Alysha,  La Plume de Florean,  Le Contrat

Le Contrat d’Alysha – Chapitre 14

29.11.2012 CE TEXTE EST CADUC, IL SERA CHANGé TOTALEMENT:  LA SUITE N’EST PAS RACCORD AVEC LA CORRECTION INTERVENUE SUR LES CHAP 9, 10 et 11. CE SERA CORRIGE DANS LES PROCHAINS JOURS.

– Vous ne m’avez jamais rappelée.
Stéphanie Bléry se tient devant moi. Elle est très fine, elle ne doit pas peser plus de 40 kilos toute mouillée. Mini-jupe droite noire, corsage noir, rouge à lèvres carmin, les cheveux tirés en une queue de cheval accentue ses traits légèrement asiates.
Lilia, ma secrétaire est là, dans mon cabinet, la petite est entrée sans frapper, sans se faire annoncer.
Le malaise s’installe.
– Mademoiselle Bléry…
Elle fait un signe de menton vers ma secrétaire.
– Elle est au courant ?
Je grimace.
– Lilia, veuillez nous laisser un instant.
Mon assistante quitte la pièce sans un mot. Professionnelle. Détachée. Mes yeux suivent le balancement de ses hanches trop larges, mais désirables. Les fantasmes masculins ont la vie dure. Elle ferme la porte en jetant un dernier regard vers moi. Malicieux ? Non. Moqueur. Connaisseur. Elle sait.
La petite Bléry est furieuse.
– Pourquoi ne m’avez-vous pas rappelée ?
Je secoue la tête.
– Parce que je ne suis pas fier de ce que je vous ai fait la dernière fois.
– J’étais consentante. Et mon père encule votre femme dès qu’il en a l’occasion.
La vision d’Alysha, empalée sur le sexe de Bléry sénior, passe fugitivement devant mes yeux. Expression d’extase. Jouissance extrême. Je chasse ces pensées.
– C’est… compliqué. Comprenez-moi… je ne suis pas comme votre père… je ne peux pas abuser de vous comme il abuse de ma femme.
Je me lève et viens me placer devant elle, adossé au bureau. Je lui prends les mains. Elle se laisse faire. Ses doigts sont petits et fins dans les miens. Elle a les ongles courts.
-…je suis désolé.
– Vous laissez tomber ? Vous abandonnez  ? Vous ne cherchez pas à vous en venger ?
– Comme je vous ai dit, c’est compliqué.
– Il va la prostituer, vous savez.
Une lame froide se plante dans mon coeur.
– Une fois qu’il aura eu satisfaction, il va la livrer à ses clients, à ses collaborateurs, puis il lui fera arpenter les rues toute la nuit à la recherche de clients qui la baiseront gratuitement, pour son seul plaisir à lui. Votre femme sera la petite chienne qu’elle mérite d’être.
– Mademoiselle…
– Il la fera tourner dans un film porno. Comme les autres.
Un angoisse glaciale m’étreint le corps.
- Comment ça ?
Elle rit, mauvaise.
– Vous ne connaissez pas mon père, Fresnel. Votre femme n’est pas la première à tomber dans ses filets. Il joue avec quelques mois, et puis il les délure tellement qu’elles finissent toutes comme ce qu’elles sont: de vulgaires putes.
Elle montre mon ordinateur du menton.
– Il y a eu plusieurs procès. Vérifiez.
Je m’assieds à mon bureau, et accède aux fichiers du Palais de Justice, la base de données des procès et leurs verdicts.
Elle dit vrai. Quatre procès, intentés par les familles des victimes.
La petite Bléry ouvre la porte de mon bureau.
– Il a gagné à chaque fois. Appelez-moi, quand vous aurez changé d’avis.
Elle sort.
Je me plonge dans les comptes-rendus d’audiences et les verdicts.
***
 
La petite Bléry est nue devant moi, à genoux. Le sperme coule de son visage. Ses seins minuscules perlent de sueur, et sa chatte rasée me donne envie de la baiser à nouveau. Elle a accepté la sodomie avec une rage sexuelle presque passionnée, et s’est clairement laissée prendre au jeu, jusqu’à la jouissance. La fellation était restée décevante, mais elle apprendra. Je lui caresse les joues, et pose un baiser sur ses petites lèvres rouges. Elle me le rend, avec réticence. Je note le changement, par rapport à la dernière fois. Elle tient encore mon sexe entre ses doigts.
***

J’embrasse fougueusement Alysha. Elle vient de passer la journée enfermée dans son bureau, elle porte une jupe très courte et un chemisier tendu sur ses seins proéminents. J’ai sa chevelure dans les yeux, je me noie dans le baiser, qu’elle me rend avec passion. Elle éteint la lumière, mais la lueur du soir me permet de la détailler, sa culotte glisse sur ses jambes, elle ouvre ma braguette et en tire mon sexe, elle m’attire à elle sur le canapé, cuisses écartée, sa minette nue me happe, trempée, le soulagement est total, immédiat, je me noie dans la douceur de son hymen, l’embrasse, et l’embrasse encore.
Nous ne faisons plus qu’un, elle gémit dans ma bouche, elle me mordille les lèvres, sa langue est douce, humide, mon sexe trouve ses tréfonds, elle se cabre et se cambre, je passe mes mains sous ses fesses encore gonflées des coups de ceinture des jours précédents, elle replie les genoux, notre baiser cesse,  elle m’embrasse le visage, les oreilles, me chuchote des « je t’aime je t’aime je t’aime à l’oreille, je me soulève, ouvre son corsage, en redoublant mes coups de reins, elle se pâme, s’ouvre, me veut au fond d’elle ses tétons sont drus sous mes paumes, ses seins fermes, sa peau, couleur des sables d’orient, me paraît d’une douceur presque douloureuse.
Je me baisse, et l’embrasse tendrement, je ralentis mes allées et venues en elle pour ne pas jouir trop vite, me frayant un passage du gland jusqu’aux bourses, labourant mon sillon en profondeur, je sens ses chairs s’ouvrir et se serrer autour de mon sexe, son excitation devenir plus grande, plus émotionnelle, plus forte.
Une larme coule contre ma joue. Je me soulève légèrement. Alysha pleure dans ses gémissements incontrôlés. Je continue à la baiser, plus lentement, et écoute la litanie de ses « Denis Denis Denis… », elle me griffe, me serre contre elle, ses ongles rouges se plantent dans mon dos, j’étouffe un cri, je ne veux pas briser ce moment.
– Oh, Denis, j’ai eté méchante avec toi. Méchante…
Je la saute, sans discontinuer, mes mains caressent ses seins, ma bite se perd en elle, sa jupette est remontée jusqu’aux hanches, ses longues jambes repliées m’enserrent le bassin, me donnant ainsi accès à ses fonds délicieux. Elle garde les yeux fermés, elle sanglote, mais me guide toujours en elle en m’avouant ses fautes. Je me demande ce qu’il s’est passé pour qu’elle en arrive-là.
– Je t’ai trompée, pardonne-moi, je t’aime toi, je ne veux pas que nous nous perdions.
J’ai le coeur froid, mais je la baise toujours, je presse ses nichons entre mes mains, et lèche ses larmes en gémissant, son aveu me soulage, je ne lui demande pas de détails, elle me les donnera, je le sais.
– Je ne le verrai plus, je te le jure, je vais lui rendre son argent, il ne me baisera plus, ça ne peut plus continuer ainsi.
Je me retire, sans un mot, elle ouvre des yeux embués, je lui souris.
– Tu comprends ? Il faut que je m’en sorte, ça prend un tour qui va me mener à l’enfer, je le sais.
– Retourne-toi.
Elle hoche la tête, se met à quatre pattes.
– Je suis désolée. Désolée. Viens.
Elle enfonce la tête dans les coussins, ses mains viennent écarter ses fesses, dont les lobes sont rougis et boursouflés, m’invitant clairement à la sodomiser. Son petit trou est luisant de mouille et de sueur, prêt à être investi. Je presse mon gland contre la pastille souple et brune, qui s’ouvre comme une fleur de mai, et commence mes va-et-vient l’espace est large et ferme, ses sanglots se muent en gémissements, puis en cris étouffés, je lui agrippe les hanches, elle se masturbe d’une main en tâtant mes couilles de temps à autres, la sodomie est lente, attentionnée, nous recherchons notre plaisir, j’en prends, et lui en donne.
Ses doigts tournent plus vite sur son sexe glabre, ils entrent et sortent du vagin dans un rythme effréné, je me cale complètement en elle, jusqu’à sentir l’anus se refermer complètement sur la garde de ma bite tendue, j’imprime un mouvement de balancier très doux, à l’unisson avec celui de son corps, elle me presse les couilles d’une main et se déchire les tréfonds de l’autre, elle ahane, pousse contre mon sexe, gémit, geint…
Elle se tend soudain, tremblante, se cambre sur mon sexe, me donnant ainsi accès à ses seins que j’empaume fermement, je joue avec ses tétons durcis tandis qu’elle jouit contre moi.
Elle se retourne, toujours empalée, et m’embrasse, éperdue, des larmes brillent toujours dans ses yeux, et je m’aperçois que je la crois, que je sais qu’elle ne le reverra pas, qu’elle lui rendra l’argent.
Je suis débarrassé de Bléry.
Je souris.
– Ta bouche.
Son cul s’écarte au passage de mon sexe, qui en sort, rouge et irrité. Elle me relève, me pousse avec force contre le mur, me sourit et s’agenouille. Elle place ma bite luisante entre ses seins et me masturbe tout en me suçant, longuement, lentement.
La jouissance n’est pas longue à venir, elle ferme la bouche et la frotte contre mon gland turgescent, accueillant les jets de sperme sur ses lèvres, son nez et son menton, et sur le haut de ses seins gonflés.
Elle me gobe ensuite pour me finir au fond de sa gorge, les sensations sont décuplées, le dernier spasme me vrille les couilles. Alysha nettoie mon sexe, lentement, multipliant les petits coups de langues très satisfaisants.
– Viens.
Elle s’allonge sur le canapé, cuisses écartées, et guide ma pine qui commence à mollir dans sa chatte offerte.

29.11.2012 CE TEXTE EST CADUC, IL SERA CHANGé TOTALEMENT:  LA SUITE N’EST PAS RACCORD AVEC LA CORRECTION INTERVENUE SUR LES CHAP 9, 10 et 11. CE SERA CORRIGE DANS LES PROCHAINS JOURS.

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