L’initiation de Mina – Chapitre 01
Mina venait d’arriver. Ses formes adolescentes s’étaient estompées pendant les quelques mois où je ne l’avais vue, elle devenait une belle jeune fille, dans la fleur de l’âge. Sa poitrine s’était emplie, et Mina la cachait à peine, dans le matin froid, avec son petit T-shirt ouvert qui laissait apparaître son soutien gorge et le galbe rondelet de ses petits seins. Je ne pus m’empêcher de les regarder, ce qu’elle remarqua, s’en amusant manifestement.
– Bonjour !
Deux bises furtives claquèrent sur mes joues, deux bises qui en devinrent quatre, plus appuyées.
– Hello Mina, tu es… magnifique !
Elle sourit timidement, tirant légèrement sur son T-shirt, révélant un peu plus son soutif. Ses hanches s’étaient élargies, phénomène accentué par sa taille fine. J’espérai que son cul se serait arrondi lui aussi, mais ne pus le vérifier.
– Je suis venue seule aujourd’hui, j’avais envie de te voir !
-Ah ?
Elle s’approcha de moi, et se pencha avec un sourire coquin, T-shirt béant. La vue sur les seins était enchanteresse, j’imaginais les tétons cachés dans son soutif avec gourmandise.
Elle s’éloigna de quelques pas dansants.
– Prends-moi en photos.
– Pardon ?
– Quand je viens, d’habitude, tu me prends toujours en photos quand je ne regarde pas. Là, je regarde, et je te dis : prends-moi en photos.
Je pris mon appareil et l’observai tandis qu’elle jouait à prendre des poses, bras croisés sous ses seins, tête rejetée en arrière, puis en avant, cheveux ébouriffés, sourire sexy. Je pris mes premiers clichés, l’objectif fixé sur sa poitrine qu’elle révélait chaque minute un peu plus. Elle tira sur son T-shirt, pour me montrer la totalité de son soutien gorge.
– Ne bouge pas.
Elle s’immobilisa. Je zoomai sur ses seins. Le soutif laissait dépasser une aréole, et l’on devinait le téton juste dessous, et la taille minuscule du mamelon. Je la mitraillai de clichés, la pression s’accentuant sur mon pantalon.
– Tu peux enlever ton T-Shirt, si tu veux…
Elle s’exécuta sans se faire prier, tandis que je continuai de la photographier. T-shirt au dessus de la tête, bras en l’air, seins haut. Clic. Soutif relevé, téton apparent d’un sein révélé, comme par accident. Clic. Elle, se tenant les seins, comme pour les cacher. Clic. Mains glissant sur son corps, bras en arrière, les mains cherchant l’ouverture de son soutien-gorge, un sein me regardant droit dans les yeux. Clic. Mina, mi-nue, me souriant d’une manière coquine, deux beaux seins totalement offerts à ma vue. Clic. Mina qui s’approchait de moi, gros plan sur les mamelons, qui me donna envie d’éjaculer dans mon pantalon comme un gamin qui voit un décolleté s’ouvrir pour la première fois. Clic. Mina me prenant une main et l’amenant sur sa poitrine en une caresse délicate. Clic.
Je posai mon appareil sur la table.
– Waw. Je ne m’attendais pas à ça. Tu es vraiment superbe.
– Merci.
Je pris ses deux seins dans mes mains, et les caressai doucement, profitant pleinement de leur texture satinée, de leur moelleux, et n’en désirant que plus d’y fourrer mon visage. Les aréoles ornées de petits tétons m’apparaissaient de temps à autres. Mina fermait les yeux, un sourire frais aux lèvres, ses mains sur mes hanches, visage tourné vers moi. Elle n’ouvrit pas les yeux quand elle se mit sur la pointe de pieds. Elle n’ouvrit pas les yeux quand elle commença à m’embrasser dans le cou, sur le menton, et sur les lèvres. Elle n’ouvrit pas les yeux quand elle mit la main sur mon pantalon, y cherchant la raideur de mon pénis, la trouvant et me caressant sans hâte.
Je lui rendis son baiser, l’embrassant avec douceur au début, puis plus fougueusement. Sa langue était petite, agréable, et son odeur m’emplissait les narines.
Lorsque le baiser cessa, elle ouvrit enfin les yeux, le regard vague et plein de désir.
– J’avais peur que tu ne me regardes encore comme une petite fille, me dit-elle.
– Oh, tu as tout de la jeune femme, crois-moi…
Elle eut un petit rire.
– Attends de voir le reste avant de te prononcer…
Un vertige me prit.
– Le reste ? Déjà ? Tu ne crois pas que c’est un peu…
Ma phrase resta en suspens. Mina venait de mettre la main sur le bouton de mon pantalon. Elle le déboutonna, fit glisser ma braguette, et fourra sa main dans mon slip. Elle prit mon sexe à pleines mains, et commença à le malaxer timidement.
– C’est là que je dois apprendre des choses, dit-elle dans un souffle.
Elle se mit à genoux, baissa mon slip, attrapa le membre dans ses deux mains et le regarda avec curiosité. Elle commença à me branler gentiment, observant le sexe durcir, le bout gonfler, lentement, au rythme de sa caresse. Elle ne faisait pas attention à moi, qui n’avais d’yeux que pour sa petite main qui allait et venait sur ma bite, que pour sa bouche qui s’entrouvrait à quelques dizaines de centimètres d’elle, que pour ses seins fermes qui se balançaient en rythme.
– Je peux goûter ? dit-elle en approchant délicatement sa bouche et en serrant la bite un peu plus fort.
Elle n’attendit pas ma réponse. Son visage se mêla à mon sexe, et je sentis sa langue titiller le bout turgescent qui palpitait à chaque passage des lèvres fraîches. Mina gardait les yeux ouverts, amusés, goûtant au sens propre la saveur d’une bite sur sa langue pointue, goulue et curieuse.
Elle éloigna sa bouche, tout en continuant de me branler fermement.
– Elle est grosse, je pensais que c’était plus petit. Je me demande si je peux l’avaler tout entière…
Elle eut un sourire coquin et glissa ses lèvres tout autour de mon gland, ouvrant la bouche petit à petit, s’enfonçant sur le membre gonflé de plaisir, m’inondant de chaleur partout dans le ventre. J’imaginai mon sperme sur son visage, sur ses lèvres, dans sa gorge, je l’imaginai avalant le foutre avec plaisir, surprise et innocente, et j’eus du mal à ne pas venir dans sa bouche tandis qu’elle me suçait avec une ardeur plaisante.
Ses lèvres allaient, englobant mon sexe à moitié, puis venaient, le libérant, humide, presque en entier, avant de l’avaler à nouveau. Sa langue était chaude et douce, ses yeux se fermaient de temps à autre, et souriaient lorsqu’elle croisait mon regard voyeur. Je me baissai, tâtai ses seins soyeux et, tandis qu’elle continuait à me happer goulûment, je laissai glisser ma main le long de son ventre, me tordant complètement. Je, déboutonnai son jean, et glissai ma main le long de sa chatte, entre les lèvres à peine poilues. Elle ne protesta pas mais ouvrit les yeux, essayant clairement de sentir ce que je faisais. Je trouvai son clito, tournai dessus un moment, puis glissai le majeur entre ses grandes lèvres, fourrant mon doigt dans le creux très humide. Mon doigt s’enfonça sans souci l’antre chaud. Elle ouvrit grand les yeux, et s’arrêta sur ma bite, enfoncée dans sa bouche jusqu’à la gorge.
– Tu es toute mouillée, regarde, mets ta main.
Ses lèvres glissèrent sur mon gland, elle le lécha et l’embrassa encore quelques secondes, l’air reconnaissant, puis se releva. Je la tournai,, de manière à ce que la mon sexe frotte son cul, contre son jean à moitié baissé, puis je lui pris une main et l’amenai vers sa chatte. Ses doigts effleurèrent son clito, puis s’enfoncèrent entre ses lèvres. Je lui caressai les seins et l’embrassai dans le cou, puis je fis glisser son jean et sa culotte, frottant ma bite entre ses fesses.
– J’adore voir les femmes se masturber, dis-je en libérant mon étreinte. Est-ce que tu fais ça, seule, le soir ?
– Depuis l’âge de treize ans, oui. La première fois que je me suis touchée, j’ai fantasmé sur toi… et depuis, chaque fois que je veux être sûre de jouir en me doigtant, je pense à tes mains, et à ton regard sur mes seins…
– Alors je te regarde. Tu veux bien me montrer… ?
J’étais aux anges. Elle m’aurait touché la bite à ce moment précis, je lui serai venu entre les doigts en une seconde et demie…
– Ce sera facile, je suis nue devant toi et ton regard sur moi m’électrise totalement. Prends ton sexe entre tes mains pendant que je te montre comment je m’offre à toi.
Je n’eus pas besoin de me faire prier. Je pris ma bite dans une main et commençai à l’astiquer, une chaleur délicieuse m’envahissant le ventre. Elle s’assit sur le sol, jambes écartées, doigts tournant sur son clito et entrant lascivement entre ses lèvres. Elle gémissait, la tête rejetée en arrière, je me branlais lentement en la regardant, debout devant elle. Elle me regardait de temps à autre, fixait mon sexe dans ma main, fermait les yeux et se fourrait les doigts dans la minette un peu plus profondément, accélérant le rythme au fur et à mesure que les allers et retours se succédaient. Sa chatte était petite, peu fournie, ses grandes lèvres presque rasées. Son cul s’aplatissait sur le sol, au rythme de ses coups de reins.
Elle gémit une dernière fois, ouvrit les yeux.
– Embrasse-moi.
Je me penchais pour échanger un baiser qui devint vite fougueux, nos langues s’entremêlant avec passion.
Elle m’attrapa par la bite et m’attira vers elle, jambes ouvertes, sexe offert.
Je m’agenouillai, frottai mon membre entre les lèvres tendres et glissantes, elle me regardait dans les yeux, se caressant toujours d’une main, allongée sur le sol, abandonnée. Je l’embrassai dans le cou, pressant un peu plus ma bite sur sa chatte, glissant doucement vers ses petites lèvres, mais je décidais de ne pas la pénétrer immédiatement. Ma bouche glissa sur ses seins, sur son ventre, mon nez dans le sexe offert, humide, ma langue effleurant le clitoris, plongeant entre ses lèvres, lapant avec volupté. Je la suçai profondément, longuement, l’observant onduler sous mes coups de langue, gémir, me regarder disparaître dans sa chatte. Mes mains cherchaient ses seins, ses mains descendaient m’aider à la combler, elle appuyait sur son clito avec acharnement, tremblant de plaisir. Je relevai la tête, mêlant mes doigts aux siens sur ses lèvres, dans sa vulve rose, majeur enfoncé jusqu’à la garde dans l’abricot délicat.
Je remontai le long de son corps, écartai ses jambes, et la laissai me guider dans la chatte brûlante. Je la pénétrai doucement. Elle avait les yeux étaient fixé au plafond, écoutant son corps réagir à la bite qui l’empalait, centimètre par centimètre.
Mon ventre hurlait, mes couilles me pressaient de l’inonder de sperme, la douceur de son sexe autour du mien était surprenante pour ce que je savais être une première fois pour elle, à en juger par le filet de sang qui coulait entre mes jambes, inondant les draps,.
J’enfonçai ma bite jusqu’à ce que nos ventres se touchent, je pris sa bouche, y enfonçant ma langue avec bonheur, et commençai à aller et venir en elle. Elle attrapa mes fesses, me guidant dans sa chatte de plus en plus fort, de plus en plus vite, tête rejetée en arrière, oscillant de droite à gauche, me rendant mon baiser de temps à autre, la respiration coupée. Je me relevai sur mes bras, continuant à la labourer, et regardant sa minette presque glabre s’ouvrir et se refermer sur ma bite, avec un léger bruit de succion, admirant ses seins se soulever et s’abaisser dans l’excitation de l’acte de pur sexe que nous échangions.
Je m’allongeai, lui saisis le cul, et la fis passer au-dessus de moi. Elle s’assit sur ma bite, et me monta comme on monte un cheval, s’empalant sur mon pommeau qui avait rarement été aussi dru. Elle se caressa les seins, se masturba tout en m’enfonçant en elle, se baissa et m’embrassa. Mes mains glissèrent sur son cul, mon index trouva son anus et le titilla. Elle ouvrit des yeux souriants, mis ses mains sur les miennes. Je fermais les yeux, et enfonçai mon majeur d’abord dans sa chatte, pour bien l’humidifier, puis dans son anus, m’attendant à un recul de sa part.
Elle ouvrit le cul, et pressa sur ma main pour enfoncer mon doigt un peu plus, donnant des coups de reins en arrière pour l’accueillir plus profond. Mon doigt lui fourragea le cul allant et venant, dans une étreinte fougueuse, langues emmêlées, bite et chatte mélangées, et doigt dans le petit trou gourmand.
Elle prit mes mains, fit glisser le majeur hors de son petit trou, continuant de m’embrasser. Elle se leva, me laissant allongé sur le sol, pantelant, prit ma bite dans sa bouche et la suça lentement, sans se soucier du sang qui s’était aggloméré ça et là. Elle ouvrait sa gorge, happant mon sexe avec une joie discrète, souriante. Puis elle se mit à quatre pattes, me présentant ses belles fesses s’élargissant sous sa taille fine..
Je me plaçais derrière elle, glissai ma bite le long de son cul rebondi, butant sur son anus. Elle s’aplatit sur le sol, cul relevé, et écarta ses lobes avec ses mains, me montrant clairement le chemin du petit trou, qui s’ouvrait sous la pression. Je tournai ma bite autour de celui-ci, l’ouvrant de plus en plus, et en y enfonçai mon gland avec gourmandise et étonnement. Elle gémit, entre la douleur et le plaisir, tandis que je continuai à l’enculer, centimètre par centimètre, avec douceur et lubricité. Je voyais ma bite plantée entre ses deux fesses blanches offertes, elle, tête et poitrine plaquées au sol, grimaçant parfois, gémissant beaucoup, poussant sur ma bite pour m’engloutir plus profond. J’attrapai ses hanches de chaque côté, et fourrageai dans son cul docile lentement, je lui caressai le dos, les fesses, admirant la croupe juvénile et l’anus ouvert, humide.
Elle passa une main sous elle et recommença à se masturber en rythme, gémissant clairement de plaisir cette fois, la bouche ouverte, langue haletante. Je la baisai plus fort, répondant à sa demande, m’oubliant dans le cul, l’admirant se branler comme une adolescente insatisfaite, nue et belle sur ma bite gonflée. Elle se mit à crier brièvement, s’empalant plus profond encore, mon ventre sur ses belles fesses blanches, mes doigts dans sa chatte trempée, brûlante. Elle se crispa, essoufflée, secouée de spasmes divins, m’enserrant le sexe dans son trou étroit. Je saisis ses seins, l’embrassai dans le cou, lui caressai la chatte, et après quelques va-et-vient délicats, je fis lentement ma bite hors de son petit cul, observant l’anus se résorber à mesure que mon membre le libérait de son étreinte..
Elle se retourna, se mit à quatre pattes devant ma bite, cul en l’air, anus rouge écarté bien visible, se caressant toujours la chatte d’une main tandis qu’elle enfournait ma bite dans sa bouche en me branlant de l’autre. Elle fit tourner ses lèvres sous mon gland, le léchant à grand renfort de salive blanche, appuyant sa langue sur la partie la plus sensible. Je pris le membre dur dans ma main, et me branlai sur ses lèvres et sur sa langue, me régalant de voir son cul ouvert, ses jolis petits seins, sa nudité fraîche, et son désir moite intact. Elle ouvrit la bouche, langue en attente de mon sperme qui ne tarda pas à jaillir, à gros bouillons, lui zébrant le visage, la langue, les yeux. Le second jet finit dans ses narines, puis sur ses lèvres, sur sa langues. Je lui jouis longuement dans la bouche, tandis qu’elle avalait ma semence avec un sourire mutin, se caressant les seins, le clito et la chatte, jouant avec le sperme sur sa langue, récupérant les gouttes qui coulaient de ses yeux et de son nez.
Je l’embrassai, mêlant ma salive à la sienne, au sperme sur son visage, et la serrai dans mes bras, reconnaissant. Elle se libéra de mon étreinte, passa ses jambes par-dessus mon visage tête sur ma bite, et continua de me sucer tout en me présentant sa chatte. J’y enfouis mon nez, ma langue, et la suçai longuement. Ma bite gonflait à nouveau dans sa bouche, qu’elle happait en haletant par le nez, accélérant le rythme de ses coups de langue. Je jouis une nouvelle fois, fourrant mon nez profondément dans sa chatte, tandis qu’elle m’avalait jusqu’à la garde, buvant mon sperme à la source, directement dans sa gorge.
Nous nous embrassâmes longuement.
– J’ai soif ! me dit Mina en marchant nue vers la cuisine.
– Je te sers un jus d’orange ?
– Avec joie !
– Pendant que nous boirons, tu m’expliqueras ce qui t’a pris de venir me… euh… visiter… ce matin.
– Je ne venais pas te visiter. Je venais te baiser.
Je déglutis.
– Ah. C’était prémédité, alors… ?
– Depuis que j’ai treize ans, je ne pense qu’à toi. Je veux découvrir le sexe avec toi. Et quand je dis « le sexe », je veux dire « le sexe », pour de vrai.
Je lui servis un jus d’orange, et m’asseyais sur une chaise. Elle s’assit sur mes genoux, toujours nue. Je lui caressai les seins, sans comprendre.
– Que veux-tu dire ?
Elle sourit.
– Aucune idée. Tout ce que tu veux. Tout ce que tu comprends.
Cette fois, je ne pigeais plus rien.
– Euh… je ne comprends rien du tout, en fait.
– Si ! Quand je dis « sexe », qu’est-ce qui te vient à l’esprit ?
Je réfléchis. Deux femmes qui me sucent. Je crois que c’est la première chose qui me venait à l’esprit. Et baiser une nana avec un autre mec aussi. Et sodomiser tout ce qui a une chatte et deux seins, évidemment… Mais je n’allais pas le lui dire, tout de même.
– C’est-à-dire…
– Peu importe, ne me répond pas : je veux que tu partages des fantasmes avec moi. On fera l’amour ensemble tout le temps, et tu m’apprendras ce qu’est « le sexe » dont tu rêves !
Je hochai lentement la tête…
– Je crois que j’ai besoin de quelque chose d’un peu plus fort que du jus d’orange, finalement…