Le réveillon d’Arthur – Chapitre 8
Méli sait ce qu’elle veut.
Ce n’est pas tellement que son sexe est gros… Il est juste plus long que celui d’Arthur. À genoux devant mon oncle Thomas, je lève les yeux en le prenant dans ma bouche.
Il me regarde découvrir son engin, l’air gêné. Je m’étouffe un peu quand il descend dans ma gorge, mais je profite de chaque coup de langue, j’ai trop attendu ce moment.
Il hésite:
— Tu avais dit: juste une douche…
Je lape le pénis jusque sous le gland et je réponds, coquine à souhait:
— Une douche de sperme, alors…
Il sourit.
— Oh, Mélissa…!
— Je réalise un fantasme… laisse-toi faire…
— Sûre…?
— Mmm mmm.
Je souris et je le gobe à nouveau. Je joue avec l’idée de son sperme jaillissant sur mon visage, sur mes lèvres et mes seins, sur mes cheveux… ça m’excite terriblement.
Je me caresse la chatte d’une main en gémissant et en hoquetant en avalant le gland turgescent le plus loin possible dans ma bouche trop petite.
Je ferme les yeux pour mieux le sentir battre et vibrer sur ma langue, pour mieux respirer son odeur masculine, musquée, pour mieux lui montrer que j’aime le sucer, que je réalise ce fantasme de mon plein gré.
Et il se laisse faire. Sa main caresse mes cheveux, mon front, mes joues distendues par la bite trop grande, trop longue.
Je gémis de plaisir.
On n’entend que sa respiration entrecoupée, que le clapotis de mes doigts dans ma fente trempée, que mes gémissements précipités et les bruits de ma gorge qui se contracte lorsque je vais trop loin.
Il place ses mains sur ma tête et me guide sur sa queue, il veut que je l’avale plus loin, je hoquète, j’étouffe, je remonte et crache une salive mousseuse sur son membre avant de le gober à nouveau.
J’entrouvre les yeux tout en le suçant le plus loin possible.
Il a le regard sérieux, intense.
— Passe-moi mon phone, dans ma poche. Je veux te prendre en photos. Si tu veux bien.
Je garde la queue dans la bouche et cherche le jean à tâtons. J’en tire le téléphone, le lui donne et je le regarde m’admirer. J’adore.
— Tu es belle.
Je souris en le suçant lentement. Il prend plusieurs photos. Je suis aux anges, il me trouve belle !
Je libère le gland luisant de salive et le branle doucement. Il prend de nouveaux clichés.
— Tu veux que je me lève ? Pour me prendre toute nue ?
Il sourit.
— J’adorerais.
Je me redresse et je tourne sur moi-même, cambrée, coquine, provocante.
Il me prend sous toutes les coutures.
— Tu es magnifique…
— Merci… tu es beau aussi…
Je m’assieds sur le bord de la baignoire, les cuisses écartées, la chatte ouverte. Il se baisse et zoome pour mieux l’immortaliser.
Je me masturbe lentement pour son seul bénéfice. Il n’en perd pas une miette. Je demande, la voix sucrée:
— Tu vas les montrer à qui, les photos ?
Il zoome sur mes seins.
— À personne…
Je me fais tentatrice.
— Ça ne me dérangerait pas… je crois. J’aime que tu me trouves belle.
Il m’embrasse.
— À qui voudrais-tu que je montre ma nièce toute nue ?
— Je ne sais pas… à d’autres hommes… à tes collègues, à tes amis…
Il rit, gêné, et pose son téléphone.
— Je ne sais pas…
Je me presse le clito. L’idée d’inconnus me reluquant m’excite et m’effraie.
— Tu me diras, si tu les montres ?
Il fourre sa langue dans ma bouche et s’agenouille entre mes cuisses.
— Promis.
Je me serre contre lui.
Sa réponse m’a électrisée. Je l’imagine, dévoilant les photos de moi toute nue à des inconnus qui se masturbent en m’admirant… La mouille coule entre mes doigts. Le désir me vrille les reins. Je ne tiens plus.
— Mmm… Viens… j’ai trop envie…
Il se presse contre mon vagin.
— Tu… tu n’es pas vierge, au moins ?
Je saisis la bite et l’humecte dans ma fente inondée.
— Non… mais je n’ai pas beaucoup d’expérience…
Il m’embrasse.
— Vu ce que tu sais faire avec ta bouche, j’ai du mal à le croire…
Ses mains palpent mes seins. Je bombe la poitrine. Nos langues se mêlent, s’aspirent, se découvrent. C’est juste bon.
Il trempe sa queue le long de mes lèvres molles. J’ai envie de l’allumer, de le rendre fou. Je romps le baiser, hors d’haleine.
— Tu seras mon deuxième homme. Viens…
Il sourit en pressant son membre entre mes petites lèvres. Je me sens couler autour du gland gonflé. Il chuchote:
— J’ai envie de toi depuis si longtemps…
— Moi aussi… viens… profite…
Cela achève de lever ses derniers scrupules. Il m’embrasse à pleine bouche et me pénètre lentement.
— Mmm…
Je donne des coups de reins léger pour l’encourager. Ma chatte est écartelée, les lèvres tendues à craquer, il est trop long pour entrer en moi, ça m’excite. Il me plante sans hâte, ne brisant le baiser que pour admirer son chibre qui visite mes chairs délicates, dégoulinantes d’une mouille grasse. Il hésite en se rendant compte que je suis trop étroite. Je l’attire à moi.
— Mmm… non, ne t’arrête pas, viens… tout entier…
Il me lutine avec douceur en me pelotant les seins. Je sens la bite serpenter en moi, longue, drue, pleine d’envie réfrénée… je me contracte sous les coups de boutoir, trop étroite, si serrée, il me déchire délicieusement, il m’ouvre de force, comme une huître rétive, les yeux fixés sur mon clito tendu à craquer… la jouissance arrive en vagues intenses, mais je me mords les lèvres pour me retenir de crier mon plaisir, de peur qu’il ne pense que j’ai mal…
— Mmmh… oh… mmmh… oui…
Je respire par saccades. L’onde sensuelle reflue. Une fine transpiration coule entre mes petits nichons. Je me sens belle sous son regard doux. Il ralentit et se retire lentement.
— Viens.
Il me prend par la main pour que je me lève du bord de la baignoire.
— Tourne-toi. Face au lavabo.
J’obéis.
Il mate mon cul. Je me cambre.
Il m’admire dans le miroir. Je suis décoiffée. J’ai les yeux qui brillent et les joues rouge vif. Si maman et Arthur rentrent maintenant, autant rester à poil, il n’y aura pas moyen de cacher mon état.
Thomas me caresse les fesses. Je ferme les yeux.
— Penche-toi un peu.
Je prends appui sur le lavabo et j’écarte les cuisses. Il doit avoir une vue royale sur l’oeuf fendu de mon sexe. Il glisse sa queue entre les lobes étroits de mon cul. J’arrête de respirer. Il va me prendre par derrière ? À sec ?
Il plie les genoux et appuie légèrement sur le bas de mon dos.
— Penche-toi encore.
Sa bite descend jusqu’à ma chatte qu’il pénètre dans un bruit de clapotis.
— Ah !
Il s’enfonce par à-coups légers, centimètre par centimètre, chaque instant le menant plus loin, jusqu’à…
— Ah !
Soudain, quelque-chose lâche en moi, je me décontracte totalement et je le sens qui me pénètre jusqu’à la garde !
La respiration haute, je me resserre autour de la queue fouisseuse, me cale dessus en ondulant le bassin, lascive, toute à mon plaisir. Il agrippe mes hanches et demande:
— Je ne te fais pas mal ?
— Oh… non… c’est bon… prends-moi… baise-moi fort… viens…
C’est le signal qu’il attendait.
Il me prend avec une vigueur redoublée, je le sens me fendre comme une bûche, jusque dans mon ventre, je me cambre sur son membre, je l’accompagne, la jouissance monte à nouveau doucement de mes reins, m’englobe dans un cocon délicieux, je me tends, des fourmis dans tout le corps, accueillant le plaisir pur avec une joie sauvage.
— Oh… oh…
Il accélère ses coups de reins, je sens ses couilles ballotter sous moi, je sens son envie grandir, il me caresse, presse mes seins, mes hanches, mon cul.
Un éclair me traverse le corps et des jets de liquide brûlant s’échappent soudain de ma chatte écartelée et coulent entre mes cuisses.
— Aaaaah ! Aaah ! Oui !
Les spasmes euphoriques me vrillent les reins, je jouis et deviens fontaine, c’est la première fois, ma première fois.
Il ralentit le rythme pour me laisser profiter de mon orgasme, c’est à son tour de m’accompagner, de me laisser venir longuement, je suis toute serrée autour du bâton de chair et je coule autour, je me vide sous ses doux assauts répétés.
Je ne sais combien de temps a passé… je frissonne une dernière fois avant d’ouvrir les yeux, j’ai du mal à me concentrer, du mal à voir droit, je suis comme ivre.
Il me regarde dans la glace.
J’esquisse un sourire timide.
Il se retire lentement de moi.
C’est comme une danse, je me retourne, m’agenouille devant lui, il pose sa queue sur mon front, mon nez, mes lèvres.
J’ouvre la bouche et je l’aspire, langue tendue, tout en le masturbant rapidement d’une main, une façon de le remercier de m’avoir laissée assouvir mon fantasme avec lui. Je lève les yeux en le léchant jusqu’au bout du gland. C’est salé et fort. Je sais que je goûte mon plaisir autant que le sien. J’aime.
— Viens… je veux te boire…
Il sourit.
Je le branle sur ma langue.
Je le lèche, le gobe, l’avale, loin dans ma gorge, le crache, le masturbe, le lèche à nouveau…
Il se tend, peu-à-peu, sa respiration s’accélère, sa queue devient dure comme de l’acier, il enfle encore entre mes lèvres…
… et explose enfin !
Le premier jet est puissant, il jaillit jusque dans ma gorge et me fait tousser immédiatement, j’ai un mouvement de recul alors que le second arrive déjà et me vrille le visage – j’étouffe à moitié, j’ai du sperme dans le nez, sur les yeux, je secoue le bite qui se vide à gros bouillons, à moitié aveugle, je sens la semence couler dans ma bouche, sur mes lèvres, mon menton, des gouttes froides finissent même sur mes petits seins… je ris, je crache de la jute par tous les pores, je lèche, je gémis, j’aspire, à mesure que les spasmes se calment, que le sperme salé se tarisse et ne sorte plus qu’en gouttes grasses que j’aspire avec un plaisir mêlé de fierté.
Thomas essuie mon oeil souillé, recueille le liquide gluant et le porte à ma bouche. Je suce son doigt, gourmande, toujours provocante et salope à souhait.
J’avale une salive mêlée de semence et je colle mon visage contre la queue qui débande lentement entre mes doigts. Je la respire et chuchote:
— Merci…
Il sourit.
— Merci à toi…
Je me relève et l’embrasse sur la bouche.
— Alors… c’est comment de sauter sa nièce ?
Il rit.
— Trop court. Viens.
Il me prend par la main et ouvre la porte de la salle de bains.
— Vite.
On traverse la maison, vers ma chambre. Je suis totalement à poil. Si maman arrive…
Cela ne semble pas inquiéter Thomas. Il ouvre la porte et me montre le lit.
— Allonge-toi sur le dos.
J’obéis, curieuse.
Il s’accroupit, écarte mes cuisses et admire ma chatte glabre.
— Tu es vraiment magnifique.
Le compliment me fait frissonner de plaisir. Je sais que je mouille encore abondamment, il peut le voir, certainement.
— Ferme les yeux.
J’obéis encore.
Ses mains montent le long de mes seins et en pressent les tétons.
— Mmm…
— À moi de profiter.
Il plonge sa langue dans mon sexe ouvert et nu.
J’oublie le monde alentour et me laisse mener à l’orgasme presque immédiat.
Il sait y faire…
…et j’aime ça.
Je me réveille en sursaut.
J’ai dû m’assoupir.
Thomas n’est plus là, je suis toute nue sur mes draps.
Je souris, sans me couvrir. Mes vêtements sont au pied du lit, Thomas a dû me les rapporter pendant que je somnolais.
Je ferme les yeux.
Juste cinq minutes de plus.