La Plume de Florean,  Miss Camping

Miss Camping – Chapitre 10


(Coralie vient de se faire masser par Loïc, un scout au membre généreux. Elle a passé un marché avec lui pour se venger de Laëtitia. Elle revient à la tente après le massage en compagnie de Sarah, et surprend son mari, qui montait la tente, en compagnie d’un autre homme, qui l’observe, sexe en érection.)

Je manquai d’éclater de rire. Sarah eut un petit soupir amusé. Je la regardai en coin, puis m’approchai de Jean, et, faisant comme si rien d’anormal ne se produisait, je saluai le campeur.

– Bonjour ! Il travaille bien ?

Le jeune homme cessa de s’activer sur sa pine, l’air gêné.

– Euh… oui…

– Il a été coopératif avec vous ?

– Euh… très coopératif, oui. Il m’a expliqué pourquoi il était à poil dans le camping, et j’ai demandé si je pouvais le regarder travailler… Je crains d’avoir un peu dépassé le stade de l’observation… Faut dire que vous êtes bien isolés des regards, ici…

Il montrait les thuyas hauts, et les oliviers qui ornaient notre nouvel emplacement de camping. Jean semblait avoir avalé un litre d’acide chlorhydrique.

– Allons, ne soyez pas gêné par nous, faites comme si nous n’étions pas là. Vous êtes plutôt homo ?

Jean sursauta.

– Euh… non, pas vraiment. Mais j’ai toujours rêvé de… euh… de masturber un autre homme, et là, comment dire, l’occasion… euh…

Je souris férocement. Mon esprit humilié, mon corps maltraité, mes seins molestés, griffés, mon cul violé sans concession, ma minette fourragée et souillée, tout en moi criait vengeance.

– Ne vous gênez pas, surtout, si vous avez envie de masturber mon mari, servez-vous, approchez, il ne vous mangera pas. Il en tirera peut-être même quelque plaisir…

Jean, penché sur les sardines qu’il plantait, ferma les yeux, et serra son maillet en tremblant, mâchoires serrées. Sarah se tortilla derrière moi en chuchotant à mon oreille :

– Dommage, la place est prise…

Je lui serrai la main brièvement, lui faisant comprendre que je voulais qu’elle reste pour le spectacle.

Mais le jeune homme hochait la tête négativement.

– Oui, je sais, il se laisse bien faire, j’ai essayé tout à l’heure, mais impossible de le faire bander, son… pénis… reste tout mou.

Je regardai Jean d’un air de reproche.

– Oh, Jean, ce n’est pas bien de ne pas assister Monsieur dans son fantasme ! C’est vrai que tu as eu plusieurs rapports sexuels aujourd’hui, mais tout de même, tu pourrais faire un effort ! Tu as vu ceux que j’ai faits avec le gros porc, quand même !

Jean hésita, puis finit par répondre, d’une voix atone.

– Je… j’ai tout fait comme tu as demandé, Coralie, mais ça ne marche pas avec un homme, et je ne m’en plains pas vraiment…

Sarah avança vers mon mari. Elle dégrafa son paréo, dénudant son superbe corps bronzé. Elle ne portait pas de string.

– Je peux peut-être aider… ça ne te dérange pas, Coralie, si je m’octroie un petit plaisir avec ton mari ?

Je n’étais pas trop heureuse qu’une si belle femme puisse s’occuper de Jean, mais après Loïc et sa queue phénoménale, et la perspective de me taper ses vingt petits camarades, je pouvais bien fermer les yeux…

– Sers toi, du moment que notre ami réalise son fantasme…

Sarah m’envoya un petit baiser coquin avec sa bouche parfaite, puis elle prit la main du campeur, qui bandait de plus belle en la voyant nue devant lui. Elle fit s’agenouiller Jean, bite en avant, dans la main du jeune homme.

Puis elle enjamba Jean, plaçant sa chatte rasée et bien dessinée devant son nez, jambes écartées. Il devait avoir une vue en contre-plongée de son beau minou bronzé et de sa poitrine de déesse, et ne pas en croire ses yeux…

Elle était magnifique, je n’en revenais toujours pas. Un vrai mannequin de 50 ans, les dents éclatantes, le cul rebondi sans un gramme de cellulite, des seins fermes, généreux, la peau douce et le sexe glabre, que le gros José aurait adoré… Et ses avec quelques rides, plus charmantes que dégradantes, au coin de ses yeux, sur son cou et sur les côtés de ses nichons, elle était à croquer.

Elle caressa ses seins parfaits d’une main, et écarta son minou de l’autre, se baissant pour que les lèvres de Jean l’effleurent. Elle se masturbait, se frottait sur sa bouche, malaxait ses gros lolos, le tout dans un déhanchement sensuel. Les doigts du campeur s’activaient sur la queue de mon mari, il n’avait d’yeux que pour le sexe qui gonflait, lentement, dans sa main, et ne faisait pas attention aux fesses rebondies de Sarah. Elle avait un tatouage à la naissance de ses fesses, un petit papillon bleu foncé, qui invitait à explorer la raie plus avant, qui semblait demander à ce que les doigts ou la langue – ou un membre masculin – viennent révéler le petit orifice appétissant qui se cachait au creux de ces divins lobes.

Elle haleta discrètement quand la langue de Jean plongea au creux de sa chatte, la baisant aussi sûrement qu’une bite aurait pu le faire. Il ouvrit la bouche au maximum, essayant de planter sa langue jusqu’aux tréfonds de la belle moule avide, la léchait comme un veau tête sa mère, cou tendu, menton en avant, yeux fermés, nez dans son clito. Toujours à genoux, il prit les fesses délicieuses dans ses mains, et les caressa méticuleusement, pouce par pouce, se délectant de leur texture soyeuse et de leur fermeté rebondie. Sarah attrapa sa tête, et enfila la langue plus loin, en gémissant de plaisir. Jean donnait des coups de queue sans s’en rendre compte, oubliant que c’était un homme qui l’astiquait.

Je regardais le spectacle avec un plaisir inouï. Le campeur, souriant comme un ange, se branlait en même temps qu’il masturbait Jean, qui avait maintenant la trique des bons jours, rouge et gonflée d’une semence prête à être récoltée. Plus ça allait, plus le visage du campeur s’approchait de la bite au garde-à-vous, et je voyais arriver le moment où il allait la goûter, emmenant son fantasme vers d’autres horizons.

Mais Sarah en décida autrement. Elle quitta sa place de choix, laissant les deux hommes à leur affaire. Elle me prit la main, et m’attira vers les garçons. Jean semblait moins enthousiaste à la vue du campeur excité qui lui serrait la bite en essayant d’en tirer son précieux jus. Cela ne dura pas. Sarah enjamba de nouveau Jean, lui présentant son cul, cette fois, et m’invita à la rejoindre. J’enjambai mon mari à mon tour, face à la belle princesse, et acceptait son baiser, pendant qu’elle me caressait les seins et la chatte, s’abandonnant aux sensations que lui procuraient ma langue dans sa bouche et celle de Jean dans son cul et dans sa minette offerte.

Le campeur astiquait toujours Jean, mais ne semblait plus vouloir le sucer. A la place, je sentis sa langue sur mes fesses, et son autre main sous mon ventre, doigts entremêlés avec ceux de Sarah, si bien que je ne savais plus lequel des deux me pénétrait ni lequel me caressait. Je malaxai les beaux seins bronzés de Sarah, et, décidée à en profiter au maximum, m’empalait sur les doigts mêlés, en accentuant la force du baiser que j’échangeai avec elle. Elle embrassait vraiment très bien, sa langue était agréable dans ma bouche, elle souriait, heureuse, son parfum enivrant emplissait mes narines. Son expérience de femme d’âge mûr se ressentait dans ses caresses, dans son baiser, dans cet abandon incroyablement simple qu’elle me faisait partager. Ses doigts (ou ceux du campeur ?) tournaient sur mon clitoris, s’enfonçaient délicatement en moi, m’effleuraient les lèvres rasées, tâtaient mon périnée et se permettaient d’entrer dans mon petit trou, que j’offrais de bon cœur aux caresses appuyées.

Jean se tendit, et éjacula dans les doigts du campeur, qui vint dans un râle, projetant du sperme jusque sur la bite qu’il venait de faire jouir, éclaboussant mes jambes au passage, quelques gouttes atterrissant sur les pieds de Sarah.

Nous enjambâmes les deux hommes, et je laissai Sarah s’agenouiller, leurs bites entre ses mains, récoltant le sperme avec les lèvres, la langue, et me présentant sa croupe attirante, parfaite,  jambes écartées. J’y glissai mes doigts, et la pénétrait sans hâte, avec douceur, n’espérant pas lui procurer une grande jouissance, plutôt un doux plaisir. Elle léchait les membres ratatinés et souillés avec méthode, s’attardant sur les poils, sur le gland, sous les couilles, jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement nettoyés. Elle m’encouragea à la fourrer plus fort, mais j’avais peu d’appétit pour les femmes, et je continuai quelques minutes à aller et venir entre ses lèvres, hasardant un doigt dans son anus, par curiosité. Elle donna un grand coup de reins et mon doigt pénétra jusqu’à la paume. Elle se tourna et me regarda pendant que je jouai dans son cul de déesse, en souriant, bouche entrouverte. Elle entama un va-et-vient plus rapide, et me dit en haletant :

– Il faudra que l’on se fasse une petite séance de massage toutes les deux. Tu ne crois pas ?

Je vis Jean lever les yeux au ciel, désespéré.

– J’ai hâte d’y être, dis-je pour le titiller. Tu es si belle que je deviendrai presque lesbienne rien qu’à te regarder.

Elle rit et reprit l’exploration des bites molles en susurrant :

– Ne te prive pas des hommes, une bonne queue dès qu’on le peut, il n’y a rien de tel pour garder la forme…

Je me dis que si baiser à ce rythme pouvait me donner son corps de déesse, je resterais miss camping pour le restant de mes jours sans hésiter…

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