Les noix de Lucie – Partie I
Je regarde JC sans savoir par où commencer.
Il sirote son café, il me connaît bien, il attend sans rien dire.
– C’est à propos de Lucie.
Il sourit en posant sa tasse dans la soucoupe, à côté du carré de chocolat noir, traditionnel dans les cafés parisiens.
– Quand tu fais cette tête, c’est toujours à propos de Lucie.
J’opine du chef.
– Quand je rentre, hier…
***
…il est un peu plus tôt que d’habitude. On doit nous livrer le lave-vaisselle, et je ne veux pas laisser Lucie se faire entuber par les livreurs – il faut qu’ils installent correctement la machine, c’est dans le contrat.
Je ferme la porte, il y a du plastique d’emballage, du carton et des morceaux de polystyrène partout dans l’entrée.
J’enlève mes chaussures, ma cravate en appelant:
– Lucie ? Ils ont déjà livré le lave-vaisselle ?
– Oui… Oh… Viens, vite, mon chéri…
Sa voix est langoureuse. Je fronce les sourcils et parcours le couloir, vers la salle-à-manger.
Lucie est là, à quatre pattes, la jupe relevée, les seins à l’air, mais elle n’est pas seule.
Un mec la baise en levrette pendant qu’elle taille une pipe à un autre. Les deux me jettent un coup d’oeil et me saluent du menton.
– Salut, chef.
« Salut » ? J’hallucine. Ils baisent ma putain de femme et me disent « salut » !?
– Mmm… Viens… Déshabille-toi… Viens mon chéri… c’est trop bon…
***
– Sans déconner !???
JC est aussi choqué que moi.
– Sans déconner.
Le café est désert. Heureusement, je n’aurais peut-être pas osé lui raconter, sinon.
– Mais… elle savait que tu venais ?
Je hoche la tête.
– Mais oui !
Il n’en revient pas.
– Alors pourquoi elle a fait ça !
Je soupire.
– Le problème, c’est sa manie de ne jamais porter de culotte à maison.
Il acquiesce.
– Ah oui, c’est vrai, combien de fois j’ai vu son cul…
Je souris.
– Tu as vu autre chose ?
Il se marre.
– Hem… Elle ne se cache pas vraiment, tu sais… Lucie s’épile toujours la foune ?
Je ne réponds pas.
– Que les potes ou les gosses du quartier la voient à poil, c’est une chose, mais des livreurs…
Il tique.
– C’est une chaude, ta femme ?
– C’est même pas ça. Elle veut juste être prête, « au cas où ». Si j’ai envie, ou elle, l’accès est libre.
Il secoue la tête.
– J’adorerais qu’Erin soit aussi ouverte.
– Mouais. Sauf qu’hier, deux types baisaient ma femme.
Il redevient sérieux.
– T’as fait quoi ?
– Les deux gars ne me calculent pas, et Lucie branle celui qu’elle suçait en me demandant de la rejoindre, alors…
***
… elle rejette ses cheveux longs en arrière, le mec derrière elle, un grand brun bien foutu, la pilonne en à-coups rapides, j’entends les bruits de succion de la queue qui entre et sort de sa chatte toujours trempée, les chocs des abdos contre le cul rebondi.
– Viens, mon chéri, on en a toujours rêvé…
Elle prend l’autre type – cheveux courts roux, fin et musculeux – dans sa bouche et avale la bite comme elle peut, la mâchoire tendue à craquer – il en a une grosse.
Je suis paralysé.
Et puis…
…je commence à bander.
Je défais la boucle de ma ceinture, déboutonne mon pantalon et fais glisser ma braguette.
***
– De quoi !???
Je tourne la cuillère dans mon chocolat chaud. Je n’y ai pas touché encore.
– Je me suis désapé et je les ai rejoints.
Il est abasourdi.
– Tu te fous de moi ?
Je secoue la tête.
– Nan.
Il pose ses coudes sur la table et approche son visage du mien.
– Tu trouves ta femme qui baise avec deux inconnus et tu les rejoins ?
Je soupire.
– Yep. Tu connais Lucie. Beau cul…
– Extraordinaire. Deux gouttes de miel qui surplombent ses longues cuisses sur des hanches tellement fines… Juste parfait. Combien de fois j’ai… hem.
Il laisse sa phrase en suspens. Je décide de ne pas relever.
– …c’est ça. Belle bouche, taillée pour sucer, gros seins…
– Erin en est jalouse, tu sais ? De ses nibards. Elle voudrait une chirurgie pour gonfler les siens, mais ça coûte une blinde…
– …et elle est là, soumise, en mini-jupe noire et bas résille, une queue dans la chatte, une autre dans la bouche, à m’appeler « mon chéri » et à me demander de la baiser aussi… alors…
– Putain j’y crois pas.
Je ricane nerveusement.
– Et tu sais pas le pire ? Je suis là, je vais baiser Lucie façon partouze et la seule question qui me vient à l’esprit c’est…
***
…est-ce que je garde mon pantalon ?
Je risque de le saloper avec sa mouille et – possiblement – le sperme des gars. D’un autre côté, me foutre totalement à poil devant eux… c’est pas le genre de la maison.
Bon.
Je vire mon pantalon et mes chaussettes. mais je garde mon boxer et ma chemise.
Les mecs accélèrent leur rythme. Je ferais pareil à leur place. Autant qu’ils se finissent. Peut-être que je veux les virer, ils doivent se demander, quand même.
Je ne suis pas sûr que ce n’est pas ce que je vais faire, d’ailleurs.
Lucie m’attrape le slip et le baisse d’un coup. Elle tire sur ma queue en suçant l’autre gars, le rouquin, qui me regarde et lève les yeux au ciel, une expression d’adoration sur le visage. Et oui mon pote, ma femme est bonne. Miss Univers de la Fellation et de la Branlette Espagnole. Sauf que je suis censé être le seul à la pratiquer.
Elle crache le rouquin, un filet de salive bouillonnante lui coule des lèvres, j’adore, et elle m’avale à mon tour, me gobe d’une seule bouchée – ma bite est moins grosse que celui du mec, elle me prend jusqu’au fond de la gorge et m’y maintient, avant de remonter lentement le long du tube de chair turgescent en le suçotant comme un bonbon de noël.
Je la mate, ça m’excite qu’elle se fasse prendre pendant qu’elle me suce, je dois bien l’avouer.
Je lève la tête pour voir l’autre la prendre en levrette. Il a la main à plat sur le cul bombé. Je mets un moment à réaliser qu’il a introduit la moitié de son pouce dans l’anus de Lucie, qui l’encourage à aller plus loin à chaque coup de reins.
Il pousse sur le doigt qui pénètre l’espace étroit jusqu’à la paume, sous mes yeux.
Tout entier.
Dans son petit trou.
***
– Dans son…???
JC est fasciné et horrifié à la fois.
– Exactement.
Il déglutit, avide de détails mais n’osant pas les formuler.
– Mais… elle… vous… je veux dire…c’est une habitude ?
– Mais non, justement… Chaque fois que j’ai voulu elle a toujours reculé en arguant qu’elle est trop étroite. Mais là… elle allait donner au mec ce qu’elle me refusait !
– Tu veux dire qu’il l’a enculée ?
Je tique choix de langage. Il s’en aperçoit.
– Pardon… je me laisse emporter… (Il se passe les mains sur le visage puis dans les cheveux) …je suis juste sur le cul.
Je ricane amèrement.
– Je l’étais aussi. Le type…
***
…accélère le rythme de son pouce dans le petit trou, en le faisant pivoter d’un quart de tour à chaque fois, comme une chignole, tout en continuant à la pilonner à grands coups de reins.
Lucie arrête de nous sucer, elle se plaque au sol, le cul en l’air, et elle crie chaque fois que le doigt la vrille, des couinements aigus, de plus en plus forts, de plus en plus beaux. Le rouquin se branle en caressant un des gros seins de ma belle, en murmurant des « oh, putain, pu-tain, puuutaiiiin… » pendant qu’elle couine ses « Oui-oui-oui! »
Le brun, derrière elle, sort soudain sa queue luisante de mouille blanchâtre et la presse sur l’anus distendu. Il frotte son gland lentement et pousse pour la pénétrer.
Je regarde juste.
Fasciné.
***
Je fais une pause.
Je me demande si JC est en érection, s’il bande autant que moi pendant que je lui raconte.
– Quand est-ce que tu as vu le cul de Lucie, au fait ?
Il se rengorge.
– Euh… Pas mal de fois…
Je fais un geste de la main.
– Non, mais la fois où tu l’as trouvée bandante ?
Il sourit d’un air gêné.
– Il y a eu cette fois, où tu nous avais invités, Erin et moi. J’aidais Lucie à casser des noix pour la salade et elle a fait basculer le bol qui s’est renversé sur le sol. On a ramassé tous les deux, à quatre pattes, je lève la tête…
***
Waw… Sa jupe s’est accrochée à la chaise, elle ne s’en est pas aperçue… j’ai une vue sur le cul, blanc, rebondi, et sur la fente de sa foune, toute fraîche épilée. Elle se penche pour attraper une noix qui a roulé sous la table, la croupe cambrée, le sillon s’entrouvre et révèle un filet de mouille transparent et gras…
Je mate, les yeux exorbités, la pine qui enfle dans mon futal, elle recule, la noix dans la main, ses cuisses frottent l’une contre l’autre, les bords de sa chatte trempée aussi. Je tends la main, caresse le cul rond, et rajuste la jupe dessus.
– Ouuups !
Elle se redresse, affolée. Je balbutie:
– Désolé ! Ta jupe s’est accrochée, je voulais juste… tu… euh… tu es… euh… hem…
Elle pose son regard sur la bosse qui déforme mon jean. Je bande comme un pendu.
Elle jette un oeil vers la porte de la cuisine, où l’on entend la voix de mon pote et d’Erin, sur le balcon.
– Je crois qu’il reste une autre noix là-dessous.
Je déglutis, mal-à-l’aise.
– Tu veux que j’aille…
Nouveau coup d’oeil vers la porte.
– Laisse, j’y vais…
Elle sourit, se met à quatre pattes, relève lentement sa jupe et cambre le cul.
– …on ne touche qu’avec les yeux…
***
– C’était quand ? La dernière fois que vous êtes venus ?
Il acquiesce.
– Mmm mmm. Désolé, vieux.
Je hausse les épaules.
– Je savais que tu avais déjà vu son cul. Comme tout le monde dans le voisinage. Cette manie de ne pas porter de culotte à la maison… Ça attire tous les gamins du quartier. Elle ne fait pas assez attention.
– Même pendant les règles ?
– Stérilet. Pas de règles, ou presque.
– Oh.
On se regarde en silence. Je soupire.
– En tout cas, ça explique les noix par terre dans la cuisine, hier.
Il écarquille les yeux.
– Non !???
Je hoche la tête.
– Si. Elle a dû les appâter comme ça.
Il secoue la tête, horrifié.
– La salope.
Je tique encore.
– Tu parles de Lucie, JC.
Il a la grâce de rougir un peu.
– Mille excuses. Et donc ?
– Donc quoi ?
– Le brun. Il essaye d’enc… de… de sod… euh… Lucie…
Je lève une main en signe d’apaisement.
– Tu as déjà pratiqué la sodomie ?
Le rouge des ses joues vire au carmin.
– Erin… euh… pas vraiment.
Je fais un sourire en coin.
– La première fois est difficile…
***
…il y a tellement d’excitation…
Le mec appuie son gland sur la pastille distendue, presse sa queue en matant la fleur s’ouvrir, le souffle court, la respiration haute. Lucie m’a repris dans sa bouche et hurle son accord, les yeux fous, levés vers moi.
– Oh ptaiiiiiiiin… ptaiiiiiiiin !!!!
Le sperme jaillit d’un coup. Le brun n’a pas pu se retenir, il n’est même pas entré dans l’antre convoité. Il se branle, couvrant la croupe de ma belle et sa jupe de jets épais qu’il étale sur l’anus désormais hors de portée. Lucie vagit sa frustration, ma queue dans la gorge.
Je recule lentement, elle est essoufflée, la bave aux lèvres, sauvage, je ne l’ai jamais vue ainsi.
– Permettez ?
Je passe derrière Lucie.
Son cul parfait est rougi par endroits. Je me demande si le brun l’a fessée avant que j’arrive. Ça ne m’étonnerait qu’à moitié.
***
– Fessée ?
Je hausse les épaules.
– Lucie aime bien, de temps-en-temps. Elle s’allonge sur mes genoux, remonte sa jupe, cambre le cul, et elle roucoule quelque-chose comme: « je n’ai pas été sage… » Alors je lui donne une fessée, deux tapes, une douce, une forte, une caresse, deux tapes…
JC se passe à nouveau la main dans les cheveux.
– Bah putain ! Et elle aime ça ?
– Mmm mmm. Et quand elle n’en peut plus, quand elle a trop mal, en général, c’est ma fête, elle fait tout, je n’ai qu’à profiter. Elle n’est jamais aussi excitée qu’après une belle fessée. Mais ça reste rare.
Il secoue la tête.
– Je veux la même à la maison !
Je hausse un sourcil.
– Tu es sûr ?
Il semble se rappeler la raison pour laquelle on se voit aujourd’hui.
– Hein ? Oh. Non, non, bien sûr.
Je reste silencieux quelques instant.
– Je prends donc la place du type…
***
…je place mes genoux entre les jambes écartées de ma femme qui a repris le rouquin dans sa bouche, la mâchoire ouverte à craquer vu la taille du pénis du livreur, qu’elle semble trouver à son goût.
Je trempe ma queue dans la chatte inondée avant de la remonter sur le petit trou souillé de liquide blanchâtre aggloméré. Je place mon gland dans le mélange sueur-sperme-mouille et je pousse sur ma queue.
Lucie gémit divinement.
– Mmmmmmmmmmh !!!!
Je la pénètre par à-coups prudents, suffisamment excité pour apprécier cette première fois pour moi, mais suffisamment dégoûté par le fait que l’anus soit lubrifié par la jute d’un autre homme pour ne pas venir prématurément.
Je la prends petit-à-petit, le gland est gobé, je remonte en admirant la façon dont le petit trou élastique se moule autour de ma bite, et comme Lucie se concentre pour ne pas hurler, pour me laisser vivre ce fantasme, puis je m’enfonce, centimètre après centimètre, la moitié, je reviens, les trois-quarts, je recule et enfin je disparais en elle jusqu’aux couilles.
Lucie ne respire plus que par brèves saccades, toujours occupée à aspirer le gland du rouquin. Il ne tient plus. Elle le mord presque quand il explose dans sa bouche, qu’il remplit littéralement d’un flot de jute impressionnant. Elle tousse, hoquète, éternue du sperme par le nez, pendant que je la ramone, les mains sur ses seins. Elle tient bon pourtant, le liquide gras déborde de ses lèvres, coule en gouttes grasses sur la moquette, mais elle le garde en bouche, elle le lèche, en avale autant que possible, le type jouit et jouit, il se finit en se branlant sur le visage fin d’une Lucie sauvage, bientôt couverte de crème de sexe, qui crie d’une voix rauque des encouragements qu’il prend pour lui – mais ils sont pour moi.
– Ah oui, encore, viens ! Encore !
Je sors du petit trou qui reste béant, je la retourne sur le dos, lui écarte le cul et je la sodomise par-devant.
Comme dans mes rêves.
Sauf que dans mes rêves, il n’y a pas deux types qui se font sucer par une Lucie insatiable, la tête rejetée en arrière, qui happe bite après bite en geignant de plus en plus fort.
J’ai une vue plongeante sur ses gros seins gonflés, les tétons durcis par l’excitation, un panoramique sur la fente souillée de sa chatte parfaitement épilée et, bien sûr, sur ma queue qui…
***
JC lève une main comme à l’école. Je m’interromps.
– Oui ?
Il hésite.
– Euh… Pourquoi tu me donnes tous ces détails ? Je veux dire c’est passionnant, terrible, excitant et tout mais… hem… c’est super intime, quand même.
Je souris.
– Je vais y venir. Sois patient.
Il hausse les sourcils, interloqué.
– Ah ? Euh… bin ok alors.
Je reprends.
– …une vue géniale…
***
…sur ma queue qui écartèle les lobes du cul, qui explore l’anus odorant, qui va et vient en elle, du gland aux couilles, des couilles au gland.
Je me baisse sur mes deux bras et lui embrasse les seins, le cou, les joues alors même que le rouquin est encore dans sa bouche, il ne bande plus, il veut juste mater maintenant, son pote est sur le balcon, à moitié à poil, en train de fumer une cigarette. J’espère que les voisins ne sont pas à la fenêtre.
Lucie replie les cuisses, je m’enfonce en elle jusqu’aux poils du pubis, elle se tend en tremblant de tout son corps, en hurlant, bite sur la langue.
– Mmmmmh !!! Mmmmmmmh !!!
Je me redresse et la ramone de plus en plus vite jusqu’à ce que…
…je…
…oh…
…vienne…
…lentement…
…un coup de reins à chaque spasme de bonheur…
…je me vide dans son rectum…
…en pleine conscience de ma jouissance…
…de la sienne…
…elle serre ses cuisses autour de moi…
…m’en demande encore, et encore…
…je viens comme rarement je suis venu…
…je jouis comme rarement j’ai joui…
…je m’affale sur elle, queue bien calée entre ses fesses parfaites…
…ses seins écrasés sous moi…
…elle me serre dans ses bras et m’embrasse, un baiser au goût de bite, de sperme d’un autre, mais un baiser d’amour absolu, de jouissance absolue.
***
Un silence ponctue la fin de mon récit.
– Waw. Juste waw. Je ne sais pas quoi dire. J’y étais. Je veux dire, la manière dont tu racontes…Waw, on s’y croirait.
Je hoche la tête.
– Merci. Je crois.
Il souffle, éberlué.
– Après, tu as fait quoi ? Elle s’est excusée ? Et les deux livreurs ?
Je ricane amèrement.
– Tu me croiras si tu veux, mais ils se sont rhabillés et ont installé le lave-vaisselle comme si de rien n’était. Je leur ai même filé un pourboire en partant.
– Tu rigoles ???
– Non. Lucie s’est enfermée dans la salle-de-bains, elle n’est ressortie que quand les mecs sont partis.
Il hoche la tête.
– Elle avait honte ?
– Oui. Et tu sais quoi ? Elle portait une culotte.
Il hausse les sourcils.
– Non ?
– Si.
Un nouveau silence s’installe entre nous. Au bout d’un moment, il reprend:
– Alors ? Pourquoi tu m’as raconté tout ça de manière aussi… euh… détaillée…?
Je le fixe sérieusement.
– Parce que…
***
Il m’écoute en pâlissant et rougissant à chacun de mes mots. Il ne me le dit pas, mais je sais qu’il bande.
***
Nous entrons chez moi.
Lucie est affalée sur le canapé, jambes croisées, jupe courte.
– JC ! Quelle bonne surprise ! Comment va Erin ?
Elle se lève d’un pas hésitant et vient lui faire la bise.
– Bien, bien.
Elle m’embrasse légèrement sur la joue sans me regarder, gênée.
Ses gros seins sont engoncés dans le décolleté d’un chemisier strict mais affriolant.
– Tu veux boire quelque-chose ? Café ? Thé ? Jus d’orange ?
Il hoche la tête.
– Un jus sera parfait.
Nous entrons dans la cuisine.
Je passe derrière Lucie et lui caresse la fesse. Il y a une culotte sous sa jupe.
Elle ouvre le frigo et en sort un pack de jus qu’elle pose sur la table. Je sors les verres du placard et les lui donne.
Le pot de noix est sur l’étagère.
Je le prends et le renverse ostensiblement. Je lui souris gentiment.
– Oups.
Elle me dévisage, puis nous regarde successivement, JC et moi, la compréhension illuminant lentement son visage. Elle sourit timidement.
– Faut-il… que je les ramasse ?
Je lui caresse la joue et l’embrasse tendrement.
– Ça me plairait beaucoup.
JC acquiesce.
– À moi aussi.
Elle hésite encore.
– Tu veux que j’enlève…
Je pose un doigt sur ses lèvres.
– Mets-toi à l’aise.
Elle soupire joyeusement et passe les pouces sous sa jupe. Elle fait glisser lentement sa culotte blanche, qu’elle ôte d’une pichenette.
Je la ramasse.
– Je garde ça.
Elle m’embrasse à nouveau et se met à quatre pattes sur le carrelage en relevant sa jupe, la croupe cambrée, l’anus encore irrité bien visible.
Je souris et laisse JC passer devant, en écartant une noix du pied.
Après tout, il a des pouces plus gros que les miens.