L’initiation de Mina – Chapitre 04
(résumé du chap. précédent: Mina a réussi à me soutirer quelques-uns de mes fantasmes, et commence à me les faire vivre. Elle s’est découvert un certain goût pour le sexe accompagné de fessée, s’est rasée la minette, piercée la langue et fait un superbe tatouage que je peux regarder en la sodomisant. Je viens de découvrir que je n’aime pas la voir se faire sauter par un autre homme… Il faudra bien, pourtant.)
Après le restaurant, nous étions bien vite revenus chez moi. Nous nous étions reposés dans le jardin, une sieste repue durant laquelle ma colère d’avoir vu Mina se donner à un autre si facilement n’était pas retombée, et nous prenions le thé dans le salon. J’avais du mal à sourire.
– Allons, me dit-elle, déride-toi. Je l’ai déjà oublié, ce type.
– Mumf.
– J’ai mal agi. J’aurais dû te demander. Punis-moi.
– Tu parles.
– Je ne plaisante pas. Donne-moi une fessée. Et après, je ferai un truc qui te fait plaisir. Ok ?
– Quoi ?
– Je ne sais pas. Tu ne veux pas me prendre en photo ? Dans toutes les positions ? Des gros plans sur ma chatte ? Une photo de ton sexe dans mon cul ? Ça te plairait ?
Je soupirai. Elle avait le don pour me mettre en érection… Je lui souris à contrecur.
– Aaaah, voilà qui est mieux.
Elle se leva et souleva sa robe blanche moulante au-dessus de son cul et vint se mettre en travers de mes genoux, pliée en deux. Son cul blanc – zébré de la fessée crapuleuse du matin – s’offrait à mon regard, laissant apparaître les lèvres rasées de sa minette dans le creux des cuisses.
– Punis-moi. Je suis une méchante garce.
Je lui caressai le cul.
– Punis-moi !
Je lui donnai dix claques très fortes sur chaque fesse, très rapidement. Elle cria des mots incompréhensibles, mêlés dans un cri de douleur et de surprise. Je continuai de la calotter, moins vite, moins fort. Son cul était brûlant. Elle pleurait en geignant:
– Oui, je suis… AIE…! méchante ! … AIE…je le ferai plus ! … AIE…! Arrête ! … AIE…! Arrêêêête ! … AIE…!
Je lui donnai encore quelques tapes moins appuyées, puis lui caressai le cul, pendant qu’elle pleurait à chaudes larmes.
Je la fis glisser sur le parquet, où elle s’affala, la tête entre les bras, sanglotant doucement, inconsolable.
Je l’entourai de mes bras.
– Pardon. Je n’aurais pas dû.
Elle hoqueta en reniflant.
– Si. J’ai été une méchante fille. Méchante méchante. Je le ferai plus.
Elle m’embrassa, passionnément et caressa ma bite à travers mon pantalon. Je m’aperçus que je bandais comme un taureau.
– Tu veux bien me prendre en photo ?
J’allais chercher mon appareil. Elle était accroupie sur le parquet, robe relevée jusqu’à la taille, jambes écartées, chatte bien en vue. Elle tâtait son cul douloureux en sanglotant toujours. Je commençai à la prendre en photo. Elle était ravissante, toute fragile, comme ça, yeux encore tristes, mi-nue. Nouveau cliché.
– Ecarte bien les jambes.
Je m’approchai et fit un gros plan sur son beau sexe ouvert, clitoris appelant la main, lèvres molles, comme légèrement chiffonnées, humides. Je pris une nouvelle photo, magnifique.
– Tu l’aimes, ma chatte ?
– Oui.
Elle mit ses mains sur ses cuisses, remontant en une caresse langoureuse, jusqu’à sa grotte intime. Elle posa un doigt sur son clito, que j’imaginai darder à son contact.
– Moi aussi, je l’aime. Je la masturbe tous les jours. En pensant à toi.
Ses mains firent le chemin inverse, coulant le long de ses jambes jusqu’aux orteils. Elle ne pleurait plus mais avait encore le visage défait. Je lui caressai la joue.
– Je veux te filmer.
Elle hocha la tête, un sourire effleurant ses lèvres. J’allais chercher le caméscope. Quand je revins, elle avait remis sa robe, bien moulée sur son corps, et mit un CD de chansons brésiliennes qu’elle avait pris dans ma bibliothèque.
– Un strip-tease rien que pour toi.
Je commençai à filmer, la regardant danser langoureusement sur la musique, s’effeuillant en mesure.
– Alors comme ça tu te branles en pensant à moi ?
Elle ondula les fesses, me tournant le dos, et remonta peu à peu sa robe. Son cul rond m’apparut, lentement, nu, marqué de mes doigts qui se détachaient nettement, rouges sur les blanches fesses.
– Mmm mmm.
– Raconte-moi.
Elle se tourna face à la caméra, dansant lascivement, se cambrant en avant, cuisses écartées pour que je filme bien son abricot délicat, scintillant de jus intime.
– Je fantasme sur toi depuis ma première masturbation, à treize ans. Je fais quasiment toujours le même rituel. Je me mets nue, je me glisse dans mon lit frais, je me caresse les seins…
Elle joignit le geste à la parole. Elle engloba ses seins de ses mains, par-dessus sa robe blanche, et entama un mouvement de caresse sensuel, en harmonie avec la musique, s’appliquant à faire durcir ses tétons à travers le tissu. Elle mouilla ses doigts de salive, et les frotta sur ses mamelons, plusieurs fois, afin que je puisse les voir par transparence. Ma queue me faisait mal dans mon pantalon.
– …pour bien faire pointer mes petits tétons. J’imagine que tu es là, nu, à me regarder… que je te déshabille… que tu bandes, que tu saisis…
Elle s’approcha de moi et déboutonna mon pantalon, me débarrassant de mon slip au passage. Je filmai ma bite, tendue vers elle, se détachant bien sur le blanc de sa robe. Elle recula de deux pas dansants, cul nul, sexe trempé, face caméra.
– …ta grosse bite entre tes mains, et que tu m’admires en secret, ne désirant qu’une chose, me rejoindre sous mes draps pour me la mettre dans la chatte. J’écarte alors mes jambes et glisse mes doigts sur mon minou, j’effleure mon clitoris, imaginant que c’est ta langue qui vient le titiller…
Elle entama sa masturbation, debout, ondulant sur ses doigts fins, tandis que je zoomais sur sa chatte glabre et que je me tenais la pine avec ma main libre.
– …et lorsque je sens que je ne peux plus tenir, j’enfonce mes doigts dans mon vagin en continuant de me branler le clitoris. Ah… Là… mmm… je… ah… te vois entrer en moi… ah… d’un coup… ah hiiin… tu me baises avec douceur… oh… en me disant que tu… hiiin… m’aimes…
Elle était penchée sur sa chatte, ses doigts tournoyants sur son clito, pénétrant ardemment ses petites lèvres fragiles, elle tremblait, tendue à se rompre. Ses seins dressés dardaient sous le tissu blanc mouillé de sa robe, ses mamelons bruns clairement visibles. Je m’astiquai la queue, hypnotisé.
– … je me… ah… suis branlée… partout… en pensant à toi… mmm… depuis toujours… oooh… hiin… mmm…
Il fallait que je la saute, sinon j’allais me venir dessus.
– … partout… partout…
– La prochaine fois, amène un gode. Un gros. Va l’acheter dans un sex-shop. J’entrerai avant toi. Je te regarderai. Tu allumeras les mecs présents, mais tu ne les baiseras pas.
Elle accéléra la cadence sur sa moule.
– …mmm… d’accord… ah…
– Tu t’habilleras en lingerie sexy. Bas résille. Soutif transparent. String. Mini-jupe.
– …aaah… oui… aaah…
J’étais heureux de filmer ça. Elle venait de s’agenouiller, chatte en avant, épaules rejetées en arrière, et se doigtait en rythme avec la musique, geignant et gémissant, complètement partie. Je pressai ma queue, il fallait vraiment que je la baise et vite !
– Et tu vas me trouver une autre nana, avec qui tu baiseras devant moi.
– …aaah… hiiin… ouiii.
J’amenais ma bite près de sa bouche.
– Suce-moi pendant que je te filme. Je regarderai le film en me branlant les jours où tu ne viens pas.
Elle aspira ma pine sans relâcher la pression sur sa chatte, gémissant toujours. Elle m’avala d’un coup, jusqu’à appuyer ses lèvres sur mon pubis rasé. Elle me conserva au fond de sa gorge en gémissant très fort, puis remonta lentement le long de mon membre, jouant de son piercing jusque sous mon gland, ouvrant grand la bouche pour que je filme bien la perle argentée sur sa langue. Elle happa à nouveau mon sexe, en serrant très fort les lèvres, pinçant mon gland avec ses dents. La sensation n’était pas désagréable. Je filmai sa main sur sa chatte et revint très vite à la langue de Mina, qui léchait minutieusement chaque pli de mon gland rouge, gonflé de plaisir. Elle laissa sa chatte et entreprit de me branler à deux mains, son piercing collé sous le méat, la zone la plus sensible de mon sexe. Ses mains allaient et venaient dans un mouvement brusque, presque brutal, et je sentis mon ventre se tordre de plaisir. Elle fixa ses yeux droits dans l’objectif de la caméra, en haletant.
– Tu aimes, mon salaud, hein ? Tu l’aimes, le sexe, avec ta petite salope, hein ?
– Ah… oui ! Ah !
Elle accentua la pression sur mon sexe turgescent et m’astiqua plus fort encore, donnant des coups de langue féroces.
– Tu veux me baiser, hein, dis-le que tu veux me baiser !
– Ah ! Je veux… te… ah… baiser !
Elle sourit et me reprit en bouche avant de remonter sur mon gland, le libérant dans un bruit de succion délicieux.
– Tu veux ma chatte ? Tu l’aimes ma chatte, hein, mon salaud, tu la veux pour toi tout seul ma belle petite chatte toute mouillée, hein, dis-le !
Elle s’activa sur ma pine, en pressant mes couilles dans ses mains.
– Ah… Je veux ta chatte, oh, ouiii !
Elle ôta le haut de sa robe d’une main, en me branlant de l’autre, son pouce écrabouillant littéralement le dessous de mon gland. Ses seins pointaient vers le ciel, ses tétons dressés. Je zoomai.
– Mmm mon beau salaud, non, je sais ce que ta grosse bite aime. Elle aime m’enculer pendant que je me branle comme une ado, hein, ça elle aime ! Mettre ta grosse queue gonflée dans ma rondelle quand je me frotte le clito avec mes deux mains, ça te fait bander, hein !
Je hochai la tête, prêt à éjaculer sur sa langue.
Elle lâcha ma bite et se mit à quatre pattes, cambrée, cul en l’air, tournant la tête vers moi d’un air coquin, une main explorant déjà sa chatte.
– Enlève-moi ma robe, mon salaud, et encule-moi bien profond.
Je gémis de désir et de frustration de devoir attendre encore. J’avais la queue en feu. La caméra toujours fixée sur son corps magnifique, je fis glisser sa robe sur son cul, puis le long de ses cuisses, et l’enlevai complètement par ses pieds nus. Je zoomai sur son tatouage codé à la naissance de ses fesses, « spanking sodomy » au-dessus duquel trônait son visage innocent et mutin, dessiné façon manga. Je plaçai ma bite sur sa rondelle élastique, fis un gros plan sur ma bite qui écartait les deux lobes ronds et blancs, et glissai mon gland dans son anus, avec soulagement, m’arrêtant à mi-course pour éviter de jouir immédiatement. Elle geignit de plaisir et m’encouragea, tête plaquée au sol, cul ondulant, dansant toujours sur la musique entêtante. Je filmai ma pine gonflée qui la limait, petit à petit, la pénétrant chaque fois un peu plus loin, mais pas trop. Elle se masturbait toujours d’une main, tantôt vrillant son clitoris, tantôt se doigtant profondément, parfois me serrant les couilles et se frottant la chatte avec.
Je la sodomisai lentement, pour le bénéfice de la caméra, me délectant à l’avance des branlettes que je me ferais en visionnant le film quand l’envie d’elle me prendrait. J’alternai le plan large sur sa croupe cambrée, dodue, transpercée de mon sexe dur, les zooms sur mon gland qui sortait totalement de son anus tout ouvert et qui y replongeait immédiatement jusqu’à la garde, sur ces deux fesses pures qui enserraient ma bite, insatiables.
Je retirai ma queue et retournai Mina, l’allongeant sur le sol, jambes écartées. Elle se branlait avec acharnement, sans plus faire attention à moi ni à ses fesses qui frottaient douloureusement sue le parquet. Je la filmai ainsi quelques instants, puis, me faufilant entre ses cuisses, appuyai ma bite sur sa pastille, qui céda aussitôt, l’enculant par devant, filmant ses doigts dans sa chatte, et son plaisir grandissant. Elle se mit à crier, j’accentuai mes coups de reins, mes coups de boutoir dans son anus tendre, et je me laissai emporter par la jouissance, la tringlant jusqu’à ce que mon sperme jaillisse, puissant, aux tréfonds de ses intestins. Elle m’attrapa la tête et jouit à son tour, tremblante et tendue, couinant comme une souris. Je posai la caméra sur le parquet, à hauteur de nos têtes, et filmai en plan large notre baiser fougueux, ma queue débandant doucement dans son petit trou gourmand.
Je la regardai amoureusement et lui susurrai à l’oreille:
– Je t’aime, ma belle petite salope.
Elle serra ses fesses sur ma bite en gémissant un merci à peine audible.
Nous restâmes longtemps lovés l’un dans l’autre, sous l’il rouge de la caméra.