Couple Ordinaire – Matin câlin
Histoire se basant sur des faits réels. Seuls les prénoms ont été modifiés.
Hier matin, lorsque j’ai entendu ma fille demander son biberon de lait, j’ai décidé de me lever et de laisser mon épouse dormir. J’ai pris mon petit déjeuner en bouquinant tranquillement, pendant que ma fille jouait dans son lit, puis mon grand fils s’est levé à son tour et, banalement, je lui ai préparé son petit déjeuner.
Je devais emmener la petite à la crèche pour la matinée, et proposai à mon épouse, qui, sentant que je partais, se levait aussi, de passer acheter du pain à la boulangerie pour son petit déjeuner..
– Et un croissant, si tu veux. En attendant, tu peux te recoucher.
– D’accord, prends le porte-monnaie.
En guise de chemise de nuit, elle portait une vieille robe d’été, qui est trop lâche en haut, et qui laisse entrevoir ses seins quand elle se penche. Je l’embrassai sur la joue, en matant ses seins par-dessus son épaule, j’habillai la petite et l’emmenai ensuite à la crèche.
5 minutes en voiture, le pain, les croissants, je revins rapidement. Je posai les croissants et les baguettes dans la cuisine.
– Allez hop, au p’tit déj’, dis-je, pensant trouver mon épouse dans le salon.
Elle n’y était pas.
– T’es où ? appelai-je.
– Quoi ?
Elle avait répondu de la chambre. Je m’y glissai, et la trouvai en train de lire dans le lit, ses seins dépassant légèrement de sa robe lâche. Je lui souris.
– Je t’ai apporté de quoi prendre ton petit déj’, dis-je en embrassant les tétons qui dépassaient ingénument, ressentant une envie diffuse se propager dans mon bas-ventre. Ma bite se réveillait agréablement dans mon pantalon, je lui caressai les seins avec insistance, appréciant leur mollesse dans mes mains, et sachant pertinemment que, mon fils étant dans le salon en train de bouquiner, il était hors de question qu’il y ait du sexe entre nous ce matin – on fait plutôt ça quand il n’est pas là, ou l’après-midi, pendant la sieste de la petite, ou le soir très tard.
Après un baiser léger, je la laissai prendre son petit déj, un peu frustré, mais la vraie vie est comme ça, on ne baise pas quand on veut…
Son petit déjeuner terminé, mon épouse retourna dans le lit, un luxe qu’on peut se permettre lorsque la petite n’est pas là. Je repassai la voir de temps en temps, tiraillé entre le fait de voir ses seins pointer et dépasser de sa chemise de nuit, et la nécessité d’occuper mon fils, qui, toujours dans le salon, peignait des petits soldats dont il est passionné, et me demandait sans cesse des conseils, plus pour me montrer comme il peint bien que pour écouter réellement ce que j’avais à en dire.
Quand je venais voir mon épouse dans le lit pour discuter, je passais les mains sur son corps, en parlant avec elle de choses et d’autres. Elle sentit bien que j’étais chaud pour un palier supplémentaire, et en plaisanta.
– Tu veux qu’on se fasse des câlins ? dit-elle avec un sourire plus que coquin.
– On ne peut pas, le petit est dans la salle à manger, répondis-je en lui pelotant les seins, et en remontant la robe pour caresser son sexe, légèrement poilu – elle se rase régulièrement le minou parce qu’elle sait que j’aime ça, et que, adorant se faire sucer, elle est sûre qu’elle obtient ce genre de gâterie les jours où elle est fraîchement épilée – elle jouit à chaque fois, se masturbant souvent pour m’aider à lui faire atteindre ces orgasmes, elle a tendance à les préférer aux orgasmes vaginaux qu’elle ressent de manière plus aléatoire lorsque je lui fais l’amour (ce sera l’objet d’autres récits…). La dernière tonte datait d’une dizaine de jours, d’où le gazon épars qui crissait sous mes doigts. J’installai mon majeur dans sa fente, sans essayer d’y pénétrer trop avant – elle n’apprécie pas que je farfouille dans ces zones lorsqu’elle ne s’est pas encore lavée… moi, si.
– Sauf si on ferme la porte…, sourit-elle encore.
Elle me rendait fou, j’avais vraiment envie de la prendre tout de suite.
– Non, il vient sans cesse pour ses figurines, ce ne serait pas prudent…
Je la laissai à nouveau à regrets et allai aider mon fils avec ses peintures. J’entendis qu’elle se levait pour aller se laver, et l’eau du bain coula bientôt. Quelques minutes passèrent, et mon épouse m’appela de la salle de bains.
– Tu peux m’apporter une serviette, s’il te plaît ?
Je pris la serviette demandée dans l’armoire et la lui apportait.
Elle était nue, accroupie dans la baignoire, et non allongée dans l’eau.
– C’est trop chaud, expliqua-t-elle.
– Waw, dis-je en plaisantant, attends reste comme ça, tu es juste à la bonne hauteur.
Je fis mine de déboutonner mon pantalon.
– Oh, dit-elle en me regardant, je veux bien, moi, contre un massage.
Je ris et je dis:
– Euh… attends, là, j’ai pas compris ? Tu veux dire que… tu me fais un petit quelque chose là si je te fais un massage ?
– Ouais, je veux bien.
Ma bite enflait à nouveau dans mon futal. Je me dirigeai vers la porte et fermai discrètement le verrou – mon fils ne nous dérange pas quand on est dans la salle de bains.
– OK, alors, tu me fais un petit plaisir et je te fais un massage cet après’m.
– Oui, ou même ce matin, après le bain.
Je souris en ouvrant ma braguette.
– Tope-là !
Elle rit en découvrant mon érection, mon sexe bondit littéralement de mon pantalon et se retrouva devant son nez, à une hauteur parfaite. pour une pipe. Elle attrapa ma bite dans sa main, commençant à me branler doucement.
– Dis-donc, tu avais envie, toi…
Je me penchai pour lui toucher les seins.
– Trop envie, ouais !
Elle s’installa plus confortablement dans la baignoire, à genoux, belle dans sa nudité – elle est fine, des petits seins, un dos ravissant et un gros cul rond délicieux à malaxer – et me prit dans sa bouche, je soupirai d’aise. Elle me suçait très lentement, en tenant fermement ma queue dans sa main, sans me branler. Elle sait que j’aime qu’elle me suce profondément, et, même si elle n’arrive pas à avaler la totalité de mon sexe, elle force souvent dans sa gorge pour me procurer un maximum de plaisir.
Mon épouse aime sucer, et elle sait comment s’y prendre. Elle plaqua sa langue sous ma bite et entama un lent va-et-vient, destiné uniquement à me procurer du plaisir sans que je ne vienne trop tôt dans sa bouche. Elle fermait les yeux, ce qui me permit de la regarder sans honte -je suis toujours un peu gêné de montrer mon côté voyeur, elle prend souvent ça avec ironie, sachant que j’apprécie la beauté de sa bouche autour de ma queue, et que je la mate comme un cochon.
Elle écarta les mâchoires pour m’enfoncer dans sa gorge, j’attrapai doucement sa tête dans mes mains et l’incitai à pousser plus avant, puis guidai ma queue hors de sa bouche, jusqu’à en voir le gland turgescent, et y retournai lentement, bien au fond, elle m’accompagna en hoquetant parfois, elle voulait gagner son massage. Elle me suçait plus vite, maintenant, agitant sa langue sous ma queue. Je me penchai en avant, et caressai ses épaules, ses seins, et essayai en vain d’atteindre ses belles fesses cambrées en arrière, j’imaginai y plonger ma langue, puis ma bite, je me vis la sauter pendant qu’elle me suçait, deux versions de moi pour elle toute seule. Elle adore que je lui lèche l’anus et le périnée, quand je la suce, mais refuse encore – mais de moins en moins fermement, au fur et à mesure qu’elle se rend compte du plaisir que lui procurent ces caresses particulières – la sodomie… je me vis l’enculer.
Je retirai délicatement sa main de mon sexe et me masturbai dans sa bouche, qui en gobait encore la moitié. Elle pencha la tête sur le côté, je vis mon sexe gonfler sa joue, je vis sa langue entrer et sortir pour mieux me lécher. Très vite, matant ses seins et ses lèvres fines collées à ma pine, j’éjaculai en saccades longues, que je contrôlai lentement pour en ressentir toute la portée et tout le plaisir. Si j’aime jouir sur son visage – une denrée rare, le sperme lui irrite la peau – là, je jouis dans sa gorge, bien enfoncé, elle émit un petit hoquet, comme elle le fait lorsque le sperme l’étouffe, mais elle resta bien sagement sous moi, gobant mon sexe avec application, recueillant tout le précieux jus.
Enfin, je sortis de sa bouche.
– Merci…
Elle resta face à ma bite, recueillant les dernières gouttes de sperme sur le méat, en me masturbant avec fermeté, pour que tout le liquide en sorte .Elle me regarda en souriant et avala le sperme avec un petit tressaillement – et une petite grimace.
– Bouêêh ! Il y en avait un paquet, cochon.
Elle ne lâchait pas ma bite, continuant à l’embrasser délicatement.
– Merci, dis-je en descendant ma main vers sa chatte, dans l’eau du bain. Trop bon…
Je lui mis un doigt dans la fente, et constatai qu’elle mouillait abondamment. Mon doigt effleura son clito et le titilla un instant. Je caressai ses seins et l’embrassai.
– Allez, prends ton bain bien chaud, détends-toi, et ensuite je te fais ton massage…
(Le massage a été intéressant, bien que plus soft, mais si vous souhaitez que je le raconte, mettez un petit commentaire ci-dessous, je le ferai )