Le réveillon d’Arthur – Chapitre 7
Arthur aime les essayages
Tata et moi flânons dans la galerie commerciale, main dans la main, les doigts entrecroisés. Son pouce caresse le mien, léger, heureux, elle me sourit et se serre contre moi pour me bécoter dès qu’il y a un ralentissement dans la foule qui se presse pour les achats de dernière minute.
Les gens que nous croisons nous regardent, curieux. Que fait cette femme mûre et enceinte au bras de ce jeune garçon juste sorti de l’adolescence ? Que penser de ces baisers échangés au détour d’une boutique ? Je sais que j’ai les joues rouges de gêne, mais, quand Annie m’embrasse, je suis juste sur un petit nuage, peu importe les curieux.
— Ah, c’est ici que je veux aller.
Je sors de ma rêverie. Elle m’attire vers une boutique où se pressent essentiellement des femmes, mais peu nombreuses.
— Une boutique de lingerie ?
Elle entre et commence à parcourir les rayons étroits remplis de culottes et de soutifs affriolants sans me lâcher la main.
Une des vendeuses nous repère, grande, fine, brune, cheveux longs et seins énormes, mini-jupe rouge, top et bas blancs, les couleurs de Noël. Très jolie. Elle vient vers nous en se déhanchant divinement.
— Bonjour messieurs dames.
Tata passe en revue des soutifs rose-fuchsia. Elle remarque la vendeuse qui s’arrête non loin de nous, l’air de dire: ‘je suis à votre disposition’ mais ne la calcule pas.
— Tu sais que j’ai travaillé dans une boutique de lingerie ?
Je secoue la tête, un peu gêné d’être ici à choisir des sous-vêtements avec toutes ces femmes qui cherchent des tenues coquines autour de moi.
— Non…
Elle attrape un ensemble et l’examine.
— J’avais ton âge. Je trouvais ça excitant, toutes ces femmes et ces hommes qui venaient acheter leurs plaisirs futurs à la boutique… Si tu savais ce qu’il se passe dans les cabines d’essayage, parfois…
Elle me donne l’ensemble fuchsia.
— 80B et la culotte en 34/36, ce sera parfait pour Mélissa. Elle a une si petite poitrine… ce serait plus joli avec un string assorti, tu ne crois pas ?
Je reste coi.
— Euh…
Elle rit.
— Dommage qu’elle ne soit pas venue, elle aurait pu les essayer devant toi, je suis sûr que tu adorerais ça. J’ai vu comment tu la regardais, ce printemps, au torrent…
Je déglutis, tétanisé. Est-ce qu’elle SAIT ?
— N… non, je…
Elle pouffe, moqueuse.
— Allons, ne fais pas cette tête, Méli a des beaux petits seins et elle ne les cache pas vraiment, tu es un mec, tu mates, c’est normal, à ton âge. Tant que tu gardes de l’énergie pour moi, tu peux bien t’occuper des seins de Méli.
— Tata !
Elle rit encore.
— Je te taquine. Viens.
J’acquiesce mécaniquement en la suivant dans le rayon. Elle ne semble pas gênée de choisir de la lingerie pour sa fille en ma présence. Elle trouve les strings roses et en attrape un en 34/36.
— Voilà. Ça épousera mieux ses jolies formes. Tu me suis ?
Elle me passe le string et s’avance vers un autre rayon.
— Ah… voilà…
Elle sourit en attrapant quelques soutifs à gros bonnets, en dentelle. Elle choisit plusieurs couleurs et me fait un clin d’oeil.
— Je veux être belle pour toi, moi aussi. Ah. Mademoiselle ?
Elle interpelle la vendeuse brune, qui nous a suivi à travers les rayonnages, l’air de rien. Elle est vraiment magnifique.
— Madame ? Puis-je vous renseigner ?
Annie a son petit sourire secret que j’aime tant. La vendeuse a les yeux en amande, je me demande si elle est d’origine asiatique ou indienne. Sur son top, au-dessus de son sein droit, est épinglé un badge avec son prénom. Helga. Joli.
— Vendez-vous des culottes qui s’ouvrent à la fente, pour faire des cochonneries sans avoir à l’enlever ?
Je retiens une exclamation de surprise et je pique un fard. La vendeuse – Helga – hoche simplement la tête.
— Bien sûr. Juste derrière, venez.
Elle nous mène dans le rayon d’en face.
— Ici. Il y a des modèles à boutons et des modèles à zip… je vous conseille les premiers, c’est plus agréable à porter… et à ouvrir.
Elle me lance un regard complice.
Tata cherche sa taille parmi les modèles et me montre ses trouvailles.
— Celles-ci te plaisent, mon petit chéri ?
Je ne sais plus où me foutre. La vendeuse nous observe, curieuse. Mes yeux traînent sur ses seins mis en valeur par le top blanc trop serré. Elle le remarque mais ne semble pas s’en offusquer. Je regarde ailleurs.
Avec difficulté.
— Si vous voulez, nous avons des cabines d’essayage.
Tata sourit en coin.
— Bien sûr.
La grande brune passe devant nous, elle est fine et jolie, je mate son cul étroit moulé par la mini-jupe rouge sans trop vouloir le montrer, mais Tata s’en aperçoit. Elle me prend la main et fait semblant de s’offusquer.
— Coquin. Il te les faut toutes, décidément…
Je souris, gêné, mais mes yeux se posent encore sur le fessier de la brunette. Elle est vraiment mignonne.
On arrive aux cabines d’essayage. Il n’y a personne. Helga indique la plus grande des trois.
— Vous serez plus à l’aise dans celle-ci. Si vous avez besoin de quoi que ce soit…
Tata entre dans la cabine, seule, et ajoute, à l’intention de la brunette:
— Oh, j’ai oublié de regarder les bodys… Auriez-vous ça, en taille 38, pour femme enceinte ? Plutôt noir, mais blanc serait très bien aussi.
La vendeuse hoche la tête.
— J’ai exactement ce qu’il vous faut. Je vous apporte ça dans cinq minutes.
Tata ferme le rideau. Je reste debout devant les cabines, un peu déçu de ne pas la voir faire ses essayages.
Deux minutes s’écoulent.
— Arthur ? Tu peux entrer…
Je regarde alentour, le coeur battant. Personne ne fait attention à moi. J’entre dans la cabine.
Tata est en petite culotte et soutien-gorge, un ensemble en dentelle fine transparente. Elle est merveilleuse.
— Je te plais ?
Elle tourne sur elle-même. Son gros ventre tendu est magnifié par la lingerie délicate.
— Tu es magnifique, Tata.
Elle m’attire à elle, me plaque contre une paroi de la cabine et m’embrasse avec passion.
— J’ai toujours voulu faire l’amour dans une cabine d’essayage… tu veux bien réaliser ce fantasme pour moi ?
Elle ouvre mon jean d’une pichenette et me chope la bite sans attendre la réponse. Impossible de refuser, je bande trop. Elle m’enserre de ses longs doigts et me branle fermement.
— Mmm… si fougueux… attends…
Elle s’assied sur le banc accroché au mur, baisse mon pantalon et me prend dans sa bouche. Elle me suce lentement, en concentrant ses ardeurs sur le gland violacé, qu’elle lèche de haut en bas, en pinçant très fort les lèvres. J’ai une vue plongeante sur les falaises de ses seins énormes, je l’admire, elle est d’une beauté angélique. Elle me regarde et sourit, avant de m’enfoncer loin dans sa gorge et de m’y garder en hoquetant faiblement.
— Ce body vous conviendra certainement… Si je puis me permettre… Ce n’est pas votre fils, au moins ?
Je sursaute.
La vendeuse est entrée sans faire de bruit. Elle regarde Tata qui prend son temps pour remonter le long de ma queue et la libérer.
Je ne sais plus où me foutre. Tata reste zen.
— Non, Arthur est mon neveu. Vous nous dénoncez ou vous vous joignez à nous ?
J’écarquille les yeux. La brune, Helga, me fait un clin d’œil et s’assied à côté d’Annie.
— Il est trop mignon pour refuser un petit plaisir.
Annie lui tend ma bite, luisante de salive, et Helga me gobe avec un gémissement soulagé.
— Mmm.
— Tata… !
— Sois gentil, Arthur, fais plaisir à la dame… j’aime qu’on s’occupe de toi avant que tu me prennes.
— Mais…
— Chut, mon chéri, laisse-toi faire, profite… je t’ai dit qu’il se passe de drôles de choses dans ces cabines.
La brune me lèche le gland à grands coups de langue.
— Mmm… il est bon, le petit…
Elle me pousse dans sa gorge en me masturbant lentement. Elle suce divinement bien. Je donne des petits coups de reins pour lui montrer que j’aime. Elle s’enhardit et accélère le rythme.
— Mmm… mmm… mmmmmm…
Annie se lève, écarte les bonnets de son soutif et me tend ses seins nus. Ils sont gonflés, durs, les pointes d’un brun presque noir ressemblent à des tétines dressées.
Je me penche et je les suce chacun à leur tour. Ma queue bat furieusement dans la bouche experte de la vendeuse. Elle hoquète et me branle avec une énergie redoublée. Annie frissonne sous mes baisers.
— Mmm… j’ai envie… voyons… tu me la déboutonnes ?
Elle glisse ma main vers sa culotte. Je défais délicatement les boutons-pression. Mes doigts trempent immédiatement dans une mouille abondante qui inonde une fente large aux poils ras et drus.
Tata sourit, l’air angélique en sentant mon majeur la pénétrer jusque la paume.
— Ouh… tu as de longs doigts…
Elle me tend ses lèvres. Je me penche. Nos langues se mêlent.
La vendeuse me lèche encore un instant le gland en nous regardant nous embrasser puis elle se lève en continuant de me presser le poireau dans sa petite main.
— Je peux participer ?
Tata pouffe et rompt le baiser.
— Bien sûr.
Elle se colle au mur de bois pour que je puisse la doigter plus loin encore.
Je tourne la tête et embrasse la brunette en lui pelotant les seins de l’autre main. Ils sont aussi énormes et lourds que ceux d’Annie mais beaucoup moins durs.
Sa bouche est fraîche, sa langue légère, elle sent la vanille et les fleurs, elle embrasse bien, elle me branle fort, elle sait y faire.
Tata danse sur mon doigt fouisseur en geignant discrètement. Elle saisit ma queue par-dessus la main d’Helga et me masturbe en rythme.
La vendeuse libère ses doigts pour relever sa mini-jupe en se tortillant exagérément.
— À mon tour…
Je fourre la main dans sa culotte et y trouve une chatte lisse et trempée. Mon majeur gauche plonge dans la moiteur de la fente étroite. La brunette frissonne de plaisir en se mordillant les lèvres.
— Mmm… plus vite…
J’ai l’impression de jouer au flipper, et de gagner l’extra-ball à chaque à-coups de mes mains, la chatte de Tata à droite, celle d’Helga à gauche.
— Ouh…
— Mmm…
— Encore…
— Plus fort…
Elles tirent sur ma queue, la branlent, l’agitent, elles me prennent la bouche chacune leur tour, me donnent leurs nichons à téter, la vendeuse tire son top vers le haut et presse ses seins nus en rythme, je les goûte avec bonheur, sous le regard bienveillant de Tata. C’en est trop, j’ai envie de les sauter toutes les deux en même-temps !
Annie semble lire dans mes pensées.
Elle saisit mes mains et les retire des deux chattes brûlantes, se redresse en titubant et caresse la joue de la vendeuse. Celle-ci se retourne et ma tante lui baisse sa culotte. Elle me sourit.
— Baise-la, mais attention à ne pas venir… je veux profiter aussi…
Helga a les fesses rondelettes et gracieuses. Elle se cambre. Je vois l’abricot lisse et luisant de mouille grasse. Tata y trempe ma queue avec douceur. La brunette gémit quand je la pénètre par à-coups. Elle a une chatte étroite, une fente minuscule, les sensations sont décuplées, je la sens tout autour de ma bite, elle se contracte à mesure que je m’enfonce, elle pousse sur son cul pour me prendre tout entier, je l’accompagne, au bord de la jouissance.
— Ooh… oooh… oui…
Elle se tend en accentuant sa cambrure. Elle est grande, je n’ai quasiment pas besoin de plier les genoux pour la sauter confortablement. Annie m’observe et m’embrasse sur les lèvres.
— Plus vite, Arthur…
J’accélère le rythme, les deux mains sur ses seins qui pendouillent lourdement.
— Oh… oui…
Je joue avec les mamelons durcis tout en lui fourrant toute la longueur de ma queue dans la chatte qui se ferme en spasmes à chacun de mes coups de reins.
— OH ! OH ! AH !
Je pince ses tétons douloureusement en augmentant la cadence, du gland aux couilles, des couilles au gland, mon aine claque bruyamment contre le petit cul rond, jusqu’à…
— OUI ! OUI ! JE VIENS ! AH !
Elle se cale contre moi pour que je reste au plus profond et jouit en saccades humides. Un liquide chaud coule le long de ses cuisses et m’éclabousse les couilles.
J’adore. On doit nous entendre dans toute la boutique, mais je m’en tape, je suis trop excité.
Je presse ses seins plus fort encore, elle couine de plaisir et se finissant sur ma bite en ondulant lentement le bassin pour accompagner son plaisir dégoulinant. Elle se tourne et me regarde amoureusement, les yeux vagues.
— Waw… wawawaw… merci…
Annie sourit et se retourne.
— À mon tour, mon chéri…
Elle se cambre, les deux mains posées sur le mur et me présente ses fesses amples, bombées sous la culotte de dentelle.
— Viens.
Je me retire de la chatte d’Helga, qui vacille et s’assied lourdement sur le banc de bois. Je lui pose un baiser léger sur la bouche et me place derrière Tata. J’ai la queue trempée, les poils moites de mouille et de sueur.
Elle hausse le cul.
— Il y trois boutons à cette culotte, mon chéri. Cette nuit, si tu es sage, tu pourras déboutonner le troisième. Il donne accès à un plaisir défendu que je t’offrirai bien volontiers…
— Wow… Tata…
— …mon fantasme avant le tien…
Elle frotte son cul contre ma bite.
Je souris et bande plus fort, si c’est encore possible. Je plie les genoux, place ma queue dans l’antre inondé de sa chatte et donne un grand coup de bassin qui la plante jusqu’à la garde.
— Oooh… oui…
Je passe mes bras autour de son ventre gonflé et je la pistonne vigoureusement. Elle se cambre. La culotte frotte contre mon ventre et mes cuisses.
Le troisième bouton saute.
Je fixe le petit trou révélé avec gourmandise… mes mains glissent le long des fesses amples et les écartent, tout en continuant de la limer avec force.
Tata se retourne en gémissant bruyamment.
— Ooh… oooh… mon chéri… vas-y…
Je fourre un pouce dans l’oeillet plissé. Il s’y enfonce sans résistance.
— Mmm… oui… oh…
Helga se masturbe en nous regardant, les cuisses écartées, la culotte baissée. Elle se déplace vers Annie et lui pelote les seins de sa main libre, un sourire aux lèvres.
Ça m’excite terriblement. J’accélère le rythme, je pilonne la chatte avec ma queue et fouille la rondelle souple avec mon pouce en une petite double-pénétration qui me mène au Paradis.
Tata s’arc-boute davantage. Je pénètre son cul jusqu’à la paume, sous la culotte fine. Elle se tend soudain en geignant:
— Oh ! oui ! Viens ! Viens maintenant !
C’en est trop.
Des éclairs me vrillent les couilles, ma bite enfle, le sperme explose en saccades délicieuses, brûlantes.
— Oh… Tata… Oh Anniiiiie…
Elle tremble de tout son corps dans sa jouissance. Sa fente se resserre autour de ma queue, elle se contracte à chacun de mes spasmes.
— Mmm ! Mmm ! Oui ! Mmm !
Je me cale ventre contre cul et me vide au fond de la chatte à grands jets de foutre chaud, en matant la belle Helga qui se soulève et embrasse Annie sur la bouche.
Tata a un petit mouvement de recul mais elle se reprend et accepte le baiser saphique en gémissant.
— Mmmmh…
Les derniers jets s’écoulent en petites saccades divines… ma bite désenfle dans la chatte visqueuse… je me retire lentement, d’abord la queue, puis le pouce toujours lové dans le petit trou serré, que j’ôte à contrecœur. Je regarde le sperme qui coule abondamment le long des cuisses écartées, fasciné.
Tata se redresse avec difficulté, elle chancelle et me prend dans ses bras.
Elle chuchote:
— Merci, mon chéri. Cette nuit, tu auras une récompense…
Elle me prend la bouche et cherche ma langue. Je ferme les yeux. Elle est sérieuse, pour cette nuit. Waw. Ma queue engourdie se réveille, déjà.
Helga nous enlace et nous embrasse tour à tour. Tata n’hésite pas, cette fois.
Je suis aux anges. Ce soir, Annie va me laisser la prendre par derrière.
Je me serre contre les deux femmes.
Je bande à nouveau.
Je sors avec Helga de la cabine d’essayage pendant que Tata se rhabille. Plusieurs clientes nous regardent, l’air intéressé.
— Jeune homme ? C’est un nouveau service ?
— Je…
— Est-ce pour tous les essayages ?
— Euh…
— Mademoiselle ?
Elles entourent Helga. Je m’éloigne en feignant l’innocence pendant qu’une autre vendeuse, une blonde à l’air sévère, rejoint le petit attroupement qui se forme aux cabines.
Merde.
On a été beaucoup trop bruyants.
Helga rend sa carte bleue et les paquets contenant la lingerie à Tata.
— Au plaisir de vous revoir, et joyeuses fêtes de fin d’année.
Annie sourit.
— Merci, à vous aussi. Tu me rejoins, Arthur ?
Tata s’éloigne d’un pas mal assuré et m’attend à l’entrée de la boutique.
Helga se tourne vers moi.
— Merci, Arthur… c’était très sympa.
— Merci à toi… euh… à vous.
Elle fait quelques pas pour s’éloigner des caisses. La blonde sévère la remplace sans broncher.
— J’ai discuté avec ma responsable en sortant de la cabine…
Elle montre la blonde d’un geste discret.
Merde.
— Je suis désolé… j’espère que vous n’aurez pas d’ennuis…
La belle brune pouffe joyeusement.
— Non, tout va bien, au contraire. Elle veut juste te faire savoir qu’il y a un poste de vendeur de libre pour aider les clientes à trouver leur bonheur, à partir de janvier, si tu veux venir faire un essai…
Je reste sur le cul. Elle rit encore.
— Ne fais pas cette tête. Une cliente satisfaite est une cliente qui achète… plusieurs d’entre elles ont manifesté de l’intérêt pour ce nouveau service « d’essayage », il y a quelques minutes… il te faudra donner un peu de ta personne, mais tu sembles chaud, comme garçon…
Je suis sans voix. J’arrive à articuler:
— Comment ça ?
— Je ne crois pas que tu auras besoin d’un dessin… tu veux bien y réfléchir ?
Elle me tend la main. Je la lui serre maladroitement.
— Et puis ça nous permettra de nous revoir et… de mieux nous connaître… qui sait ?
Elle me presse les doigts.
— Je… oui… je viendrai certainement.
Elle sourit.
— Génial. À bientôt alors… et profite bien ce soir…
Je ris nerveusement.
Je vais vers la sortie quand elle me rattrape.
— Une dernière chose, Arthur…
Je me tourne vers elle.
— Tu me donnes ton 06 ? Histoire de rester en contact… ?
Je souris et lui écris mon numéro sur le morceau de papier qu’elle me tend.
— Merci, je t’envoie un texto très vite.
Elle m’embrasse sur la joue.
Je hoche la tête en la regardant s’éloigner et je rejoins Tata.
Elle m’annonce vouloir encore faire quelques boutiques. Je la suis, comme dans un nuage…
Une sodomie et un job pour voir des femmes faire des essayages dans une boutique de lingerie…
C’est vraiment Noël !