Le Contrat d’Alysha – Chapitre 02
La semaine s’écoula lentement.
Le première chose que j’avais faite en remontant à mon bureau avait été de consulter la messagerie d’Alysha, dont j’avais les identifiants et mot de passe, pour voir si les détails du contrat lui étaient parvenus. Ce n’était pas le cas. En quittant la messagerie, je tremblais, une angoisse diffuse se répandait dans mes membres, je suffoquais en pensant que j’allais perdre ma compagne, que j’allais la jeter en pâture à un pervers pour une poignée d’euros, que ma vie serait gâchée parce que je n’avais pas voulu perdre les bénéfices de ce contrat, et que je lui avais menti en lui disant que je n’avais rien vu de son adultère, de sa jouissance extatique avec un autre homme.
La jalousie rétrospective me broyait le coeur, j’avais envie de me taper la tête contre les murs d’avoir laissé ma femme – ou presque – dans les bras d’un inconnu – et d’en avoir joui. Plus que joui, même. Rien que d’y repenser, je bandais comme un âne. Et ça me mettait encore plus en rage.
L’avantage de la situation était qu’Alysha se montrait câline, féminine, heureuse à mes côtés. La salope. Nous ne nous vîmes pas beaucoup dans les premiers jours – j’avais résolu d’abattre le travail de la fin de semaine afin de pouvoir être libre pour être présent à la signature du contrat. Caché. Prêt à me masturber piteusement et à boire la trahison de ma compagne jusqu’à la lie. Malgré le peu de temps passé ensemble, elle me suçait dès que nous avions cinq minutes.
– Tu ne vas pas aller à l’audience tout tendu comme ça, disait-elle en ouvrant mon pantalon. Et tu dois t’entraîner pour être performant lorsque j’aurai signé mon contrat, je te veux dur comme du bois lorsque tu me prendras mon petit trou tout doux..
Et elle s’agenouillait devant moi, et me pompait la queue comme une reine, avec application, en se touchant le sexe sous ses jupes courtes. Je la soupçonnais de s’entraîner elle-même à offrir la meilleure fellation possible à son partenaire, afin de satisfaire son client. Mais… mais je ne disais rien. Je jouissais dans sa bouche, ou sur son visage, la remerciais, profitais de la plénitude que me procuraient les petites attentions de l’amour de ma vie. Elle recommençait le soir, tard, lorsqu’elle sortait de son atelier de création, elle m’allongeait sur le canapé, ou sur la table de la cuisine à peine débarrassée, ou sur le siège inclinable de mon bureau, et me faisait l’amour, me massait la bite avec son sexe épilé, me suçait, m’excitait.
– C’est ça, bébé, détends-toi, plus que quatre jours et je te fais grimper au paradis…
Je passais des nuits agitées, toujours indécis quant à l’attitude à adopter, au fur et à mesure que le jour J approchait. Et secrètement satisfait de la nymphomane qui avait remplacé mon Alysha depuis quelques jours.
Deux jours avant l’entrevue, un mail intitulé « Contrat Blery/Rocher » tomba dans ma messagerie. Je l’ouvris avec fébrilité, n’osant croire que le client, à qui j’avais donné ma carte, m’envoyait une copie du contrat d’Alysha – ou Mlle Rocher. Je le parcourus en tremblant. Il s’agissait d’un contrat classique, avec cession des droits sur les motifs et les tissus créés par Alysha, contre la distribution, avec intéressement, desdits motifs et tissus, et l’ouverture du carnet d’adresse de Mr Blery, qui comportait nombre de marques de mode, de sport, et de contacts dans ces univers fermés. La somme de cent mille euros serait versée le jour de la signature, et comprenait la cession des droits et les termes des clauses particulières en avenant 1 pendant une année à compter de la signature ou jusqu’à l’apurement des cent mille euros.
Je tremblais. Je cherchai l’avenant 1 dans le document, mais il ne s’y trouvait pas.
Je respirai un grand coup, attrapai mon téléphone, et appelai la société Bléry, demandant qu’on me fournisse l’avenant manquant. La secrétaire me fit patienter un instant, et me répondit que les termes des clauses particulières avaient été négociés directement entre Mlle Rocher et Mr Bléry, et qu’elle faisaient l’objet d’une clause de confidentialité. J’insistai, mais il n’y eut rien à faire, la secrétaire ne pouvait m’en dire plus.
Je soufflai, maîtrisant ma rage, et consultai la messagerie d’Alysha.
Le même courriel s’y trouvait. Avec l’avenant secret en pièce-jointe. Je l’ouvris en tremblotant.
« Mlle Rocher s’engage par le présent avenant
à satisfaire pendant une année ou jusqu’à apurement des cent mille euros, tous les désirs sexuels de Mr Bléry, à raison d’un rendez-vous hebdomadaire sur 52 semaines à compter de la signature du présent contrat.
L’acception de la satisfaction des désirs sexuels de Mr Bléry est laissée à l’appréciation de celui-ci.
Mlle Rocher s’engage à obéir à toute injonction de Mr Bléry, à toute heure, en tout lieu, et avec toute personne que Mr Bléry jugera nécessaire pour lui apporter ledit plaisir dans le cadre du rendez-vous hebdomadaire prévu dans le présent avenant.
Mlle Rocher s’engage à être la propriété personnelle de Mr Bléry durant les rendez-vous hebdomadaires, et sera récompensée ou punie selon son empressement à le satisfaire.
Toute entorse au présent avenant rend le contrat nul et non avenu, et en entraînera la rupture, avec remboursement des sommes non apurées. »
Je suffoquai.
Je ne pouvais pas accepter ça. Un an. Un an à voir ma compagne faire la pute pour un vicieux, un pervers, c’était hors de question. Je quittai mon bureau comme une furie, descendit l’escalier et ouvrit la porte de l’atelier d’Alysha au moment où elle sortait.
– Oh, tu es là.
Elle était très pâle, il y avait juste deux tâches roses sur ses joues, comme si elle ne pouvait pas rougir correctement. Ses yeux étaient paniqués, fuyants. Je la poussai dans son atelier, et montrai l’ordinateur encore allumé.
– Ton client m’a envoyé le contrat.
Ses yeux s’agrandirent. Elle respirait rapidement, difficilement. Sa voix tremblait quand elle répondit:
– Ah… je …oui… moi aussi… je ne sais pas ce qui… je vais refuser, bien sûr, c’est inacceptable.
Je serrai les poings. Cent mille euros. Voilà ce à quoi j’allais renoncer. Une lame de froid m’envahit. Je n’avais pas les couilles.
– Tu ne vas pas renoncer. Tu vas signer ce contrat.
Elle me regarda, horrifiée. Je pris conscience de sa tenue, elle avait un chemisier rose qui lui enserrait les seins, sans soutien-gorge – les tétons étaient visibles par transparence – et une mini-jupe noire. Je sentis une érection naissante et m’approchai d’elle, toujours furax, je me faisais violence pour ne pas la frapper.
– Je… quoi ? Tu veux que je signe ? Un an à me faire … me soumettre à… je…
– Tu n’en as pas envie ?
Elle déglutit.
– Je… non, bien sûr que non… je… comment peux-tu me demander une chose pareille… ?
– On ne parle pas de moi, là.
Je m’approchai encore. Elle baissa les yeux. Je lui pris le menton entre mes doigts, et la forçai à me regarder dans les yeux.
– Dis-moi la vérité. Tu n’as pas envie de signer ce contrat ?
– Je… si. Oui. J’en crève d’envie. Je ne pense plus qu’à ça depuis une semaine. Je… suis désolée. L’argent… et… le reste… c’est trop tentant, trop bon, ça… ça m’excite. Je… te demande pardon.
J’avais ma réponse. Elle voulait se taper ce mec, et jouer à la pute pendant une année. Soit. Je me promis de le lui faire payer cher. Très cher. Je l’embrassai sur la bouche, forçant ma langue dans son palais, je pressai ses seins, douloureusement, et soulevai sa jupe.
– C’est une bonne nouvelle, dis-je. Je te félicite sincèrement. Tu as beaucoup travaillé, tu as donné de ta personne, pour parvenir à ce succès.
Elle me regarda, apeurée. Je glissai mes doigts dans son string et plantai mon majeur dans sa chatte.
– Tu me.. fais… mal.
Je ne me préoccupai pas de sa protestation. Je remuai violemment mon doigt dans ses chairs.
– Et c’est quoi, cet avenant dont parle le contrat ? Tu l’as eu, toi ? Il n’était pas dans le mail que j’ai reçu. C’est quoi, cette clause particulière ?
Elle calcula très vite la signification de cette information: je n’avais pas l’avenant, la conversation n’était qu’un malentendu, et sa peur infondée, elle pouvait signer sans que j’apprenne quoi que ce soit, et se faire baiser à l’envi sans que je ne le sache. Il n’y eut pas une seconde d’hésitation entre ma question et sa réponse, à la voix encore tremblante:
– Oh, rien d’important, un rythme de travail imposé, une fois par semaine, Bléry est très pointilleux, il voulait que ce soit une clause suspensive.
Je hochai la tête. Elle se serra contre moi, et ondula le bassin pour se planter plus profondément sur mes doigts rageurs.
– Continue, avec ta main… tu aimerais me prendre d’un coup, contre le mur ?
Je frottai mon entrejambe contre sa cuisse, et lui mordis l’épaule en déboutonnant son chemisier avant de dire:
– Je veux voir ce papier avant que tu ne donnes ton accord.
Ses seins se soulevaient, gonflés, sous mon regard gourmand. Elle m’embrassa sauvagement, en baissant hâtivement son string, libérant ainsi de la place pour ma main. J’ajoutai deux doigts au majeur qui la pénétrait sans douceur. Sa bouche était tout contre mon oreille.
– Pourquoi, mon amour, tu ne me fais pas confiance…?
J’admirais son aplomb. La salope. La sa-lo-pe !
– Je ne veux pas que tu te fasses baiser.
Elle se tendit légèrement, respirant plus vite.Elle fit glisser son chemisier au sol, ne gardant plus que la mini-jupe noire qui faisait ressortir sa peau couleur de sable.
– Comment ça ?
Je griffai ses fesses d’une main et la masturbai de l’autre, excité par l’absence de scrupules dont elle faisait preuve, et par ses nichons magnifiques dont les tétons dressés trahissaient l’excitation partagée de ma compagne.
– Les clauses en petit caractères, c’est mon métier, ma belle. Je veux être sûr que tu ne te fais pas baiser.
Elle baissa ma braguette urgemment, déboutonna mon pantalon, et plongea ses longs doigts dans mon slip. La sensation était divine.
– Ouh, si, je vais me faire baiser comme une salope, ouh, j’en ai enviiie… et pourquoi ne pas commencer maintenant…?
Elle me mordit l’oreille, me poussa contre le mur et dirigea ma bite tendue vers sa chatte, qui s’ouvrit tendrement sur son passage. Je me laissai envahir par la chaleur de son hymen et la pénétrai jusqu’à la garde. Ses jambes s’accrochèrent à moi, repliées, je la soulevai, la retournai et la plaquai au mur, la baisant debout, sauvagement. Alysha était en transe.
– Oh oui, baise-moi, baise-moi, aaah aaaah, je vais signer, signer ce contrat, me faire baiser, baiser…aaah aaah encore ta grosse bite…aaah !
Je sentais ses seins fermes à travers le tissu de ma chemise, je lui léchais le cou, la pistonnant énergiquement, excité comme jamais par son double-langage, en l’imaginant se donner à d’autres hommes en me le cachant, en me rappelant comme elle avait semblé apprécier la sodomie quelques jours avant, en la découvrant si salope, si féminine. Ma pine s’enfonçait facilement dans la chaleur moite de son sexe, elle se malaxait les nichons, la tête en arrière, couinant de plaisir.
– Mmmh, je suis une traînée, ouh mon mec mon amant mon amour mon amour, prends-moi, je le mérite, ouh que c’est booon;.. aaah… je suis ta salooope…
Je sortis d’un coup de sa chatte et la retournai contre le mur. Elle glissa une main sur son minou et en écarta les grandes lèvres.
– Ah oui…. oui…. prends-moi par derrière.
J’humectai mon gland sur son sexe trempé, et cherchai son anus, tenant ma bite comme une épée. D’abord surprise, elle attrapa ses lobes des deux mains et les écarta en ondulant le bassin, pour ma faciliter l’accès à sa voie étroite.
– Ouuuh, oui, il faut que…aaah… je m’entraîne…. pour le jour de la signature… ouh… le bon stylo…ouh…
Je n’en pouvais plus. J’appuyai sur sa pastille qui céda d’un coup, gobant entièrement mon gland, et commençai à la ramoner, les yeux fixés sur ma bite qui pistonnait, sur son cul blanc qui s’écartait, sur la jupe serrée qui entourait les hanches délicates. Je lui agrippai les nibards à deux mains, et l’enculai jusqu’à la garde.
Une de ses mains retourna sur sa chatte, elle gémissait de toutes ses forces, je la bourrai de coups de reins, heureux.
– Prends ça, salope salope salope !
– Ouh Aaah Ouhhh Aaaaah !
Elle se cambra sur ma pine en émettant un cri perçant, je m’immobilisai au fond de ses boyaux, la laissant jouir. Elle s’accompagnait de sa main, doigts fourrés dans sa moule, qui allaient, s’arrêtaient, venaient en une danse très érotique. Je la laissai glisser au sol, regardant mon sexe sortir lentement du petit trou élastique, l’allongeai au sol et posai ma bite entre ses gros nichons.
Elle se souleva légèrement, se saisit de ses seins, enserrant ma queue entre eux, et me branla en me suçant le gland avec sa langue. Je jouis presque immédiatement, le sperme clair et liquide éclata en jets puissants, lui aspergeant la langue, les narines, le menton et le haut de sa poitrine opulente. Elle me branla entre ses tétines tout du long, souriante, les dents baignées de jute translucide.
– Je te plais, en salope ? dit-elle en récoltant les gouttes sur son visage et en les portant à sa bouche.
– Oui. Tu ne sais pas jusqu’où je peux aller pour te voir continuer à me baiser comme ça.
Elle sourit encore, ravie du compliment.
– Dans deux jours, je veux que tu me prennes par derrière dès qu’on se déshabille. On aura quelque chose à fêter royalement !
Je lui rendis son sourire, et l’embrassai sur sa bouche encore collante.
– Tout ce qui fera plaisir à ma salope adorée, je le subirai.
Elle éclata de rire, et nous nous enlaçâmes.
Deux jours.
Deux jours, et j’allais encore voir cette salope adultère se faire troncher par un autre.
Et, à ce moment précis, j’eus hâte d’y être.