Petits flirts entre Amis – Epilogue
Elle lui a dit
– Et toi, Alain, quel est ton fantasme absolu ?
Les autres garçons avaient déjà décrit leurs fantasmes, avec la promesse que nous en réaliserions un dans la soirée.
Alain a réfléchi.
Il a répondu.
– J’aimerais bien… que Yen me suce devant vous.
Elle a ri.
– C’est tout ? Ce n’est pas un grand fantasme !
J’ai trouvé ça un peu décevant aussi. Alain est trop timide avec moi.
Mais il a ajouté :
– Ce n’est pas tout.
Olivia a eu l’air d’une chatte qui allait gober une souris.
– Quoi d’autre ?
Alain m’a regardée droit dans les yeux, un sourire désolé aux lèvres.
– J’aimerais que Yen me suce pendant que chacun des hommes ici la prend par derrière. Puis j’aimerais la prendre à mon tour, devant vous tous, pour ma première fois avec elle.
J’ai rougi, un peu outrée en entendant les autres s’exclamer avec des expressions allant de l’étonnement à l’anticipation joyeuse de me voir exposée ainsi. J’ai eu très chaud d’un seul coup.
Olivia m’a embrassée sur la bouche et m’a chuchoté à l’oreille :
– Fais-le.
– Je…
– Nous avons un pacte. J’ai rempli ma part. Remplis la tienne.
Elle avait raison.
C’était mon gage.
Ma promesse.
Alain s’est assis dans le canapé.
Je me suis agenouillée devant lui, soumise.
Olivia a annoncé :
– Messieurs, le cul de notre Yen est à vous… pas plus de 5 minutes chacun, de façon à ce que vos épouses ne soient pas en reste.
Je me suis cambrée, prête à accueillir le premier d’entre eux.
Laurent est derrière moi et me flatte le petit trou avec son gland, qu’il a humidifié dans ma fente entrouverte, me procurant un plaisir immédiat, une langueur terrible, pleine, entière. Il verse quelques gouttes d’huile d’Argan, douce, odorante, fine, et assouplit la zone déjà sensible par à-coups. Je sens ma fleur s’ouvrir, impatiente, à chaque pression de son sexe tendu.
Olivia et Stephen baisent déjà en nous regardant en coin. Souleymane a le nez plongé dans la minette poilue de sa femme, allongée sur le sol. On a éteint les bougies, la pièce n’est éclairée que par le clair de Lune et le feu jaune et rouge dans la cheminée, suffisant pour voir, suffisant pour se cacher, le mélange parfait.
Le mari de Sylvie caresse les lobes de mes petites fesses, les écarte, et pousse sur ses reins. Je me détends, je m’ouvre, je l’invite, je me cambre. Alain revient à moi, il me regarde, sérieux, et fait un signe de tête à Laurent. C’est le moment. Je prends la queue de mon mari dans ma bouche au moment ou celle de mon amant me pénètre l’anneau secret, avec une fluidité huileuse, je m’arc-boute pour l’aider, je suis détendue, heureuse d’offrir ce moment à mon mari, à mes chers, chers amis.
Laurent me connaît, il a été le premier à me déflorer, il se sent comme chez lui, il y a une osmose entre nous, ma main droite est déjà en action sur ma moussette, je me fais plaisir et goûte mieux celui qu’il me procure, le saisissement est moins nouveau, je sais où me diriger pour trouver la jouissance, je le laisse venir en moi, me contentant d’onduler le bassin pour l’accueillir plus loin, pour lui faire savoir que j’aime, que je l’aime, que je lui appartiens totalement pendant ces quelques minutes d’intimité totale. Il est déjà au plus profond, son pubis se colle à mon cul, j’aime particulièrement cette sensation, je le lui fais savoir en geignant contre le sexe d’Alain, toujours calé entre mes dents qui le mordillent avec délectation.
Laurent s’enhardit, il me prend avec plus d’ardeur, il soupire, il halète, il saisit mes hanches et me plante sur son dard érigé, je l’encourage encore, je me sens venir, je vais venir…
– Top… à Souley.
Non !
Je pousse sur le gland de Laurent, il me serre contre lui, la queue d’Alain s’échappe de ma bouche, je proteste.
– Non ! Reste !
Ils rient tous, Olivia la première.
– Notre Yen aime ça… mais le jeu est le jeu. A Souleymane de te satisfaire.
Laurent m’embrasse, toujours en moi, il me masse les seins, me dit des mots doux au creux de l’oreille, j’ai le vertige, il se retire, lentement, je me cambre, languissante, en reprenant Alain au creux de mes seins gonflés. Il sourit. Il est heureux. Je le suis aussi.
Le mari de Suraya est déjà en place.
– Ne t’inquiète pas, petite chinoise, tu vas aimer la mienne aussi.
Je minaude.
– Je n’en doute pas, bel africain.
Il rit. Sylvie et Laurent baisent à côté d’Alain, elle est à califourchon sur lui, les deux mains relevées derrière la tête, les seins hauts, bien en vue de mon mari malgré l’obscurité relative. Il préfère pourtant ceux de Suraya, qui les offre à sa bouche. Elle aime que l’on remarque ses seins siliconés. Alain leur fait honneur.
Souley m’a enduit les fesses d’huile fine, il pousse déjà sur mon trésor parfumé, qui s’ouvre sans souci après avoir été préparé par le sexe plus modeste de Laurent.
Je me mords la lèvre en gémissant au passage de l’objet massif et long, Souley semble vouloir l’enfoncer entièrement en une seule poussée continue, j’essaye de me détendre, d’ignorer la douleur, je ferme les yeux, je m’ouvre, et m’ouvre encore, en suivant mentalement et physiquement le chemin parcouru par le dragon noir.
– Dou…cement…
Je n’ai pu m’empêcher de couiner ce mot, qui attire l’attention d’Alain et Suraya, mais Souley les rassure.
– Je suis presque au bout. Elle a du répondant, la petite.
Une dernière poussée, et je sens ses abdominaux contre mes fesses écartelées à craquer. Je ne respire plus que par à-coups. Des petits cris s’échappent à chaque fois que j’inspire.
Il me libère enfin, recule un instant avant de revenir, les sensations divines me scotchent tellement que je m’effondre sur Alain, qui me caresse les cheveux en se rinçant certainement l’œil dans la lueur faible du feu de bois.
– Han…ho..han…
Je gémis, le plaisir est aussi massif que la bite qui me prend, je me laisse aller à la douce douleur, je sens que la jouissance pourrait venir, si seulement il allait un peu moins loin… je mets un bras en arrière, pour essayer de le repousser, de lui faire comprendre, il me caresse le dos de ses grandes mains et semble réagir à ma demande, mes couinements deviennent plus fort, un hamster en période de chaleurs, il me fesse soudain, je laisse échapper un cri.
– Oh oui !
Sa queue glisse mieux maintenant, je ne ressens que ce plaisir inavouable, tout le monde peut l’entendre, à commencer par mon mari, j’espère qu’il me sent partir, qu’il aime me voir traitée ainsi, qu’il m’aime plus fort de la jouissance que je me laisse infliger pour lui, pour Olivia…
– Top, mes chéris.
Cette fois, je pleure presque ma protestation.
– Non !
Souley me fend le cul de son merlin épais, avant de sortir complètement de moi.
– Merci, petite chinoise. Susu, viens vite, elle m’a affamé le zguègue.
Tout le monde rit. Alain est fier de moi.
Je suis désorientée, je ne veux pas que ça finisse, je suis déjà prête pour…
– Stephen…
Stephen est là, Olivia aussi, c’est elle qui guide sa queue en moi, il n’a pas besoin d’huile, le passage encore brûlant de Souley lui ouvre la voie des rois.
Alain se branle en nous regardant. J’ai oublié de le sucer. Je tire la langue et lui flatte le gland. Stephen me prend enfin, je gémis langoureusement sous le coup du soulagement intense qui m’envahit le corps entier.
Quelqu’un a remis une bûche dans la cheminée, le feu jaune illumine bien plus le salon rustique, les yeux noirs et rieurs d’Olivia ne me quittent pas une seconde pendant qu’Alain la doigte sans retenue. Elle m’a dit une fois combien les mains de mon mari savaient faire des choses merveilleuses…
Stephen me lime avec une tendresse infinie, il va et vient dans le conduit malmené en me berçant quasiment, il écoute mon plaisir, l’appelle, le construit, je comprends qu’il espère me voir jouir dans les cinq minutes qui nous sont imparties, je l’aime, je le veux en moi, je le laisse me pénétrer en opposant le moins de résistance possible, je me fais moelleuse, légère, je laisse ma fleur secrète s’épanouir, l’étreindre, le caresser.
Et ça marche. Je m’envole. Il gémit. Olivia aussi. Alain se tend dans ma bouche. J’ai des papillons dans le ventre. Deux de mes doigts entrent dans mon vagin sans que je sache comment ma main s’est retrouvée sous moi. Je ne respire plus, le gland de mon mari est au fond de ma gorge, celui de mon amant favori au fond de mon cul, je suis figée dans l’instant, le temps s’est arrêté, l’un de mes amis me presse les seins par-dessous, je reviens sur terre, reprends la pipe parfaite, entends à nouveau les cris et gémissements qui emplissent la pièce, au nombre desquels les miens…
– Top.
Le déchirement est trop grand, l’atterrissage trop brutal, je ne veux pas que ça cesse, je veux sentir son sperme m’emplir, sa jouissance faire écho à la mienne…
– Cette nuit.
Stephen s’est penché sur moi, il m’a murmuré ce mot, toujours tendu dans mes boyaux écartelés. Je serre les fesses contre sa bite, en essayant de me faire caressante.
Cette nuit, quand nous serons seuls au lit, je le laisserai me prendre et jouir en moi.
Je regarde Alain, les yeux mouillés, tandis que Stephen se retire délicatement. Je sais ce qu’il faut que je dise. Je le chuchote en y mettant tout mon cœur, toute mon envie, tout mon amour pour lui.
– Prends-moi. S’il-te-plaît.
Il acquiesce, l’air grave. Me caresse la joue.
C’est le moment qu’il attendait depuis tout ce temps, toutes ces années.
Olivia le retient.
– Vas-y mollo, tout votre sperme est pour moi, ce soir, messieurs.
Alain me sourit, amoureux.
Olivia est le vase, ce soir.
Chacune notre tour, jusqu’à ce que nous soyons toutes enceintes.
Tous nos amis forment un cercle autour de nous.
Je suis au centre de la pièce, sur le tapis épais, à quatre pattes.
J’ai demandé à ce qu’on rallume les bougies. Je me suis levée, les ai embrassés un-à-un, les garçons comme les filles. Puis j’ai enduit le sexe d’Alain d’huile, avant de m’installer, de lui présenter mon cul, féline.
Tous seront témoins de mon abandon, de mon cadeau à mon mari. Ils nous regardent en se touchant les uns les autres, silencieux, le souffle court. Ils ont hâte de me voir honorée ainsi.
Alain s’agenouille derrière moi, me caresse les fesses. Je ne le quitte pas des yeux, la tête rejetée en arrière. Tournée vers lui. Je me fais amoureuse et garce.
– Viens.
Il hoche la tête, trempe sa tige huileuse et douce sur ma rose éclose, qui s’ouvre sans résister à cette première pression. J’inhale lentement les vapeurs parfumées qui emplissent la pièce, des tons de musc, de cendre, de fumée, des notes d’argan et d’épices mêlées, et je pousse sur son membre, l’accepte entier, jusqu’à la garde. Il me griffe les fesses, se cale au fond de moi, nos amis applaudissent et nous félicitent, nous encouragent, une bite se présente devant ma bouche, je la gobe sans réfléchir, Alain me lutine lentement, mon plaisir grimpe d’un cran, une autre queue se présente à mes soins, des mains me caressent les seins, les fesses, une fille vient sucer à mes côtés et me lèche la pomme chaque fois que nous changeons de sexe, je ferme les yeux bien vite et me laisse porter par le rythme languissant de ces câlins échangés.
Je suis les chemins parcourus par le vit de mon amour, mon amant, cet homme qui me laisse donner du plaisir à d’autres hommes, il sort presque de moi avant de se reprendre, revenir, loin, dans mes tréfonds sensibles, et de repartir avant de me pilonner encore et encore. Une main de femme me cajole la moussette, joue avec mon abricot lisse, accentue mon extase, et soudain cette lame de fond m’emporte, m’inonde, me fait perdre pied, je me noie dans l’onde de plaisir entière, massive, je m’arc-boute sur la queue engloutie totalement et crie mon émoi.
– Aooooh ! Oh ! OUI !
Je tremble de la douceur qui m’envahit, je viens sur les doigts de mon amante, un liquide chaud s’échappe entre mes cuisses, je sens Alain se tendre, se contracter, il résiste, il veut venir, mais il est à Olivia ce soir, je ne peux m’empêcher de tressauter sous les coups de la jouissance, incapable de retenir ma joie et mes cris, je voudrais qu’il me remplisse de son foutre, on force une queue dans ma bouche, je la mords, je l’aspire, je viens et viens, et viens, et viens, cela n’en finit pas, je n’ai jamais joui ainsi.
Le reflux arrive, lentement, Olivia me câline, me bichonne, je m’affale sur le tapis moelleux, Alain me suit, il colle son pubis à mes fesses trempées, il m’embrasse le creux du dos, silencieux.
Olivia chuchote à mon oreille.
– Je te l’emprunte. Je vais le finir.
Elle prend Alain par la main, il se retire, laisse un vide au creux de moi, mais Stephen est déjà là, il me retourne, écarte mes cuisses et s’introduit dans mon humidité collante, mon vagin distendu l’accueille avec bonheur, je suis incapable de bouger, juste de sentir les assauts de son sexe doux au creux de moi.
Il s’allonge sur moi, je chéris sa puissance entre mes jambes, il écrase délicieusement mes seins, sa langue fouille ma bouche, nos doigts se mêlent, un nouvel orgasme me tord le ventre, il le sent, me suit, me guide dans l’explosion de sensations. J’ouvre les yeux à temps pour voir Alain, couché sur Olivia, se tendre et jouir en elle, elle est tournée vers moi, le regard espiègle, il lui baise les seins avant de se retirer. Stephen relâche la pression, son long sexe me quitte, il rejoint Olivia et la prend sans ménagements, Alain me prend dans ses bras, m’embrasse, et, rassasiés, nous regardons nos amis venir honorer Olivia, un-à-un, avec le sentiment d’une vie accomplie, d’une relation réussie, d’un amour sincère et partagé comme jamais.
Épilogue
– Penche-toi un peu.
Olivia m’embrasse sur les lèvres. Sa grossesse ne se voit pas encore. Elle est nue, à genoux sur le lit.
Alain glisse sa queue dans mon vagin épilé de frais, le regard amoureux.
Le test est positif. Nous l’avons fait ce matin, la petite croix bleue est apparue si vite !
Nous fêtons ça ce soir.
– Encore un peu.
Je ne sais pas qui est le père. Évidemment.
– C’est bon…
Je sens Alain se caler jusqu’à la garde, il ne bouge plus du tout. Il m’écarte les fesses de ses deux mains. J’espère que le bébé pourra ressentir le bien-être qui m’envahit alors que Stephen passe derrière moi.
J’ai enduit sa longue queue d’huile parfumée à la mangue.
Son gland écarte déjà les pétales de ma rose intime.
C’est la première fois que nous essayons comme ça, deux hommes d’un coup. Olivia m’a dit que c’était divin.
Je suis curieuse de les sentir en moi.
Cette grossesse va être riche en émotions. Ça commence déjà.
Je vous raconterai ça.