Miss Camping – Chapitre 12
Je me réveillai une heure plus tard, de très bonne humeur. Loïc était l’amant parfait – j’avais presque envie qu’il soit de nouveau là, à l’extérieur de la tente, à me donner son énorme engin à lécher en guise de petit-déj. Je m’étirai. Jean n’était pas à mes côtés. Je sortis de la tente, avec une envie terrible d’aller aux toilettes pour « la grosse commission ». Et Jean qui n’était pas dehors non plus – j’aurais préféré qu’il m’accompagne, pour éviter d’être retardée en chemin si des campeurs matinaux avaient envie de profiter de mes charmes. Je haussai les épaules, les sanitaires étaient tout proches, je ne risquais pas grand-chose… je pris le rouleau de PQ, et me dirigeai d’un pas décidé vers les toilettes. Il faisait frisquet ce matin, je frissonnai. Mes seins encore un peu rouges des coups de baguette de Julie, sur la plage, malgré l’onguent de Loïc, avaient la chair de poule. Je lui demanderai de m’en étaler à nouveau, avec ses grandes mains… l’idée me fit sourire.
– Ah, voilà ma petite pisseuse… je t’attendais.
Je grimaçai. Le gars de la veille, qui m’avait demandé de faire le poirier devant lui, et de me pisser dessus – ce n’est pas que l’expérience avait été désagréable, mais je me voyais mal déféquer en faisant des acrobaties. Il m’embrassa sur les lèvres en m’entourant de ses bras, et me tâta les seins, tout dressés dans le matin frais. Il sentait le café. Il me glissa un doigt dans la fente, insistant sur mon clito.
– Viens, petite Miss, je veux te voir pisser.
– Oh… je suis désolée… (je montrai le rouleau de PQ)… je ne vais pas faire pipi…
Il sourit, agrippant mes fesses. Un campeur matinal nous regardait, intéressé. Son majeur remonta ma raie, et toucha mon anus.
– C’est encore mieux ! Viens, tu vas chier devant moi.
J’avais mal au ventre, j’avais vraiment besoin d’aller aux toilettes, et vite ! Je secouai la tête en protestant, mais il m’avait attrapé la main et m’emmenait vers les buissons de lauriers roses bordant le chemin de la plage, qui passait tout à côté. Je murmurai :
– Je ne peux pas faire ça ! Non ! Mais lâchez-moi ! Voyons, monsieur !
Il m’attira dans un grand buisson touffu. Je voyais le chemin à l’extérieur, à travers les feuillages, et les sanitaires du camping, mais personne ne pouvait nous voir – du moins au premier coup d’œil.
– Allez, arrête de faire ta mijaurée et soulage-toi, belle demoiselle. Et pousse bien !
Je secouai encore la tête en soupirant. Décidément, ce séjour dans le sud n’était pas ce que je préférais en matière de vacances.
Je m’accroupis, et écartai les jambes. Mon ventre se tordait de douleur. Je fermai les yeux pour me concentrer. Comme la veille, l’homme commença à me pétrir les seins, très sensibles ce matin, puis passa derrière moi, et me toucha le sexe, délicatement. Je ne dis rien, sachant qu’il ne me lâcherait pas tant que je n’aurais pas fait ce qu’il désirait. Je me concentrai et poussai sur mon ventre, laissant échapper un gaz odorant. Je rougis en murmurant « pardon ».
– C’est bien, chuchota le gars, pas de fausse pudeur . . . laisse toi aller . . . montre-moi ta merde, je veux voir comment ton cul s’écarte quand tu chies.
Ses caresses s’accentuèrent. Je sentis qu’il se relevait, et qu’il enlevait ses vêtements. Il frotta sa bite en érection sur mon dos et mes épaules, sur mon front et sur mon nez, et la présenta devant ma bouche. Je détournai le visage.
– Non.
– Allons, petite Miss, je t’ai vue te faire niquer par le vieux dans la douche hier. Tu ne tailles pas de pipes ? Tu aimes juste qu’on te la mette dans le cul ?
– Non, pas seulement, j’aime bien… euh..je veux dire…ce… c’était un accident.
– Non, non, tu aimes la pine, ça se voit. Allez, suce
Il me força à tourner la tête, et mit sa bite sous mon nez. Elle avait une odeur épicée, pas désagréable. Il fallait que je me soulage, mon ventre gargouillait sombrement. J’ouvris la bouche et avalai son gland gonflé, au goût légèrement salé. Je le suçai sans conviction, en poussant sur mon ventre. Je sentis que ça venait, et commençai à déféquer, en m’arrêtant à mi-chemin sur la bite de l’inconnu, ma langue continuant de titiller son gland, au rythme des crottes qui sortaient de mon cul. Le gars se pencha au-dessus de mes épaules. Il avait une vue de choix sur mes fesses, et sur leur production matinale.
– C’est bien, c’est bien, vide-toi, comme ça. Tu as un cul de princesse.
Il sortit sa bite de ma bouche et me regarda chier sous toutes les coutures, me caressant ça-et-là, tantôt le clitoris, tantôt les seins, tantôt les lobes rebondis de mon cul. Son attitude était étrange, il avait un ton autoritaire, qui ne souffrait pas la discussion, mais sans brutalité, il me flattait la croupe avec douceur, me pressait les seins sans me faire mal. Je sentais que si je n’obéissais pas, les choses pourraient vite déraper, mais ne le craignais pas, malgré tout.
La douleur de mon bide s’estompa, les dernières boulettes finirent de quitter mon rectum. Je pissai un peu par-dessus le tas de merde, sans me soucier du doigt du type qui me tâtait les grandes lèvres.
J’attrapai le rouleau de PQ, mais le gars me le prit des mains.
– A quatre pattes. Je vais te nettoyer.
J’obéis. J’avais fait un gros étron presque noir, qui ne sentait pas bon du tout. Plus vite nous sortirions du buisson, mieux je me porterais.
Il glissa ses genoux dans les miens, et frotta son sexe sur mon abricot intime. Je remuai les fesses en protestant.
– Non ! Essuyez-moi, et qu’on en finisse ! Vous avez eu ce que vous vouliez, laissez-moi maintenant, mon mari m’attend.
Le gars s’introduisit partiellement dans mon vagin, sans forcer.
– Je n’ai pas eu ce que je voulais, petite.
Je hochai la tête. Il allait et venait déjà dans ma chatte, comme si elle lui appartenait. Je n’osais pas me dégager.
– Arrêtez-ça tout de suite, c’est dégoûtant. Essuyez-moi, branlez-vous, aspergez-moi de sperme, et laissez-moi partir. Vous ne serez pas le premier.
Ses va-et-vient se firent plus insistant. Je mouillai malgré moi.
– Tu ne veux pas qu’on baise un peu avant ?
– Non.
– Tu veux que je te nettoie, et basta ?
– Oui. S’il-vous-plaît.
Le sexe sortit de mon vagin.
– Ok.
Il cracha sur mon anus sale, y appuya sa bite en un mouvement brutal, et me pénétra d’un coup, jusqu’à la garde, en me plaquant contre le sol. Ses mains attrapèrent mes poignets, et les maintinrent complètement en arrière, s’en servant d’appui pour me transpercer plus profond. Je criai de douleur, sa pine, clouée dans mon cul sans aucun moyen pour moi de me dégager, me vrillait les sphincters.
– Et un bon ramonnage pour nettoyer la petite Miss!, s’écria mon bourreau.
Je hurlai :
– Non ! Non, lâchez-moi, vous me faites mal ! Au secours ! Quelqu’un !
L’homme me mordit l’oreille en soufflant d’excitation, m’écrasant de tout son poids contre les feuilles de lauriers et les brindilles séchées jonchant le sol, qui me rentraient désagréablement dans la peau. Il continuait à me gamahucher à grands coups de reins. La douleur était terrible.
– Oui, crie encore, peut-être que quelqu’un viendra pour m’aider à te baiser, deux, trois garçons de plus pour Miss-J’aime-La-Pine ! Tu la sens, la mienne ?
Je savais qu’il avait raison, mais je hurlai à nouveau. C’était trop douloureux, trop humiliant, son sexe qui glissait sans entraves entre mes fesses souillées de merde noire, je ne pouvais pas accepter, pas me laisser faire passivement, malgré toutes les inhibitions que j’avais pu dépasser jusqu’à présent, cette fois, c’en était trop..
– AAAH ! AIE ! JEAAAN ! JEAAAN !
J’entendis des pas précipités. Quelqu’un venait. Mon violeur ralentit le rythme dans mes boyaux, la douleur sourde me coupait la respiration. Je criai encore :
– PAR ICI !
Les pas venaient vers les lauriers. Deux personnes entrèrent dans le vaste buisson, je ne voyais que leurs pieds, un homme et une femme.
– Qu’est-ce qui se passe ici ? Oh, sympa…
Mon violeur se souleva légèrement, en me tenant toujours les poignets.
– Miss Camping avait un besoin pressant, que je m’emploie à satisfaire. Mais une bite ne lui suffit pas, elle a de grosses envies, la coquine.
Je relevai la tête, en commençant à protester, et en essayant de me dégager de la poigne de fer du type, mais ma voix s’étrangla dans ma gorge et les larmes me vinrent aux yeux sous le coup de la panique. Laëtitia se tenait là, comme un chat devant une bonne grosse souris. A ses côtés, je reconnus l’animateur du camping, qui m’avait pelotée comme une bête de foire le jour du concours.
Laëtitia s’accroupit et me caressa les cheveux. Je me sentais vidée. Je la suppliai.
– S’il-vous-plaît, laissez-moi partir, mon mari m’attend, je vous en prie…
Mon violeur me relâcha les poignets, je pus me mettre à quatre pattes. La douleur de son chibre dans mon anus s’atténua, mais aucun plaisir ne vint la remplacer. J’essayai encore de le sortir de moi, sans succès, ses mains me retinrent par la taille avant que je ne puisse éjecter son gland. Il soupira d’aise et me lima de plus belle.
– Allons, allons, Coralie, tu te souviens que tu dois être bien obéissante… J’ai vu ton mari dans les toilettes, il est très occupé, tu iras le retrouver après, dit-elle en éclatant de rire, mais je suis sûre que nos deux amis vont bien te satisfaire.
L’animateur ôta son caleçon et son maillot de bain et passa une main sur son sexe aux poils roux qui se dressait déjà.
– Je rêve de toi toutes les nuits depuis cette fameuse soirée, mais je ne pensais pas que tu étais aussi ouverte après t’avoir vue timide et réservée sur la scène. (il sourit) La blonde Julie était la plus belle, avec ses cuisses puissantes, son cul rond et ses deux jolis petits seins, mais tu étais ma préférée, j’aurais voulu pouvoir te faire me sucer devant le public, t’asperger de sperme, te voir le partager avec les autres miss… Le directeur du camping voulait que ça reste soft… tu n’as même pas protesté quand j’ai passé un doigt dans ta fente de déesse… Je vais te sauter avec joie, belle Miss, j’espère que tu aimeras !
– Non, je vous en supplie…
– Suce, tu ne le regretteras pas, c’est tout frais sorti de la douche…
Il s’agenouilla et plaça son bâton de joie devant mon visage. Je secouai la tête en pinçant mes lèvres, refusant de prendre en bouche le gland rose. Je détournai le regard, et vit ma chef de rayon me reluquer la croupe, une main dans son string rouge. Mon violeur continuait son va-et-vient. Elle s’aperçut qu’il me prenait dans le cul. Elle ramassa une branche de laurier et me la passa sur le dos.
– Oh, je vois que tu aimes de plus en plus te faire prendre par derrière…Tu es vraiment la dernière des salopes!
– Non ce n’est pas…
Un coup de cravache me fouetta le cul. Laëtitia m’avait frappée ! Elle sourit, innocente.
– Tais-toi, douce Coralie. Tu ne parles que quand je t’y autorise. Tu as bien compris ?
Je pleurai de plus belle, rageant de mon impuissance. Un autre coup suivit, plus fort encore.
– Je t’ai posé une question. Tu as compris les règles ? Parle !
J’acquiesçai en sanglotant, incapable de me contrôler.
Un nouveau coup me vrilla les lobes.
– J’ai dit : Parle !
Je fermai les yeux et hoquetai :
– Oui !
Un nouveau coup me cingla les fesses.
– Oui qui?
– Oui Laetitia!
Un nouveau coup me cingla le cul.
– Un peu de respect!
– Oui, maitresse!, hurlais-je.
– Parfait. Si tu es sage, tu n’auras que cinq coups de baguette à la fin de notre conversation. Si tu n’es pas sage… tu sais ce qui arrivera.
Je déglutis en hochant la tête. Les larmes coulaient de mes yeux sans que je ne puisse rien y faire.
L’animateur rouquin s’affairait. Il m’empaumait les seins en frottant son petit braquemart sur mes yeux mouillés, sur mes joues et mon nez. Il regardait Laëtitia se masturber lentement en me passant la branche de laurier sur le corps, et fixa un instant l’autre homme qui me sodomisait en me tenant les hanches. Sa pine enflait. Laëtitia retira sa main de son string, et prit le membre taille réduite entre ses doigts, l’appuyant contre ma bouche fermée.
– Douce Coralie, sois bien sage. Ouvre la bouche pour faire plaisir au monsieur…
Elle branlait l’animateur, ravi, qui se pencha vers elle, lui embrassa l’épaule et tira la ficelle de son haut de bikini, révélant deux seins fermes et bronzés, aux mamelons brun foncé. Il les caressa avidement. Je gardai les lèvres fermées, les yeux baignés de larmes d’impuissance. Elle allait me frapper jusqu’à ce que j’obéisse, mais je ne pouvais pas accepter une humiliation pareille. Mon violeur accéléra le rythme derrière moi, un plaisir diffus commençait à monter de mes reins. La pine devant mon nez sentait le gel douche. Deux coups de branche de laurier s’abattirent sur mon cul.
– Obéis, gentille Coralie, obéis…
Deux nouveaux coups de cravache me vrillèrent le bas du dos, m’arrachant un cri de détresse. Je ne pouvais pas lutter. J’avalais le sexe roux, en pleurant. Je le suçai avec application, essayant d’écouter le vague plaisir qui envahissait lentement mon ventre.
Laëtitia sourit. Elle posa sa baguette de laurier et s’allongea sous moi, perpendiculairement, comme un garagiste sous une voiture. Elle me mordit le téton droit très fort et, avec sa main gauche, me pinça l’autre téton. La douleur était insupportable, je me crispai sur la bite au fond de ma gorge, sanglotant et hurlant de désespoir. Elle relâcha la pression et me mordilla les mamelons sans hâte.
La pine dans mon cul sembla doubler de volume, je savais que le type n’allait pas tarder à me libérer, après avoir vidangé sa jouissance mêlée de merde au fond de mes boyaux. J’ouvris les yeux d’un coup : la main droite de Laëtitia avait parcouru mon ventre et s’était arrêtée sur mon clitoris, qu’elle masturbait avec habileté. Le plaisir naissant dû à la sodomie très active se transforma en vague cruelle, un besoin de jouir qui se heurtait à l’humiliation que je subissais, à la soumission dont je faisais preuve. J’aspirai plus fort la bite de l’animateur qui m’attrapa la tête et se servit de moi comme d’une poupée gonflable, me faisant aller et venir sur son sexe court, en gémissant de plaisir.
Le gars dans mon cul ralentit, et s’arrêta complètement, Laëtitia continuait de me branler, deux doigts dans mon vagin, et je m’activais toujours avec vigueur sur la pine du rouquin. Je n’avais pas senti mon violeur se vider en moi, je fronçai les sourcils, étonnée, mais soulagée que ce soit bientôt fini. J’accélérai la cadence sur le sexe dans ma bouche, espérant en boire rapidement la crème, et me sauver de cette situation désespérante.
Mon violeur extirpa lentement son chibre de mes lobes, et me tapota les fesses.
– On se fait une double pénétration ?
Laetitia sortit ses doigts de mon vagin et se releva, souriant toujours. Elle reprit sa cravache, prête à me dominer si je n’obéissais pas. Je crachai la pine de l’animateur en secouant la tête :
– NON !
Deux coups de lauriers s’abattirent sur mon cul, suivis de deux autres. Laëtitia me caressa là où elle venait de me frapper, et glissa deux doigts dans mon anus, en faisant une grimace.
– Ce n’est pas très propre, tout ça… Petite Coralie, tu vas laisser ces messieurs se soulager, n’est-ce pas ? Tu peux parler.
– Laëtitia, je vous en prie…
Un coup sur mon cul. Puis un second. Suivi d’un troisième, une main de mon violeur qui me fessait !
– Mauvaise réponse. Dis-moi que tu veux qu’ils te baisent en même temps.
Je geignis à nouveau.
– Laëtitia… je peux les sucer, ils peuvent me sodomiser et venir en moi… je vous en supplie, pas ça… !
Un coup de laurier, une nouvelle tape sur les fesses, plus forte, suivie d’une autre. Le gars s’extasiait sur mes fesses rouges. Nouveau coup du plat de la main.
– Elle aime qu’on la fesse, la salope … !
-Oui, vous avez parfaitement deviné, elle aime se faire corriger la garce!, commenta Laetitia avec perfidie.
Un énième coup me cravacha le cul.
– Coralie, demande gentiment à ces messieurs de te prendre tous les deux en même temps.
Elle accentua la pression dans mon petit trou, et introduisit son pouce dans ma chatte. Je gémis. Le plaisir revenait, malgré moi. Il augmenta quand je reçus deux nouvelles tapes sur les fesses. Je ne voulais pas obéir. Mais j’étais seule, abandonnée. Si j’appelais à l’aide, d’autres coups viendraient et qui sait si le prochain sauveur en herbe ne serait pas le gros José ou le vieux qui servait d’homme à tout faire dans le camping… Toute honte bue, je cédai.
– Je… je veux que vous me preniez tous les deux en même temps. S’il-vous-plaît.
Laëtitia ôta ses doigts de mes orifices. Elle se déshabilla complètement, exposant son intimité aux deux mâles qui me consommaient, sans doute pour leur redonner de l’ardeur s’ils en manquaient. Elle se caressa les seins, ostensiblement, les empaumant par-dessous, pouces et index titillant ses tétons, essayant de les faire darder vers le ciel. L’animateur s’allongea sur le sol jonché de brindilles et je me laissai guider sur lui, l’esprit embrumé, ma volonté brisée. Je sentis à peine son petit engin tendu glisser dans ma minette trempée de cyprine. Les attentions de Laëtitia avaient produit leurs effets… Mon violeur se remit en selle, me pénétrant brutalement, comme la première fois. Je sentis les deux bites s’entrechoquer en moi et entamer leur va-et-vient synchronisé. La vague de plaisir déferla, inattendue. Prise en sandwich, complètement prisonnière des deux verges qui m’empalaient, je haletai, en profitant de l’orgasme que je sentais monter dans mes reins, m’arc-boutant sur la bite qui me trouait le cul sans concession, écrasant mes seins contre le torse frêle de mon amant vaginal, et appuyant ma chatte sur sa courte pine qui la visitait intensément. Je frottai mon clitoris sur les poils roux, irritant le bouton délicat, pour augmenter la charge déferlante qui menaçait d’emporter ma dignité dans une tempête jouissive incontrôlable. Je me sentis partir, et gémis plus fort, me retenant de crier pour éviter d’avoir à affronter les queues de tous les pervers du camping. Je me cambrai encore, sentant les deux membres gonflés me limer les entrailles, et je jouis, sans retenue en mordant l’oreille de l’animateur rouquin qui murmurait des « oui oui oui » saccadés dans mon cou. Laëtitia s’accroupit à hauteur de mon visage et approcha sa moule fine, presque glabre. Je tendis le nez en haletant, l’effleurant au passage, tirant la langue lascivement pour essayer de la goûter. Elle restait tout juste hors de portée, suffisamment proche pour que je sente son excitation mouillée, mais trop loin pour que j’y fourre ma langue avide. Elle trempa les doigts dans sa chatte, en se masturbant mécaniquement, et me fit sucer le jus intime sur son majeur à plusieurs reprises.
Les coups de boutoirs dans mon anus prirent brusquement fin, mon violeur vint en longues saccades, au fond de mes intestins, un flot de sperme chaud que j’imaginai se mêler aux résidus de merde sombre. L’image me donna la nausée. Je suçai le doigt de Laëtitia avec un haut-le-cœur. Elle pensa que ma réaction était due à son petit manège.
– Douce Coralie n’aime pas le jus de sa chef ? Goûte mieux…
Elle me plaqua la tête contre sa chatte, que je léchais avec envie en sentant que l’animateur arrivait au bout de son plaisir, le nez dans le cul de Laëtitia. Il gémit en se vidant, m’emplissant le vagin d’une petite quantité de crème épaisse et chaude, que je sentis à peine – après la queue de Loïc, le petit asticot de l’animateur ne faisait pas le poids.
Mon violeur anal retira sa pine souillée de sperme et d’excréments de mon cul, je restai lovée dans les bras du rouquin, léchant toujours l’abricot ouvert de Laëtitia. Ma langue traçait le chemin de ses petites lèvres, récupérant le jus intime dans sa vulve et l’étalant jusque sur son clitoris, en un coup de langue appuyé, je la lapai avec délices, étonnée de l’énergie que j’y mettais – je n’étais pas portée sur les femmes, exceptée Véronique, sa fille, peut-être. L’animateur me labourait toujours dans le vide de sa queue qui avait débandé immédiatement, en continuant de lécher le périnée de la belle brune, le nez entre ses deux lobes bronzés – sans doute faisait-il semblant de me baiser juste pour continuer son festin de roi. Nos langues se touchaient de temps à autres, se mêlaient sur les atours délicieux de Laëtitia, qui nous regardait, comme une araignée peut regarder deux mouches se débattre dans sa toile, souriante, haletant discrètement.
Mon violeur vint se tenir debout devant elle, espérant qu’elle le sucerait. Elle sourit plus largement encore, et se releva.
– Coralie, nettoie le sexe de ces messieurs.
Le rouquin sourit et me fit rouler sous lui. Mon violeur se tint debout au-dessus de moi, et l’animateur le rejoignit, queue dans la main. Je me mis à genoux. Fermais les yeux. Et nettoyai les deux sexes enduits de sperme. Je m’attardai sous les plis de chaque gland, et récupérai la semence mêlée d’excréments jusque dans les poils de mon violeur. Les bites enflèrent à nouveau sous mes coups de langue et mes pincements de lèvres, je fis donc ce qu’on attendait de moi. Je les suçai tour à tour, branlant avec agilité les deux sexes dressés. L’animateur vint très vite, aspergeant mon visage de sperme presque transparent. Mon violeur mit plus de temps à craquer sous mes caresses insistantes, je l’enfournai au fond de ma gorge et l’aspirai littéralement, en me masturbant comme une damnée, la main sur mon sexe rasé, le suppliant de m’éjaculer sur le nez, ce qu’il finit par faire dans un râle rauque.
Laëtitia me tapota la tête.
– C’est très bien, Coralie. Tu es une bonne petite pute! Penche-toi, je ne veux voir que ton cul.
Je pleurai à nouveau, je tremblai de peur.
– S’il-vous-plaît, je vous en supplie…
Un coup de baguette me fouetta les seins.
– Obéis, ou je double le tarif!
Je m’enfouis la tête dans les bras, cul en l’air, chatte au grand jour, seins plaqués contre le sol, en pleurant convulsivement. Les cinq coups tombèrent, sévères, intransigeants, me zébrant le cul d’une morsure brûlante, plus difficile à supporter à chaque fois qu’ils s’abattaient.
Laëtitia me caressa le cul affectueusement.
– C’est très bien, douce Coralie. Tu as été très obéissante. Tu peux rejoindre ton mari. Venez Messieurs.
Je les entendis sortir du buisson. Je restais là, cul en l’air, pleurant toutes les larmes de mon corps.
La salope.
J’étais bien décidée à lui faire payer cette humiliation et chacun des coups qu’elle venait de me donner au centuple!