J’ai oublié comment on y est arrivé, sur ce banc, j’ai même oublié depuis combien de temps on y est… Je n’ai conscience ni du froid qui mange mes jambes découvertes ni des regards curieux des passants. C’est vrai qu’on doit leur offrir un drôle de spectacle… Emmêlés comme nous le sommes, pour que personne ne puisse soupçonner où sont tes mains… Ça par contre je le sais, où sont tes mains… J’en ai pleine conscience, on peut même dire que ça m’emplit tout entière ! Le cœur, la tête, le sexe, la bouche, tout mon corps n’est que gémissement et envie. Tu oses tout maintenant. Tu sais combien j’ai envie. Envie… J’ai tout le temps envie, dès que je…

Un petit one shot que j’espère efficace 😉 ​10h23En plein moi​s​ d’août​…​Ce qu’il y a de bien au mois d’août c’est qu’il n’y a personne ​.​On n’est pas dérangé​.​On travaille à son rythme​.​Et on peut même se permettre de petites digressions.  Il fait chaud, du coup je ne suis jamais très couverte​.​J’imagine que les gens voient ​mes jambes nues pas la vitrine​.​Je me demande si ils se demandent ce que je porte sous ma robe​.​Je me demande si ils se demandent si je ne porte rien​.​Ils doivent voir mes tétons dressés sous le tissus fin. Si ils ​sont un peu curieux ils doivent savoir que je ne porte pas de soutien gorge. Et ils doivent se demander si c’est un « ensemble » assorti…Il commence à faire…

Petits échanges sextos sympas 😉 DJoy    Imaginons qu’on a passé la nuit ensemble Que je viens de me réveiller Que tu es encore à moitié endormi Sur le dosMes doigts commencent à se promenerSur ton torseDoucement Tu ne sais pas si tu es vraiment réveillé. Ils descendent. Nombril. Au-dessus de l’élastique du short Puis genou Doucement tout doucement ils remontent, cuisses… puis ils passent sous le short …Là tu commences à être vraiment réveillé. Ta queue fait de petits à-coups Mais je continue à ne pas la toucher… ou du moins pas directement. Le dos de ma main l’effleure parfois genre sans faire exprès Je suis hypnotisée par ton sexe qui gonfle, mon visage se rapproche Même sous le short, je ne peux pas m’empêcher de me souvenir de la…