L'initiation de Mina,  La Plume de Florean

L’initiation de Mina – Chapitre 08

J’avais Mina dans la peau, ça, c’était sûr. Une gamine, 20 ans de moins que moi, certes, mais elle me prenait au corps, elle m’avait happée par le sexe là où d’autres femmes peuvent retenir un homme par leur tendresse, leur intelligence, ou leurs bons petits plats.
Moi, c’était la queue.
Un semaine s’était écoulée depuis notre réconciliation, je ne l’avais pas revue encore, mais elle m’appelait, m’excitait au téléphone, elle me disait qu’elle se masturbait tous les soirs avec le plug, par devant et par derrière, qu’elle se touchait même en plein jour, pendant ses cours en amphi, qu’elle avait envie de moi, de mes mains sur ses seins, de ma langue dans sa chatte, de mon regard sur elle…
Et je craquais, immanquablement, je me regardais les films en boucle, je me soulageais devant la petite salope en gros plan, et je mourais du manque cruel que je ressentais en son absence.
Elle n’avait pas recommencé ses expériences sexuelles avec d’autres, apparemment, je ne pouvais que lui faire confiance. Mais avec Mina, la surprise n’était jamais loin, et j’avais du mal à m’avouer que la jalousie me consumait aussi, la moitié du temps.
C’était elle qui appelait, toujours, je ne pouvais prendre le risque de tomber sur ses parents inconsidérément. Une fois, comme ça, oui, mais tous les jours, ça leur paraîtrait étrange, au minimum.
Enfin, l’attente serait bientôt terminée, elle m’avait promis de passer dans la soirée, et le jour tombait déjà, elle ne tarderait plus.


Lorsque l’on frappa à la porte, mon coeur se mit à battre la chamade. Je respirai lentement et allai ouvrir.
Mina entra, me sauta au cou et m’embrassa fougueusement. Je ne m’aperçus pas tout de suite qu’elle n’était pas seule. Nos bouches se séparèrent, et je vis un grand mec, pas loin de 1m90, entrer chez moi, deux gros sacoches sur les épaules.
Douche froide.
Est-ce que Mina avait recommencé ?
– Euh… bonjour ?
Mina était radieuse, elle prit le mec par la main et me dit:
– Je te présente Loïc, tu sais, je t’en ai parlé, c’est un copain de classe, il est photographe à ses heures perdues.
Si je me rappelais ? Evidemment ! C’est le type qu’elle avait sucé dans son club échangiste !
– Bonjour.
Le gars me tendit la main. Je la lui serrai fermement.
– Je… oui, je me rappelle. Je ne veux pas me montrer impoli, mais qu’est-ce qu’il fout là ?
Mina n’avait pas l’air de percevoir ma réserve. Elle souriait de toutes ses dents. Je remarquai sa minijupe rose bonbon et son caraco qui laissait son ventre plat à l’air. Ses talons hauts. Boucles d’oreilles créoles énormes. Rose à lèvre limite vulgaire. Habillée et maquillée en petite nymphomane, comme souvent. Je bandais déjà.
– Loïc fait de très belles photos, c’est un vrai pro. Il a accepté de nous photographier gratuitement pendant que nous faisons l’amour tous les deux.
– Pardon ?
Elle lâcha la main du garçon et vint se coller à moi. Ses doigts étaient déjà en train de baisser ma braguette.
– Tu es d’accord, dis ?
La main entra dans mon slip. Fraîche, douce, affamée.
– Je…
Elle saisit ma bite et la pressa. Mon ventre hurla de plaisir. Le mec sortait déjà un appareil photo d’une taille impressionnante et un flash étrange.
– Loïc ferait n’importe quoi pour me voir à poil. Il est fou de moi. Je l’ai autorisé à conserver une copie des photos (elle se tourna vers le mec, en cambrant le cul et en remontant sa jupette rose) Hein, Loïc, que tu aimerais me baiser ?
Le jeune homme sourit timidement sans répondre. Il prit un cliché du cul de ma belle, qui se tournait déjà vers moi et m’embrassait en extirpant ma bite de mon pantalon. Elle m’embrassa ensuite dans le cou et me dit à l’oreille:
– Il était moins timide quand je l’ai sucé l’autre jour, je t’assure… tu voudras voir sa queue ?
Elle me pressait la pine avec force, me masturbant très lentement, du gland aux couilles, j’avais trop envie d’elle.
Mais de là à baiser devant ce mec…
– Mina, je ne crois pas que…
Elle se mit à genoux devant moi et appliqua sa langue piercée tout contre mon gland. Loïc nous mitraillait. Je vis que Mina avait le cul nu, la ficelle d’un string rose bonbon plongeait dans la raie de ses petites fesses et y disparaissait. Les flashs crépitaient toutes les deux secondes.
– Allons, tu es excité, regarde comme tu es dur… laisse-toi faire…
Elle m’emboucha. Je me faisais sucer devant un autre mec. La honte.
– Mina… s’il-te-plaît…
– Mmmh… mmmh… oush… allez, détends-toi mon chéri, mmmmh mmmmh…. tu adores me voir en photo, je veux t’offrir des clichés qui me mettent en valeur… mmmmh… mmmh… tu n’auras rien à faire, c’est moi qui te viole, ok ? Mmmmmmmh…
Elle enfourna ma queue tout au fond de sa petite bouche, son piercing appuyé sous les chairs tendres de mon gland gonflé de désir, et ôta les manchettes de son caraco, qui ne tenait plus que suspendu par ses petits seins pointus.
Je capitulai.
– Bon…. ouuuh… Ok, baise-moi devant ton copain… mmm… continue….
J’attrapai le derrière de sa tête et plongeai ma main dans ses cheveux fins et longs. Mina croqua ma bite avec ses dents en souriant, et la griffa de tout son long en remontant jusqu’au gland, sur lequel elle s’activa ardemment, tournant sa petite langue sous le méat, bavant sur le bout turgescent, l’humectant de salive épaisse avant de l’embrasser et le cajoler à nouveau.
Loïc tournait autour de nous, s’agenouillait pour saisir Mina dans l’action, elle lui décochait des sourires provocateurs, elle prenait la pose, très professionnelle, bite sur la langue, elle se cambrait et ondulait comme une geisha improbable, provocante, irréelle.
Elle se mit à me branler frénétiquement, toujours agenouillée, un genou sur le tapis, l’autre sur le parquet, et me fixa droit dans les yeux en disant:
– Est-ce que tu veux que Loïc se branle en nous matant ? Tu veux voir sa grosse bite tendue pour moi – sachant parfaitement que c’est toi qui as la chance de me baiser ?
Je secouai la tête imperceptiblement. Non, je n’en avais pas envie. Elle enfourna à nouveau ma queue dans petite bouche, la planta au fond de sa gorge et remua la tête jusqu’à ce que sa langue lèche mes couilles par dessous. C’était trop bon.
– Oooh… ouiiii.
Elle remonta, lentement.
Me fixa à nouveau de ses yeux en amandes.
– Alors c’est oui ?
Elle pressa ma queue, son pouce sous le gland violacé, tendu à rompre, qui menaçait d’exploser sur son visage.
Je hochai la tête. Si ça lui faisait plaisir, j’en avais rien à foutre qu’il se tire le poireau devant nous, c’est moi qui la baisais !
Elle se releva, se colla, dos à moi, je l’entourai de mes bras et lui caressai les seins sous son caraco. Elle fit signe au jeune homme d’approcher.
-La gars était vraiment grand. Il nous prit en photo, deux clichés successifs, et vint vers nous, sans dire un mot.
Mina l’attrapa par le pantalon, et le lui déboutonna. Je me tendis.
– Mina…
Elle frotta ses cheveux contre ma joue.
– Ne t’inquiète pas, pas de punition, aujourd’hui.
Le boutons du futal sautèrent un à un. Elle le baissa d’un coup sec. Loïc souriait, timidement.
La bosse de son sexe dans son boxer blanc était impressionnante. Mina y plongea la main, lentement, et en sortit un engin phénoménal.
– Regarde comme il bande, le gentil photographe…
Elle s’écarta de moi et se tourna face à nous. Elle nous caressa les couilles, et, nous tenant tous les deux par nos queues, elle se dirigea vers l’escalier, en marche arrière. Sa main paraissait minuscule autour du sexe de son copain. Elle nous regarda tour à tour, mais je n’avais d’yeux que pour sa jupe relevée qui révélait un string rose qui lui entrait dans la chatte.
– Venez, les hommes, c’est dans la chambre que ça se passe.
Loïc attrapa l’un de ses sacs au passage, et ma belle nous mena docilement jusqu’à l’étage, toujours en marchant en arrière, nous guidant, une bite dans chaque main, ou nous flattant les boules de temps à autres. Elle me branlait sans hâte, et caressait aussi Loïc qui soufflait par le nez de plaisir.. Même si la jalousie était là, lovée au creux de mon ventre, l’excitation et la confiance en ma belle étaient plus fortes, à ce moment-là.
Le garçon trouva le temps de faire quelques clichés de la main sur sa queue, et de la petite qui nous menait par le bout du gland. J’étais fière d’elle, réussir à me faire obéir, comme ça, sans que je ne ressente de honte ou de gêne, j’avais choisi l’amante absolue !
Arrivée sur le palier, elle se mit à genoux, se mit les mains dans le dos, et me prit dans sa bouche en reculant toujours vers la chambre, comme lorsque je l’avais punie la dernière fois, mais à l’inverse, c’est moi qui la suivais maintenant.
– Mmmh… mmmh… viens…allez… mmmmh
Loïc nous prit en photo en nous suivant, bite au vent, un concombre vivant. Je me demandais ce que ça faisait de baiser avec un engin pareil – et comment Mina avait bien pu engloutir un gland de la taille d’un poing.
Mina suivit mon regard en souriant, coquine, provocante. Elle s’arrêta au bord du lit et s’y assit. Elle glissa ma bite sous son caraco et me branla entre ses petits seins. Le tissu était doux sur ma queue.
– Tu veux que je le suce ?  ça te dirait de voir cette grosse pine sur ma langue ?
Encore une fois, j’étais tiraillé entre le désir et la jalousie.
– Je ne le sucerai pas si tu ne le veux pas.
Loïc approcha de nous. Sa queue n’était qu’à quelques centimètres de la bouche de ma belle, qui s’activait toujours à me masturber entre ses petits nichons, qu’elle tenait fermement entre ses mains, sous le caraco.
Elle détourna son visage et le leva vers moi, en accélérant encore la pression sur ma queue, qui se noyait maintenant dans les contacts contrastés du tissu fin de son vêtement, de la chair douce de ses seins, et du soutif, en dentelle sans doute, qu’elle portait dessous.
– Alors, mon chéri ?
C’était nouveau, ce « mon chéri » ? Je me penchai pour voir son petit cul sous sa jupe rose relevée. Elle portait toujours ses chaussures à talons hauts, qui, comme elle avait les genoux repliés sous elle, touchaient ses fesses. Ma bite bondit littéralement entre les nichons.
– Vas-y. Lèche-lui la queue.
Elle releva son caraco, croisa les bras dans son dos et enleva son soutien-gorge – dentelle rose – avec cette grâce et cette aisance toutes particulières qu’ont les filles pour ce geste. Elle reprit ma queue entre ses seins et la malaxa lentement, avant de tourner le visage vers Loïc.
– Viens, petit cochon. Mon homme veut bien que je te suce.
Il ne se fit pas prier. La pine XL dressée à l’horizontale percuta littéralement les lèvres de ma belle, qui fit jouer son piercing sous le gland énorme, laissant Loïc la mitrailler de clichés appliqués.
Je saisis la tête de Mina entre mes mains, et la guidait sur ce sexe nouveau, l’incitant à le gober, pour le seul plaisir de voir sa bouche écartelée par l’engin terrible. Les mâchoires s’ouvrirent à en craquer, et elle entama une pipe inconfortable, la pauvre Mina ne parvenant qu’à faire entrer les trois quarts du gland dans sa petite bouche en coeur.
– Mmmh… mmmmh…
Je la regardai longuement, et l’incitai à lécher le pourtour presque ovale de la trique de Loïc. Je me branlais en la matant. Lorsque l’excitation fut trop forte, je pris Mina par les épaules pour qu’elle cesse la pipe et se rappelle de ma présence.
– Viens.
Elle laissa la queue de son copain docilement, et me suivit. Je m’allongeai sur le lit et lui fis signe de s’installer sur moi, à l’envers, sa chatte sur ma bouche.. Elle plaça ses jambes de chaque côté de mes épaules.
Je poussai le string pour voir sa petite chatte, et commençai à la sucer avec bonheur. Elle engloutit ma bite immédiatement, et se mit à gémir sans attendre. Ma langue plongeait entre les lèvres trempées, je me délectais de sa féminité et de la douceur de sa peau. Elle se releva légèrement et libéra ma queue de sa bouche. Je sentis Loïc grimper sur le lit, je sus alors que Mina continuait à lui tailler une pipe, la jalousie était toujours là, présente, mais je la fis à nouveau taire, c’est moi qui avais autorisé ce petit jeu. La langue de Mina revint sur mon gland, je frémis de plaisir en plongeant toujours plus profondément mon visage dans ses chairs pleines de désir. Elle ondula le cul pour me guider en elle, je la sentis à peine passer de ma bite à celle de Loïc, je croquai son petit bouton tendre avec mes lèvres, et remontai jusqu’à son anus avec ma langue tendue. Mina m’engloutit à nouveau, jusqu’aux couilles, en gémissant de tout son être. Le flash continuait de crépiter à intervalles réguliers, j »eus soudain l’impression d’être un acteur porno en pleine scène torride.
Je pris les fesses de ma belle dans mes mains et portait mon visage entier entre ses jambes, je me frottai contre sa petite chatte, menton, lèvres, joues, nez, jusqu’au front, et je finis par remonter le cou au maximum pour me concentrer uniquement sur son petit trou rose. J’allais venir dans sa bouche si elle continuait à tirer sur ma queue comme ça !
– Ahhhh… ouiiiii…. ahhh… ouh, deux belles bites pour moi toute seule… . oushhh vas-y, encore…mon chéri mon chéri… encore… encore…
Elle me branlait et suçait son copain de lycée, elle me suçait et enfonçait son cul sur mon visage, elle se relevait, se plaquait à nouveau contre moi, elle se godait sur mon nez et sur ma langue, en une masturbation lascive, envoûtante.
La voix de Loïc déclencha en moi un sentiment étrange, un léger malaise.
– Raaah… suce-moi mieux que ça, petite salope… ouh…voilà, chérie, comme ça… c’est bon là… ouh la grosse… grosse saaaalooope….
– Mmmh ! Mmmh ! Mmmh ! Mmmh !
Mina s’enhardit, elle semblait boostée, encouragée par la vulgarité navrante – mais toute masculine – de celui qui s’était invité je ne savais comment dans nos ébats.
Je perdais la main. Ces deux-là finiraient par se faire jouir mutuellement sans plus s’occuper de moi.
Je passai sous les jambes de Mina, qui, à quatre pattes, engloutissait maintenant le gland de Loïc entièrement, et le léchait avec un plaisir évident.
– Viens, Mina.
Elle lécha encore le sexe énorme un instant, puis me prit la main.
– Je veux de belles photos, suis-moi. Toi aussi, Loïc, tu vas bosser un peu.
Je la menai à l’escalier.
– Allonge toi. La tête à la limite des marches.
Mina obéit. Je me plaçai derrière elle et lui levai le cul bien en l’air en caressant sa chatte avec ma main.
– Reste plaquée au sol au maximum. Cambre-toi.
Loïc comprit ce que j’avais en tête. Il commença à prendre des clichés,du corps de Mina comme prêt à dévaler les marches, dans un effet de  plongée impressionnant et graphiquement intéressant.  Repoussant légèrement le string rose, j’écartai les lobes blancs des fesses de Mina avec mes deux mains, et lui plantai la bite dans la moule, sans prendre de gants.
Elle tressaillit, et s’empala sur mon sexe avec douceur, et un plaisir manifeste. Loïc tourna un moment autour de nous, je fixai l’objectif en baisant ma belle, mes coups de reins rageurs lui arrachant des gémissements appuyés. Loïc descendit quatre ou 5 marches pour prendre Mina de face, qui se souleva sur un épaule et attrapa sa longue bite entre ses petits doigts fins.
Elle le branla en rythme, je la laissai faire, lui transperçant les chairs, la caressant des hanches aux seins, m’attardant parfois sur sa pastille souple, qui était toujours à moitié cachées par sa petite jupe – je ne voulais pas que Loïc voit le tatouage de Mina, mon dernier bastion, car je savais, au fond de moi, que les limites seraient bientôt dépassées et que, comme d’habitude, je ne contrôlerai plus rien.
Déjà ma petite salope attirait la pine XL à sa bouche, et la léchait ardemment, malgré l’équilibre précaire qui menaçait de nous faire tous basculer dans l’escalier. Loïc se tenait à la rampe, son poids en avant, jambes tordues et écartées, la position devait être inconfortable, mais l’effort en valait la peine – n’importe qui serait prêt à se contorsionner pour se faire tailler une pipe par ma belle. Je fermai les yeux un moment, la baisait plus fort, et gémis à mon tour, me laissant emporter par un torrent de sensations contradictoires qui allait du plaisir le plus bestial à la jalousie la plus dévastatrice.
Je la laissai sucer tout son saoûl, cette fois. Elle masturbait frénétiquement le concombre de chair et espérait sans doute recueillir le sperme après quelques minutes de ce traitement – Loïc était certainement parti pour jouir dans cet escalier étroit, mais je mis le holà.
Je retirai ma pine d’un coup et me penchai sur Mina. Je l’enserrai de mes bras, la relevai et l’embrassai, amoureusement,  collé contre son corps. Loïc s’approcha et enfonça deux doigts dans la chatte rasée aux lèvres distendues et rougies par mes coups de boutoir répétés. La petite salope ondula le bassin pour accompagner la caresse, en geignant lascivement. Je serrai les dents sans rien dire. L’index, le majeur et l’annulaire de Loïc entrèrent dans une danse osée, mais Mina se dégagea à regrets.
– Non pas maintenant, je ne veux pas être punie.
Le mec retira ses doigts du vagin de la belle sans protester. Il reprit son appareil photo, posé sur une marche, et nous mitrailla à nouveau, pendant que nous nous embrassions. Je pressai les seins de ma belle en m’y accrochant comme à une bouée, face à l’abîme que j’allais déclencher.
Elle me mordilla l’oreille et chuchota:
– Tu veux me prendre le cul ?
Je l’embrassai encore en hochant la tête.
– Tu veux le voir me baiser ?
Je lui mordillai l’oreille, et répondit en tremblant:
– Oui.
Elle sourit en se serrant plus fort contre moi.
– En même temps, tous les deux ? Toi dans mon petit cul, lui dans ma petite chatte ?
Je souris, crispé.
– Viens.
Je la menai à nouveau vers la chambre, et m’allongeai sur le lit.
– Pas de punition ?
Je secouai la tête.
– Pas de punition. Viens.
Elle grimpa sur moi, à l’envers, son dos contre ma poitrine, et porta les doigts à sa bouche, qu’elle humecta à grand renfort de salive.. Elle saisit ma queue entre ses doigts, la lustra, et la guida dans son petit trou, en remuant le bassin. L’espace était étroit et doux, je m’enfonçai en elle comme dans du beurre. Elle soupira d’aise, et souleva la tête, pour regarder Loïc droit dans l’objectif. Je ne faisais plus attention aux flashs qui crépitaient, je ne pensais qu’à ses hanches qui ondulaient pour m’apporter du plaisir, Mina massait littéralement ma queue avec son cul, toute à moi.
– Mmmmh, je la sens bien, cette bite adorée… mmmh, tu la vois, dans mon cul, Loïc ?
Mon ventre me faisait mal, j’étais excité à mort.
– Aaah…
– Mmmmh… Tu vois ma belle petite chatte qui te tend les lèvres, joli photographe ? Tu voudrais y mettre ta grosse pine ?
Les flashs continuaient, Loïc ne répondait pas. J’allais venir, c’était sûr.
– Allez, mon con, mmmh,  viens dans ma chatte, mon mec veut bien, tu as de la chance… et moi aussi…je te veux… enfin.
Elle s’arrêta sur ma pine, j’avais la tête qui tournait, ma queue battait dans ses boyaux, prête à décharger une rivière de sperme infinie.
– Ouh… ah…
– Mmmh, pas trop vite, Loïc… voilà…. prends-moi doucement…. que je la sente mmmmh bien ouiiii comme çaaaaa aaah ahhha aaah
Loïc se tenait, au dessus de nous, je sentis sa longue bite plantée dans la moule de ma belle, nos sexes butaient l’un contre l’autre, séparés par  la paroi interne de son petit cul.
– mmmh mmmmh ouiouioui aah aah !
Mina était extatique, moi aussi, je m’accrochais à nouveau à ses petits seins fermes dont les pointes dardaient dans ma main,  et ne bougeais  plus, c’est Loïc qui faisait tout le travail, il la baisait rudement, je vis dans mon esprit la chatte écartelée à se rompre par la queue immense qui me caressait la pine à travers la paroi, me noyant encore de sensations inédites et divines.
– Aaah, ça c’est bon… aaah aahhh la vache la salooooope !
– Mmmh encore encore encore encore !
– Aaaah putainputainputainpuuuutaiiiiiiin ouuuurgh !
Loïc s’arracha à l’antre distendu et, enjambant nos corps, éjacula au-dessus de la bouche ouverte de Mina, l’aspergeant de flots de sperme épais, qui lui couvrirent rapidement le nez, le front, le menton et les lèvres, des gouttes giclèrent jusque sur ma joue, mais je ne m’en préoccupai pas: Mina se colla encore plus fortement contre moi, je l’enserrai toujours de mes bras, et, remuant la tête de droite à gauche, elle jouit dans un râle, en serrant les jambes et en se masturbant frénétiquement des deux mains.
– Mmmmmmmmmh !!!! ouiouiouioui ! mmmmmmmh aaaaaaarrrrh !
C’en était trop, je donnais de grands coups de reins, ma queue disparut tout au fond du canal rendu étroit par les cuisses serrées, et, répondant enfin à l’appel de mes couilles, je jouis en saccades, en écartant les jambes pour accéder aux tréfonds de ma petite salope adorée, qui , se relâchant légèrement, se mit à trembler, excitée par la pénétration infinie, et par Loïc, qui était descendu sur son ventre et la suçait lentement.
Un dernier spasme, une dernière giclée de jute chaude, et je me détendis à mon tour. Mina, soupira, soulagée, et , ouvrant les cuisses, offrit toute l’ampleur de sa chatte à la bouche de Loïc dont je sentis vite le souffle chaud au-dessus de ma bite et de mes couilles.
Je me retirai de Mina, qui resta là, affalée sur le lit, groggy, jambes écartées. Je fis signe à Loïc de continuer à la sucer gentiment,  tandis que je lui présentai ma bite à nettoyer.
Elle obéit sans ouvrir les yeux, et je râclai longuement le sperme de Loïc sur ses joues avec mon gland pour le porter à ses lèvres gourmandes.
Mina fit traîner longtemps ce nettoyage improvisé, consciente que lorsqu’il serait terminé, la langue de Loïc cesserait de lui titiller le petit bouton.


– Bon, passe une bonne nuit, mon chéri.
Nous étions à la porte d’entrée, repus, les yeux brillants. Loïc me serra la main.
– Merci, c’était sympa.
Il s’éloigna vers la voiture. Une bise furtive de Mina sur ma joue.
– J’y vais, il me raccompagne.
Je hochai la tête.
– Bonne nuit.
Elle rattrapa Loïc, qui lui dit:
– Tu veux dormir à la maison ?
Elle sourit, coquine, en se tournant vers moi, et en me disant, de loin:
– Il veut que je dorme avec lui, qu’est-ce que tu en penses, mon chéri ?
Le mec protesta mollement.
– Non, ce n’est pas ce que je… enfin…
Il sourit à son tour, l’air de partager avec moi une private joke.
La jalousie m’enserrait le coeur. Qu’est-ce que je pouvais bien répondre ? « Non, Mina, tu as assez baisé avec lui pour ce soir  » ? Ou « Non, Mina, je te veux exclusivement pour moi sauf quand je peux te prendre en sandwich avec un autre homme « ?
J’étais coincé.
– Je… Fais comme tu veux.
Elle prit la main de Loïc.
– Allons-y.
– Chez moi ?
Elle jeta un coup d’oeil vers moi et sourit.
– Je te dirai ça dans la voiture.
Ils grimpèrent dans la twingo de Loïc, elle se pencha vers lui et l’embrassa, puis son bras apparut à la vitre et elle me fit un signe d’adieu avec la main.
Je fermai la porte lentement, rongé par la jalousie, le coeur froid.
Je n’avais aucun doute sur sa décision, et j’en étais vert de rage.


Mon téléphone sonna brièvement dans la nuit.
SMS.
J’attrapai mon portable, les yeux ensommeillés, ébloui par la luminosité du petit écran.
Mina.
« J dors tte seule, ne t’ 1kiète pa« 
Je reposai le portable.
Je me rendormis rapidement, mais pas avant d’avoir mis le doigt sur le sentiment que j’avais éprouvé en lisant le message.
De la déception.

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