lancez-vous, une petite branlette ça vous réchauffera les boyaux ! Pressez-la, sucez-la, le bon jus en sortira !
Une vieille dame toute maigre, au visage sévère s’avança. La marchande de poisson lui céda la place en graillant:
– Ah, voilà ce qu’il lui faut, une femme d’expérience, allons, osez, régalez-vous !
La vieille ôta sa chemise légère, exposant ses deux nichons flapis à la vue de tous. Sa peau, sous laquelle on voyait ses côtes, était ridée, flasque. Sa maigreur n’en paraissait que plus maladive.
– Touche-moi les seins, pendant que je me rappelle comment on utilise un engin comme le tien. Ça doit bien faire quinze ans que je n’en ai pas touché une aussi jeune !
L’assistance éclata de rire. La vieille rinça la bite de Jean à grandes eaux et la masturba avec agilité, de ses vieux doigts abîmés, un sourire pincé aux lèvres. Mon mari tâta les seins ratatinés, ne cachant pas son dégoût. La vieille se lova contre lui et l’embrassa sur la bouche.
– Mets ta langue, grosse-queue, je ne vais pas te mordre !
Nouveaux rires.
Jean ouvrit la bouche et partagea le baiser humide. Un froid morbide m’envahit. Je n’étais pas sûre que le sort de mon mari fût plus enviable que celui qui m’avait été réservé quelques minutes plus tôt. La vieille y prenait goût, les yeux fermés, la respiration rapide, les hanches ondulant sur la cuisse de mon mari, elle frottait son entrejambe ridée en un mouvement lascif – la vieillesse du corps ne semblait pas émousser les sensations du clitoris de la mémé.
Sylvie se serra à son tour contre moi, empaumant mes nichons et m’embrassant le cou en haletant légèrement. Le caresses de Sarah sur ma chatte se firent plus appuyées, ses doigts exploraient mon vagin encore gluant de sperme. Je me laissai porter, enlaçant Sylvie, pétrissant sa grosse croupe rebondie, ce qui eut pour effet de redoubler ses baisers. Elle pinça mes tétons, les fit rouler entre ses doigts, pour les sentir darder dans sa paume. Elle jouait avec la rondeur généreuse de ma poitrine, sans doute parce qu’elle n’avait elle-même que deux petites mandarines. Je dénouai son haut de bikini, et l’imitai, pressant ses tétons et empaumant délicatement les petits seins blancs. Je revins à la scène qui continuait dans les sanitaires.
La vieille s’agenouilla devant mon mari. Elle enleva son dentier, le posa sur le lavabo, et entreprit de sucer le membre gonflé, sous le regard horrifié du pauvre Jean. La marchande de poisson applaudit à tout rompre, vite suivie par l’assemblée que le spectacle excitait.
– C’est bien, venez faire sa fête à mister-camping-grosse-queue ! Si vous vous appliquez, vous verrez de belles giclées ! D’autres volontaires pour pétrir le beau robinet de notre lavabo ??
Deux campeuses avancèrent d’un pas hésitant, une femme grassouillette d’une trentaine d’année, aux cheveux roux, et une grande nana ressemblant à un mec avec des nichons, cheveux ras, hanches anguleuses, pas de cul… Elles embrassèrent Jean sur le visage et dans le cou, flattèrent ses bras musculeux, et, sans se concerter, firent glisser leurs culottes au sol. La marchande de poisson exultait. Pas Jean.
– Parfait mesdames, voyons ce que grosse-queue sait faire de ses doigts ! Enfonce-les bien profond, grosse-queue ! Je veux les entendre jouir bruyamment !
Jean obéit. Ses deux mains, qu’il avait inconsciemment placées sur la tête de la vieille qui lui dévorait la pine avec ses gencives édentées, descendirent vers les chattes touffues des deux filles, qu’il masturba en cadence. Les gens applaudirent encore.
Sylvie m’embrassa sur la bouche, incitant ma main à explorer son string blanc, ce que je fis. Je gardai un oeil sur Jean tout en me délectant des caresses saphiques de Sarah et du baiser délicat de son amie.
– C’est coooool.
La voix avait chuchoté. Je ne relâchai pas l’étreinte de Sylvie, mais jetai un œil en biais. Quatre ou cinq ados nous regardaient en se caressant la bite sous leur short. Le paréo de Sarah glissa à ses pieds. Le contact chaud de ses gros seins nus contre ma peau me fit frissonner, je sentis une vague de jus intime humidifier ses doigts dans mon vagin, et le plaisir envahir mes reins.
– Trop belle, la nana ! Vous nous faites une place, les filles ?
Les ados se rapprochèrent de nous, rouges d’excitation.
Je serrai Sylvie contre moi, une main écartant son string, la limant avec trois doigts dans une étreinte délicate. Je ne quittai pas Jean des yeux ; il était maintenant entouré de deux autres vieilles dames toutes ridées qui se déshabillaient devant lui. Elles s’adossèrent aux lavabos, jambes écartées. Leurs vieilles moules se ressemblaient, la peau des lèvres détendue, des poils gris-blancs épars, un air de viande ayant passé trop de temps à l’air libre… La marchande de poisson les imita, après avoir fait glisser sa grosse culotte à ses pieds. Sa chatte avait l’aspect d’un assemblage de deux escalopes rougeâtres collées sous une noix de coco grisonnante.
– Moules à volonté ! Viens téter, belle-bite ! Chacune notre tour, on va bien écarter nos chattes pour ta langue !
La vieille qui suçait Jean se releva et suivit l’exemple des autres femmes. Les deux nanas qu’il baisait avec ses doigts se dégagèrent et entreprirent de le masturber tandis qu’il se retournait, s’agenouillait et léchait les vieilles tour à tour, suçant leurs chattes périmées avec une ardeur très modérée. Les trois vieilles dames nues ne boudèrent pas leur plaisir quand mon mari plongea sa langue dans leur abricot ridé, elles se caressèrent les seins en cadence et se branlèrent en attendant le baiser vaginal qui réveillerait leur sexualité éteinte. Jean passa à l’intimité peu appétissante de la marchande de poisson, il eut un haut-le-cœur lorsqu’il enfouit son nez dans les deux escalopes rougeâtres. Elle lui attrapa le dos de la tête et le maintint enfoncé sous les plis de son ventre, en l’encourageant d’une voix salace:
– Oh oui, remue la langue dans la fente de Nadine, c’est ça, le gros bouton rose, lèche-le bien, grosse-queue, voilà, bien au fond, encore, plus loin…
Jean passa à la vieille qui l’avait happée goulûment. Elle souriait béatement, de sa bouche édentée.
D’autres mains vinrent me caresser le corps. Les adolescents avaient baissé leurs shorts et frottaient leurs bites sur nos cuisses et nos culs.
– Y’en a bien une qui va nous sucer, hein, les filles ?
Sarah sourit en branlant deux des ados. Sylvie l’imita, offrant sa chatte aux mains curieuses des jeunes. J’attrapai le sexe fin du dernier du groupe, qui me touchait les seins timidement.
– Trois salopes rien que pour nous !
Les ados exultaient. J’étais contente de partager ce moment avec deux amies. Les jeunes étaient plutôt mignons, pas trop d’acné, des corps fins et bien faits, bien qu’encore pâles – sans doute venaient-ils d’arriver dans le camping. La queue de celui que j’astiquais enflait sous mes doigts, je me sentais mouiller, et attendais la sensation de désir maintenant familière qui ne manquerait pas de venir de mes reins… Je jetai un coup d’oeil vers Jean en ondulant des hanches, pour inciter la main de l’ado qui explorait timidement ma petite minette à se montrer plus entreprenante.
Les cinq femmes lui présentaient leurs culs, courbées sur les lavabos, cambrées, jambes écartées, alignées comme des juments dans un corral attendant la saillie de l’étalon. La marchande de poisson allait et venait, en donnant des tapes appuyées sur le cul ridé des vieilles, en s’adressant au public hilare – certaines nanas de l’assistance avaient la main dans leur culotte, ou dans le slip de leur compagnon.
– Laquelle va se faire baiser en premier ? Cette grande fille ? (une tape sur la croupe plate de la nana qui ressemblait à un homme) Ou peut-être sur cette pute bien replète ? (elle fesse la petite grassouillette) Une femme d’âge mûr ? (elle caresse les vieilles fesses tombantes de la vieille au dentier) Non, je sais ce que le public veut ! Tu vas toutes les sauter tour à tour, et interdiction de jouir, tu dois aussi t’occuper de ma moule ! Allez, baise-les ! Baise-les ! Baise-les !
L’assistance scanda en chœur:
– Baise-les ! Baise-les ! Baise-les !
Jean se plaça derrière la vieille au dentier, qui se cambra davantage, ce qui accentua sa maigreur maladive. Il se laissa guider dans la vieille moule par la marchande de poisson, et, attrapant les hanches squelettiques, lima la mémé en fermant les yeux, l’écoutant gémir pitoyablement. La marchande de poisson l’arrêta au bout de quelques minutes et l’emmena au cul suivant, celui de la petite grosse, qu’il fourragea avec application pendant que Nadine la fessait durement.
– Ah, elle aime ta bite, la rouquine ! Regarde comme ses lobes rougissent sous mes mains !
Les claques tombaient sur le gros cul plein de taches de rousseur, Jean semblait aimer davantage cet orifice un peu plus jeune et replet, il la gamahuchait avec un plaisir évident – plaisir partagé, manifestement. La rouquine appréciait la fessée administrée, elle se mit à exprimer sa jouissance entre cris et gémissements.
Je sentis une pine s’introduire dans mon vagin. Les cinq ados m’entouraient complètement, leurs sexes collés à moi. L’un d’eux avait réussi à me pénétrer et me baisait debout, face à moi, en s’accrochant à mon cul pour que je ne puisse pas me dégager. Ses copains m’embrassaient partout, les épaules, la nuque, les joues. Une queue se frayait un chemin vers mon anus, accessible facilement avec mes lobes écartés par les mains de l’ado qui me sautait par devant. Je paniquai, cherchant Sylvie et Sarah du regard. Elles étaient là, assistant à la partouze qui débutait en souriant gentiment. Je suppliai:
– Ne me laissez pas seule !
Sarah secoua la tête d’un air désolé.
– On ne peut pas se taper ces gamins en public, on pourrait avoir des problèmes… Tandis que toi, tu es miss camping ! Comme je t’envie…
Elle me sourit. Sylvie vint m’embrasser sur la bouche en passant par dessus l’épaule du jeune qui me limait en émettant des bruits de gorge rauques.
– Profites-en bien !
J’acquiesçai, incertaine. Sarah pouvait me faire faire n’importe quoi, elle était tellement gentille et pleine d’attention. D’une certaine façon, elle me dominait bien plus que Laëtitia, je lui résistais beaucoup moins, je faisais ce qu’elle attendait de moi. Et avec joie… Deux mains me pétrissaient les seins, une autre m’invitait à me pencher pour faciliter un peu plus l’accès à mon petit trou, tandis que le premier ado cherchait ma bouche avec ses lèvres. J’avais vaguement conscience des trois bites qui se frottaient sur moi – sans compter celle qui essayait de me sodomiser – et des quelques campeurs qui s’étaient attroupés non loin, et qui me reluquaient sans honte. Je répondis au baiser du jeune fougueux qui fourrageait ma chatte – il avait la langue fraîche mais épaisse – et poussait un peu vers l’arrière pour décourager le prétendant qui voulait me prendre par le cul. Cela eut l’effet inverse. Mon petit trou s’écarta sous la poussée, et la bite entra comme dans du beurre après le viol du matin. Je ne sentis presque rien, si ce n’est les mains du petit gars qui glissait en moi accentuer leur pression sur mes seins, son visage qui se lovait dans mon cou, sa bouche qui me mordait de plaisir. J’accompagnai la bite dans mon cul par des coups de croupe lascifs, m’accrochant à la jouissance que je sentais monter de mon ventre, de mes reins. Je pris la tête du jeune qui me baisait par devant entre mes bras et lui chuchotai des encouragements pervers – mais sincères.
– C’est booon, continue, oui, là, comme ça, enfonce-la bien, ouiii, mmmm.
– Franchement, t’es trop bonne, miss camping !
Je me laissai prendre au jeu, caressant les deux mecs qui frottaient leurs pines sur mes cuisses pendant que celui qui m’avait pénétrée la première éjaculait dans ma chatte, corps tendu, sa bite butant dans mon vagin contre celle qui me sodomisait toujours, son sperme m’emplissant d’une chaleur agréable. L’ado quitta ma grotte intime en me remerciant, remplacé immédiatement par un autre qui me prit en deux coups de reins, et jouit sans attendre, se faisant charrier par ses potes.
– Oh l’bâtard, p’tite bite, pas foutu de sauter une gonzesse pendant plus de trois secondes, un vrai lapin !
– Pas besoin de traîner, cette tepu est dispo quand j’veux ! Je me la fais encore c’t’après’m, v’verrez.
– Parle pas comme ça, Tony, elle est trop bonne, la miss camping, t’es un croco ou quoi ?
Tony laissa sa place en pestant, je guidai un troisième ado dans ma minette. Sa queue était fine et veineuse, je le branlais en l’introduisant en moi, jouant avec son gland entre mes petites lèvres gluantes de sperme. Il sembla apprécier la caresse, m’embrassant en soufflant par le nez, puis, n’y tenant plus, il souleva mes cuisses dans le creux de ses coudes, et m’emmancha sur sa pine excitée. La position était douloureuse, la queue dans mon cul me déchirait l’anus, je criai, consciente des regards salaces que me jetaient les campeurs qui assistaient au spectacle, certains se masturbant ouvertement. En un éclair je me vis sucer tous ces mecs après que les ados en aient fini avec moi, et tremblai de désir à cette idée. Les deux gamins me prenaient en sandwich, je ne maîtrisais plus rien, et, croisant les yeux de Sarah, toujours doux et souriants, je me laissai aller complètement, appelant la jouissance, la cherchant, l’amplifiant. Des éclairs me vrillèrent les intestins quand le jeune derrière moi m’inonda les boyaux de sperme. Il resta à l’intérieur quelques instants en râlant, m’embrassa tendrement dans le coup en me disant « merci, miss salope, trop bon » et céda la place à son dernier pote, que je ne pris même pas la peine de repousser. La pine me pénétra le cul durement, je sursautai, et me cambrai, arrondissant ma croupe et aidant le garçon à se frayer un chemin en moi sans trop me faire mal.
Je donnai des coups de reins en couinant et sentis enfin la délivrance de la jouissance m’emporter, tant dans le cul que dans le vagin, une vague qui déferlait de mon ventre, de mes reins, de mes seins. Je criai de bonheur en mordant le cou du gamin qui me baisait la chatte, lui demandant d’aller plus vite, plus vite, et plus loin, plus loin, encore et encore. Sarah et Sylvie applaudirent en riant, imitées par quelques hommes, et l’orgasme continuait, et des bouches m’embrassaient, des queues se collaient à moi, du sperme jaillissait sur mes cuisses et sur mon cul, celui des deux ados qui se finissaient à la main, en me portant toujours dans leurs bras, celui de trois hommes qui m’avaient admirée pendant que je me donnais aux ados, qui mêlaient leur semence et leurs caresses à celles prodiguées par mes jeunes baiseurs. Je me masturbai avec eux, et geignis de bonheur jusqu’à ce qu’ils me reposent au sol, ou je m’affalai, à quatre pattes devant l’assistance euphorique.
J’étais dans un état second. Le plaisir me vrillant la chatte s’éternisait. Je me relevai légèrement, à genoux sur le sol sec, et me masturbai pour prolonger l’extase dans laquelle j’étais plongée. Il me fallait encore des hommes, le besoin me prenait le ventre, me chatouillait le cul, un désir bestial, grossier, salace. Je me tournai vers les campeurs qui me reluquaient et les interpelai d’une voix vulgaire, en gémissant comme une droguée en manque:
– Encore des queues ! Vite ! Venez jouir dans ma bouche ! J’ai soif de bites !
Je fus vite entourée de pines dressées, que je gobai avec avidité, une petite épaisse toute veinée, une grande longue très foncée, une bite complètement rasée au goût de beignet, une trique moite et rose aux poils blonds, une autre blanche et ridée, à peine dure… Mon horizon était composé de queues, ma vie ne tenait qu’à ces bites, il me fallait de l’homme, je ne pourrais plus vivre sans baiser, sans sucer, sans me vendre comme la dernière des filles de joie… l’ivresse m’emportait aux portes de la folie.
Des encouragements mêlés de caresses résonnaient à mes oreilles, auxquels je répondais en gémissant, ouvrant ma chatte aux mains inconnues qui la flattaient.
– Suce encore, miss, suce.
– Ah mmm oui !
– Avale bien jusqu’à la dernière goutte !
Je léchai les queues, les branlai avec énergie, aspirai leur sperme âpre et amer, chaud et salé, ou gluant, presque gélifié.
– A mon tour, miss, lèche bien.
Une pine noire comme l’ébène me fit lever les yeux vers un grand black très musclé, mes mains caressèrent ses abdominaux et ses fesses, et je l’avalai tout entier dans ma gorge, ou je le maintins jusqu’à ce qu’il y éjacule en gros bouillons délicieux.
– Aah oui…
La ronde des bites continua, mes mâchoires me faisaient mal, ma gorge brûlait, mais il m’en fallait encore et encore.
Bientôt, un paréo bleu-nuit se présenta devant moi, après que la plupart des queues m’aient gratifiée de leur chaude semence, je levai les yeux perlant de jute vers Sarah, qui me souriait tendrement. J’écartai le tissu et plongeai ma langue dans sa fente mais elle recula doucement, et me releva. L’attroupement de campeurs avait diminué. Quelques applaudissements retentirent, beaucoup de sourires et d’éclats de voix. Les ados tapaient leurs clés sur des bouteilles de bière pour faire un maximum de bruit.
– Merci, Miss, c’était top !
– Tu baises trop bien !
Je me sentais perdue, ailleurs, comme si cela n’arrivait pas dans la réalité, que la personne qu’ils acclamaient n’était pas Coralie la timide, qui n’avait quasiment pas connu d’autres expériences que Jean avant cette élection stupide. Quelques jours avaient suffi à me transformer en objet sexuel consentant. Je souris aux campeurs, un sourire mécanique, lointain. Mes pensées se fixèrent sur les traces de l’orgasme que je ressentais encore dans ma chair meurtrie.
– Pour la Miss au cul d’enfer, hip hip hip…
– Hourra !
– Trop bonne ! Trop bonne ! Trop bonne !
– Comment je l’ai enculée, c’était de la bombe, j’te l’dis !
– Et t’as vu ses gros seins, trop géants !
– Et comment elle suce !
– j’te nique encore quand tu veux d’la vraie pine, Miss !
Sarah me prit la main et me fit signe de la suivre. J’obéis sans résister, sous les applaudissements des campeurs excités.
Du sperme coulait de mes lèvres, de mon cul, de ma chatte. J’en avais sur les cuisses, sur le dos, sur le visage.
Dans le nez.
Sur les dents.
Je me léchai les lèvres. Je voulais encore baiser ! Ma chatte lançait des appels désespérés. J’y mis les doigts tout en marchant. Sarah et Sylvie m’emmenèrent dans une douche. Jean n’était plus aux lavabos. Je me demandai vaguement s’il aurait la force de me sauter si je le suppliai de me prendre. Elles se dévêtirent complètement et me lavèrent en me caressant et m’embrassant avec douceur. Je répondis aux baisers et acceptai toutes les attentions de leurs mains, les guidant profondément dans ma chatte, pleurant en silence sous l’eau chaude qui coulait.