Mégane, texte pour une MCnaute
Histoire basée sur des faits réels.
Tout a commencé par un mail de Mégane.
« Bonsoir ou bonjour ! Cela depend de l’heure a laquelle tu liras le mail.
Je t’ecris ce mail pour te feliciter des si bons textes que tu as ecrits , j’ai adoré , surtout celle du contrat et je suis pressee de lire la suite! Tes histoires me mettent dans un etat pas possible ;)!
Je voulais te demander , la jalousie , me semble-t-il a beaucoup sa place dans tes textes , est ce un sentiment que tu ressens souvent ? Est ce pour cela qu’elle revient souvent dans tes textes? Et la domination de meme , qui est un de tes sujets principaux, es-tu du genre dominant ? Vala cest tout! Je m’excuse pour les accents manquant , le clavier etant un qwerty!
»
Je reçois une dizaine de mails de ce type par semaine, me félicitant des histoires d’Alysha et de Miss Camping – me donnant parfois des orientations pour les suites. J’y réponds chaque fois de manière neutre, heureux de voir que mes textes plaisent, excitent, et qu’on en veut encore et encore. Et quand une fille m’écrit – j’ai eu des Denise, des Emmanuelle, des Cora, des Nathalie, des Marie, des Hélène – je ne me mets pas martel en tête, un pseudo ne veut rien dire, sur le net.
Nous échangeons donc quelques mails, et par expérience, donc, je me demande si Mégane n’est pas un mec qui se cache sous un pseudo de fille. Je le lui dis, donc.
Elle me répond que non, qu’elle est bien une nana. Je lui dis que je ne la croirai pas tant que je n’aurai pas une preuve, par exemple une photographie de sa main (féminine) avec marqué « Miss Camping », ou « Alysha » dessus, ou une photo d’elle devant l’écran d’ordi affichant le site Miss Camping.
Evidemment, j’espère mieux, elle me contacte après avoir lu mes histoires porno, semble apprécier les plus trash (Alysha et Mina), je me dis que peut-être… des seins… mais non, ça n’arrive pas dans la vraie vie. Je dois avouer que ces mails me titillent, m’excitent un peu, j’ai un début d’érection à chaque fois que je les ouvre, je n’y crois pas et j’y crois en même temps.
Et puis les photos tombent.
Là, je suis soufflé.
Trois photos, sans visage, juste une bouche fermée, pulpeuse, qu’on imagine très bien embrasser, qu’on voit tout à fait engloutir une belle queue. Elle porte un pull léger, décolleté, cachant une poitrine large, généreuse, bien faite. Sous son cou, au-dessus de sa poitrine, le mot « coloredbird » écrit au stylo. (Elle m’a donné l’autorisation de publier ces photos, je les ai recadrées de manière à ce qu’elle ne soit pas reconnue, la bouche a donc disparu. Pour afficher les photos en taille réelle, clic droit « Afficher l’image » – sous firefox)
Au creux de son pull, sur la seconde photo, on devine le doigt qui a été glissé, pour accentuer le décolleté.
Je bande en y repensant, ces photos m’ont fait un effet boeuf, je n’y croyais pas, je ne croyais pas ma chance.
En les regardant de plus près, je trouvai bizarre que « coloredbird » soit écrit au stylo. Si Mégane ne vivait pas seule, le stylo est un peu voyant, et pas le premier choix sur lequel je me porterais si j’écrivais son pseudo à elle sur ma queue, par exemple.
Pourtant, trois photos… l’écriture « coloredbird » exactement au même endroit sur les trois… j’étais à la fois gêné et intéressé, j’avais peur de me faire avoir par un geek habile, mais en même temps, je voulais tellement y croire…
Je le lui dis. Pourquoi du stylo, ce n’est pas le plus simple ?
Elle me répond: Un peu d’huile d’olive et un coton, ça part tout seul.
Je file à la cuisine, je me fais deux traits de stylo sur la main, un coup d’huile d’olive. Je suis un peu rouge là où j’ai frotté, mais ça marche. Essayez, vous verrez.
Bon.
Je lui donne quitus, à ma Mégane, ma visiteuse MCnaute. Je lui demande alors ce que fait une fille quand elle lit mes textes ? Parce qu’un gars, je vois, je connais, une main dans le pantalon, on caresse, on câline, on cajole, on secoue un peu,le sopalin recueille le sperme chaud, et ça fait un putain de bien. Mais une nana ?
Elle me répond, toute en douceur, qu’elle lit les textes, se laisse porter et que parfois, elle se retrouve main dans la culotte, et que ça lui arrive avec certains de mes textes, justement.
Un garçon, se faisant passer pour une nana, aurait-il répondu ça ? N’aurait-il pas plutôt donné des détails, genre « je me masturbe et m’enfonce les doigts dans le vagin » ou « Tes textes me font tellement mouiller que seule la grosse queue de mon mec dans ma chatte peut me calmer » ?
Et puis nous en étions déjà à une dizaine de mails échangés, quel intérêt pour lui, si c’était bien un garçon qui se fait passer pour une fille ? Me faire me branler sur un fantasme ? Je passe ma vie à ça, en écrivant mes textes, fantasmer…!
Je doute de moins en moins, mais… je lui demande, si elle est une fille, de se révéler peu à peu à moi, D’abord avec un T-shirt moulant, puis en soutif, puis les tétons cachés par ses doigts. J’ai envie de profiter de la situation, dans le bon sens du terme, de me laisser allumer, comme dans mes histoires, peu à peu. Je dis à Mégane que cette rencontre vaut bien un beau récit sur MC…
Mais Mégane n’en fait qu’à sa tête. Alors que je rêve de recevoir une photo de ses seins (dans mon esprit, écrit au crayon à maquillage, deux beaux seins, sur l’un, « Cb » sur l’autre « dF », les ronds des deux lettres b et d formés par ses deux mamelons, l’idée me fait bander, encore maintenant), je reçois deux nouvelles photos, toujours sans visage.
La première: Allongée sur le lit, en lingerie rouge, gros seins, culotte en arrière-plan, Mégane est grande. On peut presque imaginer, planté dans sa bouche, le sexe de son petit ami.
La seconde, magnifique: En noir et blanc, Mégane, allongée, légèrement cambrée, un sein en arrière plan dont seul un téton dressé dépasse, et la main, la main qui descend dans la culotte, légèrement relevée… On sait que les doigts titillent le clito, ou n’en sont pas loin.
C’est la même fille, les mêmes doigts, les mêmes bracelets.
Les photos sont bandantes, mais me laissent sur ma faim, je ne me branle pas en les regardant – et je les regarde beaucoup.
J’en demande d’autres à Mégane… mais elle me répond: « Ecris ton histoire, tu auras des photos »…
Elle veut son récit, celui dont elle sera l’héroïne, elle veut que je vous raconte ce qui s’est passé et les fantasmes que ça a fait naître. C’est fait. Mais je veux lui offrir mieux.
Alors…
« Récit n°1: Mégane, rencontre avec la fille sans visage.
Le mail était tombé deux jours avant. Mégane passait sur Paris (peut-être y vit-elle, je ne sais pas, elle reste mystérieuse, et je n’ai jamais posé la question) et avait décidé que nous nous verrions enfin.
Elle m’avait donné rendez-vous, un message laconique: « Si tu veux me rencontrer et sortir du fantasme, rue de Lappe dans le 11ème, dimanche, 19h. Je te trouverai. »
Bon.
Je n’ai pas réfléchi. Réponse immédiate.
« OK, Je t’attendrai au milieu de la rue. »
Je ne vous cache pas que je n’ai pas passé deux nuits excellentes, j’oscillai entre l’horreur absolue à l’idée de rencontrer un inconnue sans filets, et l’excitation, toute aussi absolue, de la voir enfin, cette coquine qui s’était effeuillée pendant plusieurs semaines pour un non-moins inconnu.
Mais j’y suis.
Rue de Lappe.
Je l’attends.
Je ne sais pas ce qui va se passer. Une discussion ? Un restau ? Du sexe ? Va-t-elle me poser un lapin, est-elle en train de m’observer, quelque part, riant de sa blague, curieuse de me voir en chair et en os, mais certainement pas prête à me laisser l’approcher ?
Je suis seul dans cette petite ruelle, coincée entre deux autres à peine plus grandes, les immeubles ne sont séparés que par deux trottoirs étroits et une route, piétonne la plupart du temps. Je regarde à droite, à gauche. Personne.
Je sais que Mégane est grande, 1m76, m’a-t-elle dit, elle est plus petite que moi, c’est toujours ça. J’ai le coeur qui bat dans ma poitrine. Je me suis fait beau, mais pas trop, je ne veux pas faire mon minet.
Il y a un magasin porno, au milieu de la rue, qui vend des DVD. Je me demande si c’est un hasard ou si elle l’a choisie exprès pour ce détail. Je m’en approche. Des rideaux bleu sombre, une enseigne discrète, des DVD sans vie dans la vitrine. Rien de bien excitant. Il y a une galerie d’art, sur la droite. Je bifurque. On dirait que c’est fermé.
– Ne te retourne pas.
Je me tends.
La voix est profonde, sensuelle, presque chuchotante dans le printemps naissant. Elle n’a pas pu arriver si vite. Elle devait être planquée dans le magasin porno. Je déglutis, sans me retourner.
– Mégane ?
Je sens son sourire.
– Qui d’autre ? Avance, je te guide.
J’obéis. Je marche, droit devant moi, vers le bout de la rue, qui débouche sur une artère plus large.
– A gauche.
Je tourne, des magasins, des vitrines. Je regarde de côté, essayant de voir Mégane dans le reflet.
– N’y pense même pas.
La voix est amusée. Elle a un petit accent du sud.
Je souris à mon tour, c’est de bonne guerre.
Une rue, deux rues, trois rues.
– Traverse, à droite.
Je m’exécute.
– Tout droit.
Nous entrons dans une rue sans nom, je marche plus lentement, maintenant. Elle pose sa main sur mon épaule. Un regard de côté. Je reconnais ses doigts, et son bracelet. C’est bien elle, ce n’est pas un rêve. Je me sens léger, comme si j’avais bu.
– Ferme les yeux.
J’obéis encore. L’impression d’ivresse persiste.
Elle passe à côté de moi, me prend la main.
– Mmm, pas mal, mains douces… n’ouvre pas les yeux, suis-moi.
Je suis flatté, malgré moi – je sais que je ne suis pas trop moche, mais bon, se faire apprécier par une fille aussi jolie… c’est une caresse pour l’ego.
Elle croise ses doigts dans les miens, ses mains sont grandes, son pouce caresse le mien, je suis ivre, je flotte. Nous marchons encore un peu, une porte s’ouvre, se ferme, un escalier qui sent le bois et la poussière, qui craque. Elle repasse derrière moi.
– Ouvre les yeux, monte, dernier étage. Pas de bruit.
C’est un petit immeuble, confiné, au parquet bien entretenu et aux portes en bois massif. Sa main court sur mon dos et sur mes fesses, je sens que c’est un jeu, je ne dis rien. Je bande, évidemment. Ses deux mains passent sur le devant de mon pantalon, et s’arrêtent sur la bosse qui s’y installe peu à peu. Elle glousse, se colle à moi, ses doigts pressent mon sexe à travers le tissu du jean, en font le tour, en dessinent la forme. oblongue. Délicats. Coquins.
– Avance plus vite, si tu veux que je garde ma main en place.
Pas facile, elle est tout contre moi. Mais je monte les dernières marches, la respiration haute, l’envie terrible qu’elle ouvre ma braguette, qu’elle me prenne la queue, que sa peau touche la mienne. Dernier palier. 3 portes. Elle me presse la bite pour m’indiquer que je dois tourner à droite.
– Ouvre.
Elle me donne une clé ancienne. Je l’introduis dans la serrure, mes mains tremblent légèrement. Deux tours, et la porte s’ouvre.
– Tout droit, première porte à gauche, assieds-toi sur le lit, face au mur.
Le lit.
Bon pour moi, ça.
Je traverse un appartement charmant, ancien, clair. J’entre dans une chambre, un lit blanc, tout fait, une fenêtre, volets ouverts, il fait encore jour dehors, la lumière est dorée, je vois les poussières briller dans le rai de soleil qui passe à travers les carreaux.
Joli.
Elle m’a suivi. Je m’assieds, face au mur, coeur battant.Je bande à mort. Je ressens encore la caresse de sa main sur ma queue, la douceur de la pression. Je me mords la lèvre, tout ouïe.
Un vêtement tombe à côté de moi. Un pull léger, gris foncé. Puis un second vêtement, un petit haut, élastique, gris souris.
Je déglutis, incrédule.
Elle se déshabille ?
Un soutien gorge noir suit. Gros bonnet, mais moins que je ne l’aurais imaginé. Je le prends entre mes doigts, le porte à mon visage, le sens. Un parfum léger, féminin, ton sucré. J’inspire en fermant les yeux. Ma queue me fait mal dans mon pantalon.
Elle me lance un short noir, tissu soyeux. Puis une culotte, assortie au soutif, tombe, à côté de ma main. Je la saisis, en renifle le parfum, je m’emplis de sa féminité, salée, intense, épicée. Je salive à l’idée de goûter la chatte qui a produit cette fragrance toute féminine.
– Je… je peux me retourner ?
– Patience…
– Difficile d’être patient quand je sais que tu es nue derrière moi…
Elle rit discrètement.
J’entends qu’elle fouille dans un sac, puis le bruit distinct de vêtements qu’on passe, le frottement de la peau sur un tissu léger. Je n’en peux plus d’attendre.
Son poids, sur le lit, ses genoux. Elle est juste derrière-moi.
– Debout.
– Je me retourne ?
– Oui, mais yeux fermés, mains dans le dos.
Je hoche la tête. Je me lève, me tourne, face au lit. Je sais qu’elle est assise face à moi, je sens ses jambes écartées, contre les miennes. J’ai les yeux fermés.
Son nez s’enfonce dans les plis de mon jean, juste au-dessus de mon sexe, elle respire fort, et attrape ma braguette avec les dents. Elle la descend, lentement.
– ça te plaît ?
– Oui.
Ses mains se plaquent sur mon cul, elle colle sa bouche sur mon boxer, je sens la chaleur humide de sa langue qui humecte le tissu. Les mains glissent, déboutonnent le pantalon, et le tirent, avec le slip, les descendent autour de mes chevilles. Ma bite se dresse devant elle, à l’horizontale. J’ai toujours les yeux fermés. Ses doigts remontent sur ma chemise, et en ôtent les boutons, un à un, en partant du bas. Chemise et veste tombent bien vite au sol. Elle glisse ses pouces dans mes chaussettes, je l’aide à me les enlever. Je suis nu.
– Belle queue. Tu m’en feras une photo, quand tu te branleras en pensant à moi ?
J’acquiesce.
– Mmm mmm.
Elle pose ses mains sur mes cuisses, je sens son souffle sur ma queue, je sais qu’un petit coup de reins suffirait à ce que ses lèvres entrent en contact avec mon gland, à ce que sa bouche me gobe.
– Alors… Ouvre les yeux.
Mégane est bien là, réelle.
Son corps est couvert d’une combinaison en dentelle rouge profond, presque noire, moulante, épousant ses formes généreuses. Des petites cordelettes sont lacées sur chaque sein, et des petits boutons nacrés partent du nombril jusqu’au bas de son dos, passant ainsi sous son intimité. A ses pieds, des chaussures à talons aiguille, très serrées et lacées jusqu’aux mollets. Elle me font penser aux chaussures spartiates, en plus érotique. Je doute qu’elle puisse marcher avec ça au pied, mais les femmes sont très habiles pour ce genre d’exercice… Je vois au travers du tissu fin, mais pas suffisamment pour être tout-à-fait repu.
Son visage est caché par un masque de dentelle noire, presque transparente, seuls son nez, ses yeux et ses lèvres sont visibles.
Je reconnais ses mains, bracelets verts autour des poignets, sa bouche pulpeuse, incroyable, rouge à lèvres éclatant, rouge feu, son nez, droit, fin, ses dents, comme des perles.
Je reste coi, hypnotisé, elle me regarde intensément, souriante, fière de son coup, de la surprise que j’éprouve. Sa langue humecte ses lèvres, à quelques millimètres de mon sexe dressé sous son nez. J’ai conscience de ma nudité, et du fait qu’elle peut me détailler dans la lumière du soir qui inonde toujours la pièce.
– Je te plais ?
Je chuchote:
– Oui.
Sa voix est ample, coquine, elle vibre de promesses non dites.
– Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
J’approche mon sexe de sa bouche, mais elle tourne la tête.
– Non, pas comme ça.
Je déglutis.
– Comment, alors ?
– Tu ordonnes. J’obéis. Je suis Mina, je suis Alysha, je suis ton fantasme, tu es le mien. On a un deal. OK ?
Je réfléchis très vite. Elle m’a dit ses fantasmes, dans nos échanges de mails. Un vrai maître lui plairait.
J’ai envie de l’embrasser, de me saisir de cette bouche de pinup, de me perdre dedans – depuis que j’ai découvert sa première photo, et quelques-unes qui ont suivi, j’en rêve, sa bouche à elle seule me conviendrait, je l’embrasserais durant des heures, et m’en contenterais largement. Mais ça ne me paraît pas le meilleur moyen de réaliser son propre fantasme, c’est trop sage, trop convenu.
Pourtant…
Non.
Pas maintenant.
– OK.
Je prends ma bite dans ma main, et la plante sous son nez.
– Suce.
Elle sourit secrètement. Ses yeux brillent à travers le masque fin. Je sais que j’ai fait le bon choix.
– Plus autoritaire que ça.
Ma queue hurle de désir. Cette fille est incroyable !
– Suce… salope ?
– C’est mieux…
Sa langue humecte ses lèvres, dans un sourire provocateur.
– Allez, suce-moi, bordel !
J’attrape la tête de Mégane, la dentelle est fragile, sous mes doigts, je la caresse, c’est érotique, excitant. Elle ouvre la bouche, m’avale, lentement, m’emmène au fond de sa gorge, langue tendue. Ses doigts fins se plantent dans mes fesses, m’attirent à elle, la fellation est appliquée, experte, Mégane goûte mon sexe, le découvre, se l’approprie, elle vise mon propre plaisir, et déploie tout son savoir-faire dans ce but.
– Touche-toi.
Elle obéit, sa main gauche effleure la combinaison rouge, s’arrête sur les boutons nacrés, juste sur sa chatte, elle commence à se caresser au travers du tissu moulant. Elle me suce toujours, attentive à mes réactions. Je me demande si elle éprouve les sensations de sa masturbation féminine ou si elle le fait juste pour mon bénéfice, est-ce que la dentelle l’excite, elle aussi, est-ce qu’elle accentue ses sensations ? Elle joue toujours avec sa langue sur ma queue.
– Gobe-la toute entière et garde-la au fond de ta gorge.
Mégane remonte sur mon sexe, de la salive tombe en filets baveux sur le haut de ses seins, elle respire profondément et m’avale à nouveau, en trois coups de menton rapides, j’ai les reins qui protestent, qui demandent à ce que je vienne dans cet antre chaud et doux, ma pine gonfle de plaisir, bat sur la langue glissante. Les lèvres de la belle touchent bien vite mon pubis, son nez se perd dans mes poils, Mégane continue de pousser à droite et à gauche pour me prendre plus loin encore, elle presse mon cul et me force à essayer de la pénétrer au plus profond de sa gorge. C’est à mon tour de souffler, c’est trop rapide, trop bon, j’expire lentement, lui attrape la tête pour qu’elle ne bouge plus, je me tends, je sens le sperme monter en moi, je sais que je vais exploser si Mégane fait un pas de plus vers mon plaisir… Elle l’a compris. Elle ne bouge plus. S’immobilise totalement. Je sais que ses doigts pressent sa chatte plus intensément maintenant, mais j’essaye de ne surtout pas y penser. Je décompresse enfin. Elle m’a épargné la frustration. Ma bite bat au ryhtme de mon coeur, perdue au-delà de la luette de mon amante sans visage. Une fois. Deux fois. Trois fois. Encore une.
J’ouvre les yeux – je ne savais même pas que je les avais fermés – Mégane me regarde par dessous, en souriant derrière son masque noir. Elle se caresse plus vite à travers la combinaison, ses doigts frottent fermement la dentelle, à droite et à gauche des boutons nacrés. Elle me retire doucement de sa bouche, la langue joueuse, l’alerte est passée, elle s’autorise à nouveau à m’exciter. Elle me suce, lèche ma queue, mon gland, va et vient, lentement, rapidement, elle joue, elle s’amuse. Je n’en peux plus, il faut que je l’arrête, sinon je vais venir, je le sais.
Je déglutis.
– Waoh. Pour une pipe, c’est une pipe.
Je sors de sa bouche formidable, ses lèvres sont luisantes de gloss et de salive, je m’agenouille devant elle, sur le sol, entre ses jambes. Elle a l’air fière de sa prestation, elle tient ma bite entre ses mains et la branle gentiment, pressant mon gland avec ses longs pouces. Ses yeux sont clairs, souriants sous le masque noir. Je remarque seulement maintenant les cheveux roux qui en dépassent, plus roux que ce à quoi je m’étais attendu en regardant les photos. Elle attend la suite, sage, attentive.
Je ne peux plus attendre de goûter ces lèvres de déesse.
– Embrasse-moi.
La pression de ses doigts s’accentue sur ma queue. Elle approche, le baiser est timide au début, nos langues se croisent, s’apprivoisent, puis plus passionné, je me perds dans sa douceur, dans son parfum sucré, je ne peux m’empêcher de gémir au contact de sa langue, épaisse, légère, leste sur la mienne, mes sensations démultipliées par la caresse de plus en plus rapide et appuyée sur ma pine. Elle gémit à son tour, le baiser est fougueux, empressé, nous nous étreignons, étonnés l’un l’autre du plaisir que nous ressentons à cet échange. A ce moment précis, sa bouche et ses mains sont les seules choses qui existent au monde, je vole, je suis dans une autre dimension, je suis une queue et une langue.
Je la repousse, urgemment, je la fais s’allonger sur le lit, jambes écartées. A genoux devant elle, queue à l’horizontale, je lui caresse les seins à travers le le tissu délicat, ils sont écrasés, larges, massifs. Deux cordelettes noires permettent d’y avoir accès. Lentement, je les délace, les détricote, et libère les deux globes, rougis par le frottement de la tenue. Les aréoles sont larges, les seins, plus petits que je ne le pensais, bien formés, ronds, doux au toucher, débordent un peu de mes mains quand je les caresse, insistant sur les tétons qui se dressent sous mes paumes. Mégane a fermé les yeux, elle se détend, les bras remontés au-dessus de sa tête, c’est à moi de travailler à son plaisir, et je m’attelle à cette tâche avec enthousiasme.
Mes mains courent sur son corps, la dentelle crisse sous mes doigts, m’excite, porte mon désir. Le soir tombe peu à peu, les lumières s’allongent dans la pièce, qui s’assombrit imperceptiblement. Mégane a une taille presque fine, qui s’ouvre sur de larges hanches, amples, moulées par la combinaison, et sur un cul ample, rebondi, le rêve des hommes incarné, un corps de femme, aux formes généreuses. Je trace la courbe de ses hanches, caresse les lobes de son cul, continue sur ses cuisses, fermes, puis je remonte, vers l’intérieur, mes mains se retrouvent au creux de sa chatte, passent par-dessus, et s’arrêtent sur son nombril.
Je tire alors sur les boutons, lentement, les ouvre, un à un, et révèle peu à peu le corps de cette naïade qui me fait rêver depuis des semaines.
Mégane s’ouvre comme une fleur devant mes yeux, le nombril, d’abord, peau blanc mat marquée du rouge de la compression de la combinaison étroite, puis le pubis, épilé, ferme, frais, la chatte en elle-même, de grandes lèvres, luisantes d’excitation, glabres, nues, le clitoris, enroulé comme une perle, dardant légèrement, aux aguets. J’y passe un doigt léger, Mégane se tend, le petit bouton rose se dresse à ce contact. J’humecte mes doigts sur la vulve trempée, et remonte sur le bourgeon, je l’écrase légèrement, le caresse, longuement, sans hâte. Mégane ondule le bassin, un mouvement ample, mesuré, respectant le rythme que j’ai choisi. Elle inspire et expire profondément, discrète, je l’entends à peine. Mon majeur et mon annulaire plongent dans son vagin, trempé et chaud, tandis que mon pouce continue à tourner sur son petit bouton. La voie est étroite, crispée, je la caresse, la détend, peu à peu.
De mon autre main, je continue de l’effeuiller, bouton par bouton, ce qui est plus facile maintenant que Mégane se cambre sous mes doigts caressants, mains sous ses seins, qu’elle malaxe inconsciemment. Elle s’ouvre, m’accepte, se cabre, j’accélère la cadence, le passage est étroit dans la grotte trempée, je réalise ma chance, ma bite hurle de la baiser tout de suite, mais non, j’ai du plaisir à prendre, certes, mais aussi à donner. J’ôte mes doigts un à un, ralentis le rythme, et la regarde gémir en silence. Je m’allonge au pied du lit, ma tête entre ses cuisses ouvertes, luisantes de transpiration, je mate son cul rebondi, massif, d’autant plus large qu’il est écrasé contre le matelas, puis je plonge ma langue dans la chatte offerte.
Mégane me saisit les cheveux, poings fermés, et me guide en elle, comme elle guiderait un cheval, les doigts dans sa crinière.
Le goût de la cyprine est puissant, salé, épicé, je me repais de sa féminité, j’écrase ma langue sur son clitoris quand elle me le demande, puis la plonge au plus profond de son vagin, le nez sur le bourgeon dressé, je la suce jusqu’à ne plus pouvoir respirer, j’ai de la mouille mêlée de salive partout, sur les lèvres, le menton, les narines, les paupières, je me régale, je me perds, ma queue, coincée entre mon ventre et les draps frais, me demande d’arrêter, de la sauter, de grimper sur elle et de jouir sans attendre.
Je ne suis pas loin de céder à cet appel, mais Mégane me tient, se sert de ma bouche comme d’un sex-toy évolué, elle serre tellement mes cheveux que j’en ai le crâne qui me fait mal, c’est douloureux et excitant. Elle se tend, soudain, tremble un instant, et me relâche presque, mais pas tout-à-fait, sa chatte bat sous ma langue, un liquide léger en coule et m’emplit la bouche. Elle se détend complètement, j’entends un petit rire, je souris moi-même.
– Merci.
Elle a chuchoté. C’est à mon tour d’être fier.
Je me relève, le visage trempé, et l’embrasse sur la bouche. Le baiser est délicieux, elle s’abandonne complètement, moi aussi. Sa main trouve ma bite, la tâte, pour voir si je suis toujours d’attaque. Je suis plus âgé qu’elle, mais quand même, je n’ai pas besoin de Viagra !
– Tourne-toi. A quatre pattes.
Sa bouche se pince, un sourire que je connais bien, je l’ai déjà vu, le sourire qui dit « Toi, tu es un coquin ». Mais elle obéit. Qu’elle est grande !
Je me place derrière elle. Son cul est vraiment phénoménal, large, rebondi, ferme. Elle écarte les jambes, et me donne accès à toute son intimité, aussi bien sa chatte, toujours luisante, qu’à son petit trou, bien visible entre les lobes, plissé, accueillant.
Je fais aller et venir ma queue tout le long de sa raie. Elle m’a dit dans un mail qu’elle n’a jamais testé la sodomie. Je souris.
– Demande-moi de te prendre par derrière.
Elle se tend.
– Non, pas ça.
– Tu m’as demandé de jouer au maître. J’ordonne, tu obéis.
Je frotte ma queue sur son anus, humide, il s’ouvre tout seul. Je ne la pénètre pas. Elle se laisse faire.
– Mais…
– Tu ne joues pas le jeu. Demande-moi de te prendre, là, tout de suite, par derrière.
La pression de ma queue sur son petit trou devient plus forte, je tourne doucement dessus, ferme, mais sans forcer la pastille à s’ouvrir plus.
– Je… OK. Prends-moi. Par derrière. Doucement, OK ?
Je me penche sur elle, et l’entoure de mes bras, croisés, sous ses seins.
Puis je me relève, frotte mon sexe contre sa chatte et la pénètre. Ma queue entre en Mégane, sans hâte, son minou est petit, je le sens autour de moi, humide, présent. Je pousse doucement sur mes reins et entame un va-et-vient léger, jusqu’à ce que mon pubis vienne buter contre son cul. Je m’arrête au fond d’elle, caresse son dos couvert de dentelles. Puis j’attrape ses hanches, et l’attire à moi. Elle ondule le bassin. Nous faisons l’amour enfin. Je ferme les yeux, je la saute, tout en faisant courir mon pouce sur son petit trou, qui s’ouvre un peu plus à chacun de ses passages, sur lequel j’appuie plus fortement à chacun de mes coups de reins. Elle respire sans bruit, à quatre pattes, sous moi, j’accélère le rythme, elle semble apprécier. Je laisse le sperme monter dans ma bite et m’arrête, au bord du précipice… je me retire, et me penche sur elle à nouveau, ma queue dans sa raie. Je l’embrasse dans le cou.
– Merci. Tourne-toi, allonge-toi.
Elle obéit, incertaine.
Elle est sous moi, jambes écartées. Je m’insère entre ses cuisses et je plante mon sexe dans son vagin.
Elle respire plus fort.
– Tu… ne fais pas le truc ?
– Quoi ?
– Me prendre. Par derrière ?
Je donne des coups de reins lents, ma bite est perdue au fond de sa chatte, douce et chaude. Je me mords la lèvre inférieure.
– Non. Tu n’es pas venue avec cette idée. La prochaine fois.
– La prochaine fois, quoi ?
Je la baise complètement, maintenant, je ferme les yeux avant de répondre.
– La prochaine fois, je t’encule. Si tu veux me revoir, bien sûr.
Elle me serre dans ses bras, répond à mes coups de reins en ondulant le bassin, l’étreinte est puissante, farouche, sauvage.
– Oui.
Elle a chuchoté, je ne sais pas si elle me répond « oui » pour me revoir, pour que la sodomie, ou si elle apprécie juste que je la pénètre ainsi, mais je m’abandonne tout autant, heureux de cette rencontre. Je sens ses seins, la dentelle fine contre mon corps, sa féminité autour de ma queue, mes mains se saisissent de son cul large, je me perds en elle.
Elle enroule ses cuisses autour de mon bassin, j’ai du mal à bouger mais y parviens tout de même, elle semble ne pas en prendre ombrage et y trouver son plaisir, je m’aperçois que nous nous embrassons encore, depuis combien de temps je l’ignore, elle ponctue ses respirations de petits « oui oui oui » discrets, je sais que je gémis de manière incohérente, c’est trop bon, trop intense, je me cabre, cette fois il faut que je jouisse, je laisse monter le désir, jusqu’au dernier moment.
Ma bite explose enfin au fond d’elle, gonflée de sperme, les jets puissants se succèdent, longuement, sa chatte se remplit, déborde, s’ouvre et se ferme, elle me serre plus fort entre ses jambes, se tend, se cambre, sa jouissance accompagne la mienne, nos bouches sont toujours collées l’une à l’autre, nos langues liées, elle sent bon, je la dévore, je la possède. Je continue à éjaculer, essayant de prolonger au maximum ce moment, je vais et viens dans son vagin, qui se serre et se desserre dans ce même but, les derniers soubresauts agitent mon gland trempé, poisseux, la tempête se calme, je me calfeutre, tout au fond de Mégane, et m’y repose, ma bite bat encore par moments, lovée entre les plis intimes de la belle sans visage.
Nous restons longtemps, immobiles, moi sur elle, elle sous moi, moi en elle, elle autour de moi, ses nichons doux sous ma poitrine nue. Je relève la tête, le regard brumeux, elle a la tête penchée de côté, un sourire satisfait aux lèvres. Je l’embrasse. Elle répond à mon baiser, je ne me lasse pas de goûter sa bouche parfaite.
– Tu sais, je pourrais t’ordonner d’enlever ton masque.
Elle n’ouvre pas les yeux. Sourire secret.
– Ordonne-moi, alors.
Je l’embrasse encore.
– Non. Quand tu seras prête.
La nuit est tombée. Nous nous embrassons toujours. »
Voilà, le premier récit avec Mégane est écrit.
Comprenez-moi, durant son écriture, pour avoir mon texte en avant-première, Mégane m’a fourni quelques photos supplémentaires et une vidéo où elle me parle de mes doutes à son sujet – sa bouche est réellement incroyable, je pensais qu’on l’avait trafiquée sur Photoshop… mais non, Mégane est juste un fantasme devenu réalité.. Elle m’a promis d’autres photos et une vidéo seins nus, main dans la culotte… Elle voudra peut-être d’autres récits… si elle a aimé celui-ci.
C’est une histoire à suivre…!
Retrouvez cette histoire dans
Les historiettes de MC
pour tablettes et liseuses