Le Contrat d’Alysha – Chapitre 05
Alysha était sous la douche.
Après le petit déj, très amoureux, nous étions remontés dans la chambre et nous étions câlinés, nus sous les draps. Elle était douce, chaude, excitée, un vrai bonheur. Elle avait chopé ma bite avec empressement tandis que je lui malaxais les seins gentiment, m’avait poussé sur le dos, était descendue le long de mon corps, lentement, avait bloqué mon sexe entre ses deux nichons et m’avait branlé comme ça, me léchant le gland de temps à autres, juste ce qu’il fallait. Une douce chaleur mêlée de fourmillements m’avait envahi, et, encouragé par ses chuchotements qui me demandaient de venir sur ses seins, sur ses lèvres, de l’asperger de ma semence, je m’étais totalement laissé aller. Le son de sa voix murmurait des « mon amour mon amant mon amour mon amour viens, viens, mon amour amour mon amant », elle m’avait emporté jusqu’à ce que je jouisse longuement sous la pression de sa main, qui tenait ma bite droite, juste sous ses seins qui récoltaient ainsi la plus grande partie du sperme épais.
Elle m’avait ensuite nettoyé consciencieusement le gland avec sa langue très douce, et, sa poitrine dégoulinant toujours de sperme ,elle avait traversé la chambre nue, un petit rire dans la voix, et était allée prendre sa douche.
Je me levai, traversai le couloir et filai à l’ordinateur, dans mon bureau. Je l’avais allumé dès que l’on s’était levés, pour ne pas perdre de temps. J’entrai dans la messagerie d’Alysha, et affichai le message qu’elle avait envoyé au milieu de la nuit.
« Cher Mr Bléry, veuillez trouver ci-jointes les photos que vous m’avez commandées. Vous remarquerez avec quelle rapidité je réponds à vos demandes, et espère que vous m’en récompenserez en pensant un tout petit peu à moi cette semaine. Vous serez heureux d’apprendre que c’est mon compagnon qui a pris les photos, et que c’est son sexe qui me sodomise sur les clichés 6 et 7 et j’espère que vous serez excité en sachant que je lui ai fait croire que j’étais ivre, et que c’est lui qui a profité de l’occasion pour me proposer de me prendre en photo… Le cliché 9 montre son sexe au repos, je l’ai pris au milieu de la nuit, juste avant de venir vous écrire ce courriel. S’il n’est pas très grand, il me comble véritablement, j’aime mon compagnon, cher Mr Bléry, et vous devriez n’en être que plus perversement heureux de pouvoir disposer de mon corps comme vous le faites, avec mon consentement plein et entier. Bien à vous, votre Alysha. »
Elle avait fait semblant !
Comme j’étais naïf !
J’avais les larmes aux yeux, la preuve d’amour qu’elle me donnait dans le mail était magique, malgré son infâme infidélité, et le ridicule dans lequel elle me plongeait en insistant sur la taille de mon sexe, et en me prenant en photo à mon insu, juste pour se moquer de moi !
Les clichés étaient magnifiques, on voyait les gouttes de sperme congelé sur le concombre qui emplissait l’anus de ma belle, on y voyait ma queue baignant dans le jus de Bléry pendant que je la sodomisais, le concombre flou en arrière plan, les gros nichons, le cul rond et blanc… je quittai la messagerie, à nouveau tordu entre l’amour et la haine, à nouveau déchiré entre l’excitation inavouable et le dégoût le plus total.
Je revins dans la chambre, m’allongeai sur le lit et pensai à mes alternatives. Et soudain, je sus ce que je devais faire. C’était si évident, si simple…
J’allais rendre visite à Bléry.
***
– Qui dois-je annoncer ? me demanda la secrétaire.
Mon coeur battait la chamade, je n’arrivais pas à me maîtriser. Ma voix tremblait lorsque je répondis:
– Denis Fresnel, avocat-conseil de Mlle Alysha Rocher.
– Vous aviez rendez-vous ?
– Non, mais…
– Mr Bléry est très occupé, il vous faut prendre rendez-vous avant toute entrevue.
– Ecoutez, c’est très important. Je… je n’en ai pas pour longtemps. Il s’agit tout de même d’un gros contrat, qui nécessite un peu de souplesse de la part de toutes les parties, non ?
Elle hocha la tête, lèvres pincées. Elle était plutôt mignonne, tirée à quatre épingle, brune et fine. Ses seins bombaient joliment le tissu de son chemisier mauve, ça ne m’étonna pas de Bléry, il semblait aimer la beauté. Je lui fis les yeux doux.
– S’il vous plaît ?
Elle soupira.
– Je vais voir ce que je peux faire. Asseyez vous dans la salle d’attente.
– Merci.
Elle sourit furtivement, et me détailla de manière fugace. Elle avait l’air de me trouver à son goût. Sentiment partagé. Mon coeur se serra, en repensant à Alysha en train de satisfaire un autre homme, et je me dirigeai vers la salle d’attente en me disant que je ne valais peut-être pas mieux qu’elle, finalement.
L’attente ne fut pas longue. La secrétaire ouvrit la porte – elle n’était pas grande, et portait une jupe d’un bleu pourpre qui épousait parfaitement ses formes et des talons hauts très fins – et me fit un sourire très avenant.
– Mr Bléry va vous recevoir. Veuillez me suivre.
J’obéis, maladroitement, ne sachant comment éviter de fixer son cul qui roulait sous sa jupe au rythme de sa démarche gracile. Effort vain, le temps d’arriver à la porte massive du bureau du patron, je bandais comme un taureau et avait déjà imaginé plusieurs scenarii dans lesquels elle ne portait ni jupe, ni chemisier, mais avait toujours ses talons… ses longs cheveux noirs ébouriffés le long de son visage, cachant ses seins pointus et descendant le long de son cul fin… brrr, il fallait me ressaisir !!!
Elle ouvrit la porte, m’annonça, et me laissa passer, en me frôlant ostensiblement, un sourire aux lèvres. Oui, je lui plaisais.
Bléry était assis à un bureau de ministre, qui devait bien mesurer 6 mètres de long, et fourrageait dans des papiers.
– Asseyez-vous, asseyez-vous, cher Maître.
J’avançai, coeur battant. Qu’allais-je donc dire ? « Bonjour, vous baisez ma femme, arrêtez tout de suite parce que ça m’excite trop et que je ne sais pas comment réagir à cette drôle de situation ? » Il me fixa droit dans les yeux.
– Je vous écoute.
– Mr Bléry, dis-je (ma voix ne tremblait pas, un miracle !), je représente les intérêts de Mlle Rocher, comme vous le savez, et le contrat que vous avez signé avec ma cliente…
– Mon associée.
– Pardon ?
– Votre cliente est maintenant mon associée. Ma collaboratrice, si vous préférez.
– Oui. Justement: ce contrat, vous me l’avez envoyé, et vous avez omis volontairement l’avenant qui y est évoqué. De plus, Mlle Rocher, votre collaboratrice (j’insistai sur le mot) refuse que j’assiste à vos entrevues professionnelles, dont la plus importante a tout de même été la signature dudit contrat !
Bléry semblait réfléchir.
– Je vois.
– Mlle Rocher est une femme intelligente et sensible, mais, parfois, pour ce qui est des termes légaux d’un contrat, elle ne fait pas montre d’une connaissance accrue de ce qui peut et ne peut pas être signé, ou ce à quoi on peut ou ne peut pas consentir. Je veux voir cet avenant.
– Non. C’est une clause entre mon associée et moi-même.
– Mr Bléry… dis-je d’une voix dangereuse… j’aime autant vous prévenir…
– Est-ce que votre cliente vous plaît ?
La question me prit totalement au dépourvu.
– Pardon ?…
– Est-ce qu’elle vous fait bander ? Est-ce que vous aimeriez la sauter ? N’avez-vous jamais rêvé de lui arracher ses vêtements et de la baiser sur le tapis de votre cabinet d’avocat ?
– Mr Bléry, si c’est une plaisanterie…
– J’ai vu juste, n’est-ce pas ? Elle vous attire… Vous rougissez, et pas de rage.
Il hocha la tête, l’air gourmand.
– Présentez-vous à ma secrétaire jeudi prochain à … disons… 13h30. Vous verrez alors une de mes réunions de travail avec ma collaboratrice. Et réfléchissez bien à ma question: si elle vous donne la trique, alors… alors je vous proposerai un petit marché.
– Je…
– Jeudi prochain, dans 6 jours, 13h30. Je ne vous raccompagne pas ?
Je sortis de la pièce, des papillons dans le ventre, les jambes en coton. Je revins dans le hall comme dans un cauchemar éveillé.
La secrétaire me suivit du regard et je me demandai un instant si elle ne fixait pas mon cul avec plus d’insistance que nécessaire.
J’hésitai un instant à lui demander à quelle heure elle terminait son service, mais, bien que certain qu’elle me donnerait une réponse avec le sourire, je ne me sentais pas prêt à tromper ma compagne.
Et j’avais bien conscience que ces scrupules étaient totalement stupides.
***
La semaine s’écoula plutôt rapidement. Alysha venait me baiser dès que je rentrais à la maison, c’était un développement intéressant de notre relation. Elle ne portait plus de culotte, ou l’enlevait quand elle venait me rejoindre, elle avait pris l’habitude de me masser la bite avec sa chatte nue, c’était une sensation extrêmement agréable, elle remuait sur moi, enduisant ma queue de son jus intime et glissant dessus, sans me laisser la pénétrer, jusqu’à ce que je jouisse sur sa moule. Elle me léchait le ventre longuement, et terminait en me nettoyant le gland – jusqu’à provoquer une nouvelle érection, de temps en temps. Elle me suçait alors, puis me présentait sa croupe ronde et me demandait de la sodomiser, de venir dans son cul. Elle me chuchotait ensuite qu’elle m’aimait et qu’elle se sentait remplie lorsque je l’enculais.
Deux jours après mon entrevue avec Bléry, elle reçut un mail lui enjoignant de venir le rencontrer à son bureau à 13h15 le jeudi suivant. Il la félicitait pour les photos, et lui expliquait qu’il les avait montrées à plusieurs de ses amis, amis qui rêvaient maintenant de la rencontrer. Il lui disait aussi qu’il s’était branlé devant son écran, si fortement que de la jute avait aspergé son clavier, et que si elle avait été là, il la lui aurait fait lécher.
La jalousie me reprit un peu, mais Alysha semblait si heureuse, si amoureuse, que je ne pus lui en tenir rigueur très longtemps – ni bien sûr lui expliquer ma mauvaise humeur passagère.
Enfin, le jeudi arriva.
Lorsque le réveil sonna, je mis un moment avant d’analyser la sensation agréable que j’éprouvais dans le bas-ventre. J’allumai la lumière, et soulevai légèrement les draps. Alysha, cheveux en bataille, me suçait lentement le gland, en tenant mon sexe entre ses deux mains toutes chaudes.
– Bonjour…, murmurai-je.
– Mmmmh…mmmh…
Elle m’emboucha complètement, aspirant ma pine comme un gros spaghetti, dans un bruit de succion exagéré.
– Que me vaut l’honneur de cette douceur ?
Je connaissais la réponse, évidemment. Bléry. Elle pompait de mieux en mieux, il me fallait le reconnaître. Elle remonta le long de ma queue avant de me répondre.
– Mmmh… rien… je veux que tu te souviennes que je t’aime pendant toute la journée.
– Je t’aime aussi… tu suces divinement bien.
Elle sourit et me masturba sans hâte.
– Merci.
Elle me suça encore un moment, puis remonta le long de mon corps, et empala sa chatte sur mon sexe tendu. Elle resta bien droite, seins pointés vers le ciel, et me chevaucha comme un mustang sauvage, allant et venant à un rythme effréné. J’attrapai ses nichons entre mes mains, la caressai, lui pinçai les tétons avec insistance, donnai des coups de reins pour la pénétrer plus profond.
– Ah, ouiii, chuchotait-elle, oui, mmmh, viens, viens, remplis-moi de sperme, viens…
Je ne me fis pas prier. Je déchargeai au fond de son hymen, de longs jets de sperme frais, qui emplirent sa grotte et la rendirent plus glissante et accueillante encore. Je gémis de manière très audible, en murmurant des « je t’aime je t’aime je t’aime » incohérents. J’attirai Alysha à moi et la serrai dans mes bras, en me délectant de la sensation de ses seins écrasés contre ma poitrine.
Elle me mordilla l’oreille et chuchota:
– Je ne vais pas me nettoyer la chatte. Je garderai ton sperme en moi toute la journée. Et comme je ne mets pas de culotte, s’il coule le long de mes jambes par moments, je récupèrerai les gouttes et je les boirai.
Elle remua sa chatte sur mon sexe qui dégonflait en elle, et m’embrassa.
Et Bléry la sauterait dans ce qui resterait de ma jute. Je souris à cette idée. Je l’aimais.
***
La secrétaire – rouge à lèvre discret, chemisier violet foncé, jupe noire stricte – me sourit.
– Mr Fresnel, oui, vous avez rendez-vous. Suivez-moi.
Elle se leva – elle m’arrivait à peu près à l’épaule, même avec ses talons hauts – et me guida vers les bureaux.
Elle me fit entrer par une porte, à droite de celle du bureau de Bléry. Nous entrâmes dans une espèce de couloir, qui tombait sur une pièce étroite, carrée, éclairée par une petite lumière très tamisée.
– Mr Bléry m’a demandé de vous faire attendre ici. Ne faites aucun bruit, surtout, et éteignez votre portable.
Je hochai la tête, éteignis mon portable, et la regardai sortir.
La pièce, de peut-être deux mètres sur trois comportait un petit bureau, une chaise, une lampe discrète. Deux de ses murs étaient lisses, comme des miroirs, mais ne reflétant rien.
– Ah, Mlle Rocher, excusez-moi de mon retard.
Je sursautai. La voix de Bléry venait du mur de gauche.
– Ce n’est rien Monsieur, j’ai joué avec mon petit minou pour patienter.
Toujours ce pincement au coeur.
– Très bien. Déshabillez-vous complètement, je reviens dans un instant.
– Ici, Monsieur ? Mais… si quelqu’un entre ?
– Fais ce que je te dis, et ferme-la.
– Oui, Monsieur.
Une porte s’ouvrit, se referma. Et Bléry se retrouva à côté de moi.
– Mr Fresnel, dit-il à voix basse. Vous vouliez savoir ce que faisait votre cliente avec moi grâce à ma petite clause. Eh bien, regardez.
Il appuya sur un bouton près de l’espèce de miroir, et un voile occultant se souleva, révélant un miroir sans tain, donnant sur le bureau, bien éclairé. Alysha se tenait là, déboutonnant sa veste étroite, puis la pliant sur sa chaise. Elle tira sur son caraco noir et le fit passer au-dessus de sa tête.
– Z’avez vu ces putains de nibards ? me dit Bléry. J’ai fait une affaire en achetant les maillots de cette petite pute ! Bon, c’est pas tout ça, mais je dois aller lui foutre ma queue dans le cul, avant qu’elle ne refroidisse. Vous êtes ici dans une salle que je réserve à mon personnel lors de négociations de contrats délicats, soit pour des collaborateurs qui me conseillent à distance, soit pour du personnel chargé d’assurer ma sécurité – comme vous le savez, dans le métier, on a parfois affaire à des loustics dont il vaut mieux se méfier. Lisa va venir vous tenir compagnie pendant que je m’occupe de votre cliente. Satisfait ?
Il sourit, machiavélique, et sortit sans attendre ma réponse.
Alysha était nue, maintenant. Elle avait gardé ses talons hauts. Elle s’assit dans le fauteuil de Bléry, écarta les jambes, et commença à se masturber ostensiblement, une main sur les seins, en regardant droit dans le miroir sans tain. Elle s’admirait, et s’excitait en s’enfonçant les doigts dans la vulve, en frottant son petit bourgeon, en se pressant les tétons pour qu’ils se dressent sur ses seins couleur sable.
– Elle est belle, n’est-ce pas ?
Je sursautai à nouveau. La secrétaire était entrée silencieusement, et se tenait à côté de moi. Elle observait Alysha en souriant. Je hochai la tête sans répondre. Bléry entra dans la pièce, et baissa son pantalon, l’air gourmand. En un instant, son énorme bite se retrouva dans la bouche d’Alysha, qui le suçait comme un veau tète sa mère.
– Je m’appelle Lisa, au fait, me dit la secrétaire.
Elle se tourna vers moi, m’embrassa dans le cou, sur le menton, sur les lèvres. Je lui rendis son baiser, elle me plaisait, elle était jolie pour son âge, et j’étais curieux de voir ce qui se cachait sous ce chemisier et cette jupe. Je caressai ses petits seins à travers le tissu violet, mais elle repoussa mes mains.
– Tut tut tut, plus tard, jeune homme. Mr Bléry tient à ce que vous voyez ses exploits.
Elle m’embrassa encore, et se mit à genoux, déboutonna mon pantalon, plongea la main dans mon slip et me masturba gentiment.
– Oh, le pauvre petit oiseau… il faut que je le fasse durcir un peu…
Elle lécha le gland avec application et goba ma bite un peu molle. Sa bouche était chaude et ample, je souris et revins à Alysha, qui suçait toujours Bléry, l’avalant en entier, et crachant à chaque fois des filets de salive sur la belle bite veineuse.
– Allez, petite trainée, c’est l’heure de passer à la casserole.
– Oui, Monsieur, il est temps de fourrer votre poule toute chaude…
– Tourne-toi, poulette !
Il la fit s’agenouiller sur le siège à roulette, elle se maintenait par les mains au dossier du fauteuil, et il lui fourra sa queue dans la chatte d’un seul coup.
– Hé hé, tu es bien humide, la belle, ça glisse tout seul !
– Ah, Monsieur, c’est qu’il y a le sperme de mon ami pour vous faciliter l’accès…Mmmmh… j’ai gardé son jus en moi depuis ce matin, rien que pour vous…
Je me crispai donnant involontairement un coup de reins en avant, ce qui valut à la secrétaire de m’avaler totalement dans sa gorge. Elle me pressa les fesses de ses deux mains et me garda ainsi, en remuant sa langue sous ma queue, jusqu’à lécher mes couilles. J’étais bien dur, maintenant, et la fellation me procurait de plus en plus de plaisir.
Bléry défonçait littéralement la chatte d’Alysha à grand coups de reins rageurs,, accroché à ses hanches, donnant de temps à autres des claques appuyées sur le cul de ma compagne.
J’attrapai la tête de Lisa et la guidai plus précisément sur mon sexe, décuplant mon plaisir.
– Laissez-moi vous baiser… dis-je en chuchotant.
Elle sourit.
– J’en ai envie aussi, Mr Fresnel, mais après, les consignes sont claires. Retenez-vous, et vous pourrez me prendre. Ma culotte est trempée, si vous saviez…
Elle me reprit en bouche, ses petites lèvres faisant merveilles sur mon érection maintenant bien solide et je me perdis à nouveau dans l’infidélité de ma compagne.
Bléry était allongé sur le sol de son bureau, et Alysha lui administrait le traitement de roi auquel elle s’était entraînée toute la semaine: elle frottait sa chatte glabre contre le bâton de chair immense, et massait la queue terrible avec une expertise inégalable. Bléry respirait avec difficulté, suffoqué par le plaisir que lui procurait ma belle, elle appuyait ses mains délicates sur le poitrail massif de son amant, en murmurant des mots doux que je ne comprenais pas, ondulant le bassin, un geste qui rendait son cul formidable encore plus magnifique à mater, je donnai des coups de reins inconscients dans la bouche de la brunette qui me tallait une pipe magistrale, gémissant presque silencieusement à la vue d’un spectacle si beau. Lisa temporisa, me léchant le bout du gland avec délicatesse pour que je ne vienne pas encore.
Alysha se mit à geindre de plaisir, écrasant son petit bouton sur la bite turgescente, Bléry l’accompagna, aux anges, sincère pour la première fois peut-être dans son plaisir avec ma compagne.
La fontaine de sperme jaillit sur son nombril, Alysha continua à masser la queue immense entre les lèvres rasées de sa belle chatte, jusqu’à ce que la mare de jute soit telle sur le ventre de son patron que des gouttes coulaient sur le sol. Elle descendit le long de ses jambes, écrasant sa moule sur les cuisses puissantes, et, dans un rituel que je connaissais bien, lécha d’abord le liquide congelé sur le corps de Bléry, puis lui nettoya la pine en le suçant activement.
D’un geste, je fis se relever Lisa, la retournai contre le miroir, et soulevai hâtivement sa jupe noire.
– Pas de bruit, Monsieur, surtout, haleta-t-elle, aussi excitée que moi.
Je hochai la tête sans répondre, écartai sa petite culotte, et fourrai ma bite dans l’antre trempé. Je glissai une main sur son ventre, la remontai sous son chemisier, la fis passer sous le soutif trop serré, et caressai enfin les petits globes doux de ses nichons.
Je la gamahuchai avec bonheur, donnant des coups de reins incohérents, j’embrassai son cou, me noyai dans sa longue chevelure brune, descendis ma main vers sa chatte et trouvai, au milieu de poils courts, son petit bourgeon que je titillai avec précision.
Elle gémit doucement, accompagnant ma danse dans sa chatte, et se cabra, se tordit, jusqu’à jouir silencieusement, les lèvres serrées, le corps tremblant. Il ne m’en fallut pas plus pour éjaculer dans son petit minou doux, des petits jets saccadés que je ne pus contrôler, le plaisir à l’état pur, que l’infidélité de ma compagne me permettait, finalement, de vivre.
Je vis à peine Bléry quitter la pièce avec Alysha, trop occupé à échanger des baisers fougueux et épuisés avec Lisa, dont j’espérais qu’elle me permettrait à nouveau de partager ce genre de moments particuliers…