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La Pension de Mary – Epilogue
Vérité. L’amour comme un vertige, comme un sacrifice,et comme le dernier mot de tout. Alain Fournier, Correspondance avec Jacques Rivière – Mmm…Je me plaque contre lui, il m’enserre de ses bras, mon nez est contre ses cheveux, ses oreilles, sa bouche, il m’embrasse. Nos langues se mêlent ainsi que nos corps, c’est lui que je veux, pour une nuit, pour une vie. Une onde électrique me parcourt le dos, je le reconnais, je sais en mon cœur que c’est lui, je comprends en un instant comment c’est possible, comment Anita a tout manigancé, comment elle m’a attirée dans ce piège vertigineux, dans ce piège merveilleux.Un client qui ne veut pas être dérangé. Il n’y avait pas mieux pour m’attirer ici.Perfide…