Miss Camping – Chapitre 11
– Coralie ?
Je me réveillai doucement. Le chuchotement venait d’interrompre mon rêve, dans lequel la petite Véronique et moi nous embrassions sur la scène des animations du camping devant une foule de mecs qui se masturbaient les uns les autres. Le baiser était agréable et frais, mais la branlette collective me laissait un arrière-goût de sperme du gros José dans la bouche – qui persistait à mon réveil, vivement ma brosse-à-dents.
– Coralie ? Tu es réveillée ?
La voix chuchotante venait de l’extérieur de la tente.
– Mmm
La veille au soir, après que le campeur et Sarah soient repartis – Sarah voulait que j’aille « dire bonjour » à son mari et « faire connaissance avec lui », mais franchement, mon cul avait besoin de passer quelques heures loin des hommes – nous avions dîné et discuté avec Jean, une discussion normale, si l’on exceptait le moment où je lui avais lancé:
– Si tu as encore la force, je te dois une fellation, je m’appliquerai, tu verras.
Il avait paru étonné.
– Tu ne me dois rien – le gros ne t’a pas… euh… pénétrée.
J’avais souri.
– Lui, non, mais le masseur m’a « pénétrée » bien profondément. Il m’a baisée, avec ma participation pleine et entière, il a une queue phénoménale, j’ai joui comme rarement !
Jean avait hoché la tête, choqué. Ses yeux lançaient des éclairs.
– Oh. Je vois. Tu me suceras demain, alors. Et tu vas bien sentir passer ma queue à moi, même si elle n’est pas « phénoménale ».
Je lui avais déposé un baiser furtif sur les lèvres en souriant.
Puis nous nous étions couchés, après un passage par les toilettes. Là, j’avais vu Véronique, avec son frère. Je leur avais fait un petit signe, mais n’avais pu leur parler, Laëtitia étant aux lavabos. En sortant des toilettes, j’eus la surprise de voir que Véronique attendait juste devant ma porte. Elle me repoussa dans le cabinet, un doigt sur la bouche me faisant signe de me taire. Elle avait refermé la porte, s’était tournée vers moi et avait chuchoté:
– Il faut que je vérifie quelque chose.
J’avais hoché la tête, un tremblement impatient dans le ventre, mon cœur s’emballant sans que je puisse me contrôler.
– Moi aussi, je crois.
Elle m’avait serrée dans ses bras, en m’embrassant. Le baiser m’avait fait partir totalement, je fouillais sa bouche avec ma langue, me délectant de la sienne, j’avais eu l’impression qu’il n’y aurait jamais rien de plus délicieux au monde que les lèvres légères et sucrées de mon adolescente blondinette. J’avais glissé les mains sous sa robe courte et lui avais griffé les fesses et caressé ses petits seins ronds, souhaitant que ce baiser ne cesse jamais.
Quand nos bouches s’étaient séparées, elle m’avait effleuré la chatte avec sa main et m’avait murmuré:
– Demain, mon père et mon frère vont pêcher toute la journée. Ma mère va faire les courses l’après-midi. On peut se voir après déjeuner pour continuer cette conversation ?
Son doigt était entré dans mon vagin. Je l’avais embrassée à nouveau, en hochant la tête, puis elle avait quitté discrètement le cabinet, dans lequel j’étais restée, pantelante, pendant encore quelques minutes.
J’avais dormi comme un bébé.
– Coralie, c’est Loïc.
Loïc ! Mon scout masseur ! Avait-il réussi à baiser Laëtitia, déjà ?
Je me glissai hors de mon duvet, nue, et ouvris la fermeture éclair de la tente sans faire de bruit, pour ne pas réveiller Jean. Je sortis la tête par l’ouverture et me retrouvai devant un sexe en érection, une bite de trente-cinq ou quarante centimètres tendue devant mon nez.
Loïc me sourit.
– Bonjour Coralie, « à toute heure du jour ou de la nuit », tu n’as pas oublié ?
Mon bel ado voulait me sauter à 7h du matin. Avec Jean dans la tente. L’idée était amusante… Si Jean se réveillait, il aurait sa récompense ! Je pris son membre dans ma bouche en écartant encore les mâchoires au maximum, et avalai sa bite à moitié, forçant ma gorge à s’ouvrir. Je restai ainsi quelque secondes, puis libérai le sexe, dégustant la raideur ferme au goût de savon. Si Jean s’éveillait, il aurait une vue imprenable sur mon cul ! Je glissai ma main sur ma minette et me caressai le clitoris pendant que je le suçai, profitant de chaque coup de langue que je prodiguais. Je lâchai finalement sa bonne glace et posai la question qui me brûlait la langue.
– Tu as pu masser Laëtitia ?
– Oui, m’dame ! Et j’ai même un petit film pour toi !
Il me tendit son portable.
– Cool, je peux le voir ?
– Tourne-toi, à quatre-pattes, et regarde pendant que je m’occupe de ta belle chatte toute rasée. Tu n’as qu’à appuyer sur « lire ».
– Suce-moi un peu avant de me pénétrer, je ne suis pas bien réveillée. Et n’oublie pas de me caresser un peu – et pas que la moule !
Je n’arrivais pas à croire que je venais de prononcer cette phrase. J’étais si timide en arrivant au camping… Ce changement me plaisait, c’était si simple de dire les choses crûment ! Je rentrai dans la tente, laissant dépasser mon cul, genoux écartés, de manière à ce qu’il me prenne par derrière après avoir bien humecté mes lèvres encore toutes endormies.
Jean dormait comme un bébé. Je tirai le duvet jusqu’à ce qu’il m’apparaisse, nu, sexe en érection dans son sommeil. Si Loïc me sautait bien, je pourrais le réveiller en le suçant… je sentis la langue du beau scout lécher mon abricot, et ses mains merveilleuses me caresser le dos et les fesses. Je me cambrai, oubliant le film de Laëtitia, me laissant emporter dans la tourmente de sensations, ses doigts sur mes nichons, sur mes reins, mes épaules, sa langue sur mon clito, le long de ma fente, dans mon vagin, sur mon périnée. Je recommençai à me masturber, en donnant des coups de reins, sa langue pénétrant dans mon anus, comme une mini sodomie très douce. Je gémis quand son majeur entra dans mon vagin, et son pouce dans mon petit trou. Je me laissai faire quelques instants avant de protester, en chuchotant toujours:
– Eh, pas dans le cul, tu as d’abord un travail à faire pour moi…
– Ne t’inquiète pas, je mets juste le pouce… Tu aimes ?
Il m’enfonça les doigts plus profondément dans les deux trous, tout en me passant son autre main le long de mon dos, en une caresse intense et divine.
Je l’incitai à continuer, me sentant partir comme la première fois qu’il m’avait touchée.
– Je ne sais pas comment tu fais ça, c’est trop boooon… Mmm…
Loïc retira ses doigts de mes orifices et les inversa. Son majeur et son index forcèrent l’entrée de mon trou du cul tandis que son pouce explorait mon vagin. Il entama un lent va-et-vient, me plantant les doigts dans l’anus quand son pouce sortait de ma chatte, et l’y remettant bien profond lorsque des doigts libéraient mon cul. Il ajouta son annulaire à la sodomie, ses trois longs doigts me pénétrant avec douceur, m’écartelant presque au maximum de ce que je pouvais supporter.
– Eh, pas trop à la fois, tu vas me faire mal…!
Je sentis le sourire dans sa voix.
– Tu m’as promis que je pourrai te prendre dans le cul dès que j’aurai fait sa fête à ta copine. Mon sexe est bien plus gros que ces trois doigts…
C’était vrai. Je ne savais vraiment pas comment un rapport anal avec cette bite terrible allait se terminer pour moi… Elle me déchirerait probablement l’anus… Peut-être qu’avec beaucoup de vaseline, ça passerait mieux ? Je préférais ne pas y penser et changeai de sujet:
– Viens en moi, j’ai envie de ta queue – et ne te trompe pas d’orifice ! Continue à me masser partout pendant que tu me prends, j’adore.
– Partout ?
Je compris sa question et ne pus m’empêcher de sourire.
– Oui, même dans le cul, coquin. Allez, viens !
Il frotta sa bite sur mes fesses quelques minutes en soufflant, amenant son gland aux bords de mon orifice anal, et tournant dessus comme pour le pénétrer. Les lobes de mes fesses s’écartaient pour laisser passer son sexe énorme. Ma pastille céda une seconde et je sentis son gland entrer légèrement, mais j’eus un sursaut et le repoussai hors de mon cul.
– Pas maintenant, petit malin.
– J’ai envie de toi.
– Alors viens dans ma chatte. Elle est trempée. Dès que tu me touches, je mouille comme une ado.
Il glissa son sexe dans ma minette, d’un seul coup. J’eus l’impression qu’il voulait me transpercer jusqu’à la gorge. C’était rude, mais la sensation était délicieuse. Il me caressait le dos et les seins, me pinçait les tétons, me branlait le clitoris. Puis il me mît son pouce dans mon cul en me tenant fermement une hanche. Il m’empalait sur sa queue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, me plantant à nouveau trois doigts dans l’anus et les maintenant enfoncés pendant qu’il me limait. Je fermai les yeux, et, dans un réflexe, attrapai la bite de Jean, toujours endormi, et le branlai sauvagement, ne désirant rien tant que de la prendre dans ma bouche. Il se réveilla en sursaut et comprit tout de suite que je me faisais sauter, le cul hors de la tente. Loïc accélérait le rythme, ajoutant son auriculaire aux autres doigts qui me fourraient le cul, me déchirant les parois. Je couinais comme un hamster et donnai des grands coups en arrière pour qu’il me prenne plus loin, plus fort.
Jean me donna une claque sur la joue que je sentis à peine.
– T’es vraiment une pauvre salope ! Tu baises comme ça, ici, alors qu’on s’est même pas encore levé ! J’te déteste, t’es une pauv’ pute !
Je haletais, je gémissais, je tirais sur sa pine dure entre mes doigts, sans me soucier de sa colère.
– Oh oui, je suis… oh… une méchante fille… aah… Viens dans ma bouche pour… oui… me punir… Je suis méchante, méchante, méchante… aah
Jean mit sa bite dans ma bouche violemment me l’enfonçant dans la gorge, toute entière, en regardant mon cul se faire défoncer par les doigts de Loïc. Il attrapa ma tête et maintînt sa bite au fond de ma gorge en m’appuyant très fort sur la nuque. Je ne pouvais plus respirer. Il donna des coups de reins, comme s’il me baisait, maintenant sa pine dans ma trachée. J’allais étouffer, j’étais sûre qu’il voulait me tuer, me suffoquer. Je le griffai, je hurlai. Enfin sa bite quitta ma gorge, ma langue, mes lèvres. Il me donna une nouvelle claque, plus forte. Je respirai un grand coup, crachant un flot de bave sur sa bite, avec un haut-le-cœur. Loïc me limait toujours ardemment.
Jean me prit l’arrière de la tête et força l’entrée de ma bouche, me baisa de nouveau jusque dans la gorge et tapant plusieurs fois dans ma trachée jusqu’à ce que je sois sur le point de m’évanouir par manque d’air. Il ressortit sa bite, me frappa à nouveau, me laissa prendre une inspiration, et baver sur son membre, et de nouveau il me viola la gorge.
Loïc me caressait le dos, me touchait les seins, me fourrait le cul avec ses doigts. Jean m’étouffait avec son sexe, le visage dur, en m’insultant de temps à autre.
– Tu aimes la bite, pauv’ salope. Avale ça tout entier !
Il me donnait une claque chaque fois que sa bite sortait de ma bouche, mais je ne pleurai pas. Au contraire. Je lui souriais et ouvrais grand la bouche pour qu’il me l’enfonce au plus profond, espérant que ça le rendrait encore plus furieux. J’encourageais Loïc par des grands coups de reins, ses doigts dans mon cul faisaient des merveilles. Jean finit par éjaculer dans ma gorge, je bus son sperme à la source, avec un haut-le-cœur tant j’avais besoin de respirer. Il me libéra après que la dernière giclée ait fait son chemin, et me donna une dernière claque, moins appuyée. J’avais les joues en feu. Je serrai ma chatte sur la bite de Loïc qui la sortit d’un coup et jouit entre les doigts qui écartaient mon anus. Je sentis le liquide chaud entrer partiellement et couler le long de mes fesses, et me retournai rapidement pour prendre son sexe dans ma bouche et boire les quelques gouttes du nectar qui en sortaient encore. J’offrais ainsi à Jean une vue imprenable sur mon cul dégoulinant de sperme, sur mon anus écartelé par les quatre doigts du scout. Je pris mon temps pour nettoyer le sexe immense, en me masturbant sous le nez de Jean, bien cambrée. Je me concentrai sur les sensations que me procuraient cette belle bite, sur le corps musculeux de mon jeune amant, et je me fis jouir, bruyamment, sous les regards de mes deux hommes du matin.
Je pris une serviette et la mis sur mon duvet, pour m’asseoir sans le tacher de sperme. Je tirai Loïc dans la tente en l’attrapant par sa belle tige.
– Loïc, je te présente Jean, mon mari. Jean, je t’ai parlé de Loïc hier soir, et de sa queue très longue.
Loïc avait l’air gêné, et Jean était furibard. Je me massai les joues qui me brûlaient, bien décidée à me venger immédiatement – ce ne serait pas difficile.
– Loïc m’aide à régler le problème que j’ai avec Laëtitia. Moyennant quoi, il peut me faire l’amour quand il en a envie.
Je me tournai vers Loïc:
– Pour tes vingt copains, je suis d’accord pour les dépuceler. Tu me montreras ton emplacement, je les amuserai le soir, en en prenant quelques-uns à la fois. Je pense que ça se passera plutôt ici, c’est plus calme.
Loïc hocha la tête en souriant. Jean serra les poings. S’il ne m’avait pas frappée, j’aurais peut-être dit non aux petits scouts puceaux, mais là…
– Alors, on se le regarde, ce petit film de Laëtitia ?
J’appuyai sur la touche « lire » et le petit film commença. On y voyait Laëtitia, allongée sur le ventre, avant que Loïc ne la masse. Elle avait les yeux curieux, essayant de mater le bel ado, son mètre-quatre-vingt-dix, ses épaules larges et musculeuses, sa peau bronzée et fine. Elle souriait en le déshabillant du regard.
– Il ne s’est rien passé cette fois, me dit Loïc. Mais je pense qu’elle va me sauter dessus sans que je n’aie aucun effort à faire…
Lorsque le massage débuta, les mains de Loïc parcoururent le dos de la belle brune de quarante ans, des épaules jusqu’à la naissance des fesses. Elle ouvrit grand les yeux, respiration coupée. Puis elle fondit littéralement sur la table.
– Apparemment, tu lui as fait le même effet qu’à moi…
Le cul de Laëtitia se soulevait légèrement, à chaque passage des mains, et elle se mordait les lèvres, fermant les yeux, morte de désir. À un moment, Loïc lui tourna le dos pour prendre un peu d’huile, elle ramena ses bras le long de son corps et releva sa culotte, façon string, invitant le divin masseur à l’explorer plus avant. Elle ferma les yeux. Loïc sourit, et tira légèrement sur son short pour montrer son érection, bien moulée maintenant. Laëtitia s’en aperçut bien vite et ne quitta plus l’engin des yeux.
Loïc l’invita à se retourner, pour lui masser les épaules, le buste et les jambes. Elle ôta son haut de bikini. Le massage ne prit pas un tour plus sexuel par la seule volonté de mon ado masseur – qui, sans en avoir l’air, lui effleurait les nichons à chaque passage de ses grandes mains, et qui n’aurait eu aucun mal à répondre à la demande des tétons dressés. Laëtitia avait même écarté les cuisses légèrement lorsque Loïc lui avait massé les jambes !
Je hochai la tête, satisfaite.
– C’est parfait ! Mais pourquoi ne l’as tu pas sautée ? Elle n’attendait que ça !
Il jeta un coup d’œil nerveux à Jean.
– C’est à dire… Je venais de faire l’amour et je n’avais pas envie d’avoir une queue un peu molle…
– Tu la revois quand ?
– Comme tu lui offres dix séances, je la revois en fin d’après- midi, elle a des courses à faire avant, apparemment. Vers 17h à son mobil-home.
– C’est parfait ! Bon, je sais pas vous, messieurs, mais moi, je vais encore dormir un peu !
Je me rinçai le cul avec du PQ et de l’eau, et me lovai dans mon duvet. Je trouvai le sommeil immédiatement.