Entre Amis,  La Plume de Florean,  Petits Flirts entre Amis

Petits flirts entre Amis – Chapitre 09b

Les personnages féminins:
Christine Yen / épouse d’Alain / 1m53, 43 kg / origine sino-japonaise, 26 ans, petite et fine,  cheveux longs noirs et raides, peau dorée, belles lèvres épaisses, seins massifs, bien proportionnés,  étonnants sur son corps fluet. Ingénue et fidèle, mais sexuellement curieuse. Le jeu lui révèle une partie d’elle même qu’elle ne souhaite pas forcément connaître.

Olivia / épouse de Stephen / 1m56, 46 kg / origine arménienne, 27 ans, nez pointu, cheveux noirs, beaux seins bien galbés, des fesses comme des gouttes parfaites taille de guêpe – la plus cochonne et extravertie du groupe. Elle a eu l’idée du jeu.

Suraya / épouse de Souleymane / 1m60, 49 kg / origine marocaine, 27 ans, cheveux mi-longs bouclés, grosses lèvres gourmandes, seins refaits – et siliconés – peau mate, belles fesses rondes. Elle a vaincu sa timidité et joue à l’extravertie depuis sa chirurgie esthétique. Le jeu lui permet de continuer à faire semblant, et, espère-t-elle, de faire des envieuses avec sa poitrine toute neuve.

Sylvie / épouse de Laurent / 1m62, 47 kg / française, 26 ans, peau blanche, tendance rouquine, cheveux carré mi-long, seins ronds de taille moyenne, beau cul blanc galbé et rondelet. Douce, timide, elle est plutôt coincée mais s’offre au jeu avec la même curiosité que Christine Yen.


Les baisers de Sylvie me réveillent.
Elle a tiré le drap jusque sous ma poitrine, et me caresse les seins, de l’extérieur vers l’intérieur, pour faire durcir mes petits mamelons, et  faire se dresser mes tétons.
Ses lèvres se font insistantes sur les miennes, sa bouche sent le dentifrice, je me laisse faire, c’est agréable, j’entrouvre les yeux, sens ses seins contre les miens, elle est nue.
Elle sourit et chuchote:
– Bonjour…
Elle m’embrasse encore, je souris en m’étirant, le drap descend sur mes jambes, je n’ai pas de culotte, je sens la cuisse de Sylvie sur ma moussette encore humide. Le contact n’est pas désagréable non plus.
Sylvie descend le long de mon cou, je relève la tête, et je vois que Laurent est à genoux, juste au-dessus de nous, et qu’il nous admire en se masturbant lentement. Je lui souris, il n’approche pas son sexe de ma bouche ou des cheveux de Sylvie, il se branle, sans discontinuer, en se mordant la lèvre de plaisir.
Sylvie m’empaume les seins et me chuchote à l’oreille:
– Serre-moi contre toi, c’est son fantasme, deux filles qui s’embrassent pour ses beaux yeux.
J’obéis, mes mains glissent sur son corps nu, je lui empoigne les fesses, qui roulent sous mes doigts, deux lobes ronds et larges, et je partage le baiser, sans hésiter, en fermant les yeux. La langue de Sylvie cherche la mienne, la trouve, nos bouches se marient parfaitement bien, elle sourit, moi aussi.
J’ai évolué ces dernières semaines, je me rappelle, en goûtant la langue furtive, comment j’ai réagi à ce premier baiser d’Olivia, l’autre jour. Mes inhibitions disparaissent, je m’ouvre à Sylvie, elle se serre contre moi, son corps est frais.
Le jet chaud sur mes paupières me surprend, j’entrouvre les yeux, Laurent éjacule sur nos visages entremêlés, sans un bruit, il se masturbe avec une lenteur délibérée, les spasmes se succèdent, violents, productifs, le sperme s’accumule sur mon nez et mon front, Sylvie interrompt le baiser pour sucer son mari, je tends la langue et sent le sexe s’y poser, poisseux, nous le nettoyons toutes les deux, dans ce moment hors du temps… la queue entre à peine dans ma bouche, ne la force pas, c’est moi qui dois me soulever pour la happer, Sylvie lèche mon nez, mon front, y étale le sperme, le nettoie, l’avale… Quelques gouttes résiduelles coulent dans ma gorge, je souris de la situation, des doigts de Sylvie sur mon hymen, de notre nudité dans le petit matin froid.
Laurent se penche sur nous, et nous embrasse tour-à-tour. Il s’allonge à nos côtés, mais déjà, Sylvie se lève, elle frissonne, il ne fait  vraiment pas très chaud, ses tétons sont drus et pointus. Elle me prend la main et me tire hors du lit.
– Au tour d’Alain, maintenant.
Je souris à l’incongruité de la situation, mais je la suis. J’ai envie de rire aux éclats – qu’est-ce que je fais, là, nue dans l’appartement de mes amis, du sperme séché sur le visage ? Si l’on m’avait dit ça il y a un mois, je n’y aurais pas cru…
Nous entrons silencieusement dans la chambre d’amis. Alain dort toujours, allongé sur le dos. Le soleil entre dans la pièce, il y fait plus chaud que dans la chambre de Laurent, je suis étonnée qu’Alain puisse dormir ainsi, en pleine lumière. La soirée de la veille a dû être bien épuisante pour le pauvre chéri. Je ressens un petit pincement au coeur à cette pensée. Je ne suis pas encore tout-à-fait immunisée contre la jalousie, c’est ridicule.
Sylvie tire doucement le drap, pour ne pas le réveiller, jusqu’à ce que le sexe, mollasson, nous apparaisse. Elle me fait signe que je peux me servir. Je l’invite d’un signe à commencer. Elle s’agenouille aux côtés de mon mari, approche sa bouche de son pubis, et lèche légèrement, par petits à-coups, la queue encore endormie, en se concentrant particulièrement sur le gland.
Je m’approche à mon tour, et souflfe sur le sexe qui se réveille bien vite, et se tend sous nos nez.  Alain dort toujours lorsque Sylvie commence à le sucer, lentement, happant uniquement le gland rougi dans sa bouche spacieuse, elle s’applique, et me regarde, les yeux souriants. Alain relève la tête, lentement, les yeux dans le vague, puis se tend, Sylvie l’avale plus profondément, et commence à le masturber, sans hâte.
– Bonjour…
– B’jour…
Alain me tire par le bras pour que je vienne vers lui, il me tâte les seins, avec douceur, je l’embrasse dans le cou, puis descends, sur sa poitrine, sur ses abdominaux, son pubis, Sylvie libère le sexe et me le tend, je le prends dans ma bouche, et le presse entre mes lèvres, la bite glisse jusque dans ma gorge, je l’y maintiens, Alain gémit, Sylvie monte l’embrasser à pleine bouche avant de redescendre, lascive, et de venir me relayer. Elle enjambe Alain, trempe le sexe tendu dans sa moussette épilée, s’empale dessus, d’un coup sec. Mon mari râle de plaisir, Sylvie le chevauche, les deux mains posées à plat sur sa poitrine, je la regarde, baiser mon mari, les yeux fermés, la tête rejetée en arrière. Alain lui attrape les seins et les malaxe, je le sens se tendre, et se tendre encore, il saute et tressaute, et jouit en Sylvie, qui s’appuie de tout son poids sur la bite qui explose en elle. J’embrasse mon mari tandis qu’il finit de prendre son pied avec ma meilleure amie, je suis à la fois apaisée et un peu jalouse, mais je fais taire ce dernier sentiment – nous avons largement partagé la faute.
Sylvie s’affale sur Alain, en m’enlaçant du bras droit au passage, et nous restons ainsi, tous les trois allongés, jusqu’à l’arrivée de Laurent, quinze minutes plus tard, qui, toujours nu, nous annonce que le petit-déjeuner est servi…


Nous sommes au lit tôt, ce soir-là, avec Alain.
Dans la pénombre.
Seul un filet de lumière passe par les volets.
– Tu veux en parler ?
Sa voix est… hésitante. Honteuse, presque.
Je hausse les épaules.
– Si tu veux.
-Commence, toi.
J’ai un petit rire nerveux. Mon coeur bat la chamade.
– Non. Toi.
– Bon. Qu’est-ce que tu veux savoir ?
Je hausse les épaules, ne sachant que répondre.
– Je ne sais pas. Tout. Rien. Qu’est-ce que TU veux savoir, toi ?
– Bah… je…
Un silence s’installe.
Il m’embrasse l’épaule.
– C’était bien ?
– Mmm mmm. Et toi ?
– Mmm mmm.
– Alain. Soit on se dit tout, soit on ne se dit rien. Sinon, la conversation ne mène nulle-part.
Nouveau silence.
– Ok.
– Ok quoi ?
– Ok, on se dit tout.
– Oh. Alors… commence, toi.
Alain me raconte.
En arrivant chez moi, Sylvie a fait couler un bain. Elle s’est déshabillée entièrement, a déshabillé Alain, et ils se sont baignés, longuement. Elle l’a sucé, il l’a masturbée, longtemps, l’eau très chaude la rendait très sensible. Elle s’est retournée, à quatre pattes, a sorti son cul rond de l’eau, et lui a demandé d’y mettre les doigts. Elle a joui en se tenant aux parois de la baignoire, le cul en arrière, alors qu’Alain ne la sautait même pas. Elle lui a demandé de la prendre, comme ça, en levrette, dans l’eau.
Alain arrête son récit.
– Tu n’es pas fâchée ?
Je m’interroge. Non. Un peu. Mais non, voyons, je suis aussi fautive, dans l’histoire.
– Non. Continue.
Alain n’a pas résisté longtemps, sa queue, allant et venant sous le gros cul blanc, trempé, la chaleur, les gémissements clairs et purs de Sylvie la timide… ses deux pouces exploraient l’anus offert, sans honte, elle gémissait, et gémissait…il est sorti bien vite, pas loin de venir. Elle a compris, ils se sont enlacés, et après avoir fait couler à nouveau de l’eau très chaude, ils se sont baisés en tailleur, dans l’eau.
– Pratique, la baignoire d’angle, pour toutes vos acrobaties…
Alain sourit dans le noir. Sa queue est raide, je le caresse. Ses doigts cherchent ma moussette, sous ma nuisette. La trouvent. Il parle tout bas, mais je l’écoute avec attention.
Ils s’embrassaient à pleine bouche, et baisaient, oublieux du monde alentour. L’eau bouillante décuplait les sensations de Sylvie, qui jouit plusieurs fois au cours de l’heure écoulée, en en demandant toujours plus, toujours mieux, toujours plus vite, toujours plus loin. Alain n’osait pas venir, n’osait pas finir, voulait à la fois que ça dure, et que mon amie ait une bonne opinion de ses performances.
– Mais à la fin, je lui ai demandé.
Je branle Alain plus rapidement. Il m’en révèle plus que ce que je souhaiterais, mais il me donne aussi des idées pour nos ébats futurs. Et il est sincère, au moins.
– Quoi ?
– Son cul. Ou plutôt, « son GROS cul » – c’est ce que j’ai dit.
– Oh.
Sylvie se tendait pour une énième fois sur sa queue lorsqu’il osa lui demander. « Je peux te prendre par derrière ? J’adore ton gros cul. »  Elle rit à gorge déployée, et dans un grand « Ah, oui, prends-moi ! » Elle se retourna dans l’eau et présenta son cul rond rougi par les rapports dans l’eau très chaude et le frottement contre la baignoire et les cuisses d’Alain. Un peu de crème hydratante…
– MA crème hydratante ?
– Elle a pris la première crème qui venait.
… et Alain la sodomise, lentement d’abord, juste le gland, puis de plus en plus loin. La salope en redemande…
– Comment ça, « salope » ?
– Tu l’aurais vu se démener, c’est ce qui te serait venu à l’esprit, comme qualificatif. Olivia est une sainte-nitouche à côté, je te jure.
J’essaye d’imaginer Sylvie aussi délurée qu’Olivia. Mouais.
– Continue.
… la salope en redemande, elle se plante sur mon sexe, je vois son anus qui crème, qui suinte, qui se dilate… je la prends jusqu’à la garde…
Je le branle plus fort, il ne se rend pas compte qu’il donne des petits coups de reins. Je me mets sur lui et l’accueille en moi pendant qu’il continue à me décrire sa jouissance, ça m’excite. Je commence à aller et venir sur lui. C’est bon.
… elle crie, elle remue, elle avance et recule, c’est elle qui imprime son rythme, qui s’ouvre, je ferme les yeux, je gémis à mon tour, j’ai ses hanches dans les mains, c’est large et rebondi, je me plonge en elle, m’abaisse, lui attrape les seins, et j’éjacule dans son cul, je te dis pas, ça m’explose littéralement le bide, elle s’agrippe aux rebords de la baignoire, ma queue fait un bruit de succion en allant et venant dans l’anus boursouflé, écartelé, rouge d’irritation, blanc de sperme…
– Aaah… aaah… aaah…
Je me sens partir, je suis avec eux, dans cette baignoire, je le saute avec ardeur.
– Et… après ?
Après… ils sont allés au japonais du coin, complètement épuisés, mais le repas leur a redonné de la vigueur, ou à elle du moins. En revenant, elle l’a entraîné sous un porche de l’immeuble très huppé à deux rues d’ici, s’est agenouillée, et l’a sucé un long moment jusqu’à ce qu’il soit à nouveau bien dur. Puis elle s’est relevée, a remonté le bas de sa petite robe rouge, a écarté sa culotte, et s’est faite prendre en levrette, dans la pénombre. Elle a joui, pas lui. Elle l’a ramené à sa voiture, a conduit jusque chez elle, et l’a sauté dans la voiture en lui racontant comment son mari et moi baisions dans toutes les pièces de la maison au même moment, comment il me sodomiserait, comment il m’attacherait au lit et me ferait crier de plaisir.
– Et une fois que je suis venu sur sa robe rouge, on a fait un tour dans le quartier, puis on est monté se coucher… tu sais tout.
– Aaaooh…. mmmmh….
– Attends.
Je ralentis.
Il m’attrape, je passe dessous, et lui dessus. Il me baise, dans un rythme régulier.
– A toi de me dire…
Ses coups de reins me font perdre toutes mes inhibitions.
Je lui raconte.
La pipe dans le couloir.
Les barreaux du lit.
Les liens.
La fessée.
– Une fessée ???
– Oui.
– Et… tu as aimé ça ?
Il me baise plus fort.
– Hmmm… oui.
– Oh. Continue.
Comment Laurent m’a sucée, attachée au lit.
Ses doigts partout en moi. Devant et derrière.
– Derrière… derrière ?
– Derrière derrière, oui.
– Hum.
La levrette.
La sodomie.
– Carrément ?
– Carrément.
Le sperme avalé presque de force, le poignet retourné contre les barreaux du lit.
Il ne vient pas avant que j’aie terminé, je suis en nage, mouillée, excitée, et sa jouissance vient comme une délivrance pour tous les deux.
Il n’est pas fâché… moi non plus.
Il se love contre moi, sa queue entre mes fesses.
Peut-être que cette nuit, il rêvera que je suis Sylvie, dans la baignoire, et que c’est moi qu’il sodomise.
Je m’endors en pensant à la prochaine soirée.
J’ai hâte.

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