Entre Amis,  La Plume de Florean,  Petits Flirts entre Amis

Petits flirts entre Amis – Chapitre 03 – Olivia

Les personnages féminins:
Christine Yen / épouse d’Alain / 1m53, 43 kg / origine sino-japonaise, 26 ans, petite et fine,  cheveux longs noirs et raides, peau dorée, belles lèvres épaisses, seins massifs, bien proportionnés,  étonnants sur son corps fluet. Ingénue et fidèle, mais sexuellement curieuse. Le jeu lui révèle une partie d’elle même qu’elle ne souhaite pas forcément connaître.

Olivia / épouse de Stephen / 1m56, 46 kg / origine arménienne, 27 ans, nez pointu, cheveux noirs, beaux seins bien galbés, des fesses comme des gouttes parfaites taille de guêpe – la plus cochonne et extravertie du groupe. Elle a eu l’idée du jeu.

Suraya / épouse de Souleymane / 1m60, 49 kg / origine marocaine, 27 ans, cheveux mi-longs bouclés, grosses lèvres gourmandes, seins refaits – et siliconés – peau mate, belles fesses rondes. Elle a vaincu sa timidité et joue à l’extravertie depuis sa chirurgie esthétique. Le jeu lui permet de continuer à faire semblant, et, espère-t-elle, de faire des envieuses avec sa poitrine toute neuve.

Sylvie / épouse de Laurent / 1m62, 47 kg / française, 26 ans, peau blanche, tendance rouquine, cheveux carré mi-long, seins ronds de taille moyenne, beau cul blanc galbé et rondelet. Douce, timide, elle est plutôt coincée mais s’offre au jeu avec la même curiosité que Christine Yen.


– Il y en a un qui m’a pénétrée.
Olivia éclate de rire en me versant du thé dans une tasse posée sur la table basse. Elle s’est servi une bière. Je rougis.
– Ma chérie, tu es si naïve. Il y en a deux qui m’ont troussée. Et j’en ai sucé… trois différents, au moins.
Je porte ma tasse à mes lèvres en plissant mes yeux bridés, gênée.
– Oh.
Elle rit à nouveau.
– Et tu sais lequel de ces messieurs a eu le privilège de t’honorer ?
Je secoue la tête.
– Non. Pas Alain, en tout cas.
Elle boit une gorgée de bière au goulot en se redressant dans le canapé.
– Et c’était bon ?
Je hoche imperceptiblement la tête. Sourire timide. Je sais que je suis rouge pivoine.
– Hmm hmm. C’est moi qui lui ai demandé. Tu sais, « la main dans la culotte »…
Elle me caresse la joue.
– Moi aussi. Les deux. Que du bonheur. Je pense que ton mari faisait partie du lot. Il est si poilu !
Je sirote mon thé, l’air de rien, mais j’accuse le coup. Jalouse. Alain l’a sautée !? Impossible ! Olivia perçoit mon trouble.
– Ne fais pas cette tête, ce n’est qu’un jeu sans conséquences, on s’amuse entre copains et copines, c’est tout.
Je ne réponds pas immédiatement. Trois jours se sont écoulés depuis la soirée, Alain et moi n’avons pas reparlé du jeu – mais nous avons fait l’amour plus intensément qu’à l’accoutumée, les deux nuits précédentes.
Je pose ma tasse et regarde Olivia en coin.
– Une fille – au moins – m’a embrassée, dans le noir.
Elle sourit.
– Ah ?
– Elle avait le nez pointu.
Elle rit doucement, cette fois.
– Tu penses que c’est moi ?
Je me fais faussement boudeuse.
– Je ne sais pas.
Elle se rapproche de moi et m’enlace.
– Il faut vérifier ça, alors.
Ses lèvres effleurent les miennes. Ses grands yeux noirs me fixent, interrogateurs. Elle m’embrasse plusieurs fois, sans hâte, j’entrouvre la bouche, elle m’imite, nos langues se frôlent.
Elle chuchote:
– Alors ?
– Je… ne sais pas…
Elle approche son visage, ferme les yeux, nos bouches se collent, s’ouvrent, sa langue se mêle à la mienne, j’admire la longueur de ses cils avant de fermer les yeux à mon tour, ses mains passent sous mon chemisier et dégrafent mon soutif, avant de venir empaumer mes nichons avec une délicatesse toute féminine.
Le baiser s’éternise, long et fusionnel, c’est elle qui m’a embrassée dans le noir, je reconnais son parfum et la saveur de sa langue, le contact de son nez pointu sur ma joue.
(encore)
Ses mains glissent le long de mes hanches, et passent entre mes cuisses, sous ma jupe. Un doigt parcourt le long de ma fente sur ma petite culotte, je brise le baiser enivrant et m’écarte légèrement.
– Non…
J’ai murmuré.
Son majeur appuie sur mon clito (oui) mais elle retire sa main et sourit.
– Alors ?
Je hoche la tête, la respiration haute, en rattachant mon soutif.
– Tu es une coquine, Olivia.
Ma voix est mal assurée. Je ne parviens pas à contrôler les battements de mon coeur.
Elle me prend un sein à travers le chemisier.
– Tu as des lolos magnifiques, Yen, je suis jalouse !
Je parviens à répondre sans que ma voix ne tremble trop.
– C’est toi qui as un corps parfait ! JE suis jalouse ! Tu pourrais être mannequin, si tu étais un peu plus grande !
– Merci. Mais tes seins, sur une asiatique, c’est quelque chose. Tu me les montres ?
– Quoi ?
– Montre-les moi, et je te montre les miens, ok ?
– Je ne…
– Allez, ma chérie, on est que toutes les deux… Ce sera notre petit secret. Laisse-moi faire.
Elle approche ses mains de mon chemisier et le déboutonne lentement. Elle n’a d’yeux que pour ma poitrine. Je suis à la fois flattée et mal-à-l’aise.
Elle ôte mon chemisier et le plie à côté d’elle.
– A toi. Déshabille-moi.
Je secoue la tête, incapable de répondre.
– Très bien. Je le ferai moi-même.
Elle déboutonne son petit haut serré, qui rejoint vite le mien, à côté d’elle. Elle porte un soutif rose-bonbon en dentelles.
– Enlève ton soutien-gorge, ma belle.
Je dégrafe l’attache dans mon dos, et sens le soutif glisser le long de mes bras. Elle le prend et le pose sur les chemisiers. Je cache mes mamelons, mains croisées sur mes nichons.
Olivia rit doucement. Elle enlève son soutif et expose ses seins magnifiques à ma vue. Ses tétons sont presque noirs, ils se dressent, arrogants, au milieu des deux melons dorés et appétissants, extraordinaires de pureté et de perfection.
– Tu… Tu as une belle poitrine, Olivia.
Elle sourit.
– Merci. A toi, maintenant. Tu écartes les mains ?
Elle me saisit les bras avec délicatesse et les éloigne doucement de ma poitrine.
– Laisse-toi faire, ma chérie…
 Son sourire s’élargit, ses yeux brillent en découvrant mes seins nus, et s’arrêtent sur mes mamelons minuscules, et les tétons qui les ornent.
Je ne sais plus où me mettre, je garde les bras le long du corps et me redresse légèrement.
– Ils sont beaux. Et si doux.
Ses mains caressent mes nichons, les soupèsent, jouent avec.
– On a presque envie de…
Elle se penche et m’embrasse les seins, sa langue s’attarde sur mes tétons, qui réagissent à l’attention qui leur est portée. Je respire plus vite, ça va trop loin, une main d’Olivia court sur ma cuisse, cherche ma culotte, ses doigts fouillent sous ma jupe, pressent mon clitoris sensible, je m’offre, juste un instant, les doigts passent sous le tissu, pénètrent l’antre humide, s’enfoncent en moi.
– Olivia… Non…
Sa bouche quitte mes seins, elle pose ses  lèvres sur les miennes et sourit en m’embrassant, deux doigts dansent en moi, je suis trempée,  (oui encore) mais je me reprends, mes mains effleurent son ventre plat, ses seins, puis se posent sur ses joues gentiment.
Je m’écarte un peu, romps le baiser.
– Non. S’il-te-plaît.
Ses doigts m’explorent une dernière fois, et quittent ma chatte en feu (encore encore).
– Tu y viendras, ma belle. Ouh, c’était chaud !
Elle boit une gorgée de bière, je me rhabille hâtivement. Elle m’imite, sans remettre son soutif.
J’ai honte. Je ne sais pas exactement pourquoi. Est-ce pour avoir partagé cette étrange étreinte ? Ou pour l’avoir interrompue ?
Olivia ne semble pas décontenancée du tout. Je l’admire.
– Bon, ma chérie, tu m’aides à rédiger l’invitation à nos prochains petits jeux ?


« Chers invités, pour nos jeux coquins de vendredi soir, ces messieurs devront porter jean et chemisette, ces dames devront avoir une robe courte et moulante. Vous devez choisir pour votre partenaire les sous-vêtements que vous souhaitez lui voir porter. Enfin, nous voterons en début de soirée pour voir si nous évoluons dans le noir, ou si les bougies restent allumées…  Olivia. »

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