Petits flirts entre Amis – Chapitre 05
Les personnages féminins:
Christine Yen / épouse d’Alain / 1m53, 43 kg / origine sino-japonaise, 26 ans, petite et fine, cheveux longs noirs et raides, peau dorée, belles lèvres épaisses, seins massifs, bien proportionnés, étonnants sur son corps fluet. Ingénue et fidèle, mais sexuellement curieuse. Le jeu lui révèle une partie d’elle même qu’elle ne souhaite pas forcément connaître.
Olivia / épouse de Stephen / 1m56, 46 kg / origine arménienne, 27 ans, nez pointu, cheveux noirs, beaux seins bien galbés, des fesses comme des gouttes parfaites taille de guêpe – la plus cochonne et extravertie du groupe. Elle a eu l’idée du jeu.
Suraya / épouse de Souleymane / 1m60, 49 kg / origine marocaine, 27 ans, cheveux mi-longs bouclés, grosses lèvres gourmandes, seins refaits – et siliconés – peau mate, belles fesses rondes. Elle a vaincu sa timidité et joue à l’extravertie depuis sa chirurgie esthétique. Le jeu lui permet de continuer à faire semblant, et, espère-t-elle, de faire des envieuses avec sa poitrine toute neuve.
Sylvie / épouse de Laurent / 1m62, 47 kg / française, 26 ans, peau blanche, tendance rouquine, cheveux carré mi-long, seins ronds de taille moyenne, beau cul blanc galbé et rondelet. Douce, timide, elle est plutôt coincée mais s’offre au jeu avec la même curiosité que Christine Yen.
Mon partenaire me caresse les fesses lentement, il prend son temps. Je ne sais pas (encore) de quel mec il s’agit. Je me laisse faire, bien décidée à en profiter. Nous sommes toutes allongées sur le ventre, au milieu de la pièce, têtes contre têtes. Les garçons ont trois minutes chacun pour nous masser – le vainqueur nous aura toutes les quatre une minute dans la cuisine – mais je sais déjà pour qui je voterai.
Il a des mains fermes. Il a commencé par enrouler ma robe autour de ma taille, sans hâte, d’abord le haut, puis le bas. Il m’a dégrafé le soutif m’a aidée à le retirer, un bras, puis l’autre. Il a caressé mes seins, puis a fait glisser ma culotte le long de mes petites jambes. Je suis virtuellement nue. Je n’en reviens toujours pas de me retrouver dans cette situation. Heureusement, les bougies sont éteintes.
Les doigts courent sur mon dos, passent le long de mes nichons, reviennent vers mes hanches. Je glisse une main sous moi et me touche discrètement.
Alain veut jouer à ce petit jeu.
Très bien.
Je vais lui montrer, moi.
Il trouve peut-être que je suis moins excitante qu’Olivia, avec son corps de petit mannequin, ou que Suraya avec ses seins et sa bouche d’actrice porno ?
Il va voir.
Les mains de mon partenaire inconnu repassent sur mes fesses, les écartent, les façonnent. Sa bouche m’embrasse le bas du dos, puis le cul, sa langue se fait coquine (oh oui) il s’aplatit sur le sol entre mes jambes qu’il a écartées et la fait courir dans ma moussette. Il rencontre mes doigts. Les lèche, les mordille. Suce encore, se repaît de mon humidité, je le laisse, je lui caresse le menton par-dessous, je soulève un peu le cul pour lui ouvrir le passage, je suis presque à quatre pattes maintenant, il plonge sa langue au fond de moi, son nez est dans mon anus, je n’y prête aucune attention (suce-moi la chatte) je veux juste prendre mon pied.
Il se redresse, me retourne sur le dos, (oui, lèche-moi…) s’allonge sur moi, m’embrasse. Drôle de massage… Ses lèvres sont grosses, sa langue épaisse, il plaque ses mains sur mes seins sensibles et les malaxe.
J’écarte les jambes.
(baise-moi !)
Sa queue est là, il me pénètre déjà, je serre son corps musclé tout contre moi, il respire profondément, et me lime avec douceur, son sexe est long et bon, je le sens vivre en moi, vibrer, battre, je geins, je gémis, sans chuchoter, pour qu’Alain sache que la petite chinoise aux gros nichons baise, qu’elle baise, et qu’elle aime ça.
Il accélère le rythme. Je me détends, le laisse me pénétrer jusqu’à la garde, lui griffe les fesses de mes longs ongles au vernis noir, lui mord l’oreille, sa queue est bonne, elle me remplit, je pars, je me perds, j’ai juste envie de me faire prendre, je me lâche enfin ce soir., je me fais bestiale, sauvage.
Clap de fin.
Maudite musique. Quand Olivia décidera-t-elle de nous donner plus de temps ?
Mon partenaire (Souleymane, probablement, grosse bite, gros muscles, douceur… C’est du Souley tout craché) se retire, il me retourne sur le ventre, me fait une caresse en forme de S sur les fesses, et disparaît. Le suivant me passe déjà une main sur les jambes, la caresse monte le long de mes cuisses, passe sur mes fesses nues, s’y arrête un instant, elle cherche une culotte inexistante, me caresse le dos, les épaules, constate ma nudité totale. Il se place derrière moi, entre mes jambes que je viens d’écarter, me soulève, je me mets à quatre pattes. Je sens son sexe le long de ma fente (oh oui…) il me masturbe avec son gland, je me penche sur mes coudes, et, lorsqu’il est au bord de ma vulve, je pousse en arrière (baise-moi). La bite entre avec douceur, le mec ne bouge pas, c’est moi qui ondule d’avant en arrière, c’est moi qui le prends, c’est moi qui le saute. Il me caresse l’anus avec son pouce, mais n’essaye pas d’en forcer l’entrée (qu’est-ce-qu’ils ont, les mecs, avec nos trous du cul ?), je m’affale un peu plus, il me suit, m’enserre dans ses bras, croise les mains sur mes seins. Je mène toujours la danse, je sens ma moussette s’ouvrir et se contracter au passage de la bite tendue, je mouille, je suis bien, excitée, heureuse de me faire câliner dans le noir.
Clap de fin. La musique cesse.
Les doigts du mec me pincent les tétons, je me mords la lèvre de plaisir, il se relève, trace un carré sur mon dos (Alain ? C’était bon !) et passe à une autre fille.
Je n’ai pas le temps de me rallonger, le prochain est déjà là, il s’est aperçu que je suis bonne à prendre en levrette, il attire ma tête sur le côté et me donne sa pine à sucer. Je gobe le gros gland, le pousse sur mon palais, le libère, puis le lèche comme une grosse glace. Sa main gauche glisse de mon dos à mon cul, je me cambre, ses doigts plongent dans ma fente trempée, molle, étroite. Je le suce avec conviction, il me masturbe avec talent, trois doigts me violent, j’en redemande.
– aaah…ouiiii…aaaah…
Son autre main vient titiller mon périnée, et commence à travailler mon petit trou souple (aaaah oui !) les sensations se mêlent, un doigt me pénètre par derrière, je m’ouvre, c’est bon, je me contracte sur ses phalanges, il entre plus loin, avec douceur, mon ventre me fait des chatouillis bizarres (pas trop loin…!) tous ses doigts sont dans ma chatte, et celui-là, unique, qui tourne et se plante dans mon anus vierge, je suce sa bite avec ardeur, il faut qu’il sache que j’aime ce qu’il me fait…
Clap de fin.
Il appuie sur son doigt qui glisse jusqu’à la paume en moi. Je garde sa queue dans ma bouche en gémissant. Des filles rient autour de moi.
– Y’en a une qui prend son pied !
– C’est pas la seule !
Il retire ses doigts, puis LE doigt. Je m’affale au sol, épuisée. Il me retourne sur le dos et m’embrasse sur la bouche, avant de tracer un ovale sur ma joue. Ovale. Toujours étonnant, toujours intense, toujours bon.
Laurent – il ne reste que lui – me trouve, sur le dos, jambes écartées, pantelante, l’anus en feu.
Je l’attire à moi, il se love au creux de ma fente ouverte, il m’embrasse et me pénètre d’un coup sec, il se glisse en moi jusqu’au pubis, je soulève mes jambes, genoux repliés, il me saute avec énergie, la bouche sur la mienne, une main sur un de mes seins. Je respire plus fort, l’encourage en couinant (oui oui oui oui), il se donne à fond, sa queue est douce en moi, je la sens à peine, la douceur d’une plume. Il se tend, s’arrête, sa pine bat dans ma chatte, il se retient de m’inonder de son sperme, je remue, joueuse, ondule le bassin, caresse sa bite avec mon tendre vagin, il se crispe, je souris, je pourrais le faire venir en moi, mais je l’épargne. Il se détend, m’embrasse vigoureusement, puis recommence à me limer profondément.
Je me sens légère, mon ventre se tord de plaisir et d’excitation, je remue la tête de droite à gauche, je sens le visage de Laurent dans mes cheveux noirs, je l’entoure de mes bras et le serre en le suppliant de me prendre encore et encore.
Clap de fin.
Il ne ralentit pas, il continue de me baiser, il ne s’est pas aperçu que la musique c’était arrêtée, ou s’en contrefiche.
– Attention les yeux !
La première allumette craque, je ne veux pas être surprise comme ça, je chuchote:
– Laurent ! Vite !
Il reprend conscience, se retire, je me relève vite, mais je n’ai pas le temps de me rhabiller avant que les deux bougies ne soient allumées.
Alain me regarde en refermant sa braguette. Je lis… de la surprise à me voir presque nue devant tout le monde. J’ai envie de remonter ma robe sur mes seins, mais je vois qu’Olivia et Suraya sont aussi dénudées que moi, et qu’elles ne font rien pour se cacher. Je me retiens donc, et laisse les mecs me mater sans retenue. Sylvie est échevelée, mais habillée. Ses petits seins pointent à travers le tissu de sa robe blanc-cassé. Elle a vu Laurent se relever à la hâte en même temps que moi et remonter son pantalon dans un mouvement précipité. Elle lui fait un sourire crispé.
– Wouh ! Venez, les filles, on va voter pour le meilleur mec !
On se rapproche, je m’autorise à replacer ma robe, Le contact du soutif serré sur mes nichons me fait frissonner. On se prend toutes par les épaules, Olivia murmure en me regardant:
– Bah alors, Yen, tu as l’air de bien prendre ton pied…
Je souris, un peu gênée. Sylvie se tourne vers moi et me dit:
– Il faudra que je te parle en privé, j’ai une question.
Je frémis à l’idée qu’elle puisse me reprocher d’avoir… cédé…. aux charmes de son mari ce soir. Je réponds un petit ‘Ok’.
Suraya a aussi remonté sa robe, qui tient par un élastique lâche au-dessus de ses seins de poupée.
– Je vote pour l’ovale.
– Moi pour l’ovale aussi c’est le meilleur.
J’ai parlé tout haut. Je suis sûre que les mecs ont entendu. Je pique un fard. Trop d’alcool. Olivia me regarde en coin.
– Ouh la coquine… Pour moi, ce sera… Je ne sais pas…
Sylvie l’interrompt.
– Je prends le ‘carré’. Sans hésiter.
Elle jette un coup d’oeil furtif vers moi. Elle sait qu’Alain est le carré. Olivia hoche la tête.
– Oui, le ‘carré’ pour moi aussi. Deux mecs d’un coup, c’est chouette ! Et puis le ‘carré’ est bon. Il en a une petite mais on peut dire qu’il est… inventif.
Suraya et Sylvie acquiescent. J’écarquille les yeux. Alain, inventif sexuellement ? Qu’est-ce qu’il leur fait ?
– Yen passe en premier, Sylvie en second, Suraya en trois et moi la der, ok ?
On se sépare et Sylvie annonce de sa petite voix timide:
– Les gagnants sont le carré et l’ovale ! Une nana pour deux pendant une minute !
Olivia claque des doigts.
– Le jeu des meilleures mains de filles en attendant son tour pour les autres. Bougies éteintes !
Je suis les deux garçons dans la cuisine.
L’un d’eux me prend par la taille et me mène à la table, où je m’allonge, sur le dos. Il me caresse les seins à travers ma robe, puis sous ma robe. L’autre gars m’écarte les jambes et plonge sa langue dans ma moussette (oh oui) et me suce d’une manière… originale… Je ne sens pas véritablement ce qu’il fait, je sais juste que je suis éperdue de plaisir à chaque passage des lèvres, du nez, de la langue, sur ma vulve, sur mon clitoris.
Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui m’arrive, le sexe de celui qui me presse les nichons tombe sur mon nez, je penche la tête en arrière et avale le gland ainsi offert par Stephen (je le reconnais à son odeur épicée, chaude) tandis que j’encourage Alain à continuer à me sucer aussi bien.
Je compte presque les secondes qui s’égrènent trop vite, la queue blonde vibre sur mes lèvres, je voudrais que Stephen jouisse grâce à mes soins, j’ai la tête qui tourne à l’idée que deux garçons sont là, pour mon plaisir et pour le leur. Alain se relève et frotte sa bite sur mon vagin, je m’ouvre, avide de le sentir en moi, la pénétration est presque immédiate, je mordille le sexe de Stephen en gémissant.
On cogne à la porte, j’ai envie de pleurer de frustration, les gars s’écartent, ils sont déjà prêts à baiser une autre fille, je suis vexée de n’être qu’un objet sexuel comme un autre pour eux.
La fille me frôle, le parfum de Sylvie, son petit rire timide, je suis jalouse, jalouse et frustrée.
J’entre dans le salon, et vais m’asseoir dans le canapé, les larmes aux yeux. Je sais que Laurent et Suleymane sont allongés au milieu de la pièce, et qu’ils se font masturber par Olivia et Suraya, je n ‘ai pas envie de les rejoindre, Alain baise Sylvie, je déteste ce jeu, je ne veux plus y jouer, je ne veux plus les voir, tous et toutes.
Je me rhabille, gagne le couloir, et m’assied près des chaussures, dans le noir.
Le noir.
Grâce à ce subterfuge, Alain trouve une excuse pour ne pas prendre réellement conscience de ce qui se passe ici, il fait semblant de penser que je suis prude et timide, pudique, et que, si lui baise comme un fou, je reste sage et que je me sens coupable des écarts que je peux faire.
Très bien.
Il faut donc que j’agisse en pleine lumière ?
Je n’y suis pas prête.
Ravalant ma frustration, ma jalousie et refusant de m’avouer le plaisir ressenti ces deux soirs, je remets mes escarpins, reprends mon sac-à-main et je sors de l’appartement d’Olivia sans un mot.