Le Contrat d’Alysha – Chapitre 08
Bléry avança rapidement vers Alysha, toujours plaquée au sol, une main dans sa chatte trempée et dégoulinante de sperme.
– Mlle Rocher, fermez les yeux, et ne les rouvrez pas tant que je ne vous y autorise pas.
Alysha se masturbait, écoutant à peine.
– Ah… Mmmh… oui… Oh… Monsieur….
– Comprenez-moi bien, Mlle Rocher: si vous ouvrez les yeux, notre contrat est rompu.
Alysha ralentit la cadence, plus attentive. Elle se releva, à quatre pattes, docile. J’approchai lentement par derrière, marchant sur des oeufs, hypnotisé par les fesses luisantes de transpiration et de jute, cambrées, à ma portée.
– Bien Monsieur. Puis-je demander pourquoi à Monsieur ?
Bléry me sourit.
– Bien sûr. Il y a un homme dans cette pièce que j’ai invité à profiter de vos charmes – avoir sa petite pute personnelle a ses avantages.
– Mais pourquoi les yeux fermés Monsieur ?
– Parce que c’est quelqu’un que vous connaissez.
Alysha se redressa encore, l’air inquiet. Elle n’ouvrit pas les yeux, cependant.
– Je… comprends. Qui.. Qui est-ce ?
– Si je vous le disais, ce serait moins drôle, non ?
– Mais… Monsieur… m’exposer comme ça à quelqu’un que je connais…
– Ça ne vous excite pas de vous faire sauter par un ami à vous sans savoir de qui il s’agit ?
– C’est-à-dire… honnêtement, non, Monsieur.
– Hé hé, si vous pouviez vous voir, là, à moitié à poil devant votre ami, couverte de sperme, ça le fait bander. Il a sa queue à la main, il fait son timide, mais il va vous faire votre fête, il s’en régale d’avance, le petit cochon.
– Bandez-moi les yeux, Monsieur. Je ne vais pas pouvoir résister à l’envie de regarder de qui il s’agit. Je vous en prie.
– Tût tût, la ferme maintenant. approche ta bouche et suce. Messieurs, ajouta-t-il à l’adresse des trois commerciaux, veuillez rejoindre ma secrétaire, elle s’occupera de vous. Les contrats sont prêts, et vous verrez ce qu’elle sait faire avec un Mont-Blanc, si vous avez encore une envie passagère après la signature.
Les trois hommes sortirent en refermant leurs braguettes, je constatai que Lisa se tenait juste derrière la porte. Elle me fit un petit signe en se mordant la lèvre inférieure, comme si elle avait envie de se trouver là avec moi… La porte se referma.
Bléry finit de relever Alysha, de manière à ce qu’elle soit à genoux devant lui, et abaissa son chemisier autour de ses bras, exposant ainsi ses beaux seins, à peine retenus par le tissu distendu du haut de maillot de bain. Il plaça sa bite devant la bouche entrouverte et l’y enfourna sans prévenir.
– Mmmpfff… Mmmh…
La fellation experte commença, sans hésitation. Bléry avait raison, ma compagne était devenue une prostituée, prête à tout pour satisfaire son client.
Elle happait le sexe en érection avec énergie, l’avalait, remontait langue sortie et le léchait complètement avant de l’enfourner à nouveau dans sa bouche avide. Je sortis mon portable et la prit en photo, certain que je me branlerais en les regardant. Après tout, si c’était ma dernière fois avec elle, autant en garder un souvenir.
– Oh, dit Bléry, vous savez que votre ami nous prend en photo, Mlle Rocher ? Sortez un peu vos nichons, et sucez-moi plus lentement, nous ne voulons pas que les clichés soient flous. Yeux fermés, surtout.
Alysha se cambra et lâcha prise sur la bite de son amant pour rehausser ses seins avec ses mains. Elle planta le sexe dru au fond de sa gorge et ne bougea plus, soufflant par le nez. Le cliché était superbe.
– Allez, mon vieux, ramonez-lui le cul. Elle aime la queue, vous ne la casserez pas, allez-y franco. Mlle Rocher, tendez votre trou du cul à notre ami.
Après une hésitation infime, Alysha se remit à quatre pattes, cambrant le dos de manière à me donner accès à son anus. D’une main, elle écarta les lobes de ses fesses. Elle recracha la pine de Bléry, se retourna vers moi, yeux clos et me dit:
– Vas-y, connard, prends-moi, avant que je craque et que je te regarde !
Bléry semblait s’amuser beaucoup. Il attrapa le menton de ma compagne, et plaça le dessous de son gland sur les lèvres pulpeuses.
– Allez, salope, sors ta langue et lèche-moi le gland lentement.
Je plaçai mes genoux entre ceux d’Alysha, et frottai mon sexe contre sa pastille souple souillée de la jute de ses trois amants précédents. Elle accompagna le mouvement, écartant maintenant ses fesses de ses deux mains et enfonça ses ongles dans la chair tendre de ses lobes couleur sable. Ma pine tourna un instant sur l’anus glissant, et y pénétra avec un léger bruit de succion.
– Mmmmh…
Alysha léchait précautionneusement l’énorme gland de Bléry, concentrant ses coups de langue sur la zone sensible, sous le méat. Le chef d’entreprise, maître de ma femme, guidait le visage délicat de la belle sur sa queue, elle y écrasait son nez, ses lèvres, ses joues, et semblait avoir oublié le monde autour d’elle.
Je donnai des coups de reins de plus en plus prononcés, excité par la peau distendue de l’anus autour de ma bite, qui s’enfonçait, à petits pas, dans les entrailles de celle que j’avais cru connaître jusqu’à ce jour fatidique où Bléry était entré dans notre vie. Je n’étais pas dégouté de voir le sperme d’autres hommes s’agglutiner autour de ma masculinité, d’en sentir la moiteur jusque sur mon bas-ventre, et glisser sous mes mains.
Je ne résistai plus. J’attrapai les hanches collantes d’Alysha et la pistonnai avec une colère et un plaisir féroces, ma queue disparut totalement dans le cul ourlé, et je ne me rendis pas tout de suite compte qu’Alysha chuchotait des encouragements qui me glacèrent le sang.
– Oh, ouiouioui, Denis, Denis, Denis… Ah Oh Ah Oh ouiouioui Deniiis.
Avait-elle ouvert les yeux ? Non, ce n’était pas possible, elle suçait Bléry, toute langue sortie, éperdue de plaisir. Je ralentis le rythme, mais elle se colla à moi et prit le relais, plantant son petit trou sur ma bite avec entrain. M’avait-elle reconnu ? Mon parfum ? Ma queue ? Mes mains sur son corps ? Je repris ma danse, peu importait qu’elle m’ait vu ou non, elle ne semblait pas en prendre ombrage.
Ses mains se lièrent aux miennes sur son cul, elle m’incitait à les lui caresser, je gémis discrètement en répondant à cet accès de tendresse, et entendis à peine Bléry lorsqu’il jouit. J’entrouvris les yeux. Il tenait sa bite à la main, sur la langue tendue d’Alysha, et l’écrasa violemment sur son nez. Des flots de sperme jaillirent, épais, énormes, qui couvrirent le petit visage de ma belle en un instant, la souillant de jets glaireux et blanchâtres du nez au menton, des yeux aux cheveux.
Alysha lécha le sexe qui ne débandait pas de manière experte, en continuant de se planter sur moi, je trouvais émouvant de la voir ainsi, forcée d’obéir à cet homme en toutes circonstances et d’y trouver tant de plaisir. Je la découvrais différente, salope et putain, mais aussi féminine, jouisseuse, amante.
Je n’y tins plus. Je la gamahuchai de toutes mes forces, mon gland sembla gonfler dans les entrailles chaudes et étroites, et j’explosai au fond de ses boyaux en gémissant de toute ma voix.
– Raaaah Raaaaaaaaaaaaaah ayayaaaaa….
Alysha m’accompagna dans ma jouissance, – « Oh Denis Denis Denis ouiouioui » – ralentissant et accélérant aux bons moments, je jouis longuement, prolongeant le bonheur de me trouver au chaud dans le cul de ma femme, dans cette situation incongrue, sous le regard d’un autre homme qui venait juste de la couvrir de jute et qui la possédait comme jamais je ne la posséderai moi-même.
Je m’affalai sur elle, la serrant dans mes bras, embrassant son dos, attrapant ses gros seins dans mes mains et les pressant sous moi, étonné, dans mon émoi, de sentir ses tétons aussi drus au creux de mes paumes. Elle tourna son visage vers moi, de dos, et m’embrassa, sans ouvrir les yeux. Le sperme de Bléry se mêla à nos langues, je ne m’en souciai pas.
– Hé hé, mon vieux, dit Bléry, si vous aimez le sperme, vous pouvez me nettoyer la bite, si vous voulez…
Je ne m’occupai pas de cette humiliation supplémentaire, la langue d’Alysha était douce dans ma bouche, le baiser se prolongea, et, quand nos lèvres se séparèrent, je plongeai mon visage dans ses cheveux d’ange.
– Merci.
Alysha avait chuchoté, je revins à moi, me relevai, et sortis ma bite de son petit trou souple, rougi, gonflé, irrité par mes coups de boutoir et la frénésie de la sodomie – frénésie partagée.
Je quittai la pièce, bite à l’air, par la salle aux miroirs et fermai la porte.
Je m’effondrai sur la chaise, le visage dans les mains, épuisé. J’entendis Bléry, de l’autre côté.
– Tu peux ouvrir les yeux, salope. Et ne t’avise plus de contester un de mes ordres, sinon notre contrat est rompu. Tu es une pute, ma pute à moi, j’ordonne, tu obéis. Tu as bien compris ?
– Oui Monsieur. Puis-je me rhabiller, Monsieur ?
– Vas-y. J’en ai fini avec ton cul pour aujourd’hui.
– Merci, Monsieur.
Alysha se releva, les jambes flageolantes, soumise.
Elle ôta son chemisier et, seins nus, essuya tout le sperme sur son visage et sur son corps. Elle ôta, le reste de ses vêtement, et plia soigneusement sa jupe, exposant son cul griffé, et son sexe parfaitement rasé. Elle alla chercher son grand sac à main, et en tira un jean et un T-shirt blanc. Elle enfila le jean sans mettre de culotte, et le T-shirt sur ses seins nus, moulés par le tissu élastique, magnifiques.
Elle rangea ses affaires souillées en boule dans son sac. J’étais, comme souvent, complètement estomaqué par sa hardiesse, et par sa beauté.
– Au revoir, Monsieur.
– Je vous tiens au courant par mail de notre prochaine entrevue. Oh, et à propos: j’ai toujours rêvé de baiser une femme le jour de son mariage.
Alysha s’arrêta à la porte, l’air mal à l’aise.
– Monsieur ?
– Vous m’avez compris. Au revoir, Mlle Rocher.
Alysha hocha la tête, pensive.
– Au revoir, Monsieur.
Elle quitta la pièce.
Je restai là, prostré, imaginant à peine les implications de la dernière phrase de Bléry.
Et craignant plus que jamais le retour à la maison.