Le réveillon d’ Arthur – Chapitre 10
Arthur découvert
Tata m’attend à la porte de sa chambre. J’entends mon père qui fredonne au bas de l’escalier.
Elle m’avait chopé avec Mélissa, au printemps, mais elle avait plutôt bien réagi… je ne pensais pas qu’Annie voudrait que j’arrête de la baiser…
J’ouvre la bouche pour m’expliquer, mais aucun mot ne me vient. Annie ouvre la porte.
— Entre.
Je hoche la tête et j’obéis. Je me sens tellement mal…
Elle referme derrière elle et me sourit. Je frémis. Si seulement elle pouvait juste m’engueuler, exploser, plutôt que m’opposer cette bienveillance affectée…
— Alors… ça continue entre Mélissa et toi ?
Je déglutis, la bouche sèche.
— Je… je ne savais pas que ça te dérangerait… tu ne m’avais pas clairement dit que…
Elle acquiesce.
— J’aurais dû m’en douter… si tu continues avec moi, c’est normal que tu veuilles continuer avec ta cousine plus jeune…
Je ne veux pas qu’elle pense que je choisis Méli pour sa jeunesse, surtout !
— Non, Tata, ce n’est pas du tout…
— Tu lui as fait l’amour aujourd’hui ?
Je hoche la tête, incapable de mentir.
— Après t’être tapé ta tante et une vendeuse, tu as encore eu assez d’énergie pour te taper ta cousine ?
Je baisse les yeux en acquiesçant.
Elle rit et me prend dans ses bras.
— Oh, le bel étalon au sexe jamais étanché… il te les faut toutes, n’est-ce-pas ? ?
Elle cherche ma bouche et m’embrasse légèrement sur les lèvres.
— Tu… tu n’es pas fâchée ?
Elle pouffe en glissant une main agile dans mon jean.
— Tu es mon neveu et mon amant… qui suis-je pour te dénier le droit de sauter ta petite cousine, même si ça me rend toujours un peu jalouse…
Elle presse ma bite avec force dans son petit poing.
Un espoir que tout ne soit pas fini me fait réagir et gonfler entre les doigts serrés. Elle s’en aperçoit et me colle contre la porte en m’embrassant fougueusement. Je romps le baiser, hors d’haleine.
— Alors… si je comprends bien… je peux continuer avec Méli ?
Elle sourit.
— Oh, oui… même si je lui réserve une petite surprise… j’y pense depuis le printemps…
Je m’inquiète.
— Une surprise ?
— Nous verrons ça plus tard. Voyons…
Elle ouvre mon pantalon et me masturbe à l’air libre, en regardant ma queue grandir mollement.
— …cette nuit, tu es à moi. Pas question que tu remettes ça avec Méli avant que j’aie eu mon plaisir. TOUT mon plaisir. C’est clair, jeune homme ?
— Je… oui, Tata.
Mon coeur s’emballe. J’ai toujours droit à ma nuit avec Annie. Je bande un peu plus.
Elle sourit et s’agenouille.
— Et ne viens pas pendant que je te nettoie, je veux que tu aies encore du jus pour moi ce soir, petit cochon.
Et, sans un mot de plus, elle me prend dans sa bouche et se met à me sucer très profondément.