Le Contrat d’Alysha – Chapitre 07 (2ème partie)
Les trois hommes entrèrent dans le bureau de Bléry, suivis par Alysha, qui referma soigneusement la porte derrière elle.
Elle eut un sourire incertain.
– Messieurs…Le désir de Mr Bléry est que je vous… que je… comment dire ? Pour faire simple, Mr Bléry désire que je vous satisfasse sexuellement. Et je veux faire plaisir à Mr Bléry. Approchez.
Les trois hommes sourirent à leur tour et s’approchèrent, puis commencèrent à la peloter. Les mains se posèrent entre ses seins, et coururent sous sa jupe, les baisers couvrirent son cou et ses lèvres.
Elle les embrassa tour à tour, un vrai baiser, avec langue, yeux fermés et soupir de contentement à la limite du gémissement, en les enlaçant de ses bras délicats, et en pressant son corps sylphide contre eux.
– Cependant… dit-elle en haletant alors que l’un des types, un grand blond au teint hâlé, un peu fat pour sa taille, lui dégrafai son chemisier, tandis qu’un autre, brun, petit, très apprêté, remontait sa jupe le long de ses cuisses -… cependant… bien que j’aime satisfaire les désirs de mon patron, je suis mariée, ou c’est tout comme…
Je me demandai où elle voulait en venir. Elle s’agenouilla devant le troisième type, brun, grand, parfait, très beau, et entreprit de déboutonner son pantalon, de lui baisser sa braguette, et d’en sortir la bite tendue, qu’elle plaça juste devant sa bouche en s’humectant les lèvres. Les deux autres se placèrent à sa droite et à sa gauche. Elle sortit leurs sexes en érection de la même manière, et les branla chacun dans une main en haletant discrètement. Puis elle les regarda d’un air adorablement coquin.
– Ouh, les belles queues, je vais me régaler… Est-ce que l’un de vous peut me prêter son téléphone ?
Le brun fut le plus rapide à réagir. Il sortit son portable de sa veste et le lui tendit.
– Tiens, chérie.
Alysha composa un numéro. Mon portable se mit à vibrer dans ma poche. Heureusement que je l’avais mis sur silencieux en entrant ici ! Je le sortis en tremblant et décrochai.
– Allô ? dis-je en chuchotant presque.
Alysha sourit. Elle caressait toujours les bites des commerciaux, lentement. Elle semblait particulièrement apprécier celle du beau brun, et le branlai avec une application moins mécanique, plus sensuelle. Mon coeur se tordait de jalousie et d’excitation.
– Chéri, j’ai quelque chose à te demander.
– Je… oui ? … je t’écoute.
Elle frotta son menton contre la queue qu’elle avait dans la main.
– Notre couple évolue, nos rapports sexuels aussi… je t’ai amené Cathy dans notre lit et tu en as bien profité…
– Je…
Alysha posa presque ses lèvres sur la pine du gars à sa droite.
– Ne m’interromps pas. Mon patron m’a demandé de veiller au confort de trois de nos clients. Je les ai allumés en essayant mes maillots devant eux.
– Allumés ? dis-je d’une voix faible.
– Allumés. Je sais que tu aimes que des hommes bandent en me matant. Tu me l’as assez dit. Mais mon patron pense que je devrais aller plus loin.
– Je… oui… enfin… comment ça ?
Elle sourit.
– Ils sont devant moi, en ce moment. Je suis à genoux, ils ont leurs sexes pointés sur moi. C’est moi qui ai fait glisser leurs braguettes, c’est moi qui les ai déshabillés.
– Co… comment ?
– Et je veux ton autorisation pour les sucer.
J’étais estomaqué par sa hardiesse. Glacé. J’étais aussi ému. Je m’en rendis compte avec surprise. Emu par son honnêteté, finalement, elle ne me mentait plus. Emu, pine à la main, j’étais ridicule, ridicule et soulagé.
– Je… comprends.
– Tu n’es pas fâché ?
– Disons… que… non. Non. Suce-les, si ça te plaît. Fais-le maintenant. Pendant que je t’écoute.
– Merci, mon chéri. Tu es un coquin quand même, mon amour… Ecoute ça. Mmmh…
Elle engloutit la pine du beau brun, et la lécha dans un bruit de succion audible, pour mon bénéfice. Un frisson de plaisir et toujours de jalousie me parcourut en la regardant – et l’entendant de près – sucer cette queue nouvelle. Je me masturbai en silence.
– Slllurp, elle est grosse et bonne…. chéri ?
– Oui ?
– Est-ce que ça te fait de l’effet, amour ? Est-ce que ça te fait bander de m’entendre sucer un autre homme au téléphone ?
La bougresse. Elle me connaissait bien.
– Oui.
– Est-ce que tu veux te toucher pendant que je suce ?
– Je… Je me touche déjà, là.
– Ouh, tu m’excites, amour…Tu veux que je les laisse me sauter ? Est-ce que ça t’exciterait ? Mmmh… MMmh
Elle reprit sa pipe, en tenant toujours le téléphone à son oreille. Je déglutis.
– Tu… Tu en as envie ? Tu as envie qu’ils te… qu’ils te baisent ?
Alysha remonta la langue le long de la bite en hochant la tête négativement.
– Non, mon chéri, mais mon patron… mon patron le voudrait. Il y a un gros marché à la clé. N’est-ce pas, messieurs ?
Les trois hommes hochèrent la tête vigoureusement, en répondant:
– Oui, ma belle, plein d’oseille pour nos deux sociétés, et de beaux petits culs sur les plages cet été.
– Tu vois, chéri. On gagnera mieux notre vie. Attends, écoute, je suce le deuxième. Mmmh… et le troisième… Mmmh
Alysha pompait, et pompait encore. Je ne voyais pas sa bouche, elle me tournait le dos maintenant, juste les mouvements de sa tête qui allaient et venaient vers le ventre du troisième type, avec un léger mouvement de rotation qui m’indiquait qu’elle lui faisait une pipe très complète,, très appliquée. Il plongea ses mains dans les cheveux de ma belle et les caressa.
– OK, dis-je dans un chuchotement à peine audible. Laisse-les te prendre. Tu me raconteras ?
Elle repoussa le type pour me répondre.
– Oui, amour. Merci. A ce soir.
– A ce soir.
– Oh, Denis ?
– Oui ?
Elle lécha le gland du brun d’une langue joueuse.
-Je t’aime. N’en doute jamais. Il n’y a que toi, dans ma vie.
– Je t’aime aussi. Amuse… amuse-toi bien.
– Oh, ça oui, je vais bien m’amuser…!
Elle raccrocha en souriant et tendit son téléphone au beau brun.
– Messieurs, je suis toute à vous !
Elle ôta les pantalon des trois types, chacun son tour, en prenant chacune des bites entre ses lèvres, et en les gobant entièrement à chaque fois.
Puis, toujours à quatre pattes, elle releva sa jupe lentement, exposant son superbe derrière. Le triangle du string montrait à quel endroit la ficelle lui entrait dans le cul, perdue entre les lobes généreux. J’étais jaloux. Mais je me branlais de plus en plus fort, excité comme jamais. Ou comme toujours, plutôt, à bien y réfléchir. Chaque fois qu’elle se donnait à un inconnu, je souffrais, certes, mais le désir de regarder, de mater, et de la baiser, n’en était que plus violent.
Le brun, qui semblait mener le groupe, s’agenouilla derrière Alysha, écarta son string, et frotta son long sexe sur la chatte fraîche.
– C’est qu’elle est trempée, la cochonne… Vous vous faites troncher par tous vos clients ?
– Ouh. non, monsieur, seulement les clients importants….. ouh ça c’est bon… continuez…
Il fit aller et venir sa bite dans la fente trempée, lentement, délicatement. Je l’enviais. Pourquoi Lisa n’était-elle pas venue aujourd’hui ? Je me la serai bien sautée en regardant le spectacle… J’entendis la porte glisser et se refermer derrière moi, mais n’y pris pas garde. Je me retournai inconsciemment, et sursautai en découvrant Bléry qui m’observait , l’air malicieux. J’étais devant lui bite à la main, en train de mater comme un puceau ! Je remontai hâtivement mon slip et mon pantalon. Il s’approcha de moi, défit sa braguette, sortit son énorme braquemart de son costume, et, sans aucune gêne, entama une masturbation appliquée.
– Alors, l’avocat, dit-il doucement en tirant sur sa pine, on s’astique bien ? Elle est bonne, non ?
Je hochai la tête sans rien dire. Alysha tendait le cul en arrière, se cambrait, en suppliant le mec de « la lui mettre bien profond » (je cite). Elle gémit comme une salope lorsque l’engin la pénétra, d’un coup de reins bien calibré, et elle ondula son cul rebondi en cherchant clairement l’orgasme le plus rapide possible. Elle se tourna vers les deux autres types, qui se branlaient en silence en la regardant se faire sauter.
– Vos queues, dans ma bouche, vite ! dit-elle d’un air effronté.
Ils vinrent se placer devant elle, à genoux, afin qu’elle gobe les deux queues en même temps, ce qu’elle s’empressa de faire. La cambrure de son cul s’accentua quand le beau brun se mit à accélérer la cadence, harponnant la chatte fragile de sa bite veinée.
Bléry se masturbait plus vite maintenant.
– Au fait, ça ne vous gêne pas que je me branle ?
Je fis signe que non.
– Vous devriez faire de même.
J’acquiesçai. Alysha suçait, pompait, comme une déesse, langue sortie. Le beau brun passa devant elle, laissant sa place au gars plus trapu, qui planta sa bite épaisse dans la fente rose de ma compagne sans même l’y frotter pour l’humidifier. Alysha se tendit, et gémit plus fort encore. Une main disparut sous elle, et je sus qu’elle se touchait le clito pour accentuer son plaisir.
– Allez, l’avocat, branlez-vous, que diable ! J’ai l’air d’un con, tout seul, comme ça. Faites pas votre timide !
Ma main descendit vers mon slip, dans lequel je plongeai ma main, lentement. Ma bite était presque molle maintenant. Je tirai dessus et elle durcit entre mes doigts en un instant. Je m’astiquai en silence, aux côtés d’un Bléry extatique.
– Ah, croyez-moi, l’avocat, elle aime la queue, votre cliente. Et je vais lui en donner, jusqu’à plus soif. A commencer par la vôtre.
Je sursautai. Le troisième type tronchait ma compagne avec ardeur. Il n’allait pas tarder à venir.
– Pardon ?
– Allons, mon vieux, je vous l’offre sur un plateau. Elle fait tout ce que je lui dis de faire. Vous voyez bien: elle trompe son mec sans états d »âmes, elle se tape tout ce qui bouge – elle a sucé mes collaborateurs, s’est laissée sodomiser sans broncher, et elle en redemande. Si je lui dis de vous baiser, elle vous fera la totale. Sodomie comprise. Vous venez, on se la fait tout de suite. Vous avez déjà enculé une femme ?
Je paniquais. Si Alysha me voyait, c’en serait fini de notre couple !
– Je ne peux pas faire ça, Mr Bléry. Je tiens à ce que Mlle Rocher reste ma cliente. Peut-être acceptera-t-elle de se déshonorer si vous le lui ordonnez, mais…
– Contrainte ? m’interrompit Bléry. Pas contrainte, c’est une pute, je vous dis, elle ne demande que ça. Et je parle d’expérience: c’est la plus chaude de toutes celles que j’ai pu baiser avec mes contrats spéciaux.
Je ne relevai pas l’allusion. Apparemment, Alysha n’était donc pas la première à jouer à l’esclave romaine pour lui… Je secouai la tête.
– Néanmoins, je crains qu’elle ne cesse toute collaboration avec moi si elle apprend que je sais ce qu’implique cet avenant que vous avez signé avec elle… je ne peux pas prendre ce risque !
Bléry hocha la tête pensivement.
Alysha gémissait très fort maintenant, et se plantait de toutes ses forces contre le beau brun, qui avait repris sa place derrière le cul de ma compagne, et la prenait toujours en levrette. Je regardais son cul onduler sur la pine, ses deux seins exposés mais le haut de maillot toujours en place autour de la poitrine, et le chemisier toujours sur les épaules, miraculeusement. Le trapu se faisait sucer avec application, la bouche épaisse de mon Alysha traçant à coups de langue tout le contour de son énorme gland violacé. Le troisième attendait patiemment son tour, bite droite sous son nez.
Le brun se mit à ahaner et, sortant d’un coup son engin de la chatte brûlante, explosa en jets épais sur le cul rebondi. Il en zébra les lobes généreusement, atteignant facilement la jupe relevée et le petit triangle de tissu qui bordait toujours la raie sur laquelle il se frottait en soupirant bruyamment. Il se branla jusqu’à la dernière goutte, et, à peine s’écarta-t-il que le trapu prit sa place.
Sa pine disparut dans la fente humide, Alysha reprit sa danse rapide avec entrain, en suçant le dernier gars, pantalon baissé autour des genoux. Elle goba la bite si loin que le mec ne put s’empêcher de venir. Alysha le branla rapidement sur ses lèvres fermées et son visage se couvrit du sperme gluant que le gland éructait en saccades rapides. Dégoulinante, elle se tourna vers le dernier qui la gamahuchait avec insistance.
– Allez, mon beau, fais-moi jouir avec ta grosse queue, mets-la moi tout au fond !
Le gars n’y tint plus, il éjecta son sexe de la vulve et jouis à son tour sur le cul déjà souillé. Alysha se plaqua au sol en se masturbant avec force gémissements.
– Ah, dit Bléry, ils ont terminé. Vous allez me suivre, l’avocat, et baiser cette pute. Vous n’avez pas le choix, de toutes façons: je lui révèlerai votre présence en ces murs si vous ne venez pas.
Il appuya sur un bouton. La porte glissa, s’ouvrant directement sur la pièce où Alysha prenait son pied.
Elle me tournait le dos.
Je suivis Bléry, la mine sombre.
Les masques tombaient enfin.