Le réveillon d’Arthur – Chapitre 15

15. Joyeux Noël Arthur !

— Hey…
Je m’éveille en m’étirant.
Méli est là, souriante et nue, son sexe fin rasé de frais, rosé, ses seins blonds pointant dans le soleil du petit matin. Je souris. La vue de son corps souple et juvénile accentue mon érection matinale. Elle avait promis de venir me réveiller. J’aime ce genre de réveils.
— Hey…
Elle écarte la couette et contemple ma nudité. Elle chuchote:
— Oh… déjà tout dur ? Tu as besoin de mes services, je crois…
Je pouffe. J’ai la queue un peu endolorie de ma nuit avec Annie, mais je n’ai rien contre une pipe.
Ou plus.
— Fais-toi plaisir, Méli.
— Hum. J’y compte bien.
Elle se penche et commence à me branler lentement.
— Bien dormi ?
Je hoche la tête en m’étirant légèrement.
— Mmm mmm.
— Tu es allé te coucher tout de suite ?
Il y a quelque-chose dans le ton de Méli. Est-ce qu’elle m’a surpris ?
— Mmm… pourquoi ?
Elle grimpe sur le lit et me prend dans sa bouche.
— Mmm… pour rien… tu es bon… tu sens le sexe…
Merde… je ne me suis pas nettoyé de cette nuit…
Elle me regarde en coin, l’air pensif.
— Tu aimes ?
Elle hésite et se remet à me sucer.
— Mmm mmm. C’est meilleur comme ça.
Je souris et me laisse faire, content de ne pas avoir à bouger, pour une fois.
— Tu suces de mieux en mieux.
Elle sourit en coin, me lèche le gland et me lance:
— Je m’entraîne beaucoup…
— Oh ? Comment ça…?
— C’est un entraînement secret… on a chacun nos petits secrets, non ?
Je déglutis. Elle sait.
Putain.
Elle sait !
— Méli…
— Laisse-toi faire.
Elle me reprend dans sa bouche.
Je me mords la lèvre. Elle suce vraiment mieux. Elle ouvre les lèvres et me happe en gorge profonde, lentement. Elle me chope presque jusqu’aux couilles. Définitivement meilleure. Je gémis. Si elle sait, ça n’a pas l’air de la perturber plus sue ça…
Je ne me rends pas tout de suite compte que la porte s’ouvre lentement.
Tata entre en silence et me sourit. J’écarquille les yeux, et Méli le remarque. Elle regarde de côté, ma bite calée au fond de sa gorge et manque de s’étouffer en me recrachant rapidement, la bave aux lèvres.
Je reste sans voix, mais Mélissa s’écrie:
— Maman ! Qu’est-ce que… ce… ce n’est pas du tout ce que tu crois !
Comme elle a ma bite dans la main, c’est moyennement crédible.
Tata rit silencieusement. Elle ferme la porte et ouvre son peignoir de bain qu’elle laisse tomber à ses pieds.
Elle est totalement nue, ses seins sont rougis par endroits… j’ai dû la griffer sans m’en apercevoir cette nuit… son ventre rond jette une ombre sur sa chatte, mais on peut voir qu’elle l’a épilée totalement. C’est ravissant.
— Maman…? Alors… c’est vrai ?
Je grimace intérieurement. Comment a-t-elle su, bordel ?
— Qu’est-ce qui est vrai, ma chérie ?
Méli me branle doucement.
— Toi et Arthur ?
Tata sourit.
— Mmm. Oui, tu n’es pas la seule à apprécier les charmes de ton cousin.
Méli hoche la tête.
— Je m’en doutais… mais… Papa ?
Tata nous rejoint et s’assied sur le lit.
— Ton père est au courant et il n’y voit pas d’inconvénient.
J’écarquille les yeux.
— De quoi ???
Elle me caresse la joue.
— Tu es d’ailleurs invité à notre réveillon la semaine prochaine à Carcassonne, mon petit chéri. Mélissa est chez des copines, mais tu trouveras la fête tout-à-fait satisfaisante, crois-moi…
Inexplicablement, ça fait sourire Mélissa.
— J’ai vraiment de qui tenir…
Tata rit joyeusement.
— Joyeux Noël, ma chérie… ce sera notre petit cadeau secret à tous les trois…
Elle grimpe sur le lit et s’allonge à côté de moi en entrelaçant ses doigts dans ceux de Méli autour de ma queue.
— Joyeux Noël, Arthur.

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