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    Minuit Passé – Partie I

    Minuit passé. Quelques derniers messages, un « bonne nuit » à regret et puis je ferme le portable. Je lance ma tête en arrière et laisse échapper un soupir. Aujourd’hui cependant, ce n’est pas la marque de la fatigue ou de l’agacement, mais bien celle du contentement… de la tranquillité. Cela faisait… un, deux, trois ans ? Trop longtemps… trop longtemps que je n’avais pas ressenti cela en parlant avec une femme, un échange plein de sens, de sous-entendus et de complicité.Un sourire satisfait s’étire sur mon visage : « mon petit problème », comme elle disait, ne semble pas vouloir lâcher l’affaire, tel un ultime clin d’œil qu’elle m’aurait lancé en sachant très bien qu’il m’accompagnerait au-delà des simples messages échangés. Ça et…

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    Minuit Passé – Partie II

    A mi-chemin, elle se redresse et attrape mon visage de ses deux mains. J’ai à peine le temps decroiser son regard brûlant qu’elle se jette sur mes lèvres, m’arrachant des baisers torrides etprofonds. Toutefois, ils ne sont plus dominateurs comme sur le balcon, plutôt suppliants etencourageant : elle me veut, et cette soudaine réalisation ne fait qu’attiser le brasier qu’elle a déjàallumé.Je la plaque contre le mur sans cesser de l’embrasser ni de la tenir. Nos gémissements se sonttransformés en grognements, animaux libérés de tous filtres et ne demandant rien d’autre que denous unir. J’attrape son haut d’une main et le fais passer en dessus de ses épaules, puis de sa têteavant de le jeter au loin. « Estime-toi heureuse…

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    Minuit Passé – Partie III

    Mon invitée s’empale violemment sur moi, jusqu’à la garde. L’air rentre vivement dans nos poumonssans en sortir alors que les sensations nous assaillent. Un silence aussi délicieux que ce que nouséchangeons vient momentanément emplir la chambre. Je la contemple, si droite au-dessus de moi, lachatte pleine de ma virilité… sublime. Machinalement, sans que je ne m’en rende compte, j’ai relevémon buste pour arriver à son contact, l’enlaçant de mes bras cajoleurs. Je frotte mon nez sur sonoreille, dans son cou… elle soupire et caresse mon torse du bout des doigts. Yeux dans les yeux, nousnous embrassons tendrement, profitant du moment de calme qui précède la tempête que nosbassins ne vont pas tarder à déclencher. Je place un doigt entre ses…