Innocence
Adam et Michaël se font pressants.
– Allez, Valou, juste tes seins, ils seront plus beaux bronzés.
La plage est immense, presque déserte à cette heure-ci, presque 19 heures, le soleil tape encore affreusement, on est un peu à l’écart dans les dunes. Mes deux mecs – je sors plus ou moins avec les deux depuis une semaine – sont plus bronzés que moi, leur peau brille de sueur et d’huile solaire Ils sont très beaux..
Mais voilà, c’est juste du flirt, pas plus.
Certainement pas jusqu’à leur montrer mes seins. Je ne les ai pas souvent montrés à des garçons, déjà. Et puis ils sont là tous les deux, on est sur un lieu de passage, c’est pas très intime.
– Allez, Valou, quoi, sois sympa, montre-les nous.
Ils sont bien jeunes encore, pour s’attacher à voir une poitrine ainsi. Bon, la mienne est plutôt imposante, ok, et certainement flatteuse pour l’oeil masculin. Je souris, et fais ma timide.
Adam m’embrasse sur la bouche.
– Vas-y, y a pas un chat, rien que pour nous !
Bon, c’est que les seins. Et puis il y a des nanas qui font du monokini partout ici. C’est pas comme si ça comptait.
Je rougis un peu, tire sur la ficelle de mon maillot jaune fluo dans mon dos, et le laisse tomber sur le sable.
Le soleil est chaud sur mes seins blancs.
– Waaaah, Valou, ils sont trop beaux !
Michaël les prends entre ses mains, je n’ose pas reculer.
– Et grooooos, p’tain, t’es trop belle !
Adam les caresse à son tour. Je sais que je suis rouge comme une pivoine, mais les sensations sont agréables.
– Ils sont bien lourds, j’adore ! Et si tu enlevais ton bas de maillot, maintenant ? J’ai trop envie de te voir toute nue !
Je suis flattée, mais quand même, je ne peux pas imaginer me mettre toute nue devant deux garçons !
– Allez, quoi, Valou, c’est presque un string, ton bas, il ne cache pas grand chose, et ça nous ferait trop plaisir !
Il n’a pas tort, mon maillot est bien échancré,je n’aime pas avoir les fesses trop blanches. Mais je ne les montre pas quand il y a du monde autour.
Adam presse mes tétons entre ses doigts.
– Valou, tu ne peux pas t’arrêter là, et il n’y a que nous, à cette heure-ci.
Je regarde autour de nous. La mer scintille à l’approche du soleil, qui n’est plus très haut dans le ciel. C’est vrai qu’il n’y a personne autour. Bon, ce n’est pas comme si je n’avais jamais été nue, et puis je les aime bien tous les deux. Cela ne compte pas vraiment.
Je me mets à genoux entre les dunes pour qu’on ne me voit pas et je tire sur la ficelle de mon bas de maillot, à droite, puis à gauche. Le tissu fluo tombe sur le sable, entre mes cuisses légèrement écartées.
Je baisse les yeux timidement.
Un regard, ça ne compte pas vraiment. Et ça leur fait plaisir. Adam est soufflé de me voir nue à ses pieds.
– Wow, Valou, t’es trop mignonne, je ne savais pas que tu t’épilais complètement ! C’est trop beau, te te voir à genoux devant nous comme ça, ça me fait un effet boeuf, regarde !
Je lève les yeux juste au moment où il baisse son boxer, et me montre son sexe raide, qu’il tient d’une main ferme.
Je ris en silence, flattée de lui faire cet effet, et m’aperçois que Michaël a fait de même, les deux garçons offrent leur jeunes verges à ma vue.
– Tu veux bien nous sucer un peu, Valou ? Tu ne vas pas nous laisser avec des braquemarts comme ça ?
Je sais que je suis toute rouge. Si je n’y mets que les lèvres, ça ne compte pas vraiment.
Ils s’approchent, je prends un sexe dans chaque main (ils sont durs et fins, c’est une sensation nouvelle) et les embrasse tour à tour sur le gland, qu’ils ont ferme et gonflé de désir.
Adam se fait plus pressant.
– Oh, Valou, ma déesse nue aux seins de reine, sois sympa, mets-y la langue !
Bon, les lèvres ou la langue, tant que ça n’entre pas dans la bouche, ça ne compte pas vraiment. J’applique longuement ma langue autour des deux sexes et les lèche avec application, autant qu’ils en gardent un bon souvenir…
(à suivre)