Petits flirts entre Amis – Chapitre 07
Quatre bougies sont allumées autour de nous. Nous sommes assis en cercle, sur le parquet, les femmes en petites jupes et hauts moulants, les hommes en jeans, chemises, cravates. Je suis bien, j’ai fait la paix avec moi-même et avec ces jeux. J’ai le coeur qui bat un peu vite, j’ai envie de sensations, mais je sais que tout le monde pourra me voir maintenant, y compris (et surtout) Alain, ça me rend nerveuse.
L’ambiance est détendue, Olivia et Suraya sont très excitées, elles parlent fort, rient beaucoup, l’alcool a encore coulé à flots pendant le repas très épicé, j’ai la tête qui tourne un peu, et le rire facile, je suis agréablement pompette. Sylvie est à côté de moi, on se regarde en pouffant, je me penche vers elle et pose ma tête sur son épaule. Elle m’embrasse les cheveux, elle sent bon, je me redresse, un sourire aux lèvres.
Les dés masculins sont lancés par Suleymane. Plus un dé féminin.
Il lit les deux prénoms et le vêtement inscrits dessus.
– Sylvie, enlève le pantalon de… Alain !
Sylvie a un sourire secret, qu’elle partage avec moi. Je le lui rend. Alain se lève. Sylvie traverse le cercle à quatre pattes, elle se colle au pantalon de mon mari et le déboutonne lascivement. Elle tire la braguette avec les dents. Les filles applaudissent, les gars rigolent, Sylvie a déjà les mains sur la ceinture, qu’elle défait prestement, puis elle glisse le vêtement aux pieds d’Alain, qui se retrouve en slip devant tout le monde.
Je ris sous cape, il a l’air gauche, comme ça, et il n’a pas l’air de bander, pour le moment. Sylvie soulève sa jupe et revient à sa place en montrant sa petite culotte à mon mari, remontée sur ses fesses façon string. Alain se rassied sans quitter la croupe des yeux. J’ai chaud.
Les dés féminins sont lancés par Sylvie, plus un dé masculin. Elle fait son petit sourire en coin.
– Suleymane, retire la culotte d’Olivia.
Suleymane se penche vers Olivia juste à côté d’elle, et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Olivia ricane, se met à quatre pattes, le cul en arrière, Suley s’agenouille juste derrière elle et frotte son pubis contre la jupette serrée, en mimant une levrette-lambada.
Olivia simule la jouissance en se mordant les lèvres et en tirant la langue comme une actrice porno;
– Aah… ahan… mmmh… c’est boooon… ahaaan….
C’est drôle, je ris aux éclats, les garçons se marrent bruyamment, je continue de glousser, un peu gênée, en regardant Stephen qui a l’air de trouver ce spectacle tout-à-fait amusant.
Les mains de Suley remontent la jupe lentement, le string rouge en soie d’Olivia est couvert de reflets dorés à la lueur des bougies, Suley roule le tissu et entame la longue descente du vêtement le long des cuisses de mon amie. Elle tend une jambe, puis l’autre, pour que Suley puisse enlever totalement le string, puis s’affale au sol, cul en l’air, tandis qu’il tire à nouveau la jupe sur les fesses nues, sans les quitter des yeux.
Olivia se relève et nous offre un salut de théâtre, avec petite révérence, on applaudit tous, je suis morte de rire.
Elle relance les dés féminins et sourit. C’est tombé sur les faces spéciales pour les deux dés des prénoms.
– Les maris enlèvent le soutif de leurs femmes…! Wouh !
Alain traverse le cercle, m’embrasse sur la bouche en passant ses mains sous mon haut moulant. Il dégrafe mon soutien-gorge sans bretelles d’une pichenette, et me le retire. Il expose mes seins un instant, le temps d’en faire durcir les tétons avec ses doigts, puis avec sa langue, et les cache à nouveau.
Il lance à la volée:
– Qui veut le soutif de Yen ?
Des rires fusent, Suraya reboutonne son chemisier cintré, trop petit, serré contre son corps, en bécotant Suleymane, qui répond:
– Je te l’échange contre la culotte d’Olivia.
Nouveaux rires.
– Vendu !
Les vêtements fusent d’un bout à l’autre du cercle. Alain attrape le string affriolant et le porte à son nez en me regardant, coquin. Je baisse les yeux, sans savoir comment réagir.
Laurent a les deux mains sur les nichons de Sylvie, et Stephen lèche ceux d’Olivia, qui a déjà glissé une main dans son pantalon.
J’attire Alain à moi et le serre dans mes bras, il me donne un baiser goulu, j’ai envie de rire ce soir, je suis un peu nerveuse, mais c’est un trac positif.
On revient à nos place dans le cercle. Les tops de Suraya et d’Olivia sont collés à leurs seins, les tétons sont drus, tendus sous le tissu. Sylvie pose sa tête sur mon épaule, me l’embrasse en regardant la courbe exagérée de mes nichons, et se relève, les yeux brillants. Elle fronce le nez en souriant, ses taches de rousseur ressortent sur son visage timide.
Olivia jette les dés masculins. Elle sourit en coin.
– Yen, tu enlèves le pantalon de tous les garçons !
Je rosis. Les hommes se lèvent et viennent se placer autour de moi, un de chaque côté. Alain est déjà jambes nues, tant pis pour lui.
Je reste à genoux. Je commence par Laurent. Je défais sa ceinture, et déboutonne le jean, puis ouvre sa braguette lentement, en ondulant le corps lascivement. Je lui embrasse le nombril en tirant le pantalon vers le bas, et pose un baiser léger sur la bosse que forme son sexe dans son slip.
– Wouh, c’est chaud !
– Pas trop vite, Yen !
Je souris. L’érection cachée est déjà belle. Je me tourne vers la droite.
Stephen est là, je répète le processus, ceinture, et boutons, un à un, en appuyant à chaque fois contre l’érection massive que je sens dessous. Je tourne la tête vers Alain, lui fait un sourire secret, avant de revenir à Stephen, et lui retirer très doucement son jean. Je le caresse, des mollets aux fesses, jusqu’au pénis, avant d’y déposer un baiser plus appuyé. Réveillé par mes caresses, le sexe dépasse déjà du boxer, appétissant. Je cache ma bouche entre mes mains et sors un bout de langue pour le goûter. Son gland est frais et doux sous mes lèvres.
– Yes ! Elle craque pour toi Stephen !
– Si on vous dérange, vous le dites, hein !
– Hé hé hé !
– Elle n’a pas fait ça, quand même, la cochonne !
Les rires fusent, Stephen a l’air à l’aise, je suis un peu fière, et un peu gênée. Je n’ose pas regarder Alain. Je me tourne vers lui, et pose juste un baiser léger sur son pubis, avant de passer à Suleymane.
Je sursaute. Il a sorti son sexe, et le tient dans sa main.
– Visez l’engin !
– Pauvre Yen, tu vas étouffer si tu essayes d’avaler ça !
– Hé, c’est pas le jeu !
Je garde le sourire, sans me forcer, et j’embrasse le gland dans un souffle, je sens les yeux d’Alain sur ma nuque, ça renforce ma détermination. Je prends le sexe entre mes doigts, et le masturbe en le fixant avec curiosité, la peau est couleur café-noir, mais le gland est d’un rose violacé, qui me fait penser aux cerises griottes que l’on boit parfois en digestif dans la famille d’Alain. Je le lèche une fois, avec ma langue en pointe, je souris encore, et lui ôte le pantalon rapidement. Je les regarde tous les quatre tour à tour, en les saluant humblement à la manière de mes ancêtres.
Tout le monde rit.
– Une vraie Geisha !
– Bravo, Yen !
– Wouh !
– Suley, range ton truc, maintenant !
– Hi hi.
On regagne nos places, je ne suis pas peu fière de moi, finalement. Alain me regarde intensément, il ne sourit pas, mais ne semble pas particulièrement fâché. Je tremble intérieurement, avant de me morigéner. Si on en est là, c’est parce qu’il l’a voulu. Et qu’imagine-t-il, pour la soirée privée qu’il va partager avec Sylvie ? Que je vais rester à regarder la télé avec Laurent pendant qu’il la baise ? Il devrait mieux me connaître !
Tout le monde a regagné sa place. Je lance les dés féminins.
– Stephen, enlève le top de Suraya.
Suraya serre le point en pliant le bras vers elle.
– Yes !
Des applaudissement fusent. C’est la fin de ce jeu: « dès qu’un de nous est torse nu, on passe aux choses sérieuses ». Dixit Olivia, Grande Maîtresse du jeu. Je ricane dans mon coin.
Suraya s’est mise à genoux devant le boxer de Stephen, elle fredonne « Déshabillez-moi » en remuant le cul, c’est hilarant, je ris aux éclats. Elle lève les bras en caressant Stephen des cuisses au torse. Il se penche, et tire le petit chemisier trop moulant en défaisant les boutons un à un, et en profitant des nichons ainsi révélés. Les deux seins de pin-up bondissent hors du tissu fin, elle se relève en se frottant tout le long du corps du grand blond.
Nouveaux applaudissements, nouveaux rires, on se lève tous, j’attrape une bière sur le bar, et en boit plusieurs gorgées, je suis assoiffée.
– Tout le monde est prêt pour la suite ?
– Yes !
– Et comment !
– Alors on y va !
Comme c’est une fille qui a « perdu », c’est à nous de commencer…
L’ambiance est différente, lumières allumées, c’est particulier, déstabilisant, mais pas désagréable.
Je suis à genoux, seins nus, devant Stephen.
Il a les yeux bandés.
Mon haut en stretch est roulé à hauteur de ma taille, mon soutien gorge est quelque part dans la pièce, par terre. Je ris discrètement en regardant les trois autres filles s’agenouiller autour de moi, Sylvie a choisi Alain, Olivia est aux pieds de Suleymane, et Suraya souffle sur la queue de Laurent, dressée devant elle.
Olivia donne le signal silencieusement. Une minute pour masturber mon partenaire entre mes seins. La bite de Stephen est blonde, dorée dans la lumière des bougies, je me relève légèrement sur mes genoux, j’ai un sourire pincé aux lèvres, j’écarte mes seins et les referme autour de son sexe tendu, le bâton doré s’y love, il bat un peu, il apprécie la douce pression que j’exerce. Je laisse le gland dépasser sur le haut de mes nichons, et je l’enduis d’un filet de salive que je laisse échapper habilement de ma bouche – je n’ai pas le droit de toucher le sexe avec autre chose que mes seins. Les règles sont plus strictes, mais évitent certains dérapages, et nous mettent toutes sur un pied d’égalité. Elles me rassurent. M’excitent.
Je caresse la belle queue dressée entre mes nichons, je monte le sein droit, le descend en montant le gauche, je respire profondément, je gonfle ma poitrine, le gland est couvert, puis découvert, Stephen est crispé, il se penche sur moi pour accentuer la pression sur sa hampe humide, je crache un nouveau filet de salive entre mes tétés sans cesser mon mouvement circulaire, j’ai les genoux qui chauffe, contre le sol, j’aurais dû mettre un coussin. Je n’ai d’yeux que pour le beau mari d’Olivia, la caresse intime a de l’effet sur moi, je tâche de me caresser les nichons tout en prodiguant mes soins le plus agréablement possible, je veux qu’il me choisisse comme étant la meilleure, à la fin de notre petite tournée des pénis…
Olivia donne le signal de fin.
Je trace une spirale sur le ventre de Stephen – nous avons changé de signe, pour que le jeu retrouve de sa saveur. Je me demande si je reconnaitrai mes partenaires, quand ce sera mon tour d’avoir les yeux bandés.
Je passe au mec suivant, Suleymane, dont la queue noire est enduite d’une huile fine qui sent bon la mangue. Il y a des échantillons d’huile de massage sur la table basse derrière moi. J’en fais couler un filet entre mes seins, avant de les écarter et d’y caler la pine gonflée, dure comme du bois. Suleymane donne des coups de reins prononcés, je maintiens juste son sexe au creux de ma poitrine, et regarde, curieuse, le gland couleur de prune apparaître et disparaître entre mes nichons, la sensation est douce, et la queue si longue qu’elle touche mon menton une fois sur deux. Je tire légèrement la langue et goûte la bite odorante, avant de me reprendre. Je jette un oeil furtif autour de moi, Olivia est avec Laurent, elle s’agite sur la queue calée entre ses seins comme une furie, Laurent souffle profondément, un sourire béat aux lèvres. Sylvie est avec Stephen, je ressens une pointe d’envie et de jalousie, c’est drôle, Stephen n’est pas à moi… Je reviens à Suleymane, qui a l’air de bien aimer la caresse que je lui offre – il guide son propre plaisir, c’est excitant de le voir chercher ainsi l’extase entre mes doux seins. Il préfère garder son gland au creux de mes lobes, ça chauffe, c’est à la fois une caresse suave et légèrement irritante malgré l’huile de massage. J’écarte mes nichons et crache un peu de salive sur le sexe tendu et luisant, avant de l’accompagner à nouveau dans son plaisir. Je lève la tête. Il sourit, la bouche entrouverte, le cou rejeté en arrière. Clap de fin, Olivia a un chronomètre à la place du coeur…
Je trace une spirale sur le ventre de Suley, puis j’attrape un petite bouteille d’huile (« parfum du fruit défendu », je souris) et m’en enduis les seins abondamment. Cela sent la cerise et la rose, une fragrance peu subtile, je préférais la mangue.
Je m’agenouille devant Laurent. Sa queue est tendue, excitée, une veine bleuâtre bat sur son côté droit. J’ai envie de le sucer, devant les copines, je ris sous cape, quelle tête elles feraient, surtout Sylvie !
Je souffle sur le sexe transi de désir, avant de l’englober tout entier entre mes seins, que je bouge, l’un après l’autre, dans une caresse rapide et intensive, je malaxe sa bite de taille moyenne avec agilité, il reste lové au creux de mes seins, il ne sait plus où il est, le concert de sensation est terrible pour lui, il halète, se tend, me demande de ralentir, une main sur mon épaule, je ne le laisse pas respirer, j’accélère le rythme, il commence à trembler sous la branlette magistrale, j’ai envie de rire aux éclats, je sais que je suis irrésistible et que je le tiens au bout de mes mamelons, que si j’insiste encore il va jouir comme un adolescent trop pressé… je ralentis, presque brutalement, il sourit en geignant, j’imagine ses yeux fermés sous son bandeau, sa queue bat contre mon sternum, je le garde-là, sans bouger, le temps que l’alerte passe.
– Merci.
Il a chuchoté, j’ai un sourire secret, je sais que je vais m’amuser avec lui lorsque nous serons seuls tous les deux.
Olivia sonne le clap de fin. Elle est avec Stephen. J’ai encore ce petit pincement de jalousie. C’est avec lui que j’aimerais me retrouver seule. Dans le noir. Il pourrait me faire tout ce qu’il voudrait. Enfin… presque tout.
Je soupire d’aise, ma main descend sous ma jupe, dans ma culotte, je suis excitée et humide, la caresse me soulage immédiatement. Je me relève, des fourmis dans les jambes et dans le ventre, et viens m’agenouiller devant Alain, dont le sexe est enduit de tant d’huile qu’il brille comme du métal dans la lueur des bougies.
Je garde une main dans ma culotte, et effleure lascivement sa bite dressée avec ma poitrine, insaisissable. Il respire profondément, joue des reins pour se coller à mes seins, je reste évasive, joueuse, je m’avance en gonflant mes poumons d’air, rendant ainsi mes nichons plus gros, plus facile à sentir pour lui, puis je me recule, je m’enfonce sur les deux doigts que je fais jouer dans ma moussette, un sourire aux lèvres. Bientôt, Alain, n’en peut plus, sa queue glisse sur moi, entre mes seins, sur mon cou, jusque sur mon menton que je relève pour éviter d’ouvrir la bouche par mégarde et de le sucer presque par inadvertance – j’en ai envie, pourtant, ma respiration est à l’unisson avec la sienne, je me retiens de gémir, c’est chaud, c’est bon, je fais pénétrer mes doigts plus loin en moi, je m’arrache le petit bouton avec ma paume, à plat sur ma petite chatte fragile. Alain se met sur la pointe des pieds, il essaye de trouver ma bouche, je me penche, je vais craquer, j’approche mes lèvres de sa queue, je suis trop excitée, il me faut la sentir, la goûter…
Clap de fin.
Je me reprends, de justesse, je caresse la queue turgescente avec ma main libre et trace ma spirale sur le ventre de mon mari, avant de rejoindre les filles au milieu de la pièce.
On se sourit, elles sont aussi rouges et moites que moi, nous rions discrètement, à demi-nues, dans ce petit appartement parisien.
Je ne sais pas ce qui me prend, j’embrasse Olivia sur les lèvres et lui dit:
– La prochaine soirée se passera chez moi, OK ?
Elle acquiesce et nous nous serrons toutes les quatre dans nos bras, en un geste d’amitié renforcée.
Olivia reprend son rôle de maîtresse du jeu.
– Allez, les garçons, dites-nous tout haut quelle fille vous avez préféré ! Stephen ?
– Hmmm… toutes les quatre je crois…
– Hé, non, tu ne triches pas, mon salaud, il me faut un seul signe !
– Alors… voyons… le rond, pour cette fois.
Je suis un peu déçue.
– Alain ?
– Sans hésiter, le triangle.
Je regarde les autres filles pour essayer de voir laquelle est le triangle, mais elles ne laissent rien transparaître.
– Laurent ?
– La spirale, merci, c’était génial.
Je garde mon visage le plus neutre possible. Je sens les yeux de Sylvie se poser sur moi.
– Et Suley ?
– Le « 8 ».
Olivia applaudit – on l’imite immédiatement, c’est incroyable, 4 mecs ont préféré chacun l’une de nous, c’est la première fois !
– Bravo ! Enlevez vos bandeaux, et venez nous les mettre. Oh, et attachez-nous les mains dans le dos… pour le prochain jeu !
Je m’agenouille au sol. Laurent se dirige vers Sylvie, pour lui mettre le bandeau, mais elle lui dit:
– Non, occupe-toi plutôt de Yen, ce sera plus érotique…
– Serrez-bien les liens, surtout !
Laurent sourit. Il passe derrière-moi, et m’attache les poignets dans le dos avec fermeté. Je serre les jambes, mon bas-ventre me fait mal d’excitation. Il me met ensuite le bandeau sur les yeux et m’embrasse dans le cou en le nouant solidement. Je suis dans le noir. Il chuchote à mon oreille, un sourire dans la voix.
– A tout de suite, belle Yen…
Il frotte sa queue huileuse contre mon dos, entre mes épaules. Je soupire d’envie.
Je ne sais pas ce qu’Olivia nous prépare, mais j’ai hâte de le savoir…