La copine de ma femme – Epilogue
Mélanie est nue, elle dort tranquillement, je la couve du regard, j’ai envie de caresser son ventre arrondi, ses seins blancs qui ont encore gonflé avec la grossesse – les mamelons sont passé de rose-rouge à brun foncé, c’est mignon.
Emma n’est pas là, elle passe le week-end chez sa soeur, c’est elle qui a demandé à Mélanie de venir partager un moment avec le « père de son enfant ».
Quatre mois que Mélanie est enceinte. Emma est une vraie mère-poule pour elle, nous nous voyons régulièrement, et faisons l’amour avec passion, tantôt à trois, tantôt à deux, parfois, Emma nous regarde nous entrelacer, parfois je les regarde s’étreindre.
Emma sait qu’après la naissance, Mélanie m’a promis sa fleur intime et que je serai le premier homme à la cueillir de ce côté.
Ce qu’elle ne sait pas, c’est que lorsque je suis seul avec elle, Mélanie me laisse préparer le terrain, elle aime que j’y plonge les pouces pendant que mes autres doigts malaxent son beau cul blanc. Elle se cambre et jouit en criant parfois – la grossesse accentue ses sensations, ses émotions.
Elle insiste pour que je vienne dans sa bouche, elle avale mon sperme comme un alicament, « c’est bon pour le bébé », elle l’a lu dans la presse. Je ne m’en plains pas, j’aime le sourire dans ses yeux bleus lorsque je décharge au fond de sa gorge.
Et quel homme refuserait une pipe donnée avec tant de générosité ?
S’il n’y a pas un brin de jalousie entre Emma et Mélanie, il a tout de même fallu que je fasse une concession de taille.
Emma est enceinte de deux mois et demi. Pour me convaincre de sauter le pas, elle m’a fait une promesse.
Le jour où Mélanie me donnera ma récompense, je n’aurai pas une, mais deux partenaires à déflorer.
Logiquement, Emma devrait toujours être enceinte, ce jour-là.
J’ai hâte.
Mélanie ouvre les yeux à moitié.
– A quoi tu penses ?
Je réponds, honnête.
– Je me disais que tu es belle comme tout, et que j’ai hâte de partager ma récompense avec toi.
Elle pose sa main sur ma queue.
– Oh. Tu es de nouveau en forme…
Je ne m’étais pas aperçu que je bandais. Je prends ses seins entre mes doigts et les presse gentiment.
Elle me sourit, m’attire à elle, m’embrasse.
– Viens, je te fais une gâterie, si tu veux.
Je m’agenouille dans le lit, elle me gobe, sans cesser de sourire.
Deux doses dans la journée…
… c’est bon pour le bébé !