L’initiation de Mina – Chapitre 02
Mina n’en démordit pas de la journée.
Elle ne m’avait pas lâché depuis le matin, insistant pour que j’accepte de lui révéler quelques-unes de mes préférences en matière de sexe.
– Ce n’est pas compliqué, me dit-elle. Je veux vivre tous tes fantasmes avec toi, et rien que toi, depuis que je suis en âge de tirer du plaisir de mon minou. Pour ça, il faut bien que tu me les dises ! Quelle est la femme que tu rêves de baiser ? Comment est-elle, dans tes rêves ? Qu’est-ce que tu aimerais avoir, chez ton amante ? Allez, lance-toi !
C’était le soir, nous étions au lit, nus, elle me tenait le sexe entre ses doigts, me branlant doucement – je ne bandais pas, je n’étais pas une machine de guerre, et les deux éjaculations du matin m’avaient plutôt vidé…
– C’est difficile à dire comme ça…
– Alleeeez, lance-toi !
– Très bien. J’aime les sexes rasés complètement. J’aimerais bien me faire… euh… sucer… par une fille avec un piercing sur la langue. Et faire l’amour à une nana qui a un tatouage à la naissance des fesses, la sodomiser en regardant son tatouage sous mes mains.
Je commençais à bander. Elle le remarqua, et pressa ma bite un peu plus fort en demandant:
– Rien d’autre ? Pas de piercing sur les tétons ? Sur le clitoris ?
Je me demandais si elle était prête à se faire percer le clito pour moi… Ma queue se réveillait frénétiquement.
– Non, ce n’est pas trop mon trip. Le piercing sur la langue, c’est plus pour la sensation que ça doit procurer, et pour le fait que la nana qui se fait un piercing là doit aimer les fellations…
– Et sinon, est-ce que tu fantasmes sur des rapports sexuels avec plusieurs partenaires ?
Elle me pressait la bite en me masturbant plus rapidement maintenant. Allongée à côté de moi, elle écarta les jambes et se caressa avec son autre main, au même rythme.
– Oui… Tous les hommes rêvent de baiser plusieurs femmes à la fois, se faire sucer par deux ou trois nanas, en aligner quatre ou cinq à genoux et les sodomiser tour à tour, avoir un mini harem à toi qui te réveille le matin en te suçant la queue, en te présentant leur cul ouvert, attendant que tu les encules comme une bête.
– Oh. J’imagine que la plupart des filles ont aussi ce fantasme inversé… Bien que le côté romantique soit plus prononcé.
– Justement ! De temps à autres, le côté romantique, ça nous gonfle ! Je rêve d’une nana qui me parle un peu crûment, avec des « bites », des « couilles », des « chattes », des « encule-moi » et « baise-moi », tu vois… Ça excite mon côté voyeur, mon côté porno.
– Et le sado-maso ? Les fessées ? Tu aimes en donner ?
– je ne sais pas, je n’ai jamais essayé. Si la fille aime, pourquoi pas…
Mina haletait en s’introduisant les doigts dans sa chatte ouverte. Je me soulevai pour mieux voir les lèvres s’écarter sous le majeur et l’index trempés, et entamai une ronde avec deux de mes doigts sur son clitoris.
– Je vois. Tu parles beaucoup de sodomie…oh… Entrer dans le cul… aah… est si différent que ça que …. oh… d’entrer dans une chatte ?
– Peut-être pas tant que ça, c’est plus étroit, mais c’est surtout dans la tête que ça explose de partout quand une fille t’offre son petit trou… Et j’adore qu’une fille se touche pendant que je la saute, ce qui est souvent le cas lors d’une sodomie. Ça démultiplie mon plaisir, c’est plus intense.
Elle lâcha ma bite et se masturba à deux mains. J’embrassai ses petits seins ronds en me caressant très lentement.
– Et tu ne… mmm… voudrais pas te faire un… oh… mec ?
– Non, ça ne m’attire pas. Mais baiser une fille avec plusieurs autres mecs, ça serait cool, je pense.
Elle se retourna et vint m’embrasser longuement. Puis elle descendit le long de mon corps et me titilla le gland avec sa langue, tout en continuant à se branler, une main sous elle.
– C’est tout ? Et deux filles qui… mmm… font l’amour devant toi ? Qui se baisent, qui se branlent, qui se touche pour toi ?
– S’il y en a une troisième qui s’occupe de moi, ce serait cool, oui. Et baiser une inconnue, aussi, dans un endroit où l’on pourrait nous surprendre, ça me ferait bien bander.
Elle me suçait ardemment, en hochant la tête, m’avalant jusqu’au ventre, jusqu’aux poils, et ouvrant la bouche pour me lécher les couilles avec sa langue, avant de libérer ma queue dans un grand jet de salive. Elle m’avala à nouveau, en ondulant la tête de droite à gauche, jusqu’à la garde. Je lui maintins l’arrière de la tête et donnait des coups de reins, enfonçant ma bite, baisant sa gorge. Elle hoqueta, me libéra en soufflant, cracha la salive sur ma queue en murmurant un « encore » sauvage, et me reprit en bouche, violemment. Je lui saisis la nuque plus fort et forçait l’entrée de sa trachée, férocement. Nouveau hoquet, je la laissai me recracher, respirer, sourire en haletant, et m’avaler encore et encore. Elle agitait ses doigts sur sa chatte avec frénésie, hurlant presque quand je lui enfonçais ma queue au fond de la gorge et la forçais à la garder le plus longtemps possible, mais y revenant à chaque fois, plus fort, plus vite, plus loin en elle.
Elle me libéra en déglutissant, un flot de salive dégoulinant le long de sa belle bouche rose. Elle me montra sa chatte, et mit deux doigts dans son cul, en serrant ma bite entre ses doigts comme si elle voulait l’arracher.
– Est-ce que tu veux encore m’enculer ?
– J’aime que tu parles comme ça.
Je me penchai pour l’embrasser, elle me mordit les lèvres. Le baiser s’éternisa, elle continuait à se fourrer les doigts dans l’anus, de plus en plus vite, en écrasant sa chatte avec sa paume au passage.
Nos lèvres se séparèrent, je la relevai sur ses genoux, passai derrière elle, et la fit s’allonger sur le ventre, cul en l’air. Je lui suçai le petit trou, bavant dessus à grand renfort de salive, puis je frottai ma bite sur sa minette mouillée à souhait, pour bien l’humecter.
Mina me regarda en coin.
– Encule-moi d’un seul coup, je veux te sentir passer. Et donne-moi une fessée en même temps.
– Tu aimes ça ?
– Je ne sais pas, je veux tout essayer, comme toi ! Viens !
Elle glissa une main sous sa chatte et se branla encore, attendant que je lui enfonce mon dard dans son petit trou bien ouvert.
J’appuyai ma bite sur la petite pastille tendre, et la pénétrai d’un coup, en donnant un coup de reins et en tirant Mina par les hanches. Elle cria, un cri de douleur, aigu. Ma queue s’était enfoncée aux trois-quarts. J’entamai un mouvement de recul, craignant d’avoir blessé la petite salope, mais elle donna un grand coup de cul en arrière, pour que le reste de mon sexe la pénètre.
– Ah ! Vas-y ! Fesse-moi !
Je lui attrapai le cul et le malaxai un instant puis donnait une claque timide sur une fesse.
– Encore ! Plus fort !
Je frappai plus fort, et la sodomisai, lui donnant une bonne claque sur chaque fesse après chaque va-et-vient. Elle se masturbait en criant, en riant, en sanglotant parfois. Je lui attrapai les hanches et la baisai au plus profond de son anus, la caressant et la fessant tour à tour, au rythme de ses pleurs ou de ses rires, au rythme de ses coups de reins, de ses encouragements ou de ses insultes.
– Viens, salaud, déchire-moi le cul ! Fesse-moi encore ! Plus loin, encule-moi plus loin !
Elle hurlait presque.
Je sentis l’excitation atteindre son paroxysme, je me couchai sur elle, complètement allongée sous moi, et je jouis en longues saccades dans ses intestins, pendant qu’elle me chopait les couilles sous elle et me les pressait douloureusement en serrant les fesses, rendant ma bite prisonnière de ses deux lobes blancs.
Nous restâmes longtemps ainsi, moi sur elle, bite dégonflant rapidement dans son cul, perdue au milieu de mon sperme, elle sous moi, pantelante, visage souriant couvert de larmes.
Je ne me rappelle pas m’être endormi, mais, le lendemain matin, elle était partie.
Il était délicat pour moi de l’appeler directement, elle. Elle vivait chez ses parents, que je connaissais bien, et ce depuis bien avant la naissance de Mina, et je n’avais jamais appelé à l’improviste en voulant lui parler à elle en particulier… Ça paraîtrait louche.
Je rongeai donc mon frein en me rappelant avec effroi (et excitation) tout ce qui s’était passé la veiile. Je l’avais sodomisée ! Et fessée ! Quelle partie de jambes-en-l’air ! Et ça promettait, si elle se mettait à jouer avec chacun de mes fantasmes…!
La journée, puis la soirée, s’écoulèrent sans nouvelles, et je commençai à m’inquiéter. Lui avais-je fait mal ? Vraiment mal ? Allait-elle m’accuser de viol ? Porter plainte ? Est-ce qu’elle raconterait tout à ses parents ?
Je passai une nuit agitée, dormant très peu, paniquant beaucoup. Je n’avais rien fait de mal, elle était venue, m’avait allumé, jouant la bonne petite salope, et m’avait consommé et consumé plus que de raison. C’est elle qui m’avait demandé la fessée et la sodomie rude ! Nous étions majeurs et consentants tous les deux, merde !
Je me levai à quatre heures du mat’ et bouquinai jusqu’au petit matin. Le pire, c’est que je n’avais qu’une envie: recommencer. L’entendre encore me demander mes fantasmes, l’entendre encore me supplier de l’enculer en lui tannant le cul, l’entendre encore gémir, rire et sangloter à mesure que je la tringlais sauvagement.
C’est ainsi qu’elle me trouva, trois jours plus tard, maugréant, épuisé, pas lavé, pas rasé, en train de tromper le temps avec un bouquin devant un café froid. Elle était entrée par la porte fenêtre de la salle-à-manger, que j’ouvre chaque matin pour que les chats viennent manger.
– Salut !
Elle était belle et souriante, dans une petite robe courte, décolletée, qui lui serrait la taille. Elle se pencha sur moi et déposa un baiser sur mes lèvres. Elle ne portait pas de soutif.
– B’jour.
J’étais furax. Elle s’assit sur mes genoux et me regarda, ses grands yeux souriants fixés sur moi, curieux.
– T’es pas rasé.
Elle me lécha les joues avec sa petite langue pointue, puis le cou. Je me dégageai à contrecur.
– T’étais où, bon sang ! Tu ne m’as pas appelé ! J’ai cru que je t’avais fait si mal que tu ne voudrais plus jamais me revoir.
Elle sourit et m’embrassa dans le cou.
– Oh, tu m’as fait mal. Tu m’as déchiré l’anus, et la fessée était si forte que j’ai eu du mal à m’asseoir jusqu’à hier.
– Oh.
Elle rit.
– Mais c’était bon, je te demanderai une nouvelle fessée, et de m’enculer aussi fort, si tu as aimé. Je me suis régalée.
Ça y est, je bandais à nouveau.
Elle m’embrassa les lèvres. Força un petit bout de langue dans ma bouche. Je la repoussai gentiment.
– Je ne me suis pas lavé les dents… Pas lavé du tout d’ailleurs…
– C’est pas grave, donne-moi ta bouche.
Elle s’accrocha à mon cou et pressa ses lèvres rose pâle sur les miennes. Le baiser fougueux s’éternisa. Elle ne me donnait que le bout de sa langue, et se dérobait quand j’essayais de l’attraper avec la mienne. Je supposai que mon haleine devait être terrible… Je partis complètement, ma tête tournait, entre soulagement et bonheur, entre sexualité bestiale et une pointe d’amour.
Elle me lâcha la nuque et s’agenouilla devant moi, entre mes jambes, cherchant ma bite dans mon caleçon.
– Je veux goûter à ta pine pas lavée. Je peux ?
Je demandai :
– Pourquoi tu as mis si longtemps à revenir ?
Elle attrapa mon pénis entre ses doigts et l’approcha de sa bouche.
– Tu veux savoir ?
Elle mit ses lèvres fraîches sous mon gland.
– Oui.
Elle me titilla sous le gland avec la pointe de sa langue. Je voyais ses yeux amusés et ses narines dépasser de sous ma bite.
– Eh bien il m’a fallu quelques jours pour plaire à Monsieur. Monsieur voulait une amante avec des atours bien particuliers, j’ai veillé à ce que les désirs de Monsieur soient exaucés. Je suis maintenant la parfaite petite salope de Monsieur.
Elle eut un rire coquin. Elle m’engloutit la pine avec sa bouche, l’enveloppant dans sa langue, m’appuyant sous le gland avec…
– Tu t’es fait un piercing sur la langue !
Elle cligna des yeux sans arrêter de sucer, l’air ravi. Mon ventre hurla, j’eus envie de venir immédiatement, mais réfrénai le désir. Elle ouvrit grand la bouche et me lécha des couilles jusqu’au méat, m’exposant son piercing au passage. Au milieu de sa langue trônait une petite perle argentée, délicate. Elle l’appuya sous mon gland, je fus parcouru de frissons. Elle avala ma bite jusqu’à la gorge et la libéra dans un bruit de succion exagéré. Elle prit un air mutin en me disant:
– Force-la dans ma gorge, comme la dernière fois.
Je hochai la tête en souriant. Elle mit le bout de ses lèvres sur mon gland, je lui attrapai la tête et, toujours assis, la forçai à m’engloutir entièrement. Elle résista, agrippant sa langue sous ma bite, son piercing frottant mon gland presque douloureusement. Mon sourire s’élargit. Elle m’excitait à mort ! Je poussai sur l’arrière de sa tête avec force, l’obligeant à me gober jusque dans sa gorge, et je la gardai ainsi, enfoncée sur mon sexe, pendant une dizaine de secondes. Je fis sortir ma pine complètement, d’un mouvement sec, elle laissa couler un filet de bave mousseuse sur mon ventre en hoquetant, respiration lourde, mais je lui pénétrai à nouveau la gorge, alternant les coups de reins au plus profond de sa trachée, et le maintien de force, ma bite battant dans sa gorge au rythme de mon cur.
Je la laissai respirer un instant. Elle bavait et déglutissait, les cheveux dans les yeux.
– Tu aimes ?
Elle hocha la tête en me bavant encore sur la queue.
– Tu veux que je vienne dans ta gorge ?
– Non, pas encore.
Elle se leva.
– Viens, je vais te laver et te raser.
Elle m’attrapa par la bite et me guida dans la salle de bains. Je caressai son cul rond sous sa robe, elle ne portait pas de culotte.
– J’ai envie de te prendre maintenant !
– Attends. Tu vas me sauter, je suis venue pour ça. Mais avant, mets-toi sous la douche.
Je finis de me déshabiller, et me fit couler une douche. Elle y entra avec moi, en gardant sa robe.
– Tu ne te mets pas à poil ?
– Hon hon.
Elle m’embrassa, et me montra le rasoir qu’elle avait pris sur le lavabo. Elle me savonna le corps, s’attardant sur mon sexe tendu. Elle s’agenouilla, me savonna bien les poils pubiens et…
– Hééé ! Qu’est-ce que tu fais ? Fais gaffe !
– La petite salope de Monsieur a ses fantasmes aussi. Je te rase la bite, les couilles et le torse, je veux te sucer et te baiser totalement épilé. Et comme ça, ma petite chatte toute rasée ne se sentira pas seule.
– Oh… Je peux la voir ?
– Une fois que Monsieur aura réalisé mon fantasme, j’accéderai à tous ses désirs.
Je coupai l’eau de la douche et me cambrai en avant. Mina me savonna abondamment et commença à me raser, méthodiquement, en tenant ma bite d’une main et le rasoir de l’autre. Elle me suçait de temps à autres, en continuant de me raser les poils. Je n’étais pas fier, surtout lorsqu’elle entama la tonte de mes couilles et qu’elle me fit me pencher pour enlever les poils sur mon cul. Elle termina par mon torse, ponctuant le passage du rasoir par des baisers appuyés. Elle me rinça, me prit la main et l’amena sur sa chatte glabre, sous sa robe trempée. Je la caressai et la doigtai, dos contre le carrelage, tandis qu’elle me masturbait en dévorant ma pine nue des yeux.
C’était très doux, j’avais envie de plonger la langue dans sa minette, d’explorer ses lèvres rasées, de la prendre en photo, jambes écartées, clito trempé, chatte ouverte et brillante de salive.
– Dégrafe ma robe.
Elle me tourna le dos, je trouvai la fermeture éclair et la fit glisser lentement. Je tirai sur sa robe, révélant ses épaules, son dos, sa taille fine et son cul rebondi. C’est là que je le vis…