L'initiation de Mina,  La Plume de Florean

L’initiation de Mina – Chapitre 03

(Résumé du chap. précédent: Mina a réussi à me soutirer quelques-uns de mes fantasmes, et commencer à me les faire vivre. Après une séance de sexe mémorable, elle disparaît quelques jours pour me revenir, langue piercée, chatte rasée. Elle m’emmène dans la douche, me rase le sexe et me fait découvrir…)

 

Elle tourna la tête et me sourit.

– Je te plais ?

Je restai sans voix. Elle s’était fait un piercing à la langue pour mieux me sucer, elle s’était rasée la chatte pour que je la baise avec plus d’excitation, et maintenant ça !

Je me mis à genoux pour admirer le travail, lui mordillant le cul au passage.

Sur le haut de ses fesses rondes et blanches, juste à la jonction du dos et du cul, trônait un superbe tatouage bleu foncé, des symboles gothiques et tribaux entremêlés. Juste au dessus, à la naissance de la raie, son visage était dessiné, parfait, l’air mutin aux grands yeux innocents superbement réalisés, façon manga. Le résultat était époustouflant. Elle semblait me regarder et me dire: Viens, je suis ta petite salope, vierge et innocente.

– C’est magnifique, dis-je en lui embrassant les deux lobes rebondis. Merci.

Elle se cambra, offrant son cul à mes baisers.

– Comme ça, tu pourras m’enculer avec encore plus de plaisir et d’énergie… Tu as déchiffré le code ?

– Le code ?

– Sur mon tatouage. Les symboles sont des lettres, ne lis que les symboles tribaux, puis les gothiques, allez, tu vas aimer !

Je déchiffrai les symboles, lentement.

– S.P.A… Spank… Spanking… So…Sodo…Sodomy ! Spanking Sodomy ? La sodomie en fessée ? Waw.

Elle rit.

– Je ne donnerai le code à personne, même si un autre homme me prend par le cul, au cours de nos expériences. Ce sera notre secret à nous.

L’idée qu’elle se fasse sodomiser par un autre ne me plaisait pas, mais je ne dis rien.

Je me relevai et l’embrassai passionnément. Cette fois, elle me donna toute sa langue, je sentis le piercing tournoyer dans ma bouche. Ma queue me faisait mal tellement je bandais fort. Je lui pris la main, la sortit de la douche, et la fit s’asseoir sur la baignoire, jambes écartées. Je l’embrassai encore, en frottant ma bite sur sa chatte rasée, ouverte, trempée de désir.

Je lui embrassai le cou, les épaules, les seins, mêlant mes mains à mes baisers, puis enfouis ma tête dans son sexe impatient. Elle gémit, me pressant le haut du crâne pour que ma langue aille plus loin. Mon nez lui titillait le clito, ma langue fouillait son vagin, je prenais de grandes lampées de son jus salé, plantant mon pouce dans sa vulve pendant que je la léchais sans discontinuer, avec une joie sauvage. Ses lèvres rasées avaient la douceur de la peau de pêche, j’y frottais ma barbe de trois jours, irritant la chatte, qui rougissait à chaque passage de mes lèvres. J’enlevai mon pouce et plantai trois doigts dans la moule glabre, y ajoutant bien vite un quatrième, qui disparurent dans l’antre affamé, tandis que Mina, tremblante, se mettait à gémir de plus en plus fort,  ma bouche aspirant le clitoris délicieux, le capturant entre mes lèvres, le triturant à coups de langue répétés.

Elle se releva d’un coup, repoussant ma tête avec brutalité, et se jeta sur le carrelage, cul en l’air, écartant sa chatte avec ses doigts.

 – BAISE-MOI ! s’écria-t-elle. FESSE-MOI !

J’adorais ça ! Je lui donnais deux bonnes claques appuyées sur le cul, elle cria les deux fois et gémit de désir. Je me plaçai derrière elle, comptant la sodomiser, mais elle attrapa ma bite et se transperça la chatte avec, entamant un mouvement de va-et-vient, m’utilisant comme un gode amélioré, ou comme une statue à la verge drue sur laquelle elle s’empalait avec bonheur. Elle était là, à quatre pattes, à aller et venir sur ma bite, je n’avais rien à faire, sinon lui donner des calottes sur les fesses qui la faisaient crier de plus en plus fort, et accélérer le rythme sur ma pine prête à craquer d’excitation. Mina pencha la tête en avant et se libéra une main, qu’elle utilisa pour se masturber frénétiquement en couinant des « oui oui oui » incessants. Je donnai des grands coups de queue dans sa chatte en lui tenant les hanches, et en continuant de la fesser sans retenue. Son cul blanc et rond brillait des marques rouges de mes doigts, sous son tatouage hypnotisant.

– Encore ! Fesse-moi plus fort ! Encore ! Oui ! Oui ! Oui !

J’obéis, mes tapes devenant plus soutenues pendant qu’elle se branlait comme une damnée et que je la tringlais férocement, mes genoux douloureux sur le carrelage froid.

– PRENDS-MOI LE CUL, VITE !

Je sortis ma queue de sa chatte et l’enculai d’un coup sec. L’anus s’ouvrit sans problème, englobant la totalité de ma bite en une seconde. Mina hurla de douleur et de jouissance.

– Ah ! Ah ! Je viens ! Je VIEEEEENS !

Elle s’acharnait toujours sur sa moule en tremblant de tout son corps. Je m’arrêtai au fond de son cul, ses belles fesses touchant mon pubis rasé de frais, et la laissai jouir en se masturbant et en se remuant sur ma queue gonflée à bloc, prête à exploser. Je n’en pouvais plus. Je fixai le tatouage et les grands yeux innocents du visage gravé là, j’admirai l’anus qui s’écartait au passage de ma bite, et soudain je me vidai en elle, en courtes saccades incontrôlables, enfonçant ma bite jusqu’à la garde dans un accès de joie et de plaisir que j’avais rarement ressentis. Je sortis de son petit trou et finis d’éjaculer sur son tatouage, de grands jets qui la vrillèrent de sperme jusqu’au milieu du dos. J’appuyai mon gland sur ses fesses rondes et tirai les dernières gouttes de mon méat, soufflant et râlant, satisfait, heureux.

Je m’allongeai à côté d’elle sur le carrelage et l’embrassai avec passion. Elle avait des larmes dans les yeux, un sourire tendre aux lèvres.

– Tu m’as fait mal. Plus mal que la dernière fois.

– Tu as aimé ?

– Mmm Mmm.

Elle m’embrassa à nouveau, en chuchotant:

– Oui.

Elle me fit m’étendre sur le carrelage et se mît à genoux en grimaçant, touchant doucement ses fesses rouges. Elle m’embrassa le torse, et vint me lécher le pubis, qu’elle venait de raser, ma bite molle et souillée, mes couilles, semblant trouver les nouvelles sensations à son goût.

Elle me jeta un regard de ses grands yeux coquins.

– Je serai encore absente quelques jours, tu ne t’inquiète pas, ok ?

– Ok.

– Mais je reste avec toi aujourd’hui, je veux voir si ta bonne bite peut me donner encore un peu de plaisir après un bon bain !

Le bain se passa entre savonnage mutuel, baisers répétés et caresses intimes. Nous partagions une certaine félicité, comme si le monde avait cessé d’exister autour de nous. Nous allâmes déjeuner au restaurant après le bain – Mina, dont la robe était trempée, en avait mis une autre qu’elle avait apportée dans sa voiture, ayant bien prémédité son coup. Elle était ravissante, dans cette petite robe blanche très moulante, qui faisait ressortir ses beaux yeux et ses cheveux sombres. Elle n’avait pas mis de soutif ni de culotte, et cela se voyait, à en croire le nombre de mecs qui se retournèrent sur son passage, lui reluquant le cul, sur le chemin du restau. Elle s’en amusa, et se pinça les tétons discrètement pour bien les faire pointer sous sa robe.

– Ça te plaît que les autres hommes me regardent ?

– Pas trop, non.

Elle parut étonnée.

– Pourtant, dans tes fantasmes, tu veux baiser ta petite salope avec d’autres hommes, non ? Ça ne te plairait pas que je me fasse sauter pour toi, pendant que tu es à côté ?

L’idée me mettait hors de moi, mais je ne voyais pas comment le lui dire.

– Je ne sais pas.

– On peut essayer tout de suite si tu veux. Je suis sûre que je peux me choper un mec au restau. Laisse faire ta bonne petite salope à toi.

– Mina…

Mais nous étions arrivés. Elle entra en relevant le bas de sa robe jusqu’à sa chatte, en me faisant un clin d’œil. Le restau était à moitié plein. Elle s’assit à une table, face à deux couples qui déjeunaient ensemble.

Le garçon vint prendre notre commande, Mina prenant des poses aguicheuses et écartant les jambes plus que de raison. De ma place, je voyais sa chatte glabre s’écarter sous sa robe relevée. Je ne savais plus où me mettre. Le garçon parti, elle s’affaira à allumer l’un des deux hommes du couple, qui finit par la remarquer et lui sourire. Elle glissa une main sous sa robe et s’enfonça un doigt dans le vagin, en le regardant ostensiblement. J’essayai de faire la conversation à Mina, qui me chuchotait:

– Je lui plais, ça se voit. Il va craquer, ne t’inquiète pas.

Le gars hochait la tête en souriant. Il lui fit un clin d’œil et se leva. Passa devant nous. Et disparut dans les toilettes.

Mina se leva, rajusta sa robe et le suivit, me prenant par la main. Elle entra la première, laissant la porte légèrement entrouverte. Je vis que le gars l’attendait. Ils entrèrent dans un des toilettes. Je me glissai sans bruit dans celui d’à côté et grimpai sur la cuvette. Je jetai un œil.

– J’ai envie de baiser… gémit Mina tout bas. Mon mec est d’accord. Tu as un bel engin qui va avec ce beau corps musclé ?

– Suce-moi un peu et tu verras comme l’engin va bien te remplir.

Elle déboutonna le pantalon du mec et en sortit une bite généreuse qu’elle engloutit à moitié. Elle suçait avec énergie, me jetant un regard complice parfois, me montrant son piercing sur la langue à l’occasion. Je vivais un cauchemar, je mourais de jalousie, mais je savais qu’elle faisait ça pour moi.

– Montre-moi tes seins.

Mina se releva et fit glisser sa robe moulante jusqu’à sa taille. Ses petits seins ronds étaient magnifiques, j’enrageais qu’ils soient touchés par un autre que moi. Malgré moi, je sentis que je bandais, et sortis ma bite de mon pantalon, me branlant en la regardant se faire sucer les seins par l’inconnu, pendant qu’elle l’astiquait, tête en arrière, ses yeux souriants fixés sur moi. Elle haletait exagérément.

– Tu es bonne, petite. Tourne-toi que je te prenne en levrette.

– Non, baise-moi debout !

Mina écarta les jambes, remontant sa robe, offrant sa chatte à la queue du mec qui la pénétra sans douceur, en la soulevant contre la porte. Il lui avait attrapé les jambes et l’avait soulevée du sol, toute écartelée, creux des cuisses de ma belle dans le creux de ses coudes. La petite chatte tendre était étirée jusqu’à s’en déchirer, et à la merci de la bite qui la bourrait. Mina se pressait les seins en me regardant toujours, l’air mutin, le gars la tirait sans ménagement, pendant que je me masturbais piteusement en reluquant mon amante se donner à un autre, la rage au cœur.

Le gars reposa Mina, et sortit sa bite de sa moule en se branlant frénétiquement.

– Ah ! Ta bouche, vite !

Mina s’agenouilla comme elle pût dans l’espace exigu et récolta le sperme de l’homme sur sa langue, avant de l’avaler dans un sourire. Le gars l’embrassa sur la bouche.

– Merci, ma petite pute, c’était très bien.

Il boutonna son pantalon et sortit de la cabine. Mina le suivit, nichons et fesses à l’air, et entra dans la mienne. Elle se serra contre moi pour fermer la porte. Son parfum m’enivrait.

– Alors, ça t’a plu ?

J’étais là, debout sur les chiottes, la queue tendue dans la main… Je n’allais pas lui dire que j’avais haï la voir se faire baiser par un autre…

– Euh… Tu es très belle.

C’était vrai. Avec sa robe blanche autour de sa taille fine, son cul en coeur, sa moule nue, ses seins arrogants pointés vers le ciel, elle était magnifique. Elle se colla à la porte des toilettes et prit ma queue dans sa main.

– Viens sur ma langue, je veux te boire tout entier.

Je n’avais pas le cœur à ça. Je descendis de la cuvette des chiottes.

– Non, viens, on s’en va.

Elle me fixa comme si je l’avais giflée, l’air blessé.

– Oh, ça ne t’a pas plu, c’est ça ? Je n’ai pas été assez soumise ? Tu aurais aimé que je sois plus chienne encore ?

Je déglutis. Elle continuait de me tenir la queue, l’air implorant.

– Ce n’est pas ça… C’est que…

Comment lui dire ? Elle m’interrompit.

– Tu voulais qu’il me fesse et me sodomise aussi, c’est ça ? Je t’ai déçu ! Tu veux que j’aille chercher un autre mec tout de suite ? Je le laisserai me prendre comme une brute, si c’est ce qui te plaît, je ne veux pas que tu sois triste, je voulais juste garder mon cul pour toi uniquement, pas pour un autre. Les autres mecs, je m’en fous, c’est toi qui me rend folle, c’est toi que je veux.

Je la serrai dans mes bras. Cette déclaration atténua un peu ma colère.

– Non, Mina, c’est juste que je n’étais pas prêt à te voir te faire baiser par un autre type. La prochaine fois, il faudra que l’on prépare ça ensemble.

– Oh. Je suis désolée. Je peux te sucer pour me faire pardonner ? Tu veux me punir ? Une vraie fessée, sur tes genoux ?

Je souris d’un air coquin.

– On verra ça à la maison. Suce-moi.

Je m’assis sur la cuvette des toilettes. Elle me prit dans sa bouche, très doucement, et m’avala, centimètre par centimètre, sans hâte. Elle me garda au fond de sa gorge en tournant sa langue piercée sous ma queue, et me glissa hors de sa bouche tout aussi lentement. Puis elle recommença, au même rythme, langue délicieuse s’enroulant autour de ma bite en un baiser royal, puis se déroulant, m’emmenant au Paradis.  Elle accéléra les coups de langue, m’aspirant, me recrachant, me branlant activement, léchant mon gland les yeux fermés, cul contre la porte des toilettes. Je la relevai en l’embrassant et lui dit:

– Assieds-toi sur ma bite. Je veux t’enculer en te regardant dans les yeux.

Elle sourit comme si je lui avais fait le plus merveilleux des cadeaux, écarta les jambes, et me guida en elle, tout en m’embrassant. Son anus s’ouvrit de lui-même, m’engloutissant en trois coups de cul ondulants. Nous gémîmes ensemble, je voyais sa chatte ouverte juste au-dessus de mon ventre, elle se masturbait en s’empalant sur ma pine sensible. Elle me prit la tête entre ses bras et se frotta contre mon cou, en murmurant des encouragements à peine audibles. J’enfonçai ma bite dans ses entrailles, et donnai des coups de fesses pour la transpercer, y mettant mon amour naissant et ma colère de l’avoir vue se donner au premier venu. Ses seins se soulevaient en rythme, sa respiration devenait très courte, et je sentais que j’allais jouir. Je la soulevai pour m’extirper de son anus et, me relevant au niveau de son visage, je l’aspergeai de sperme, sur le nez, les yeux, les lèvres et le menton. Elle me força à entrer dans sa bouche et me fit glisser dans sa gorge d’un seul coup, où je finis de me vider en saccades brûlantes. Elle me suça jusqu’à la dernière goutte, puis racla le sperme sur son visage et le but en souriant d’aise.

Elle m’embrassa en murmurant:

– Pardon pour l’autre type, je pensais te faire plaisir.

– Ce n’est rien, je te regarderai te faire sauter par d’autres gars et ou par d’autres nanas, il faut juste que je m’y prépare.

Elle me serra dans ses bras et dit, d’une voix guillerette :

– On va manger ?

Elle remit sa robe et nous retournâmes à notre place. Le mec qui venait de se faire Mina ne nous jeta pas un regard. Mina me sourit et murmura :

– Je vais te venger…

Elle alla à la table du gars, se pencha vers lui et l’embrassa sur la bouche avant de dire :

– Tu n’aurais pas gardé ma culotte après m’avoir baisée ?

Le gars regarda sa femme, horrifié, balbutiant des paroles incohérentes.

Mina lui fit un clin d’œil et haussa les épaules.

– Ce n’est rien, garde-la. Tu as mon numéro, de toute façon.

Et elle revint vers notre table en roulant du cul. L’épouse trompée donna une grande claque au type confus, et sortit du restau, furieuse. Le gars bredouilla un mot d’excuse à ses amis et la suivit en courant.

Mina m’embrassa légèrement.

– Je ne donne mon cul à aucun mec sans que tu le veuilles. Je ne me fais baiser que lorsque tu me l’ordonnes. Je suis amoureuse de toi et tu peux me demander tout ce que tu désires pour te satisfaire sexuellement. Je veux être parfaite pour que tu restes avec moi. Ta parfaite petite salope. Ok ?

Je hochai la tête et lui rendis son baiser.

– Ok. Ma parfaite petite salope. Du moment où tu en tires du plaisir, je suis d’accord.

Je crois que je tombais amoureux aussi…

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