Le Réveillon – Chapitre 2
Je suis sur le lit, jambes écartées, à califourchon sur Terence, les deux mains posées sur sa poitrine.
Nue, ou presque.
Mon chaton épilé est écartelé par son sexe massif, et ses mains caressent agréablement mes seins. Parfois, comme maintenant, je plaque mon clitoris contre son pubis, la sensation est divine.
– Penche-toi un peu plus, chérie.
Marc est à genoux, derrière moi. Il écarte mes fesses, avec gourmandise, mais aussi une certaine douceur.
– Encore un peu…
J’obéis et me cambre, curieuse et craintive.
La soirée avait été étonnamment agréable.
Terence m’avait bien vite mise à l’aise, il me caressait les jambes, les dénudait, parcourait mes cuisses de ses doigts doux. Les baisers échangés avec les deux hommes avaient été de plus en plus profonds, de plus en plus partagés, excitants, mais naturels, presque évidents.
Marc me découvrait coquine, il aimait ça, je le voyais bien, et j’en avais joué, aidée par les nombreux apéritifs qui avaient défilé en début de soirée.
A un moment, Terence avait dit:
– Votre sapin est vraiment très beau.
Je m’étais agenouillée devant lui, avais ouvert sa braguette et avais répondu, d’un air mutin:
– Laissez-moi voir le vôtre.
Le sexe de Terence était épais et long dans ma main, j’avais posé mon nez dessus, en avait respiré l’odeur épicée, musquée, masculine. Passé la langue sur son gland rose-foncé, coquine, dévergondée. J’avais regardé Marc, lui avait envoyé un baiser et annoncé:
– Joyeux Noël, mon chéri.
Le bout turgescent avait pénétré ma bouche complètement.
J’avais appris une chose, durant ces premières minutes.
Plus un sexe est gros, plus il est difficile à sucer correctement.
Marc m’avait laissé seule avec Terence un long moment, se contentant d’observer, passif, la fellation impossible que j’essayais de prodiguer. J’avais manqué de m’étouffer en voulant gober complètement la pine tendue, un flot de salive grasse m’avait empli la bouche chaque fois que je parvenait à dépasser ma luette, mes hauts-le-coeur successifs avaient fait sourire mon amant d’un soir, qui m’encourageait, les deux mains sur ma chevelure dorée, exerçant une pression urgente pour que j’aille plus loin.
J’avais fini par le branler sur ma langue, une façon pour moi de reprendre mon souffle, et pour lui de retenir son plaisir pour la suite de la soirée.
C’est alors que Marc était entré en jeu. Il avait relevé ma robe fourreau au-dessus de mes fesses, avait écarté mon string et, sans un mot, m’avait pénétrée d’un coup devant notre invité, que je suçais toujours avec application.
J’étais si mouillée ! Il avait glissé en moi si facilement, je l’avais à peine senti, je n’étais que plaisir pur et alcoolisé, je n’avais même pas eu honte une seconde de me faire baiser devant un inconnu.
Au contraire.
Je n’avais eu qu’une envie: jouir au plus vite, prolonger les émotions inattendues apportées par ce réveillon très surprenant.
Marc avait alors baissé le devant de ma robe fourreau, et dégrafé mon soutif d’une pichenette, pour offrir la vue mes petits seins nus à notre hôte. Je n’eus bientôt plus conscience de la queue qui roulait sous ma langue, ni même de celle qui fourrageait mon chaton. J’avais fermé les yeux et simplement accueilli la lame de plaisir qui me transperçait alors de part en part.
Les deux hommes avaient bientôt échangé leur position, je m’étais placée à califourchon sur Terence et avais découvert la sensation d’un sexe massif dans mon petit chaton fragile. Pendant qu’il m’avait baisée, j’avais sucé Marc goulûment, à demi-nue dans la lumière crue de l’halogène.
C’est moi qui avais demandé à ce que nous continuions dans la chambre.
Pour temporiser un peu, d’une part, et pour éviter de tâcher le canapé, d’autre part.
Je les avais guidés en les tenant chacun par la bite, et en les branlant tout du long.
Je m’étais allongée sur le lit, les jambes écartées. Terence s’était placé au-dessus de moi, avait trempé sa queue dans mon chaton ruisselant et ouvert, mais je l’avais repoussé.
– Voyons si tu sais te servir de ta bouche aussi bien que de ta queue…
C’était bien le cas.
Il n’avait pas seulement un long sexe, mais aussi une longue langue, agile, et avait manifestement quelque expérience avec l’anatomie féminine.
Pendant que Marc m’embrassait sur la bouche en me caressant les seins, j’avais joui, une première fois ce soir.
Puis, pendant que Terence m’enfonçait sa queue dans la gorge, Marc l’avait remplacé entre mes cuisses, ses doigts et sa langue en action avaient su me faire partir une seconde fois.
Epuisée, en sueur, des papillons dans le ventre et dans le corps, je leur avais alors donné quartier libre.
– Je veux vous voir jouir.
– Penche-toi encore un peu…
Je me plaque contre Terence. Sa queue écartèle le tissu soyeux de mon chaton, je n’ai jamais englouti si gros, et je n’ai connu quasiment que Marc, qui a un sexe bien plus modeste.
Nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent, ses mains glissent jusque mes fesses et les écarte.
Mon mari enduit alors mon petit trou coquin de vaseline, et me prend bientôt par derrière, lentement, mais chaque fois un peu plus loin. Je relève la tête, les yeux fermés, je cesse de respirer en sentant le gland se faire happer par ma pastille souple, déclenchant des éclairs de plaisirs mêlés d’une douleur diffuse, mais supportable.
– Ah….ahhh…
La queue de Marc creuse son sillon, pénètre plus avant, je le sens se tendre en moi, forcer un peu, les deux hommes sont lovés au creux de mes chairs distendues, l’euphorie prend le pas sur la douleur, le désir sur le moral, je me relâche et en demande plus, plus fort, plus vite, plus loin.
– Oh… oh… encore…
Les deux hommes alternent leur cadence, se calent, l’un va, l’autre vient, l’un entre, l’autre sort, l’un me baise, l’autre me sodomise, les deux gémissent, râlent et soufflent, je pars, pour la troisième fois, dans un orgasme non maîtrisé, primal, mes cris de délice font plier mes amants, Terence se cabre soudain, et déverse en moi sa semence brûlante, ses spasmes, Marc ne tarde pas à l’imiter, il sort sa queue de mon petit trou rougi et jouit sur mes fesses tendues, je m’arc-boute pour accueillir le sperme de mon homme, qui s’accumule en gouttes grasses dans le creux de mon dos et coule bientôt le long de mes hanches.
Il s’affale sur moi, je suis bien pressée entre mes deux amants, la queue de Terence toujours en moi, celle de Marc au creux de mes fesses, je me laisse porter par la torpeur du moment, par les « merci » et les baisers qu’ils me prodiguent.
– ça t’a plu ?
Nous sommes au lit, il est tard, Terence est reparti, nous nous sommes promis de le revoir bientôt.
La soirée a continué autour de quelques verres, dans une ambiance très détendue et plutôt dénudée.
Il nous a parlé davantage des films qu’il tourne, j’ai mis un moment à comprendre de quoi il retournait vraiment.
Marc voudrait que j’y participe, pour voir, par curiosité.
Je n’ai pas dit non, mais je me laisse le temps de la réflexion, je ne suis plus toute jeune, bien que Terence m’ait assuré que j’aurais toute ma place parmi les filles plus jeune qu’il voit défiler.
– Mmm mmm. Oui. Bien sûr.
Marc m’embrasse. Je tiens son sexe entre mes doigts, sous la couverture. Je suis encore toute mouillée, même si je suis épuisée.
– Merci.
Je souris.
– C’est moi. Cette soirée a été une première… à bien des égards.
Il a un petit rire rentré.
– C’est vrai.
Une idée se forme.
Je lui en parle avant de réfléchir vraiment.
– Pour le réveillon du nouvel an, ce sera à moi de te surprendre…
Il me regarde, l’air intéressé.
– Oh…
Je souris encore et me serre contre lui sans un mot de plus.
Il durcit entre mes doigts.
Le sommeil attendra.