L’initiation de Mina – Chapitre 07
Le chat me regardait boire mon café.
Je n’étais pas arrivé à dormir cette nuit.
L’image de Mina taillant une pipe au vendeur du sex-shop me hantait. Dans mon esprit, tout se mélangeait. Le type du restaurant. Ses soirées machiavéliques dans des clubs échangistes, son copain de Lycée qui voulait se la sauter et qu’elle suçait allègrement, les types qui se branlaient au-dessus d’elle, et moi, qui lui donnais fessée sur fessée, qui la cravachais jusqu’au sang, qui lui enfonçais ma pine dans la chatte dans un sex-shop miteux, sous le regard d’une foule de vicieux.
Je secouai la tête.
Plus jamais.
Plus-ja-mais.
Je pris ma tête entre mes mains, coudes sur la table, en regardant le soleil du petit matin se lever sur le jardin foisonnant. Le chat frotta ses moustaches sur mon front, espérant que je lui donne de la bouffe. Il ronronnait.
Yeux fermés.
Je la vis dans ma tête, habillée façon vampire, cheveux lisses noir de jais, rouge à lèvre surnaturel, ses canines prêtes à me sucer le sang.
Je me levai avec colère, chassant cette image – elle avait un décolleté pigeonnant, rehaussant ses petits nichons et des porte-jarretelles noirs assortis à ses bas résille, sous sa cape rouge et noire.
Argh. Rien à faire.
J’avalai mon café d’un trait et m’en servis un second.
Je considérai sérieusement l’option bouteille de whisky, mais à 5 heures du mat’, même dans cet état je gardais suffisamment de lucidité pour savoir que ce n’était pas une bonne idée.
Est-ce que j’aurais dû répondre ?
Mon portable n’avait cessé de sonner, jusqu’à une heure du mat’, je n’avais ni le courage de décrocher pour lui dire que c’était FINI ! , ni le courage de l’éteindre, comme si cette sonnerie était tout ce qui me raccrochait encore à elle, comme un parfum, un lien subtil, télépathique.
Le chat me suivit dans le salon. Il s’installa dans la cheminée, au milieu des cendres froides datant de l’hiver – il faudrait que je nettoie ça, un de ces quatre. Je pestai, il allait encore me foutre des traces de pattes et de la poussière partout.
J’allumai la lumière, et m’installai dans le canapé avec mon livre. Je me revis, dans le canapé, en train de filmer la petite pendant qu’elle roulait des pelles à Florence-gros-nichons. La rage s’alluma à nouveau dans mon ventre. Je tremblais.
Quelle salope. Mais quelle salope ! Comment avait-elle pu me faire ça ?
Quelqu’un frappa à la porte.
Je serrai les poings.
A cinq heures du matin, il n’y avait que Mina pour venir me voir chez moi. Si elle espérait que je lui pardonne…
J’ouvris la porte avec force, prêt à la renvoyer chez ses parents – à vrai dire, j’avais plusieurs fois pensé les appeler pour leur avouer notre relation et leur révéler que leur fille était une petite pute sans scrupule, sans dignité, prête à s’enfourner la première queue venue. Mais ç’aurait été perdre leur amitié, et peut-être m’attirer des ennuis – elle avait dix-huit ans depuis quoi ? Un mois ? Un mois et demi ? Je passerais pour un vieux sadique, au mieux.
C’était bien elle.
Son petit visage en pleurs se leva vers moi, elle frissonnait dans le matin froid, un short en jean, des bas mi-cuisse, à rayures multicolores, qui n’arrivaient pas jusqu’au short, un haut léger, bleu turquoise, au col lâche, ses petits bras serrés sous sa poitrine dont les tétons perçaient à travers le tissu fin de son T-shirt. Un grand sac à main d’ado branchée à ses pieds. Ma salope première classe s’était transformée en oiseau fragile, le visage dégoulinant de larmes. Elle sanglota:
– Je… suis… désolééée.
Elle renifla. Je la regardai, impassible, luttant pour alimenter la colère dans mes entrailles, mais celle-ci m’échappait peu à peu, elle s’éteignait sous les larmes de la petite chose sensuelle qui pleurait sur le pas de ma porte.
– Ne me… ne me… ne me jette paaaas… s’il-te-plaît…
Je secouai la tête en soupirant.
– Entre, tu es gelée.
Elle pleura de plus belle, secouée de sanglots lourds, de spasmes douloureux, les joues couvertes de larmes. Je fermai la porte, remarquant à peine le chat qui venait de s’y faufiler, et qui nettoyait ses pattes pleines de cendres sur le perron.
Elle leva les yeux vers moi, et s’approcha en titubant. Je pris son petit corps frais entre mes bras et la serrai sans hâte. Elle enfoui son visage dans mon cou, sanglotant toujours.
– Tu… tu m’avais dit de les allumer… (snif)…tu sais, je voulais vraiment t’obéir.
Je ne répondis pas. Elle avait raison, je l’y avait incitée. Elle n’avait fait que bouger le curseur de mon exigence perverse. Je la serrai un peu plus fort. Elle tremblait de froid.
– Et puis… (snif)…je ne sais pas, j’étais excitée… je ne sais pas ce qui m’a pris….(snif)… je voulais te faire plaisir…
Je hochai la tête. Je parlai à voix basse.
– Ce n’est rien, ce n’est rien, calme-toi.
Elle tremblotait moins. Ses bras m’entourèrent.
– Je t’aime je t’aime je t’aime.
Je me tendis, avant de dire un mensonge.
– Je n’avais pas le droit de me fâcher. Tu ne m’appartiens pas. Tu es si jeune…
Elle me serra plus fort.
– Si. Tu as raison d’être en colère. Je suis à toi. A toi seul.
Yeux fermés dégoulinant de larmes, elle chercha mes lèvres et m’embrassa passionnément, fourrant sa langue dans ma bouche avec empressement . Le baiser se prolongea. Elle me caressa le torse sous mon T-shirt. Ses mains descendirent dans mon caleçon et se refermèrent sur mon sexe. Elle me masturba lentement en pressant son pouce sous mon gland. Nos lèvres se séparèrent.
– Tu sais, dis-je, tu n’es pas toujours obligée de me baiser quand on se voit.
Elle sourit à travers ses larmes qui coulaient toujours, incontrôlables.
– Tu n’as pas envie de moi ?
– Avant que tu n’arrives, non.
– Tu es bien dur, pourtant.
Sa main serra ma bite un peu plus fort. Sa caresse s’accentua.
– Oui, mais ça ne veut rien dire. Habillée sexy comme tu l’es, tu n’as même pas besoin de toucher ma queue pour me mettre en érection.
– Tu es toujours fâché, hein ?
Je soupirai.
– Je…
– Punis-moi.
Encore ça. Décidément.
Elle accéléra le rythme sur ma bite.
– Punis-moi. S’il-te-plaît. Je me sentirai mieux après. Je… je suis venue pour ça.
Elle m’inquiétait et m’excitait à la fois.
– Ce n’est pas aussi simple.
– Si. Je veux que tu te venges. Je ne t’en voudrai pas. Viens.
Elle baissa mon caleçon et me tira par la queue vers son sac à dos. D’une main, elle fourragea dedans un instant, et en tira la cravache et le plug anal transparent, qu’elle me tendit.
– Tiens.
Je pris les objets sans rien dire. Elle me branlait doucement, mais fermement.
– Tu peux y aller. Punis la méchante petite fille.
Je hochai la tête.
– Ok. A genoux.
Elle obéit en souriant discrètement, soulagée. Elle se plaça de manière à ce que sa bouche soit juste à quelques centimètres de mon sexe, qu’elle tenait toujours dans sa petite main.Elle me lécha sous le gland avec sa langue piercée. Je résistai à l’envie de la laisser me sucer jusqu’à essorage total.
– Mains au dos.
Elle s’exécuta, guidant ma pine sur sa langue à l’aide de son menton et de son nez.
– Laisse ma queue. Baisse les yeux.
Elle obéit, soumise.
Je tournai autour d’elle, pine à l’air, en parcourant son corps avec la cravache, la pointe de ses seins, le creux de son dos, la naissance de ses fesses. Le premier coup s’abattit sur sa croupe, puis le second, légers, elle tressaillit, mais les sentit à peine à travers le tissu de son short en jean.
– Garde les mains au dos, et pose ta tête sur le sol. Cul en l’air.
Elle s’affala lentement, le visage tourné vers moi.
– Cambre-toi. Je veux voir ton petit cul moulé par ton short.
Elle s’écrasa un peu plus sur le sol, obéissante.
Je m’agenouillai derrière elle, et appuyai mon sexe sur le tissu rêche, juste entre les lobes rebondis. J’entourai ses hanches de mes bras et cherchai le bouton de son short.
– Rentre le ventre.
Elle se colla à ma bite, et je déboutonnai le vêtement, avant d’en descendre la braguette.
Je me reculai légèrement, et abaissai le short, que je descendis jusquà la naissance des bas colorés, remontés à mi-cuisse.. Elle portait une culotte de coton blanc façon écolière juste dessous.
Je tâtai le tissu à hauteur de sa chatte. Il était trempé de mouille chaude. Elle gémit.
– Ooh…
– Tais-toi. Tu n’es pas là pour prendre du plaisir. Je ne veux pas t’entendre.
– Oui Maître.
Je me relevai.
– Ne m’appelle pas comme ça. Tu la fermes, c’est tout.
Je brandis la cravache bien haut et l’abattis sur la culotte en coton.
– Ça, c’est pour le type des toilettes.
– Mmm
– Ça, c’est pour ta soirée échangiste.
Nouveau coup de cravache, sur l’autre lobe.
– Mmmmouon
– Et ça, c’est pour le vendeur que tu as sucé !
Je baissai la culotte d’un coup et lui plantai le plug anal dans le cul jusqu’à la garde, à sec.
– Mmmouaille…!
– Va dans la chambre du haut à quatre pattes, petite salope !
Coup de cravache. Elle avança vers l’escalier, cambrée, le plug bien calé au fond de son anus. Son arrière-train dodelinait de la droite vers la gauche et inversement, lascif, érotique. Elle grimaçait, la pénétration avait été rapide et nette, et, contrairement à la plupart des autres fois, mes doigts n’avaient pas préparé le terrain
– Plus vite !
Coup de cravache sur le haut de son cul. Elle avança en gémissant de douleur et de plaisir, je la suivis, debout, queue au vent en érection dans ma main caressante, et j’admirai sa beauté tout le long du périple.
Elle grimpa les escaliers difficilement, entravée par le short et le culotte toujours baissés à mi-cuisse, et je ponctuai sa marche de coups moins forts sur sa croupe rougie. Je m’arrêtai un instant et fouillai dans le placard, sous l’escalier. J’en tirai une bobine de fil électrique rouge et une pince à dénuder. Je la rattrapai dans l’escalier et, mon matos sous le bras, je me penchai pour lui mettre les doigts dans la chatte, par derrière. Son petit cul était magnifique, dans la lumière de l’aube.
– Mmmm merci, Maître.
– Je t’ai dit de la fermer. Avance.
Elle obéit en couinant – de plaisir, cette fois.
Je plaquai ma paume contre le plug anal translucide, de façon à distendre l’anus déjà bien élargi, et gardai mes doigts aux abords de sa moule épilée, le clito juste sous mon majeur. Je poussai fermement de manière à ce qu’elle grimpe les dernières marches rapidement, se râpant les genoux, à peine protégés par ses bas bariolés, sur le parquet des marches.
Arrivée sur le palier, j’ôtai ma main de sa moule, et passai devant elle. Je pressai la cravache le long de sa joue.
– Relève-toi, mais reste à genoux. Mains au dos, et suce.
Elle s’exécuta. Je la laissai gober le bout de ma bite, soumise, yeux baissés, puis reculai vers la chambre, l’obligeant à me suivre, à genoux, chatte à l’air, cuisses toujours entravées par le short et la petite culotte, pine dans la bouche. Elle appliquait le piercing de sa langue sous mon gland, la sensation était divine. Je m’arrêtai devant la porte de la chambre, m’y adossai et profitai de la pipe. Mina s’enhardit, me goba en deux coups de menton, et me lécha les bourses, en essayant de me masser avec le fond de sa gorge. J’avais l’impression de me faire sucer par deux bouches à la fois, la sensation était merveilleuse, j’ignorais qu’elle savait s’y prendre ainsi. Je lui permis de me recracher lentement pour respirer, son piercing traçant tout le long de ma queue jusqu’au méat, et, ignorant le filet de bave qui coula le long de son menton sur son t-shirt bleu turquoise, je lui enfonçai la bite au fond de la gorge à nouveau, en tenant l’arrière de sa tête avec la cravache que je tenais à deux mains. J’ouvris la porte d’un coude et reculai jusqu’au lit en la maintenant fermement sur ma queue. Elle ne respirait plus, mais me suivit sans protester.
Je retirai mon sexe de sa gorge d’un coup sec et passai derrière elle.
Je glissai la cravache entre les petits lobes de ses fesses.
– Monte sur le lit, à plat ventre.
Elle garda les mains au dos, et rampa sur le matelas. Je gardai la cravache pressée dans la raie de son cul.
– Monte encore. Tête contre le mur. Tends les bras.
Elle se mit à quatre pattes, et obéit. Je coupai deux longueurs de fil électrique avec la pince à dénuder, et lui attachai fermement les mains aux montants du lit, bras en croix, tête écrasée au mur, les jambes serrées, le cul offert, cambré en arrière.Je ne voulais pas qu’elle ait mal, juste que la position soit inconfortable, et qu’elle contraste avec le plaisir que j’allais prendre – et certainement donner. Je ne souhaitais pas qu’elle prenne son pied trop facilement.
Je remontai son T-shirt le long de son dos et coupai le soutien gorge.à l’aide de la pince à dénuder.
– M… maître ?
– La ferme.
J’abaissai à nouveau le vêtement, et, me penchant sur le côté, je l’entaillai, toujours à l’aide de la pince, au niveau de ses seins, et déchirai le tissu d’un coup sec, devant chacun d’eux, puis je tirai sur les mamelons de manière à ce que ses tétons sortent par les trous irréguliers.
– Oh, non…
– Chut. Tu voulais être punie, tu l’es.
Je remontai sa culotte et la déchirai de la même façon, à hauteur de sa petite chatte. Je posai la pince sur le sol, et me plaçai derrière elle. Je glissai mes doigts à travers la déchirure de sa petite culotte, tâtant sa petite chatte mouillée. J’empoignai le plug anal, à travers le tissu et lui imprimai un mouvement de rotation ample, rapide, tantôt de droite à gauche, tantôt de gauche à droite. Je ne voyais que la bosse formée par l’objet sous le coton blanc.
Mina se tendit, et ne tarda pas à gémir.
– Mmm…aah…aah…
Elle essaya de se placer plus confortablement, mais je bloquais ses genoux avec les miens, et mes cuisses étaient plaquées contre les siennes. Elle ne pouvait pas bouger sans mon autorisation. J’accentuai la rotation, tout en imprimant un mouvement de va-et-vient ferme, plantant ainsi l’objet en forme de poire au plus profond de son cul.
– Mmm…Mmm…Mmm
– La ferme.
Les gémissements devinrent des soupirs. Elle essaya d’augmenter la pression du plug, à mon grand étonnement, en ondulant la croupe, et en se plaquant plus fort contre le mur. Je me penchai, sans lâcher le plug, et mon autre main quitta le sexe doux et vint frotter les tétons tour à tour à l’orée du T-shirt déchiré. Ils durcirent en un instant, irrités par la caresse rude de ma paume et par ses passages répétés.
– Ouh… oh… mmm…
– Chut.
Je pinçai chaque téton, plusieurs fois, tirant sur les mamelons, pour qu’ils se dressent et dépassent clairement du T-shirt.
– Reste comme ça, je reviens.
– Mmm, oui, Maître.
Je lâchai le plug anal et descendis du lit. Je traversai le couloir, vers la salle de bains du haut. J’ouvris les tiroirs, afin de trouver deux pinces à linge roses, en plastique. J’ôtai tous mes vêtements, et, nu comme un ver, queue dressée fièrement, je revins dans la chambre. Je me plaçai à côté de Mina, culotte relevée et déchirée, mini-short entravant ses jambes, bas colorés, attachée bras en croix. Je tirai sur son téton droit, le faisant rouler délicatement sous mes doigts, pour qu’il enfle, pointe, et se dresse, et j’y accrochai la pince à linge.
Mina sursauta.
– Mmm… aïe…oushhhh…
– Tout doux, ma belle.
Je fis de même avec le second téton, qui pointa entre mon pouce et mon index et durcit en quelques secondes. Seconde pince à linge.
– Oushhhh….
– Voilàààà.
Je me collai au mur, de façon à ce que mon sexe soit à hauteur de sa bouche.
– Suce. Juste la langue.
Elle me lécha le gland sans protester, essayant de ne pas grimacer quand les pinces à linge bougeaient un peu fort et provoquaient de petites douleurs au bout de ses nichons. Sa langue s’affaira sous ma bite que je tenais dans ma main, la poussant contre son piercing, la guidant là où je voulais le sentir.
Elle serrait et desserrait les muscles de ses fesses tout en me léchant, et gémissait de cette masturbation anale – le plug toujours bien calé au fond de son petit trou bien élargi.
Elle me suça longtemps, je me branlai, me collai à sa langue, forçai ma bite entre ses lèvres fines, au fond de sa gorge, puis à nouveau sur sa langue, contre son piercing, sur son visage soumis.
– Mouille bien ma queue.
Elle me lécha encore, plus activement, obéissante.
Enfin, je me reculai, et me plaçai derrière elle. Je serrai ses jambes, abaissai le short au maximum, et fourrai ma queue trempée de sa salive à travers la déchirure de sa petite culotte. Je la pénétrai sans douceur, d’un coup sec, elle saisit les montants du lit entre ses petites mains liées et s’écrasa contre le mur en couinant.
– Mmmoui….!
Je la baisai sauvagement, dans l’espace étriqué de sa chatte serrée et de l’ouverture irrégulière de la culotte trempée, glissant mes mains sous le tissu pour malaxer les lobes fermes de ses fesses.
– Ahouioui…! Ah ! Ah !
J’accélérai le rythme, je sentais ma pine gonfler en elle, atteindre la taille d’un Everest, d’une montagne sacrée… je ne voulais pas venir, pas encore, et je ne voulais pas qu’elle jouisse, surtout pas ! Je ralentis le rythme, et quittai la douce chatte.
– Ah ! Noon…! Encore ! Maître !
Je baissai la culotte, et enlevai le plug anal d’un seul coup. Elle cria. Fort.
– Aïe !
J’appuyai mes doigts contre son anus distendu, la pénétrant avec l’index et le majeur.
– Tais-toi. Tu es punie.
L’objet, la poire translucide, était couvert d’un voile gluant, collant, blanchâtre. Je le plaçai sous elle et lui enfonçai dans la moule, sans prévenir. Elle se tendit, mais ne cria pas, cette fois-ci. Je sentis ses sphincters se serrer autour de mes doigts.
– Mmm…
Je jouai un moment avec le plug dans sa chatte que je sentais rouler sous mes doigts à travers la paroi anale. Mina se tendit, proche de l’extase, elle donna des coups de rein précis pour m’accompagner, se cambra, tira sur ses liens, se mit à trembler, cherchant la jouissance.
– Ah ! Ah ! Ah ! Oui ! Ah !
J’amorçai un mouvement de va et vient ample avec le plug, le retirant presque totalement avant de le faire à nouveau pénétrer au plus profond, ravi de sentir à chaque fois l’objet se frayer un passage sous mes doigts. J’essayai de ne pas rythmer les pénétrations à l’unisson de ses gémissements, pour l’empêcher de jouir réellement de la pénétration répétée. La frustration montait en elle, elle se tendait furieusement, à la quête d’une délivrance que je lui refusais.
– Ah ! Mmmh, s’il te plaîîît, mon Maître ! Ah !
Je laissai le plug bien en place, ôtai mes doigts de son petit trou souple, et, pieds sur le lit autour de ses jambes, en position à moitié accroupie, je la sodomisai en douceur. La position n’était pas confortable, mes couilles pendaient, butaient contre sa croupe, mes cuisses hurlaient sous l’effort. Je matai ma queue élargir la rondelle, disparaître entre les lobes serrés du cul de ma petite salope, et, prenant appui avec mes mains sur son tatouage « Spankin’ Sodomy »; je la limai longuement, en phase avec mon propre plaisir, accentué par le plug qui butait sous ma queue, de l’autre côté de la paroi, planté dans la moule épilée.
Mina rejeta la tête en arrière, et me regarda de côté, furieuse, extatique.
– Ah ! Fais-moi…Fais-moi jouir, salaud !
Je ne répondis pas, allant et venant lentement au fond de ses boyaux, accélérant quand j’en sentais le besoin, ralentissant quand le plaisir était trop fort… de plus en plus lentement… la vague montait en moi, ma pine se consumait sous le concert de sensations. Je me forçai à sortir de l’antre doux, ôtai le plug d’un coup, et, debout au-dessus de Mina, culotte et short baissés, je me masturbai hâtivement.
– Non ! Salaud ! Salaud ! Tu ne peux pas me faire ça !
J’éjaculai presque immédiatement, souriant sous ses insultes. Les premiers jets de sperme finirent sur le T-shirt bleu à moitié relevé et jusque dans ses cheveux noirs, puis je dirigeai ma bite vers le haut de son cul, qui fut rapidement couvert de gouttes translucides et grasses. Je tirai sur ma queue en geignant de plaisir, insensible aux tiraillements qui m’envahissaient le ventre et les couilles, soucieux de me vider complètement sur la petite qui remuait toujours la croupe à la recherche de sensations.
J’ôtai le short et la culotte de Mina (« Ah, vite, vite… »), puis je m’allongeai au pied du lit, jambes écartées, et plaçai ma tête sous sa chatte, langue tendue. Je léchai avidement son petit bourgeon et ses lèvres humides, qu’elle plaqua contre ma bouche, comme un baiser. Elle se cambra, se tendit, cria et se tordit, jusqu’à ce que, dans un gémissement langoureux, un liquide chaud et abondant explose contre ma langue.
– Aaah, je jouiiiiiiiis.. Aahhh !
Je restai sous la douche tiède de sa jouissance, me demandant si elle venait de me pisser dessus ou si c’était une forme d’éjaculation féminine, en me branlant toujours et en la suçant de plus belle.
Elle s’affala sur mon visage, je me relevai, la détachai du lit – ses poignets étaient marqués par le fil électrique et les montants du lit. Je la laissai s’allonger confortablement sur le dos, lui écartai les jambes et, me glissant sur elle, j’appuyai mon sexe mou contre son vagin trempé. Je la pénétrai doucement, m’allongeai sur elle, et enfouis mon visage dans son cou. Les pinces à linge étaient toujours en place sur ses seins, elle semblait les avoir oubliées. Je souris.
Aucun de nous ne parla durant un long moment.